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Revue de presse achats - semaine du 28 septembre

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Revue de presse achats - semaine du 28 septembre

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture!

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La centrale européenne de Leclerc mise à l'amende

L'administration française n'aime pas les centrales d'achat européennes qui peuvent, en théorie, échapper à la très stricte réglementation hexagonale sur les négociations commerciales entre les distributeurs et leurs fournisseurs. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) vient de le prouver en infligeant le 28 août une amende de 6,34 millions à Eurelec, la structure basée à Bruxelles et créée en 2016 par Leclerc et son homologue allemand Rewe. "La disposition de droit français, dont l'amende sanctionne la prétendue violation, impose une date butoir au 1er mars pour la conclusion des négociations avec les fournisseurs", indique le communiqué d'Eurelec. En France, plusieurs distributeurs ont déjà été sanctionnés pour avoir conclu leurs accords commerciaux avec certains industriels au-delà de cette limite. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Une Alliance européenne des matières premières pour sécuriser les approvisionnements

A l'instar de l'Alliance européenne des batteries, créée en 2017, la Commission européenne a annoncé le 29 septembre la création d'une Alliance des matières premières (ERMA pour le sigle anglais) destinée à renforcer la chaîne de valeur des terres rares et des aimants. (...) L'objectif ? Mettre en relation les acteurs industriels, les États membres et la société civile afin de renforcer la résilience et l'autonomie stratégique. Pour ce faire, l'Alliance vise à identifier les obstacles, opportunités et possibilités d'investissement à toutes les étapes de la chaîne de valeur des matières premières, de l'exploitation minière à la valorisation des déchets, tout en abordant en même temps la durabilité et les impacts sociaux. >> Lire l'article complet sur le site du Moci

Isabelle Méjean : "On se met à vouloir tout produire en France, mais il y a un coût"

"Ce qu'on va relocaliser pour des raisons stratégiques va être produit à un coût plus élevé en France. Et puis il y a un deuxième problème, c'est que sur un certain nombre de biens, si on veut vraiment une indépendance stratégique, il faut relocaliser toute la chaîne de production. Et comme je vous l'ai dit tout à l'heure, la chaîne de production est fragmentée. Donc, il ne suffit pas de dire : la dernière étape, je la relocalise en France, parce que si vous n'avez pas les intrants pour produire en France, vous n'avez pas d'indépendance stratégique. Je vous donne un exemple : pendant la crise, les États-Unis ne voulaient plus exporter les masques FFP2 vers le Canada. Le Canada a dit : "d'accord, mais c'est nous qui produisons les filtres qui sont dans ces masques." C'est une anecdote, mais cela montre qu'aujourd'hui, la plupart des choses qu'on achète sont des biens qui ont une nationalité très difficile à définir. C'est un gros problème statistique de définir ce qu'est la nationalité d'un bien, parce qu'aujourd'hui, on produit des biens avec plein de morceaux qui sont produits dans des endroits différents. Être indépendant stratégiquement aujourd'hui sur la production, cela suppose de relocaliser des centaines d'entreprises en France. C'est donc très compliqué." >> Lire l'interview sur le site de Public Sénat

Comment optimiser votre fonction achats

Tribune de Rémy de Lavergne - "La définition des profils d'acheteurs appropriés dépend alors de plusieurs critères : la situation financière de l'entreprise (une société en difficulté peut être amenée à ne faire appel qu'à cost killers) ; la catégorie d'achat concernée (pour des fournitures de bureau, un bureaucrate conviendra très bien) ; la culture des dirigeants (les directeurs généraux qui ont une vision peu stratégique de la fonction achats auront tendance à recruter essentiellement des bureaucrates et des cost killers) ; le secteur d'activité de l'entreprise (le rôle d'un acheteur est moins stratégique dans une banque d'affaires que dans un groupe de la grande distribution). Il n'y a donc pas de profil unique vers lequel il faut impérativement tendre (le profil du business developer n'est pas le Graal). D'ailleurs, dans de nombreuses organisations, selon les catégories d'achats, plusieurs types d'acheteurs coexistent. Il s'agit en réalité d'avoir le bon profil d'acheteur au bon endroit. >> Lire l'article complet sur le site de HBR

