Revue de presse achats - semaine du 8 février
Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser :
Je m'abonneRenault et PSA frappés à leur tour par la pénurie mondiale de semi-conducteurs
Ces dernières années, la généralisation des aides à la conduite (Adas) et l'essor des motorisations électriques ont considérablement accru les besoins du secteur en semi-conducteurs. Les fournisseurs arrivaient jusqu'à présent à suivre, mais la forte hausse de la demande de produits d'électronique grand public du fait de la pandémie, ainsi que le lancement de la 5G dans la téléphonie, ont changé la donne, et mis en lumière la fragilité de la chaîne d'approvisionnement. Les producteurs de semi-conducteurs ont recours à des "fondeurs" qui leur fournissent des circuits intégrés. L'un d'eux, le taïwanais TSMC , est à l'origine de 70 % des circuits intégrés de petite taille (MCU) utilisés dans l'automobile (du châssis au moteur en passant par les portes) ... mais n'en tire que 3 % de son chiffre d'affaires, selon IHS. Quand affluent les commandes plus importantes et mieux rémunérées (les constructeurs reconnaissent eux-mêmes qu'ils serrent les prix), la fourniture du secteur auto passe au second plan. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Quel est l'état de la relation client-fournisseur en ce début 2021 ?
77% des entreprises estiment que leurs clients respectent les "quantités déjà commandées" ainsi que les "prévisions de commandes". 2 secteurs sont cependant moins respectueux de leurs engagements : aéronautique et la défense - Les engagements sur "les délais de paiement" et les "prix d'achats" restent à un niveau élevé avec 93% des entreprises qui estiment que leurs clients respectent les prix d'achats et 90% voient leurs délais de paiement respectés. - Pour 86% des entreprises, la relation avec leurs clients est restée inchangée. (...) Pour 2 entreprises sur 3, il est nécessaire de faire de l'innovation collaborative, développer l'innovation avec leurs clients pour pérenniser leur activité - 79% pensent qu'il est indispensable de diversifier leurs différents marchés face à 62% qui préfèrent lancer de nouveaux produits sur leurs marchés habituels - Et 1 entreprise sur 2 trouvent nécessaire d'accélérer la digitalisation des entreprises pour la suite de leur activité. >> Lire ce sujet sur le site de Peak Purchasing
La flambée des prix de l'acier fait des étincelles chez les industriels
Les industriels de la conserve, ou encore ceux du bâtiment, se sont eux aussi alarmés des hausses de prix ou de l'allongement des délais observés dans l'acier ou l'aluminium. Tout comme les producteurs de produits de bricolage et d'aménagement du logement. "La demande étant très forte, le prix des matériaux flambe. Pour les métaux, cela va de 30 % à 100 %, le pire étant l'acier : la tôle d'acier galvanisée par exemple, qui sert à faire les rails utilisés dans le bâtiment, a vu son prix bondir de 100 % depuis novembre", observe Jean-Luc Guéry, le président d'Inoha, l'association qui les représente. Dans la filière automobile, chez les constructeurs comme chez les sous-traitants, on commence également à regarder le sujet de près. "C'est assez étonnant, pour un secteur censé être en surcapacité... ", souffle un industriel. Ces tensions sont clairement liées à la pandémie. Tout un pan de l'industrie européenne s'est mis à l'arrêt pendant plusieurs semaines au printemps dernier, entraînant une chute de la demande d'acier . >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Le mechanism design ou comment accroître la collaboration et l'innovation en entreprise
Le mechanism design est issu de la science économique, et plus particulièrement de la théorie des jeux. L'entreprise y est envisagée comme un terrain de jeu, où des résultats souhaités sont à atteindre, comme l'équité, la définition d'un prix optimal ou encore, une répartition plus efficace des tâches. >> Lire l'article complet sur le site de HBR
Commande publique
Masques et appels d'offres : les contradictions de l'État face au "Made in France"
Les derniers marchés publics de commande de masques en 2020 ont été octroyés à des entreprises françaises, se fournissant au Vietnam, en Chine et en Tunisie. (...) Fin 2020, 60 millions de masques textiles, commandés par Bercy à travers un appel d'offres pour équiper des agents de la fonction publique, dont des gendarmes et des enseignants, ont dû être retirés du marché. Selon nos informations, ces masques avaient été fabriqués dans les usines de la marque Dim au Vietnam et achetés 3 euros pièce par le ministère de l'Économie. "Ces masques lavables grand public contenaient un métal lourd, suspecté d'être toxique", explique un proche du dossier au Figaro. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Il faut oser les variantes dans les marchés publics
