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Revue de presse achats - semaine du 1er février

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Revue de presse achats - semaine du 1er février

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture!

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Le monde est dangereusement dépendant de Taiwan pour les semi-conducteurs

Les plaidoyers de l'industrie automobile illustrent comment les compétences de TSMC en matière de fabrication de puces ont conféré à Taiwan un poids politique et économique dans un monde où la technologie est enrôlée dans la grande rivalité de puissance entre les États-Unis et la Chine - une impasse peu probable sous l'administration de Joe Biden. L'emprise de Taiwan sur le secteur des semi-conducteurs - bien qu'elle soit constamment menacée d'invasion par Pékin - représente également un point d'étranglement dans la chaîne d'approvisionnement mondiale qui donne une nouvelle urgence aux projets de Tokyo à Washington et à Pékin pour accroître l'autonomie. En dominant le modèle d'externalisation de la fabrication de puces développé aux États-Unis, Taïwan "est potentiellement le point de défaillance le plus critique de toute la chaîne de valeur des semi-conducteurs", a déclaré Jan-Peter Kleinhans, directeur du projet de technologie et de géopolitique du groupe de réflexion basé à Berlin Stiftung Neue Verantwortung. >> Lire l'article complet sur le site de The Japan Times

Terres rares : la Chine s'inquiète de ne pas pouvoir maintenir sa domination planétaire. Et voilà pourquoi ça devrait aussi nous alarmer

Interview de Emmanuel Linco, professeur à l'Institut catholique de Paris, spécialiste de l'histoire politique et culturelle de la Chine contemporaine - La Chine est le premier pays producteur mondial de minerais très utilisés dans les technologies de pointe. Un durcissement du contrôle chinois sur l'ensemble de la chaîne industrielle impliquant des terres rares semble annoncer une perte de monopole pour la Chine. (...) "en France, le groupe chimique Rhodia a rendu opérationnel, dans son usine de la Rochelle, un nouveau procédé, sur lequel il a travaillé pendant près de dix ans permettant de recycler ces métaux extraits des terres rares. Ainsi la réutilisation des poudres luminophores des lampes basse consommation et qui contiennent plusieurs terres rares son réutilisées. Quand on sait que le terbium - l'une de ces terres rares - est vendu plusieurs milliers d'euros le kilo, les principales ressources pour un pays comme la France consistent en la réutilisation de tous nos appareils et lampe qui équipent notre quotidien et nos bureaux. C'est à la fois un dilemme et une question de temps. Dilemme car le paradoxe est que la croissance verte accroît notre dépendance aux terres rares. Question de temps aussi car les économies vont devoir trouver des substituts à ces terres rares et avoir recours dans un premier temps à une exploitation de celles-ci en dehors même de la Chine." >> Lire l'interview sur le site de Atlantico

Négociations tendues entre grande distribution et industriels de l'agroalimentaire

Des demandes "indécentes": l'industrie agroalimentaire française assure être prise en étau, face aux exigences de prix de la grande distribution qui compliquent sérieusement les négociations commerciales annuelles, après une année de crise sanitaire marquée par la flambée des cours des matières premières. "Ce qui est véritablement inquiétant, c'est que les demandes qu'on a de la part de la grande distribution demeurent extrêmement négatives et ne bougent pas", s'alarme un industriel de l'agroalimentaire - qui a requis l'anonymat, c'est dire le climat qui règne. "On est dans des demandes qui sont entre -4% et -2,5%", rapporte-t-il, après avoir dû faire face, avec ses fournisseurs, à une "inflation très forte des prix agricoles". Catherine Chapalain, directrice générale de l'Association nationale des industries alimentaires (Ania), renchérit: "Sur le blé, c'est +20% ; sur l'huile, c'est +27% ; et sur les fruits, c'est entre +10% et +20% : donc, les industriels ont impérativement besoin de passer des hausses de tarifs. Et malheureusement, aujourd'hui, c'est encore des pressions, des menaces de déréférencement [par la grande distribution, Ndlr]." Elle souligne que l'ensemble des acteurs de l'alimentation se sont serré les coudes pour faire tenir la chaîne alimentaire au début de la crise sanitaire, lorsque les premières restrictions destinées à endiguer l'épidémie ont mis à mal la logistique, une "solidarité" qui "ne se traduit pas dans les négociations 2021", marquées par des "demandes de prix indécentes", malgré la loi Alimentation. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