Carrefour automatise sa relation fournisseurs

Carrefour avait besoin d'un outil permettant de mieux réguler ses flux de réception de marchandises. L'objectif est de fluidifier les approvisionnements mais aussi de réduire les problèmes récurrents de défaut, de retard ou de non-conformité des livraisons fournisseurs sur les entrepôts. L'enseigne de grande distribution a choisi d'automatiser sa relation avec ses fournisseurs et prestataires de transport à travers la plate-forme collaborative Mercareon. Tout d'abord testée sur deux entrepôts lors de la phase de "proof of concept", la solution a été déployée avec succès, dès l'été 2019, sur 32 des entrepôts Carrefour en France, en sept mois. "Après avoir reçu les commandes des fournisseurs correspondants à celles de Carrefour, les transporteurs n'ont, en effet, plus qu'à choisir et réserver directement en ligne un créneau horaire de livraison disponible parmi ceux proposés par le distributeur", indique Mercareon. Cette prise de rendez-vous collaborative inclut aussi les fournisseurs qui ont une visibilité sur les créneaux horaires réservés par leurs prestataires de transport. Carrefour peut ainsi adapter en conséquence le plan de charge de ses entrepôts dans le but d'améliorer la disponibilité des produits en magasin. Les fournisseurs fiabilisent leurs livraisons aux entrepôts Carrefour en réduisant les anomalies et donc les pénalités correspondantes. Les transporteurs disposent de la souplesse nécessaire de prise de rendez-vous pour diminuer leur temps de passage ou d'attente. >> Lire l'article complet sur Stratégie Logistique

Jeux olympiques : le casse-tête financier de Paris 2024

"Ils veulent à tout prix éviter les dépassements de budget qu'ont connu toutes les précédentes éditions des Jeux d'été, explique Kevin Bernardi, chercheur spécialiste de l'olympisme. Mais en plus, les pouvoirs publics exigent des économies en raison du contexte économique." L'Élysée est allée dans ce sens en juillet dernier à l'issue d'une rencontre entre Emmanuel Macron, Tony Estanguet et le président du CIO Thomas Bach. Verdict : 400 millions d'euros à trouver, soit environ 10 % du budget d'organisation des compétitions, qui représente un total de 3,7 milliards financés par le CIO et des ressources privées (billetterie, sponsoring, droits télé). "Avec 95 % des compétitions organisées dans des sites existants, on n'a pas une marge de manoeuvre à la hauteur des 400 millions sur le sportif, il faut donc taper ailleurs", souligne régulièrement Tony Estanguet. Ailleurs ? Ce sera un site moins ambitieux pour la breakdance, le skate et le basket 3 x 3 à la Concorde. Mais surtout des prestations revues à la baisse dans des domaines annexes : les navettes, le site du podium des médailles, les installations pour la presse, etc. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix

Monde : hausse des risques de défaillance, selon Euler Hermes

Le nombre de défaillances dans le monde devrait bondir de 31 % entre 2019 et 2021 (+65 % aux Etats-Unis, + 24 % en Chine, +11 % en Inde, + 11 % en Allemagne, + 36 % au Royaume-Uni, + 28 % en Italie, + 32 % aux Pays-Bas et + 21 % en France). Aucun pays ne devrait être épargné par cette résurgence du risque d'impayés, selon les économistes d'Euler Hermes. Et le salut ne viendra pas encore des perspectives de croissance mondiale : après un fort effet de rattrapage au troisième trimestre, elles devraient nettement fléchir au cours du dernier trimestre de cette année et du premier de 2021. En cause, principalement, le durcissement des mesures sanitaires destinées à enrayer la propagation du virus. L'assureur-crédit prévoit ainsi une récession du PIB mondial de l'ordre de -4,7 % en 2020, suivie d'un rebond de croissance de + 4,6 % en 2021. >> Lire l'article complet sur le site du Moci