Il s'agit donc d'une offre alternative au moins aussi performante que la solution décrite initialement par l'acheteur et qui s'y substitue dès lors qu'elle est retenue. La Direction des achats de l'État met à disposition un guide* pour inviter les acheteurs à inscrire les variantes dans une stratégie déterminée en amont de la procédure avec l'ensemble des acteurs de l'achat. Le cadre méthodologique proposé, qui facilite et sécurise la démarche, est complété par des outils opérationnels. L'ouverture des consultations aux variantes présente de nombreux avantages. Pour les opérateurs économiques, elles représentent une fenêtre d'initiative pour participer à la définition des caractéristiques techniques, environnementales, sociales, financières ou administratives du marché public. Pour l'acheteur, elles stimulent le tissu économique, et particulièrement les petites et moyennes entreprises, afin de bénéficier des meilleures pratiques du secteur dès leur développement et ainsi ne pas recourir systématiquement à des solutions éprouvées. >> Lire l'article complet sur le site de Weka
Marchés publics, notes de frais, comptabilité : enquête anti-corruption au sein de l'école bruxelloise de police et de Brusafe
En ligne de mire, des dépenses conclues pour le compte de Brusafe. Brusafe, c'est l'école régionale des métiers de la sécurité et de la prévention. Elle a été créée dans le but de regrouper en une seule entité l'ERIP mais aussi l'Institut de Formation en Aide Médicale Urgente (IFAMU), le Centre de Formation des Pompiers de Bruxelles (CFPB) et l'École Régionale d'Administration Publique (ERAP). Une super-école et un grand projet salué unanimement. (...) Brusafe n'avait jusqu'à la fin de l'année dernière aucune existence juridique. Brusafe s'appuyait sur l'ERIP pour engager et payer son personnel, effectuer ses achats de matériel et passer des marchés publics. Concrètement, la Région verse en plusieurs tranches 25 millions de subsides sur le compte de l'ERIP à destination de Brusafe. Et c'est l'ERIP qui doit signer les factures et les contrats passés par Brusafe, sans possibilité de contrôler les dépenses, ni de les refuser. De quoi entretenir le flou. >> Lire l'article complet sur le site de Rtbe.be
Soutien de certaines cantines scolaires
Le plan France Relance de 100 milliards d'euros, présenté par le gouvernement le 3 septembre 2020, comporte un volet d'1,2 milliards d'euros en faveur de l'agriculture, de l'alimentation et de la forêt, articulé autour des trois priorités suivantes : - renforcer la souveraineté alimentaire ;- accélérer la transition agroécologique pour donner accès à tous les Français à une alimentation saine, durable et locale ; - adapter l'agriculture et la forêt au changement climatique. L'axe transition agroécologique comporte un soutien à certaines cantines scolaires, à hauteur de 50 M€ (dont 3,75 M € pour l'outre-mer). Ce soutien vise à aider des petites communes à investir pour la mise en place des mesures issues de la loi n° 2018-938 du 30 octobre 2018 pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, dite "loi EGAlim", dans leur service de restauration scolaire. >> Voir ce sujet sur le site de l'ASP
La théorie de l'imprévision s'applique aux marchés publics, même sans texte
Le ministère précise que l'article dont il s'agit renforce le droit à indemnité du titulaire, nonobstant toute clause contractuelle moins favorable, en cas de modification unilatérale pour motif d'intérêt général fondée sur des circonstances imprévues qu'une autorité concédante diligente ne pouvait prévoir. Il justifie l'attention particulière appliquée aux contrats de concession par la situation spécifique des concessionnaires qui, assumant le risque lié à l'exploitation de l'ouvrage ou du service, subissent de manière plus directe l'arrêt, ou les fortes baisses, d'exploitation lié à l'épidémie de Covid-19. Mais il rappelle dans le même temps que l'ordonnance n'a pour effet d'empêcher l'application de la règle jurisprudentielle précitée dans les cas qu'elle ne prévoit pas. Cette jurisprudence continue donc de s'appliquer, sans qu'il soit besoin de l'autoriser dans un texte législatif ou réglementaire spécial. >> Lire l'article complet sur le site de Weka
RSE
Un nouvel instrument financier pour inciter les entreprises à être plus vertueuses
