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Revue de presse achats - semaine du 16 septembre

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Revue de presse achats - semaine du 16 septembre
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car relatifs aux achats, à la relations fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc.

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RSE

Tri des déchets, zéro diesel, lait bio, plastique : McDonald's dévoile son plan pour la planète

Interview du p-dg de McDonald's France, Nawfal Trabelsi - La démarche sociétale doit nourrir votre métier principal et vous permettre de conforter les préférences de vos consommateurs. Quand nous choisissons la contractualisation avec les agriculteurs français, elle bénéficie à ces derniers, qui disposent d'une véritable visibilité sur plusieurs années avec un prix qui est fixé en fonction de leurs coûts de production, mais aussi à McDonald's, qui se prémunit contre les fluctuations du marché, et à ses clients, qui bénéficient de la meilleure qualité au meilleur prix. (...)

Je vous annonce que nous allons développer, créer et structurer des filières de tri en France dans les trois prochaines années. Nous allons contractualiser avec des acteurs privés ou des municipalités pour les collectes et avec des valorisateurs de déchets. Nous allons ainsi construire des grappes d'une dizaine de restaurants qui seront sur le chemin d'une tournée conçue pour eux et par eux. Bonne nouvelle, ce système pourra profiter à d'autres acteurs autour de nous. En outre, nous tendons vers le zéro diesel : dans les deux ou trois ans qui viennent, la totalité de la flotte de livraison de McDonald's carburera aux huiles usagées collectées dans les restaurants et recyclées en biocarburant.

Notre objectif est le zéro plastique. La paille et le couvercle des boissons vont disparaître en novembre 2019. Cela représente plus de 1.400 tonnes de plastique économisées par an. Les couverts seront également rapidement remplacés par des couverts en bois durable. Dès la fin de l'année, nous aurons réduit la consommation de plastique de 60%, et un an plus tard ce sera quasiment fini. >> Lire l'article complet sur le site du JDD

La première basket de running technique ET écologique (et elle est française)

Après quatre années de recherche et développement, Veja présente pour cette rentrée la Condor, première chaussure unisexe de running écoresponsable dont l'esthétique reprend la structure osseuse de l'oiseau sud-américain. Pour rappel, 99 % des runnings sur le marché sont aujourd'hui composées de plastique, un polymère dérivé du pétrole particulièrement néfaste pour l'environnement. Légère, flexible et technique, la " Condor " combine au total 53 % d'éléments biosourcés. La semelle externe associe caoutchouc sauvage d'Amazonie et écorce de riz tandis que la semelle intermédiaire recycle des déchets alimentaires comme l'huile de ricin, substitut végétal au pétrole, l'huile de banane et de canne à sucre. Le squelette en alveomesh respirant a été entièrement conçu à partir de bouteilles en plastique recyclées. Doublé de coton biologique, le modèle n'a pas l'ambition de s'adresser à des marathoniens, mais plutôt aux sportifs urbains. De quoi gérer sa rentrée au pas de course. >> Lire l'article complet sur le site du NouvelObs

Développer une filière de caoutchouc naturel durable en Indonésie

Le WWF et Michelin ont l'ambition de transformer la culture et le marché de l'hévéa pour aller vers de meilleures pratiques et réduire la déforestation. Pour ce faire, un projet pilote est déployé en Indonésie visant à développer des plantations de caoutchouc naturel qui s'intègrent pleinement dans l'approche paysagère mise en oeuvre sur le territoire. Ce projet a pour ambition de produire du caoutchouc naturel durable, stopper la dégradation et le grignotage des forêts, restaurer les forêts dégradées, atténuer les conflits hommes-éléphants et assurer le développement économique et social de la région et des populations. (...) Le premier défi du partenariat a été de définir le caoutchouc naturel durable pour permettre à Michelin de faire évoluer ses pratiques d'approvisionnement et de devenir un véritable acteur dans la promotion de meilleures pratiques auprès des instances internationales représentatives de la profession, des acheteurs de cette matière première et des producteurs. L'objectif est de faire évoluer les pratiques tout au long de la chaîne d'approvisionnement, depuis les plantations d'hévéas jusqu'à la consommation du caoutchouc naturel. >> Lire l'article complet sur le site du WWF

Loi économie circulaire : l'Etat envisage d'imposer l'incorporation de plastique recyclé