E-commerce : les géants du secteur mettent le paquet sur le carton

Pour autant, pas de pénurie en vue : le carton est une matière quasi réutilisable à l'infini. "Nos cartons sont faits à 86 % à partir de fibres recyclées, parfois neuf fois de suite avec la même qualité, explique Armand Chaigne. Nous avons la chance, en France, d'être sur un marché mature, en partie lié à un système de tri très efficace." Sans oublier les innovations qui permettent de réduire le volume de carton utilisé. Un combat mené de longue date par Cdiscount, l'un des géants de l'e-commerce en France. "Depuis 2016, nous avons été les premiers à investir dans des machines 3D qui permettent d'emballer les colis à la bonne taille, cela nous a permis de baisser la quantité de carton utilisé de 30 %", rappelle Rémi Naudion, le directeur transport de Cdiscount. Désormais, sur 100 colis expédiés, 85 le sont sans vide à l'intérieur. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien

Responsable des achats : Une sphère d'influence

Au fur et à mesure que le rôle de chef des achats continue de se développer, de plus grandes attentes naissent. Et, à mesure qu'un service achat mûrit, son objectif et sa portée s'élargissent, tout comme sa capacité à influencer les décisions et les opérations de toute l'entreprise. Par exemple, en obtenant une meilleure visibilité sur les dépenses de l'entreprise et en développant une compréhension claire de ses objectifs, les CPO et les équipes d'achat sont plus à même d'influencer les décisions. Et, en gagnant en visibilité sur la performance des fournisseurs et en établissant la confiance et des lignes de communication claires, ils sont plus à même d'influencer les fournisseurs stratégiques. >> Lire l'article complet sur le site CPO Rising

Les prédictions pour le secteur des achats en 2021

Thinkers360 a demandé à son équipe, leader et personnages influent du domaine des achats internationaux, leurs prédictions pour le domaine des achats en 2021. (...) "En 2021, nous aborderons l'ère de l'achat intelligent, l'intelligence intégrée sera utilisée pour capturer des données dans les différentes fonctions et activités d'approvisionnement et sera complétée par l'intelligence du marché ainsi que les données de la communauté, afin de procurer des informations sur le meilleur scénario pour les actions futures. En outre, cette analyse devrait déclencher une série de recommandations qui peuvent tirer parti des prévisions et des scénarios" et si" avec divers algorithmes de modélisation et un nombre élevé de variables pour permettre aux professionnels de l'achat de prendre les meilleures décisions." >> Lire l'article complet sur le site Thinkers 360


Supply chain

La Covid a détruit des milliers d'emplois dans le transport et la logistique

Le deuxième enseignement du rapport 2020 de l'OPTL (...) revient justement sur l'impact du e-commerce sur le transport routier notamment et la livraison du dernier kilomètre en particulier. Pour ce faire, l'Observatoire a corrélé l'augmentation du nombre d'entreprises dans ce secteur sous statut d'auto-entrepreneur et leur localisation géographique. "Le nombre d'indépendants avec un seul salarié y a été multiplié par 1,5 en 2019 et le nombre d'établissements sans salarié y a été multiplié par 8,4 en trois ans". L'Ile-de-France avec Paris mais aussi toutes les grandes agglomérations constatent ces hausses dans des proportions plus ou moins fortes. Dans les entrepôts, les postes liés à la préparation de commandes se maintiennent malgré la mécanisation des sites. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique

Améliorer la performance économique et environnementale des chaînes logistiques

Interview de Fabrice Accary, directeur général de l'AUTF - "La crise sanitaire que nous traversons a mis en lumière l'importance stratégique du transport et de la logistique pour notre économie. Ce secteur en profonde mutation doit aujourd'hui relever plusieurs défis pour répondre à 3 grands enjeux : Résilience : l'amplification des menaces et des contraintes géopolitiques ou sanitaires doivent faire partie intégrante de la stratégie des entreprises, le transport et la logistique sont des maillons essentiels de cette résilience. - Développement durable : le transport et la logistique doivent aujourd'hui être au coeur de toutes les décisions stratégiques des entreprises en matière de développement durable pour répondre au défi de la décarbonation et contribuer à la lutte contre la pollution atmosphérique. - Digitalisation : l'intégration de nouvelles technologies et notamment l'Intelligence artificielle vont modifier nos modèles et auront des impacts majeurs sur la modernisation du secteur du transport et de la logistique. >> Lire l'article complet sur le site du Point