En se soumettant à la menace d'une pénalité pouvant éclabousser leur image, les entreprises sont justement incitées à se mettre au service d'autres parties prenantes que celui de leurs seuls actionnaires. Dans la plupart des cas, les buts à atteindre sont même très exigeants. C'est le cas avec l'obligation émise en novembre de cette année par Schneider Electric. L'objectif est de faire passer la notation de l'entreprise concernant certains indicateurs clés d'une note actuelle de 3/10 à une note de 9/10. Il s'agit d'une amélioration considérable que la société s'engage à réaliser. En particulier, Schneider se propose d'ici cinq ans de pratiquement tripler la réduction d'émissions de CO2 liés à l'utilisation de ses produits et de former quatre fois plus de ménages défavorisés à la baisse de leur facture énergétique. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation
Supply chain
Chep, Nestlé Waters France et Combronde engagés dans une démarche vertueuse
Un trio d'acteurs pour une collaboration écologique. Le fournisseur de supports logistiques Chep, la plateforme logistique Combronde qui développe des solutions de report modal et Nestlé Waters France se sont associés pour revoir leurs process logistiques et mettre en place une double boucle ferroviaire et routière, en circuit quasi fermé et totalement intégré. Une démarche tri-partite menée durant la crise sanitaire et opérationnelle depuis juillet 2020. (...) "La mutualisation des flux de transport entre Chep et Nestlé Waters avec le soutien technique de la plateforme de Combronde est une collaboration supplémentaire illustrant de façon concrète la volonté de Nestlé Waters de minimiser l'impact des flux logistiques sur l'environnement. [...] Cette solution vertueuse dont le modèle sera inévitablement dupliqué, permet de redynamiser le fret ferroviaire mais aussi la transition énergétique routière pour les derniers kilomètres", commente Jean-François Lagane, railway logistics manager chez Nestlé Waters France. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog
Importateurs et transitaires au bord du krach maritime
Le surcoût des stocks, évalué dans ce cas précis de 5 à 7 M€, entraîne une tension extrême sur la trésorerie des entreprises. Une partie étant assumée par les transitaires contraints de payer les armateurs au comptant. Au même moment, un autre industriel de la région parisienne habitué à recevoir sa marchandise en six semaines fulmine car les délais grimpent à 22 semaines. La grande distribution française infligerait même des amendes aux importateurs retardataires. Au coeur du typhon, les compagnies maritimes qui, selon nos sources, "gagneraient en dix jours ce qu'elles gagnent en une année...". Leurs surcharges dépassant parfois le prix du fret. La responsable transport du groupe de sous-vêtements masculin Eminence se dit être l'otage de ce système. >> Lire l'article complet sur Actu Transport Logistique
Fret maritime : les compagnies accusées de pratiquer des taux abusifs
A l'approche du nouvel an chinois les coûts de transport des marchandises conteneurisées au départ d'Asie atteignent même de nouveaux records : près de 10 000 USD pour un 40' sur la liaison Shanghaï - Le Havre ! Début janvier 2021, les chargeurs et commissionnaires de transport européens ont fait part de leur colère à la Commission européenne : le CLECAT et l'ESC se plaignent entre autres de "la violation des contrats existants, de l'établissement de conditions déraisonnables concernant l'acceptation des réservations et la fixation unilatérale de tarifs bien supérieurs à ceux convenus dans les contrats...". Ils demandent des mesures à l'échelle européenne afin d'endiguer ces pratiques aux conséquences désastreuses pour les opérateurs du commerce international qui subissent ces hausses de plein fouet sans autre choix que de les accepter. >> Lire l'article complet sur le site de Acte International
Logistique des vaccins anti-Covid : une complexité particulière
Les trois principaux vaccins utilisés depuis quelques semaines aux États-Unis, en Europe et au Royaume-Uni, c'est-à-dire ceux de Pfizer/BioNTech, Moderna et Oxford/AstraZeneca, devraient représenter une capacité de production de 5,3 milliards de doses pour 2021. Si tous les vaccins actuellement en test de phase 3 étaient approuvés, ce chiffre pourrait passer à 10 milliards de doses. Mais les fourchettes évoquées sont parfois très larges. En l'état actuel des choses, les quantités à acheminer restent donc difficiles à évaluer avec précision, tout comme les dates de disponibilité des produits. >> Lire l'article complet sur Upply
Résilience de la chaîne d'approvisionnement : la prochaine norme ?