supply chain

PageGroup fait le point sur les rémunérations de la supply chain en 2020

Un focus sur le secteur des achats et de la supply chain dans le contexte actuel. Un secteur pour lequel PageGroup a réalisé 6 000 entretiens l'an passé pour 1 800 recrutements. Et les résultats sont plutôt positifs : en effet, PageGroup analyse que les directions auront de plus en plus recours au management de transition pour des missions en achats et en logistique comme la redéfinition des circuits, ou l'accompagnement des dirigeants pour des réorganisations. Parallèllement, la crise du Covid-19 a fait émerger des questions de relocalisation qui pourront faire émerger un regain d'activité pour les métiers de la supply chain, principalement pour des segments tels que la pharmaceutique, l'e-commerce et la grande consommation, très consommateurs de projets de digitalisation. Les approvisionneurs, coordinateurs logistiques, supply planner, logistics manager, responsables d'exploitation et responsables lean/excellence opérationnelle figurent parmi les profils les plus demandés en 2021 pour PageGroup. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

L'automatisation de la supply chain, un enjeu important pour 80% des entreprises françaises

L'une des données les plus intéressantes de l'étude concerne les difficultés relatives à la Supply Chain rencontrées dans les entreprises. Elles mettent en perspective pourquoi l'automatisation n'est pas davantage une priorité. En effet, la "quantité excessive de tâches manuelles" n'arrive qu'en 3e position avec 26% des votes à égalité avec "les pertes de temps à cause d'un manque de traçabilité du processus". L'étude attentive des difficultés rencontrées explique bien pourquoi la majorité des entreprises estime cette automatisation de leur supply chain important mais néanmoins pas prioritaire. Autre donnée intéressante, celle des formats principalement utilisés pour l'échange des informations. À l'heure des solutions en mode SaaS et des API, le format le plus utilisé pour l'échange de données est.... (roulement de tambour) ... l'email et sa pièce attachée en PDF ! Boouuuuuhhhh ! Et, son chiffre "67%" fait même carrément peur. Car cet usage est une aubaine pour tous les cyberattaquants qui ont bien compris depuis quelques années que le meilleur moyen d'attaquer les grandes entreprises était de s'en prendre à leur supply chain. Avec des informations clés transférées principalement par le moyen le plus facile à compromettre (l'email) et le support le plus simple pour mener une attaque (le fichier PDF), la situation n'est pas prête d'évoluer. >> Lire l'article complet sur le site de IT for Business

Comment le pilotage de la donnée a permis à Relais Colis d'assurer la continuité des livraisons

Relais Colis cherchait une solution pouvant s'implémenter sur l'existant, son "entrepôt de données historiques", puis analyser les données en temps réel. L'outil, baptisé Visual Analytics, a été intégré en deux mois et a fait l'objet d'une formation dispensée auprès des collaborateurs. "Ceux qui créent le rapport n'ont pas besoin de savoir coder, ni ceux qui le lisent d'être des spécialistes de la donnée", note-t-on chez Relais Colis. Visual Analytics permet de traduire les données de la société en données intelligentes. Par exemple, l'identification de temps forts commerciaux - période à laquelle circule un grand nombre de colis ou un grand volume entre deux lieux donnés - permet de décider de l'ouverture ou non d'une plateforme qui permettra de répartir les flux. "La donnée nous permet de savoir si en comparaison avec n-1, nous devons ou pas rester sur notre schéma industriel." Autre cas d'usage, les circuits de distribution, qui évoluent de façon permanente. La solution permet de savoir rapidement si un circuit est logique et si ce n'est pas le cas, quel trajet est le plus pertinent, et comment la répartition des flux de colis peut être opérée entre différentes agences. Cette solution a aidé Relais Colis à prendre les bonnes décisions lors de la crise du Covid-19. "Cela nous a permis de travailler en anticipation, et non plus en réaction", se réjouit-on dans la société. "La data client nous a permis de savoir où étaient les colis et a permis aux e-commerçants de rassurer les consommateurs". >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale


Commande publique

L'horizon semble s'éclaircir pour la commande publique

Une petite éclaircie se dessine dans les marchés publics surveillés comme le lait sur le feu par les entrepreneurs en mal d'activités. Selon les premiers éléments du baromètre de la commande publique que publieront bientôt l'Assemblée des communautés de France (AdCF) et la Banque des territoires, le trou d'air du début de l'année est terminé. "Les premiers relevés d'observation sur septembre laissent penser qu'elle est sur une phase de reprise. Le troisième trimestre retrouverait la dynamique assez vigoureuse des années 2018 et 2019, aussi bien en nombre d'appels d'offres qu'en volume financier", indique aux "Echos" Claire Delpech, conseillère finances et fiscalité de l'AdCF. ?Sur les huit premiers mois de l'année, le montant de la commande publique (tous acteurs et secteurs confondus) s'est élevé à 47 milliards d'euros, soit 11 milliards de moins que la moyenne des mêmes périodes de 2018 et 2019. "L'année 2020 va finir en dessous de 2019. Mais il n'y a pas de signes qui annonceraient un dévissage", anticipe toutefois l'association d'élus locaux. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'efficacité énergétique sera systématiquement prise en compte dans les programmes d'armement

La nouvelle approche du ministère des Armées en matière de politique énergétique passe par une réduction de sa dépendance aux énergies fossiles en misant sur la "sobriété énergétique" ainsi que sur un recours accru aux "nouvelles technologies de l'énergie et aux carburants de rupture." (...) ce tournant ne vise surtout à faire de la transition énergétique un atout pour les opérations menées par les forces françaises. Au moins trois facteurs plaident en faveur de cette approche. Le premier est qu'il s'agit de sécuriser les approvisionnements en ressources énergétiques, lesquelles font "l'objet d'une compétition internationale accrue", sur fond de "tensions géoéconomiques et géopolitiques qui ébranlent le marché pétrolier mondial", explique le ministère des Armées. D'où, par conséquent, la nécessité "d'explorer toutes les nouvelles technologies de l'énergie [stockage, énergies renouvelables] et les carburants de nouvelle génération [biocarburants, hydrogène], afin de sortir de la dépendance au pétrole en matière de mobilité, au niveau tactique comme au niveau stratégique", poursuit-il. Un deuxième élément à considérer est budgétaire : réduire la consommation des énergies fossiles devrait théoriquement faire baisser la facture des armées dans ce domaine. Ainsi, en 2019, ces dernières ont consommé 835.000 m³ de produits pétroliers, pour un coût de 667 millions d'euros. >> Lire l'article complet sur le site de Opex360

Projet de loi Asap : vers un nouvel assouplissement des règles de la commande publique ?

Le projet de loi "Asap" souhaite élargir l'exclusion des marchés publics des services juridiques aux règles normales de publicité et de mise en concurrence à deux domaines. L'article L. 2512-5 du CCP serait ainsi complété dans son huitième point par deux alinéas excluant ces services du droit de la commande publique. Il s'agit des services juridiques de représentation légale d'un client par un avocat dans le cadre d'une procédure juridictionnelle devant les autorités publiques ou institutions internationales ou dans le cadre d'un mode alternatif de règlement des litiges. Il en serait de même pour les consultations de service juridique fournis par un avocat en vue de la préparation d'une procédure juridictionnelle ou lorsqu'il existe des signes tangibles et de fortes probabilités que la question sur laquelle porte la consultation fera l'objet d'une telle procédure. Selon le rapport présenté au Sénat, "cette mesure de simplification est de nature à alléger les contraintes administratives et procédurales pesant sur les acheteurs passant ces marchés publics et sur les opérateurs économiques qui candidatent à leur attribution". >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Cette petite ville finlandaise de 120 000 habitants est la plus écolo d'Europe. Et voici ses secrets