Immobilier logistique - Les m² placés au 4e trimestre assurent un bon bilan 2020

En matière de demande placée, le 4e trimestre 2020 s'est avéré "spectaculaire", relève le bilan annuel dressé la semaine dernière par Cushman & Wakefield. "Avec 1,1 million de m² ayant trouvé preneurs sur la fin d'année, il s'agit même du 2ème meilleur trimestre de la décennie", relevait à l'occasion d'un webinar Alexis Bouteiller, le co-dirigeant de l'activité transactions sur ce segment logistique pour la France. Cela représente plus d'un tiers des 3,1 M de m² transactés sur une année 2020 qui n'affiche qu'un retrait limité à -7% par rapport à 2019, malgré l'atonie d'un premier semestre marqué par le premier confinement. Dans ce contexte, les volumes signés par les chargeurs sont en net recul (-30%) tandis que l'activité s'est envolée de +26% côté prestataires. Et ces derniers prisant surtout des surfaces dans le segment 10-30 000 m², c'est le seul segment en croissance, à +22%, alors que celui des entrepôts XXL dépassant les 60 000 m² recule de -37% avec 7 opérations (notamment Mobivia, Samada ou Katoen Natie). D'autres ont sans doute pâties de retards sur la phase d'instruction administrative. Le rôle moteur des logisticiens s'illustre aussi dans le recentrage qui s'est opéré au fil de l'année vers des entrepôts situés sur la dorsale, au service de la logistique de distribution (d'où 1,9 M de m² placés sur cet axe, +22%, alors que le hors dorsale affiche un recul de -30%). >> Lire l'article complet sur le site de SupplyChain magazine

LivingPackets : des colis connectés pour une logistique respectueuse

La start-up française LivingPackets a mis au point un colis connecté et réutilisable. Objectif : réduire l'impact environnemental de la livraison tout en la sécurisant. Après des tests menés auprès d'Orange, Cdiscount et Boulanger, l'entreprise lance la production en série de son colis The Box. Ce ne sont pas moins de 35 brevets qui protègent The Box, le colis connecté de la start-up LivingPackets, qui l'a élaboré en 2018. L'entreprise Boulanger, qui a récemment étendu la gestion de son patrimoine Belge en reprenant l'enseigne Krëfel et réalise 2,8 milliards de chiffre d'affaires en France, participe à un test de ce colis connecté depuis janvier 2021. 2 ans plus tôt, le service client Orange proposait également à ses abonnés de tester cet emballage intelligent pour réexpédier leurs Livebox. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo

L'impact de l'industrie 4.0 sur le supply chain

Les supply chain traditionnelles sont des modèles assez classiques, une ligne simple et droite, de la création à la livraison du produit. Du début à la fin, le client a peu, voire aucune visibilité sur le produit. Son développement et sa distribution. Cela a toujours créé un défi pour les services achats, d'estimer les couts et prédire le temps de livraison. Cependant, chez les fournisseurs 4.0, ces données deviennent largement disponibles aux clients et équipes d'achats. Cette évolution aide les clients à recevoir des retours réguliers concernant la position de leur commande dans la chaine des fournisseurs. De plus cela leur permet de prévoir leur commande plus efficacement, facilitant la tâche des directions d'achats des grandes et petites entreprises. >> Lire l'article complet sur le site Essentra Component

Le risque Supply Chain, davantage considéré

Sur les deux prochaines années, près de la moitié des entreprises envisagent ainsi de revoir leurs stratégies en matière de gestion des risques concernant la supply chain. Sont notamment envisagés une révision des stratégies d'achats et de risk-management (48 %), des recrutements pour renforcer les équipes (41 %), la mise en place de mesures d'impact plus approfondies sur l'ajout d'éventuels nouveaux partenaires sous-traitants (38 %) et une diversification des fournisseurs (34 %). La technologie autorisant aujourd'hui visibilité, réactivité et résilience, les entreprises sont par ailleurs 44 % à envisager d'avoir recours à des solutions innovantes telles que des plateformes collaboratives, des capteurs IoT et de l'IA.>> Lire l'article complet sur le site de SupplyChain magazine