Globalement, la crise provoquée par la Covid agit comme un accélérateur des tendances passées, qui ferait de 2021 une année de transition permettant de préparer le futur plutôt que d'affronter les urgences de l'instant... Souhait partagé malgré son optimisme affiché ! Du point de vue des flux aval, la demande en mass consumers goods (produits & services) demeure le levier majeur de croissance en confirmant le découplage entre zones économiques : expansion de la consommation de masse dans les "pays jeunes et/ou optimistes" (Chine, Inde, Indonésie...) ; chute et atonie de la consommation dans les pays "vieux et pessimistes" (Europe, Japon). >> Lire ce sujet sur le site de Peak Purchasing
Le Décret tertiaire change la donne dans l'immobilier logistique
Son cadre législatif précisé, le Décret tertiaire entre dans sa phase opérationnelle en 2021. Les bâtiments logistiques sont concernés par ses obligations de réduction de consommation d'énergie. En particulier, les données de performance énergétique 2020 des entrepôts devront être saisies en ligne avant fin septembre. Selon EOL et Systenza, la mise en oeuvre du nouveau dispositif doit être clarifiée dès la prise à bail entre les propriétaires et locataires d'entrepôts. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique
Leroy Merlin s'appuie sur ID Logistics pour le nord parisien
Depuis le 11 janvier, c'est au départ d'un nouvel entrepôt ID Logistics à Nanteuil-le-Haudouin, dans l'Oise, que sont approvisionnés les 17 magasins Leroy Merlin alentour, dans un rayon de 200 km. Le 3PL a pris à bail cette plateforme de 42 000 m² située à 50 km de Paris, et monté en seulement 3 mois une prestation sur mesure qui mobilise 80 collaborateurs. Le calendrier était serré car cette ouverture s'inscrit à la fois dans la volonté du spécialiste de "l'amélioration de l'habitat" de renforcer son maillage d'entrepôts régionaux, mais aussi dans la nécessité de répondre à son surcroît d'activité très significatif sur fond de crise sanitaire. >> Lire l'article complet sur le site de SupplyChain Magazine
Le Groupe Sterne est prêt pour le Brexit
Le trafic à travers la Manche représente aujourd'hui 10 000 camions par jour et 4,2 millions camions par an pour ce qui est de la partie transport. 60 % des tonnages échangés entre l'Union européenne et le Royaume-Uni passent par les infrastructures françaises. L'accord trouvé sur le Brexit, et la remise en place de conditions douanières impliquent de facto des retards dans la distribution de marchandises. Les spécialistes anticipent des retards pouvant aller de 1 à 5 jours. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo
GBTA : les dossiers chauds du voyage d'affaires à Bruxelles
Une meilleure coordination entre États devrait en outre fixer des seuils communs permettant ou non de lever les restrictions pour les déplacements aux frontières extérieures. Parmi les autres étapes négociées à Bruxelles : un futur programme cadre pour la santé baptisé EU4Health, ainsi qu'un Formulaire de Localisation du Passager pour échanger des données au niveau européen. Autre thème abordé : l'après-Brexit. Parmi les nouvelles règles s'appliquant aux Européens, on notera l'obligation pour entrer au Royaume-Uni de présenter un passeport (valable encore au moins 6 mois), une assurance maladie obligatoire, un visa pour les séjours longs, l'interdiction d'exporter certains produits alimentaires... Côté téléphone et internet, les opérateurs n'ont pas pour l'instant rétabli de frais d'itinérance (ou roaming), même si le Royaume-Uni n'est plus lié au règlement européen les ayant supprimé à l'intérieur de l'UE. >> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros
Environnement de travail
Pourquoi la visioconférence met-elle notre cerveau K.-O. (et comment riposter) ?