Interview du maire de Lahti, Pekka Timonen - "Nous avons mis en place le projet CitiCap il y a trois ans. Il s'agit notamment d'une application qui permet de tracker ses déplacements grâce à la géo-localisation du smartphone et de suivre ses émissions liées à la mobilité. Chaque utilisateur peut visualiser ses émissions et tenter de les réduire Pour les y inciter nous avons mis en place des quotas inspirés du système de marché carbone appliqué aux entreprises par l'Union Européenne. Concrètement, les citoyens qui participent au projet disposent d'un quota hebdomadaire d'émissions pour leurs déplacements. S'ils réussissent à ne pas tout dépenser - et donc à réduire leurs émissions -, ils peuvent transformer l'excédent en euros virtuels pour acheter des tickets de bus, des places de théâtre ou des gâteaux dans les boulangeries de la ville. Mais cette application n'est que la face visible du projet CitiCap. L'application nous permet de collecter des data sur la mobilité des habitants de Lahti. Nous avons donc accès à des informations sur la façon dont ils se déplacent, sur ce qui peut les faire changer de moyens de transport, etc. On peut même regarder l'impact de la météo sur la mobilité. Ça nous permet ensuite de mettre en place des solutions plus intelligentes : par exemple, créer des lignes de bus ou de nouveaux arrêts. Nous avons déjà lancé la création d'une grande piste cyclable autour de la ville." >> Lire l'interview sur le site de l'ADN


RSE

Les étiquettes, nouvelles actrices de la traçabilité dans le secteur du textile?

A partir de mardi, 80% de la lingerie des boutiques Etam et Undiz revêtira un QR code. "On sentait qu'il y avait un vide dans le secteur et une place à prendre", avance Kachen Hong, directrice RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) du groupe Etam. "Le projet consiste à montrer les coulisses de la fabrication, en toute transparence. Le QR code donne directement accès à la vidéo de l'usine dans laquelle le produit a été confectionné", au Bangladesh, en Chine ou en Tunisie, expose Mme Hong. Au début de chaque vidéo est montrée une fiche produit de l'usine avec notamment sa localisation, le nombre d'employés, l'audit effectué et sa spécialisation. Du côté d'H&M, on se vante d'avoir publié la liste des fournisseurs dès 2013. Mi-septembre, le géant suédois a annoncé rompre avec l'un d'eux accusé de travail forcé en Chine. Depuis un an, l'étiquette des produits de la marque peut, via une application, être scannée et fournir diverses informations au client: sur les matières et leur coût environnemental - comme la consommation d'eau -, ainsi que sur l'origine du produit, l'adresse de l'usine et le nombre de ses employés. >> Lire l'article complet sur le site de Fashion Network


IT

Suite à une cyberattaque, les activités de l'horloger Swatch sont au ralenti

Durant le week-end, Swatch a identifié des "signes clairs d'une cyberattaque en développement" et a décidé de déconnecter ses systèmes d'information pour éviter la propagation du malware. Swatch promet qu'aucune rançon n'a été demandée par les hackers. En revanche, il ne peut pas encore certifier qu'aucune donnée n'a été dérobée. Si tel est le cas, un porte-parole a assuré au média suisse qu'il ne s'agissait pas de données personnelles. Certaines activités du géant suisse sont toujours affectées, a indiqué Swatch. Selon plusieurs sources internes, l'entreprise Omega - première marque du groupe - serait très affectée par l'incident de sécurité.>> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale

Le secteur de la construction ne dispose pas des capacités numériques suffisantes pour répondre aux exigences de la ville intelligente