Commande publique

Renouvellement des RER B : le PDG d'Alstom veut une médiation auprès du tribunal

"Depuis le départ, Alstom a des doutes sur la viabilité technique et financière de l'offre qui a été faite par Bombardier", qui est depuis vendredi propriété du groupe français, a expliqué Henri Poupart-Lafarge lundi sur Franceinfo. "Le contrat a été négocié par la direction sortante de Bombardier avec un concurrent, et c'est nous maintenant qui devons l'exécuter", a-t-il ajouté. Un consortium composé de Bombardier Transport et de l'espagnol CAF a été choisi en décembre face à Alstom pour fournir 146 nouveaux trains destinés à la ligne B du RER, un contrat de 2,56 milliards d'euros. Mais Alstom a déposé plusieurs recours en référé, empêchant la signature du contrat avant sa prise de contrôle de Bombardier Transport au grand dam de la présidente d'Ile-de-France Mobilités, Valérie Pécresse. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien

La Ville de Lyon prépare un plan d'investissements de 1,25 milliard d'euros sur le mandat

Le nouveau maire de Lyon prévoit un plan d'équipement de 1,25 milliard d'euros d'ici à 2026, un montant inégalé entre Saône et Rhône (858 millions en 2015, 697 millions en 2009). Cette PPI sera votée en mars. "Pas pour construire un nouvel équipement public magnificent", dit-il, mais pour financer la rénovation énergétique des bâtiments municipaux, remplacer l'éclairage public par des lampadaires moins énergivores , acheter des véhicules moins polluants, construire des crèches et des écoles, végétaliser les cours mais aussi l'espace public, piétonniser les rues, investir dans le sport et la culture ... >> Lire l'article complet sur le site des Echos


RSE

Shell condamné à indemniser des fermiers nigérians

La cour d'appel de La Haye, aux Pays-Bas, a condamné, vendredi 29 janvier, la compagnie pétrolière Shell a verser des indemnités à trois Nigérians. Ces fermiers l'accusaient d'avoir pollué trois villages du delta du Niger du fait de fuites de pétrole. Le tribunal a jugé que la filiale de Shell au Nigeria était "responsable des dommages résultant des déversements" dans deux des villages concernés. Le montant des indemnisations n'est pas encore décidé. La responsabilité de la société mère, Royal Dutch Shell, a également été reconnue par le juge, qui lui a demandé d'équiper l'oléoduc en cause dans l'un des villages "d'un système de détection des fuites afin que les dommages environnementaux puissent être limités à l'avenir". "C'est la première fois qu'un tribunal tient une multinationale néerlandaise responsable de son devoir de vigilance à l'étranger", se félicite l'association Les Amis de la Terre, dont la branche néerlandaise accompagne les plaignants. >> Lire l'article complet sur le site de Reporterre

Développement durable : les 9 entreprises françaises les plus engagées

Toutes les multinationales sont scrutées et se voient contraintes d'intégrer la dimension écologique dans leur activité pour bénéficier d'une bonne image auprès des consommateurs, autant qu'auprès de leurs propres équipes. À ce jeu-là, certaines s'en sortent mieux que d'autres. Corporate Knights a dévoilé le 25 janvier la 17e édition de son indice des 100 entreprises au modèle le plus durable dans le monde et la France est le troisième pays le mieux représenté avec 9 groupes, derrière les États-Unis et le Canada. C'est la société tricolore Schneider Electric qui arrive en tête du classement. L'entreprise, spécialisée dans les produits de gestion et de stockage de l'énergie électrique, tire aujourd'hui 70% de ses revenus de solutions durables, souligne le rapport. Cette année, outre des indicateurs environnementaux et de développement durable, la société a pris en compte la diversité ethnique et de genre des entreprises pour établir son classement. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Thomas Cottinet, Ecolab : "Le numérique offre des capacités pour accélérer la transition écologique"