Le phénomène de "Zoom fatigue", un sentiment d'épuisement face à l'accumulation de ces réunions virtuelles. Car outre la fatigue visuelle, liée à la fixation prolongée d'un écran, la visioconférence est surtout génératrice de fatigue mentale, explique à franceinfo Nawal Abboub, docteure en sciences cognitives. Et pour cause : une discussion vidéo exige beaucoup plus de concentration qu'un échange en face à face. Mais comment l'expliquer ? D'abord, par la difficulté de s'appuyer sur le langage corporel des interlocuteurs. Lorsqu'on est en présence de quelqu'un, un hochement de tête lui indique par exemple que nous l'écoutons. La posture et les gestes peuvent quant à eux traduire notre envie de prendre la parole. Autant de signes non verbaux, souvent inconscients, qui "facilitent la compréhension claire des messages et des intentions lors d'une interaction", mais moins nombreux en visioconférence, analyse pour franceinfo Marie Lacroix, docteure en neurosciences. Difficile en effet de discerner les gestes d'une personne en appel vidéo si sa caméra est cadrée au niveau des épaules. "Et puis, pour éviter les bruits parasites, on a tendance à couper son micro quand n'a pas la parole, ajoute Marie Lacroix. Alors on détecte encore moins de signaux." >> Lire l'article complet sur le site de France TVInfo
Unibail ne déménagera pas à La Défense pour éviter de "distraire" ses équipes
URW conserve son siège parisien dans le 16e arrondissement. L'idée est de ne pas "distraire" les équipes par un déménagement alors qu'elles doivent déjà s'adapter à un changement de direction et à la mise en place d'une nouvelle organisation . En outre, des réflexions sont en cours chez Unibail-Rodamco-Westfield, comme dans de nombreuses autres entreprises, sur le télétravail et l'adoption d'un système de bureaux partagés (ou "flex-office"). Les besoins réels en mètres carrés pour les années à venir restent à affiner. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
IT
Les laboratoires pharmaceutiques n'échappent pas aux cyberattaques
Ce sont donc les entreprises chargées de stocker et d'acheminer les vaccins contre la Covid-19 qui sont ciblées en priorité. Mais c'est surtout la chaîne du froid, nécessaire à certains produits pharmaceutiques pour qu'ils puissent conserver leur opérabilité, qui intéresse les pirates. Ainsi, l'ensemble du secteur est à la merci des ravisseurs informatiques, ce qui fait du vaccin un véritable enjeu se sécurité nationale. À ce titre, l'ANSSI, alerte, dans un récent communiqué que "le ciblage du système de santé dans son ensemble et des chaînes d'approvisionnement représente aujourd'hui une menace majeure. De telles cyberattaques pourraient effectivement avoir des effets critiques sur notre capacité à faire face à la pandémie." >> Lire l'article complet sur le site de RevueConflits
Bugatti Bolide, un véhicule sportif rapide et léger grâce à l'impression 3D
En janvier 2018, la marque française révélait un premier étrier de frein imprimé en 3D métal, en titane plus précisément. Cette première dans le secteur de l'automobile avait permis de réduire le poids total de la pièce de 2 kilos, soit une baisse de 40%. Un an plus tard, Bugatti renouvelle sa confiance dans les technologies d'impression 3D en misant sur le procédé de SLM Solutions pour construire un support d'aileron mais aussi un support de moteur. Henrik Hoppe, étudiant en doctorat chez Bugatti, explique : "Grâce au processus connu sous le nom de fusion sélective laser, communément appelé impression 3D, il est possible de produire de nouveaux composants creux et ultra complexes, rigidifiés de l'intérieur, qui sont très légers tout en étant extrêmement rigides et résistants. Nous utilisons ces avantages pour un nombre croissant de composants dans nos voitures hyper sportives." >> Lire l'article complet sur le site de 3DNatives
SAP décroche un contrat de 133 millions avec la Confédération pour les RH et les achats
L'administration fédérale suisse a conclu un contrat-cadre avec SAP Suisse. Sur une période de dix ans, l'éditeur d'ERP recevra quelque 133 millions de francs de la Confédération, notamment pour fournir des services cloud dans les domaines des ressources humaines et des achats. Ces services sont liés techniquement aux systèmes SAP pour les opérations de paiement et la logistique employés depuis 20 ans déjà dans l'administration fédérale. >> Lire l'article complet sur le site de ICT Journal
Fleet management
Véhicule hybride rechargeable : atout ou frein dans la décarbonation routière ?