Il semble que le secteur soit relativement prêt à affronter le défi de la digitalisation : en effet, 95 % des répondants indiquent que leur entreprise est "assez préparée" en matière de collecte de big data et d'adoption des technologies numériques. Certaines barrières demeurent cependant, ainsi 68 % des personnes interrogées affirment que leur principale difficulté, en termes de développement intelligent, est leur incapacité à collecter les données en temps réel. Dans ce domaine, plus d'un quart d'entre elles (28 %) pointe également son inaptitude à créer l'"empreinte" numérique d'un bâtiment ou d'un actif. Surmonter ces obstacles sera essentiel pour le développement intelligent, mais aussi pour la construction " verte ". Par exemple, la Commission européenne met actuellement en place Level(s), une nouvelle structure qui permettra d'ici fin 2020 d'adopter une nouvelle approche de développement des bâtiments durables. Level(s) encourage les constructeurs, les architectes et les autorités publiques à réfléchir au cycle de vie d'un bâtiment, depuis l'achat des matériaux jusqu'à son éventuelle déconstruction et au recyclage des matériaux. Toutefois, l'étude conclut que les sociétés de construction ne sont pas encore prêtes à adopter ce type d'approche. En effet, nombre d'entre elles ne peuvent pas collecter et communiquer les données concernant la provenance des matériaux (32 %) ni le pourcentage de déchets de matériaux recyclés sur un chantier (42 %). >> Lire ce sujet sur le site de Finalcad


Fleet management

La taxe sur les véhicules de société (TVS) revue et allégée en 2021

Le projet de loi de finances pour 2021, dévoilé ce lundi 28 septembre 2020 par le gouvernement, propose une actualisation des barèmes et taxes touchant au secteur automobile. La traditionnelle grille du malus est à l'agenda, de même que l'évolution du bonus et de la prime à la conversion. Le texte prévoit également, ce qui constitue une petite surprise, un dispositif revisité de la taxe sur les véhicules de société (TVS). Premier constat, le barème de la TVS version 2021 abandonnera le système de tranches, synonyme de calculs, certes simples, à effectuer, mais aussi et surtout d'effets de seuils. Chaque gramme de CO2, à partir de 21 g/km, sera associé à son propre tarif de taxe. Second constat, ce changement de mode de calcul ne s'accompagnera pas d'une hausse du montant dû par les entreprises. Le barème sera plus sévère uniquement pour les véhicules rejetant entre 158 et 170 g/km de CO2, entre 180 et 190 g/km, entre 213 et 230 g/km et enfin à partir de 242 g/km. Toutes les autres cases du dispositif seront plus favorables, parfois jusqu'à plus 60 %. Ce sera notamment le cas des modèles annoncés à 127 g/km qui verront leur taxe passer de 571,50 euros à 203 euros, soit une économie pour les entreprises de 64,5 %. A l'inverse, les véhicules pointés à 170 g/km seront les grands perdants avec une TVS grimpant de 58,5 %, à 1 751 euros. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de l'Automobile




Carrière / RH/ Management et... autres

Savoir-vivre : l'art de maîtriser les codes

"Les gens croient que le monde est globalisé, mais non ! Combien de marchés ont capoté à cause d'incompréhensions culturelles", interpelle le diplomate et intervenant Jean Lévy, qui cite entre autres le divorce entre le français Renault et le japonais Nissan. "Les diplomates et les entreprises sont en contact permanent : ce ne sont pas deux mondes séparés", renchérit Natalia Bellehchili, traductrice-interprète qui a cofondé l'école. Au programme : principes de bases du protocole français, communication interculturelle et l'incontournable art de la table. Le repas est un savant mélange d'échange d'idées et de séduction, où l'on honore son convive comme on étale sa puissance. Il n'y a pas de bons pourparlers sans bon repas. "Donnez-moi de bons cuisiniers, et je vous donnerai de bons traités", se plaisait ainsi à dire l'évêque ministre et diplomate Talleyrand au siècle des Lumières. Célèbre pour sa longévité au pouvoir, il sut passer la Révolution et la Terreur, la période napoléonienne, la première et la seconde Restauration, la Monarchie de juillet... Dans l'affaire, la mise en scène des mets a autant d'importance que leur qualité. Servir un grand classique de la gastronomie française dans une vaisselle luxueuse n'est pas anodin, et votre hôte se fera un plaisir d'observer vos réactions ou la manière dont vous tenez votre fourchette, révélatrice de votre éducation...>> Lire l'article complet sur le site des Echos




 
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