Pour rendre la transition effective, il faut agir sur les mobilités, les services urbains, les énergies renouvelables, les bâtiments publics, l'eau, les déchets ou encore la biodiversité. Or une grande partie de ces activités relève de la commande publique. Le soutien financier aux start-up est très développé en France, qui est désormais une des références internationales. Mais ces entreprises doivent également vendre, avoir rapidement des premières références commerciales, des premiers clients : dans le secteur des greentech cela se traduit souvent par un accès à la commande publique. Je ne crois pas qu'il faille encore réécrire le code pour en faire un levier. Gardons en tête que les règles en vigueur le sont au niveau européen et que d'autres membres de l'Union se servent davantage de cet outil pour la transition écologique. Je pense, par exemple, à la Suède qui a très tôt poussé à améliorer la qualité de l'air des bâtiments publics de santé et d'éducation. Par ailleurs, les seuils permettant de s'affranchir des appels d'offre sont suffisamment élevés pour permettre beaucoup d'expérimentations. Le gré à gré est possible jusqu'à 70 000€, et jusqu'à 100 000 € avec l'achat public innovant : de quoi initier des preuves de concept, des démonstrateurs ou des premiers contrats commerciaux entre start-up innovantes et acteurs publics. >> Lire l'article complet sur le site de Chut.Media

Achats responsables : les organisations priorisent la réduction des déchets

En matière d'environnement, Nathalie Blouet, administratrice de l'ObsAR, constate une priorisation sur la re´duction des de´chets, pour la sphère publique et privée. "Une thématique très certainement maîtrisée et utilisée depuis de nombreuses années par tous les acheteurs", commente-t-elle. Viennent ensuite la réduction des pollutions et des consommations d'énergie et d'eau. En revanche, l'économie circulaire, qui inclut pourtant la réduction des déchets, arrive en dernière position et est "encore mal connue de la sphère achats", ajoute Mme Blouet. Mais une "e´volution est a` attendre avec les de´crets d'application de la loi anti-gaspillage et pour l'économie circulaire (Agec)", estime-t-elle. Pour les organisations publiques notamment, cette loi va renforcer certaines obligations concernant l'emploi de matériaux recyclés dans les achats. De même, la re´duction des gaz a` effet de serre, est jugée "très importante par l'ensemble de la sphère achats" conforme aux objectifs fixés par l'État de neutralité carbone à l'horizon 2050. "Malgré tout, l'utilisation de bilans carbone pour les acheteurs reste encore complexe. En effet, les méthodes d'évaluation de performance liée aux bilans de gaz à effet de serre restent à définir. Et c'est aussi un challenge pour les entreprises de savoir présenter aux acheteurs des analyses de cycle de vie sur les produits et les prestations de service qu'ils vendent", explique Nathalie Blouet. >> Lire l'article complet sur le site de Actu-Environnement


IT

Pernod Ricard s'associe à Trellis pour utiliser leur technologie IA

Pernod Ricard lance un partenariat avec le novateur de l'intelligence artificielle de la distribution alimentaire Trellis, pour soutenir ses opérations achats et supply. L'intégration du système d'intelligence artificielle de Trellis va permettre à Pernod Ricard de prédire plus efficacement les couts de leurs achats. Ils vont être capable de renforcer la résilience de leur supply chain complexe, et augmenter leur profit opérationnel en améliorant les décisions prise au travers les datas fournie par Trellis, aux périodes stratégiques de la saison. >> Lire l'article complet sur le site The Shout


Fleet management

Oleo100 : le carburant 100 % colza fait de plus en plus d'adeptes

Depuis fin 2018, Saipol, filiale du groupe Avril, propose pour les poids lourds, un carburant issu à 100 % de colza produit en France, l'Oleo100. Composé uniquement d'ester méthylique de colza, ce carburant, utilisé pour les moteurs diesel, est vendu aux entreprises de transport équipées de cuves de stockage. Oleo100 est la seule déclinaison française du B100, nom du carburant normalisé au niveau européen depuis une quinzaine d'années et autorisé en France depuis le 29 mars 2018 et utilisable directement par les véhicules homologués. À savoir que les véhicules roulant au diesel mais non homologués ne nécessitent que quelques modifications pour pouvoir le consommer. Il est proposé à prix équivalent à celui du gazole, avec l'avantage d'être une énergie renouvelable, produite localement et bénéficiant d'un bilan carbone très positif. (...) Oleo100 a aussi l'avantage de pouvoir limiter les importations de biodiesel en provenance d'Amérique du Sud ou de biocarburants produits à partir d'huile de palme, beaucoup moins durables. Ce n'est pas tout. Son coproduit, après extraction de l'huile, le tourteau de colza, est riche en protéines végétales, une matière première dont l'Europe manque. Les transporteurs peuvent mettre en avant ces atouts de l'Oleo100 auprès de leurs clients. >> lire l'article complet sur le site de terre.net