Le projet de loi relatif à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire prévoit d'introduire dans le droit français un taux minimal d'incorporation de matière recyclée. La mesure, d'une portée très large, offre la possibilité au gouvernement d'imposer, pour certaines catégories de produits, un pourcentage minimal de matière recyclée. Le dispositif répond aux difficultés rencontrées par les régénérateurs de plastique pour trouver des débouchés. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Environnement

Mode responsable : les marques peinent à répondre à la demande croissante

Pour les personnes interrogées, un article de mode durable doit en priorité ne pas utiliser de produits chimiques nocifs pour l'environnement ou la peau (64 % en France). Une demande qui devance celle de la maltraitance animale (40 %). Il doit ensuite privilégier des matières naturelles (coton, lin...) ou un textile recyclé. "Les matières qui arrivent dans le top des plus négatives pour l'environnement sont le polyester, l'acrylique, le polyamide et, en 4e position, le cuir", souligne Thomas Delattre de l'IFM. De quoi inquiéter les géants du luxe pour lesquels la maroquinerie est la principale source de revenus. "Les problèmes de pollution liés au tannage, et la protection animale, avec le mouvement vegan, expliquent ce résultat", estime le spécialiste. (...) Côté fabrication, les consommateurs européens estiment que ce produit "écolo" doit être en priorité fabriqué dans son pays d'origine (80 % en France, 65 % en Italie) ou en Europe (46 % pour les Français). La production dans les pays de l'Est ou du bassin méditerranéen recueille moins de 10 %. "Il y a une majorité réfractaire à la mondialisation, estime Gildas Minvielle. Une petite partie estime toutefois que ces articles peuvent être faits n'importe où à condition de respecter certaines règles." Paradoxe, c'est dans les boutiques de géants mondiaux que les consommateurs interrogés sont allés acheter un article de mode responsable en 2019. H&M, C&A, Nike et Adidas arrivent en tête du classement. Les deux enseignes de mode à petits prix sont parmi les plus importants acheteurs de coton bio au monde. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Métier

Drones sur les installations saoudiennes, quel impact sur les marchés pétroliers?

Les acheteurs vont-ils manquer de pétrole ? La pénurie n'est pas à l'ordre du jour, étant donné le ralentissement de la demande mondiale, dans un contexte de récession. Les stocks sont importants, dans les pays importateurs comme les pays producteurs. L'Arabie saoudite a quelque 30 jours de réserves, le premier exportateur mondial va aussi s'efforcer de mobiliser davantage ses ressources sur le reste du territoire puisque Riyad avait volontairement réduit son offre dans le cadre de l'Opep. Les autres pays du cartel en capacité de produire vont s'empresser d'ouvrir grand les vannes, de même que la Russie. Quant aux compagnies pétrolières américaines, dont beaucoup sont dans le rouge, elles vont apprécier de voir les primes à l'export s'envoler, le pétrole de schiste américain est très demandé depuis ce week-end. C'est plus une réorganisation des flux pétroliers qui est à l'oeuvre. Avec tout de même une inflation des prix, prime de risque et augmentation du fret obligent. L'Europe et l'Asie vont en subir les conséquences. La Chine dont l'économie n'est pas au beau fixe, absorbait un quart des exportations saoudiennes, elle devra payer une taxe de 5 % si elle veut importer à la place du pétrole américain. >> Lire l'article complet sur le site de RFI

Le sable, une ressource essentielle en voie de disparition

Son extraction n'est pas non plus sans impact sur le réchauffement climatique. Un rapport de l'OCDE de février 2019 indique ainsi que la production de béton actuelle occasionne 9 % de la totalité des émissions de gaz à effet de serre, et projette ce chiffre à 12 % en 2060. Une autre étude, de l'ONU cette fois, également publiée en 2019, fait état de l'exploitation de sable à l'échelle mondiale. Elle s'intéresse pour cela à la production de ciment dans 150 pays. En considérant que le béton comporte 25 % de sable et 45 % de sédiments grossiers par unité de volume, elle conclut que les granulats (qui englobent les deux) constituent les matériaux les plus exploités sur la planète. En 2010, leur consommation annuelle mondiale, tous usages confondus, était estimée à 40 gigatonnes. En 2017, la seule production de béton en a nécessité 30 gigatonnes. Une quantité qui pourrait atteindre les 50 gigatonnes par an en 2030 - des chiffres qui dépassent largement les apports naturels par les fleuves. Étant donné la demande croissante en sable et les conséquences de son exploitation, ce rythme apparaît insoutenable. Comme pour l'énergie, la sobriété et l'efficacité feront partie de la solution. Le rapport de l'ONU propose notamment de réduire la consommation du sable par l'emploi des matériaux alternatifs, la densification urbaine, ou encore l'investissement dans la rénovation et l'entretien du bâti existant - plutôt que dans la démolition et la reconstruction. Il préconise également de miser sur le recyclage et l'innovation pour limiter les extractions en milieu naturel. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation

Factures : de nouvelles mentions obligatoires

À partir du 1er octobre 2019, de nouvelles mentions devront obligatoirement figurer sur les factures. L'adresse de facturation si elle est différente de celle de livraison et le numéro du bon de commande s'il a été préalablement émis par l'acheteur. Jusqu'à présent, les obligations concernant la forme d'une facture était qu'elle soit rédigée en langue française, établie en deux exemplaires, dont l'original pour le client et qu'elle comporte un certain nombre d'indications : la date de facturation, le numéro de facture, date de vente ou de la prestation de service, l'identité du vendeur et de l'acheteur, le numéro de bon de commande, le numéro d'identification à la TVA... >> Lire l'article complet sur le site de Economie Matin

Commande publique

Travaux publics: les retards de paiement de SNCF Réseau devraient diminuer

Les usagers ne sont pas les seuls à se plaindre des chantiers de SNCF Réseau, les entreprises de travaux publics aussi. En cause : les délais de paiement, qui constituent un sujet de crises régulières pour ses 300 fournisseurs de travaux, dont 90% de PME. Toute la sphère publique paie à retardement, mais dans le cas de la SNCF, le problème est exacerbé par son poids. Elle pèse lourd chez les entreprises intervenant sur les ouvrages d'art (tunnels et ponts) et représente plus de 80% de l'activité des entreprises de travaux ferroviaires (remplacement de rails, ballast etc.). Sur un chantier récent, "six mois après la fin des travaux, nous n'étions toujours pas payés. Sans les autres activités de notre maison-mère, nous serions morts", témoigne le patron d'une PME de travaux ferroviaires. Du côté des entreprises d'ouvrages d'art, une pluie de doléances s'est abattue sur le président de la fédération nationale des travaux publics Bruno Cavagné en juin, à l'assemblée générale du syndicat des entreprises de renforcement des structures, le Strres. Le mécanisme exposé par les professionnels à cette occasion révèle les limites de la loi. Elle impose de payer une facture sous deux mois. Mais impossible d'éditer la facture tant que la SNCF n'a pas validé le décompte mensuel des travaux. Or "ils prennent leur temps, font des remarques le 29e jour...", s'est plaint un participant. "Leur spécialité n'est pas de payer en retard des factures de travaux validés, c'est de faire en sorte qu'on ne puisse pas les présenter", a renchéri un autre. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Pas de droit à paiement direct pour un simple fournisseur de l'entrepreneur principal

Seuls les marchés s'analysant comme des contrats d'entreprise peuvent être partiellement sous-traités au moyen de contrats, qui doivent eux-mêmes présenter une obligation de faire, traduisant une réelle participation du sous-traitant à l'exécution du marché public. À l'inverse, les prestations relevant de simples fournitures ne peuvent être confiées aux fournisseurs en sous-traitance. Ainsi, un contrat de vente, pour lequel le fournisseur est chargé seulement de la livraison, n'a pas droit au dispositif protecteur du droit à paiement direct des sommes qui lui sont dues. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Supply chain

Quand Renault réinvente sa supply chain

La particularité de la supply chain de Renault était de compter de nombreux de managers. Des chefs de service, des chefs d'équipe, des managers au sein d'équipes de seulement quelques personnes... "Un ratio rameurs/barreurs assez bas" qui ne favorise pas la délégation. Sébastien Samuel, en charge du contrôle de la production des véhicules au sein de la chaîne logistique de Renault, a eu pour mission de transformer le cycle de programmation pour le rendre plus agile, plus transparent, plus collaboratif.