Les émissions homologuées (à travers les cycles NEDC ou WLTP) ne reflètent absolument pas les émissions réelles. Selon une étude récente de ICCT & Fraunhofer Institute, les émissions réelles d'un véhicule hybride rechargeable sont 2 à 4 fois supérieures à celles certifiées! De plus, les véhicules hybrides sont intrinsèquement plus lourds (et plus coûteux) que leurs homologues thermiques, car ils contiennent deux motorisations (thermique et électrique). Or, tout poids embarqué supplémentaire implique une consommation d'énergie additionnelle, et donc une perte d'efficacité énergétique à usage égal. Il en ressort que rouler essentiellement en mode thermique sur un véhicule hybride rechargeable conduit à des émissions supérieures au modèle thermique équivalent, comme cela est démontré par l'ONG Transport & Environment. Il faut donc avantager les véhicules les plus légers possibles, comme nous l'expliquions dans un précédent article. >> Lire l'article complet sur le site de Carbone4
La recharge en entreprise réclamée par plus de la moitié des conducteurs
Malgré la généralisation du télétravail découlant de la pandémie de Covid-19, les résultats du baromètre EVBox Acte III mettent en avant l'attrait des conducteurs de VE pour la recharge en entreprise, et notamment aux Pays-Bas où ils sont 56 % à profiter d'un passage au bureau pour refaire leur plein électrique. Les Français ne sont également pas en reste avec 47 %, devant leurs voisins belges (45 %) et britanniques (43 %). Des chiffres au-dessus de la moyenne européenne, établie à 40 %, sous la barre de laquelle se placent ceux enregistrés en Allemagne (38 %) et en Norvège (27 %). >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise
La hausse du coût des réparations de voitures donne du fil à retordre aux assureurs
L'arrivée de nouveaux véhicules sur le marché, truffés d'écrans et de capteurs en tous genres est souvent présentée par les observateurs comme un facteur déterminant dans l'augmentation du coût des réparations. (...) Qui dit pièces sophistiquées dit aussi installation potentiellement plus complexe à réaliser, main-d'oeuvre plus qualifiée et donc davantage rémunérée. En tous les cas, le prix de la main-d'oeuvre des réparations de carrosserie a aussi augmenté l'an dernier, de 3,2 % sur un an, selon SRA. A cela, il faut aussi ajouter le prix de la peinture. L'inflation du prix des réparations n'est pas un phénomène nouveau. Elle est régulièrement invoquée par les assureurs, avec le coût des indemnisations des dommages corporels , pour expliquer les augmentations régulières de prix. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Automobile : la révolution du logiciel bouscule le quotidien des constructeurs
"(...) le logiciel va capter une part croissante de la valeur dans l'automobile", souligne Eric Kirstetter, associé chez Roland Berger. La voiture de demain, électrique et connectée, sera bourrée d'électronique : selon une étude réalisée par le cabinet, le coût des semi-conducteurs, qui représente 16 % du total dans une voiture à diesel ou essence, monte à 35 % dans une voiture électrique. Et cela devrait grimper encore dans les années à venir. Une révolution à laquelle les constructeurs ne sont pas encore bien préparés, comme en témoigne la pénurie de composants électroniques qui paralyse certaines usines d'assemblage en ce moment. "Il y a déjà du logiciel partout dans la voiture", explique Eric Espérance, chez Roland Berger. C'est le cas dans des fonctions comme le freinage, l'éclairage, le chauffage, dans le système d'info-divertissement, dans la chaîne de traction et le moteur, ou encore dans les systèmes d'aides à la conduite, qui préfigurent la voiture autonome. Avec le véhicule électrique, la tendance est encore accrue car il faut piloter la batterie, la refroidir... >> Lire l'article complet sur le site des Echos
RH / Carrière / Management
Télétravail : combien les salariés dépensent en plus pour travailler de chez eux
Le chauffage est l'une des dépenses supplémentaires les plus importantes générées par le télétravail, selon l'étude. Sachant que "certains salariés le baissent, parfois fortement, en allant travailler." Il varie selon la surface de l'habitation et le type d'énergie utilisé, mais oscille entre 22 euros par mois (50 m2 chauffé au gaz) et 54 euros par mois (150 m2 chauffé à l'électrique). Les repas, quand ils ne sont pas pris en charge par l'employeur, reviennent en moyenne à 99 euros par mois aux télétravailleurs (4,95 euros par jour). ConvictionsRH ne prend pas en compte dans son étude les dépenses liées aux abonnements internet / mobile. "Beaucoup de salariés ont un forfait illimité, qui n'entraîne pas de dépenses supplémentaires", explique le cabinet. Des économies sont possibles, quand les frais de repas sont couverts par des tickets restaurants, et qu'il n'y a plus de frais de transports (essence, pass Navigo). Elles peuvent être importantes, jusqu'à 160 euros par mois. Au final, les surcoûts engendrés par le télétravail varient fortement: de 13 à 174 euros par mois, selon l'étude. >> Lire l'article complet sur le site Courrier Cadres