L'Europe débloque 2,9 milliards d'euros pour une recherche partagée sur les batteries

Aujourd'hui, c'est un deuxième volet du programme European Battery Innovation qui s'ouvre, conjointement notifié par l'Autriche, la Belgique, la Croatie, la Finlande, la France, l'Allemagne, la Grèce, l'Italie, la Pologne, la Slovaquie, l'Espagne et la Suède. Les douze États membres ainsi réunis se sont accordés pour fournir une aide financière à hauteur de presque 3 milliards d'euros au cours des prochaines années en vue d'accompagner le développement de technologie de batteries durables à l'échelle de l'Union européenne. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise

Voitures électriques : le Groupe Volkswagen se lance dans le recyclage de batteries

La réglementation européenne impose un taux de recyclage minimum des batteries en fin de vie de seulement 50 % de leur masse. En France, le Groupe Volkswagen est partenaire de la SNAM (Société nouvelle d'affinage des métaux) qui assure le recyclage des batteries des voitures électriques et hybrides du groupe depuis 2014. La SNAM assure aujourd'hui un taux de 82 %. Désormais, le Groupe Volkswagen s'appuiera sur une nouvelle usine sise à Salzgitter, en Allemagne. Volkswagen Group Components s'occupera ainsi du démantèlement de ses packs de batteries en fin de vie, avant leur recyclage opéré en partenariat avec des acteurs spécialisés. >> Lire l'article complet sur le site de Les Numériques


Workplace

Investir dans l'espace de travail : la clé de la survie d'un business dans le monde digital ?

Un bon environnement de travail peut augmenter le moral des employés, encourager la motivation, et améliorer la qualité de vie de votre équipe. Selon le rapport "fellowes workplace wellness" 87% des travailleurs voudrait que leur employeur leurs offre un environnement de travail plus sain. Ce qui inclue des salles confortables, des avantages sportifs, des sièges ergonomiques, et des bureaux ajustables, pouvant être utilisés debout ou assis. Les bénéfices de ce genre d'investissement et de la création de ce type d'espaces n'est pas seulement pour le moral de votre équipe, mais il permet d'attirer les meilleurs talents de votre secteur. Lire l'article complet sur le site de CPO Strategy


RH / management / carrière

A quoi reconnaît-on un leader par temps de Covid ?

Les sondés attendent des leaders qu'ils expriment de la considération (37%) et de l'empathie (33%), qu'ils soient capables d'écoute (31%) et qu'ils développent les talents de leurs équipes (29%). Des aptitudes comportementales ou "soft skills" d'autant mieux exprimées s'ils savent aussi prendre du recul sur eux-mêmes (26%), s'adapter aux changements perpétuels et gérer l'incertitude . Bien entendu s'y ajoute la capacité à bien communiquer, qu'il s'agisse d'enrôler le collectif de travail comme de l'informer de la santé financière de l'entreprise. Le souci est que les entreprises et leurs dirigeants tendent surtout à privilégier l'élaboration de la stratégie et son exécution - autrement dit, à "donner la priorité à la tête - le cerveau gauche surtout, NDLR - et aux mains", résume l'étude. Or, en contexte sanitaire et économique aussi imprévisible, il est crucial d'impliquer émotionnellement ses collaborateurs dans une ambition collective pour susciter leur engagement et ainsi doper la performance collective. "Il s'agit de faire montre de qualités humaines - donc de coeur - dans la façon de diriger. Le coeur, jusqu'ici négligé par les entreprises au profit de la tête et des mains, n'a jamais été aussi stratégique qu'aujourd'hui", prévient Marie Humblot-Ferrero, directrice associée au BCG. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

 
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