Le collaboratif a constitué la genèse de cette transformation puisque, plutôt que de proposer un plan, il a demandé à ses collaborateurs de lui faire des propositions d'organisations participatives, plus responsabilisantes pour les équipes, et qui apportent du plaisir au travail. La construction de la proposition s'est donc faite en même temps que celle de l'adhésion, en s'appuyant sur des enquêtes qui avaient été menées sur le climat social de l'entreprise et des interviews ad-hoc réalisées par la "tribu" en charge de faire les propositions. La mise en oeuvre de cette nouvelle gouvernance concerne 50 personnes en France et 40 en Roumanie où Renault a implanté un centre de service partagé. Les cercles sont de fait transnationaux. Une table des lois a été rédigée, les rôles et redevabilités déterminés, et si le dispositif comprend un certain nombre de "rituels holacratiques" comme les réunions de triage, il s'en distingue par certains points : pas de signature de constitution et pas de premiers liens dans les cercles, uniquement des seconds. Sébastien Samuel est persuadé que dans son service, le premier lien fera courir le risque de retomber dans le piège hiérarchique, incitant le collaborateur à attendre que quelqu'un d'autre prenne la décision à sa place. >> Lire l'article complet sur le site de Forbes

Compétitivité de la chaîne logistique française : des propositions bien accueillies

Lundi 16 septembre, à l'occasion de la visite d'Edouard Philippe dans les entrepôts d'ID Logistics à Aulnay-Sous-Bois, Eric Hémar, PDG du groupe et Président de l'Union TLF, et Patrick Daher, PDG du groupe Daher, ont remis leur rapport pour promouvoir une chaîne logistique plus compétitive. Ce rapport, qui s'inscrit dans le cadre de la mission ministérielle de février sur la compétitivité de la chaîne logistique française, propose des mesures concrètes pour rajeunir la filière. A en croire le discours du Premier Ministre notamment sur la gouvernance commune privé/public, le mot est passé. C'est une bonne chose car la filière contribue largement à l'économie du pays avec 10% du PIB national et 1.8 millions d'emplois répartis sur le territoire. Malgré cela, face à nos voisins européens, le secteur de la logistique n'est pas assez compétitif. Les chiffres du dernier classement 2018 de la Banque mondiale parlent d'eux-même. L'Allemagne est numéro 1, Pays-Bas 2e, Belgique 4e et la France seulement 16e ! (...) La profession salue les 6 mesures annoncées pour redresser la filière : 1/ Un point de contact unique aux frontières ; 2/ La simplification des implantations logistiques ; 3/ Une plateforme numérique ouverte à tous les acteurs ; 4/ Un benchmark européen sur la règlementation ; 5/ Une révision de la fiscalité des entrepôts logistiques ; 6/ L'accompagnement des transformations de l'emploi et des compétences. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo


Travel

Les cours du pétrole vont peser sur les déplacements professionnels

Le cours du brut impacte directement les revenus des compagnies aériennes et cette hausse de près de 10% est tout sauf un bon signe pour les transporteurs pour lesquels le carburant représente 20 à 25% des coûts. Certes, les compagnies européennes se protègent sur les variations de cours (carburant et devises) en faisant des achats à long terme, mais la tendance à la hausse de l'or noir donne un signal clairement négatif. Les bourses sanctionnent déjà les compagnies aériennes dont les cours affichent des baisses de 2 à 4%. (...) D'après plusieurs experts, les cours du brut devraient être impactés à court voir moyen terme. De son côté, le carburéacteur (JET-A1) dont le prix est généralement corrélé à celui du baril devrait logiquement suivre l'évolution de l'or noir. Même si les compagnies européennes se protègent, il est fort à parier que les acheteurs et les travel managers verront revenir le spectre de la hausse de la YQ communément appelée surcharge carburant. Il faut dire que l'opportunité de se faire du cash en révision de jours sombres est tentante... >> Lire l'article complet sur DéplacementsPros

Faut-il avoir honte de voler ?

De fait, les arguments scientifiques semblent imparables. Pour comparer l'impact climatique des différents modes de transport, les chiffres les plus utilisés sont ceux des émissions de CO2 par voyageur au kilomètre. Or, sur ce plan, l'avion ressort largement en tête du classement des modes les plus polluants. Pour un trajet Paris-Marseille, selon l'Ademe (l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), le voyageur en avion aura le même impact que la voiture individuelle, et polluera 25 fois plus qu'en prenant le TGV. Si l'on tient compte du temps, la différence est encore plus grande, car l'avion est évidemment bien plus rapide : en rapportant la pollution à l'heure passée, l'avion est même 1 500 fois plus émetteur de CO2 que le train ! Ces chiffres sont d'autant plus inquiétants que le trafic aérien devrait connaître une croissance importante dans les prochaines années, avec un doublement prévu d'ici à 2037... Et que pour l'instant, les solutions techniques pour un avion volant à l'énergie solaire ou renouvelable ne sont guère satisfaisantes. >> Lire l'article complet La Croix


Fleet management / Mobilité

Des salaires en hausse pour les gestionnaires de flotte

Comme le précise flotauto.com, selon l'étude de rémunération 2019-2020 du cabinet de recrutement Michael Page, le gestionnaire de flotte débutant a perçu entre 28 000 et 32 000 euros bruts par an en 2019. Au bout de cinq ans d'expérience, cette rémunération s'élève de 34 000 à 38 000 euros bruts. Pour gagner plus, les gestionnaires de flotte devront grimper dans l'organigramme et devenir responsable de flotte, avec des salaires de l'ordre de 45 000 euros bruts par an après cinq ans d'expérience ; ou bien opter pour des fonctions de direction du facility management, poste le plus élevé de la fonction. À ce niveau, après cinq à quinze ans d'expérience, les salaires avoisinent les 80 000-100 000 euros bruts par an. Comme le signale l'étude 2019-2020 de Michael Page, tous ces salaires sont des rémunérations franciliennes ; dans les autres régions, les salaires sont 11 % moins élevés (estimation de l'Apec). >> Lire l'article complet sur le site de DéplacementsPros

La nouvelle homologation WLTP pourrait être encore repoussée en France

Des indiscrétions nous rapportent que la nouvelle homologation WLTP, repoussée d'une année et prévue pour entrer en vigueur le 1er janvier 2020, pourrait encore être repoussée même si aucune décision officielle n'a été prise pour l'instant. Rappellons que la norme WLTP des homologations en conditions réelles de conduite remplace l'ancienne norme en laboratoire NEDC dans l'ensemble de l'Europe. Si l'homologation WLTP est en vigueur dans l'ensemble des pays européens, son application en France a pris du retard en raison d'une spécificité : le lien fiscal à la quantité de CO2 rejeté par véhicule.

La mise en oeuvre du protocole d'homologation WLTP nécessite de pouvoir immatriculer les véhicules sur la base de leur certificat de conformité électronique (eCoC). Ce changement de pratique nécessite des modifications du système d'immatriculation des véhicules (SIV). La première année de décalage concernait la mise en place de ce nouveau logiciel, qui doit délivrer un taux de rejet de CO2 adapté à chaque véhicule en fonction des différentes options et finitions choisies par le client. Or, il semblerait que ce nouveau logiciel ne soit pas encore prêt à un peu plus de trois mois de l'échéance. >> Lire l'article complet sur le site de Auto Infos

Transports: Le projet de loi mobilités adopté en nouvelle lecture à l'Assemblée nationale

A l'issue des débats, Jean-Marie Sermier (LR) a globalement déploré "un rendez-vous manqué", estimant que les discussions n'avaient " finalement rien changé ". Les LR, qui s'étaient majoritairement abstenus en juin, ont cette fois très majoritairement voté contre.Egalement contre, les Insoumis ont dénoncé un texte "vert pâle", "loin d'être à la hauteur de l'urgence écologique", tandis que le PCF a ironisé sur le fait que le gouvernement avait "changé de visage" entre les deux lectures, mais pas le texte, pas "à la hauteur des enjeux". Les élus socialistes ont dit rester "sur leur faim" et se sont en majorité abstenus, comme Libertés et Territoires. Pour les élus UDI et indépendants, Sophie Auconie a estimé que le texte aurait pu être "beaucoup plus ambitieux", mais salué des points positifs, tels "des mobilités plus propres, grâce au vélo" ou "l'encadrement des mobilités connectées. >> Lire l'article complet sur le site de 20minutes


Environnement de travail

Au secours, air trop sec et pollué dans les bureaux

L'air de nos environnements de travail serait trop sec ou pollué. C'est le constat que fait Attentia, spécialiste RH, après avoir sondé des employés utilisateurs d'écrans. Selon les auto-évaluations, un individu sur trois se plaint d'un air trop sec ou pollué au travail. Côté luminosité, 13,3% des sondés estiment que leurs bureaux sont trop lumineux. Au contraire, 5,9% les jugent trop sombres. (...) Au-delà du ressenti, un environnement de travail intérieur qui se révèle inadapté est source de désagrément physiques et mentaux. Les personnes travaillant sur écran dans un bureau indiquent qu'elles souffrent régulièrement (au moins une fois par semaine) de maux de tête ou de légers vertiges (33,7%). 32,2% ressentent une fatigue, des picotements ou des larmoiements au niveau oculaire ou à l'issue de leur journée de travail. Sur le plan mental, un peu plus de la moitié des personnes interrogées signalent une perte de concentration. >> Lire l'article complet sur le site de Workplace Magazine


 
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