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Revue de presse achats (semaine du 27 au 31 août)

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Revue de presse achats (semaine du 27 au 31 août)
© frank peters - Fotolia

La rédaction vous propose une sélection d'articles parus cette semaine sur le Web qui vous intéresseront probablement car ayant trait aux achats privés et publics, à la supply, à la RSE, entre autres, mais aussi aux RH et au management. Bonne lecture!

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La production de la 308 à l'arrêt pour cause de rupture d'approvisionnement en boite de vitesses

L'usine de Valenciennes n'arrive pas à fournir toutes les boites de vitesse manuelles à six rapport, les BVM6. Ces boites à vitesse équipent notamment les 3008, 5008, Opel Grandland X et les 308. Les carnets de commandes des 3008 et 5008 sont pleins. La CFTC dénonce le manque d'anticipation de la direction de PSA. "Connaissant le besoin en boites de vitesse et la capacité de production, il eut été facile de savoir au moins une semaine à l'avance sur quel site et quand nous devrions chômer. Mais non. Dès le retour des congés, les mauvaises habitudes sont revenues. On découvre du jour au lendemain qu'il faut arrêter les chaînes, quitte à perturber la production, le travail des logisticiens (...)" dénonce le syndicat sochalien. Cette annulation de séances de travail représente une perte de plus d'un millier de véhicules. >> Lire l'article complet sur le site de FranceInfo

Centrale d'achats: Dia rejoint Auchan, Casino et Metro

Ce 30 août 2018, la centrale d'achats nouvelle génération Horizon International fondée, en juin 2018, par Auchan Retail, Groupe Casino et Metro, accueille un nouveau partenaire : le groupe international Dia. "Horizon International fédère des acteurs qui partagent une vision nouvelle des relations avec les fournisseurs, qu'il s'agisse, par exemple, de la mise en oeuvre de services pour les grands fournisseurs internationaux s'appuyant sur les implantations géographiques complémentaires de chacun ou de l'accompagnement des PME dans leur développement international. Cette alliance regroupe des acteurs également complémentaires en matière d'activités (distributions multi-format, commerce de gros, livraison)", indique le communiqué de presse. "Avec l'arrivée de DIA, Horizon International gagne en puissance, en diversité et en présence internationale. La plateforme Horizon International s'enrichit ainsi de l'expertise de DIA en matière de hard discount, de ses implantations fortes notamment en Espagne, au Portugal et en Amérique du Sud, et de sa capacité d'achat au service de ses 7 400 points de vente". Ce nouveau partenaire, renforce Horizon International et en fait l'une des plateformes de services mondiale de premier ordre ayant une présence géographique la plus étendue. Les fournisseurs et les clients de plus de 40 pays en Europe, en Asie et en Amérique du Sud profiteront du renforcement de cette coopération. "Le choix de DIA de rejoindre Horizon International, véritable plateforme d'achats nouvelle génération, démontre le bien-fondé de la démarche originelle. Avec DIA, les partenaires historiques intègrent des complémentarités géographiques supplémentaires et démontrent leur volonté d'unir leurs forces pour développer des négociations collaboratives, équilibrées et innovantes, respectueuses de l'intérêt de toutes les parties prenantes, consommateurs comme industriels", conclut le communiqué. La mise en oeuvre de cette coopération est soumise à l'approbation préalable des autorités de concurrence compétentes. >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Verallia soutient Jardin d'Orante dans sa relance de la filière cornichons

Depuis 2016, Le Jardin d'Orante relance la filière du cornichon français. Cette année, onze agriculteurs participent à la troisième récolte de la marque de Reitzel Briand. Il n'était que cinq l'an dernier et seulement deux pour la première récolte en 2016. Engagé dans le "made in France", la promesse de Reitzel est simple : un cornichon semé, récolté, préparé et conditionné dans l'Hexagone avec des ingrédients, mais aussi des emballages français. >> Lire l'article complet sur le site de EmballagesMagazine

Froid : la distribution passe peu à peu aux gaz propres

L'interdiction tombera officiellement en 2020, mais continuer à utiliser aujourd'hui du R404A pour sa production de froid devient déjà compliqué. Ou, plus exactement, la facture s'alourdit... En effet, en 2014, l'Europe a décidé via la réglementation F-Gas d'interdire progressivement l'usage des HFC (hydrofluorocarbures) les plus polluants afin de limiter le réchauffement climatique. Et cet arrêt pro­grammé entraîne une envolée des prix des fluides ! "Le R404A coûtait 92,54 €/kg en janvier 2018 contre 13,72 €/kg en janvier 2017, c'est-à-dire une augmentation de près de 575 %, indique David Bioche, directeur marketing et grands comptes chez Panasonic Chauffage, Climatisation et Réfrigération. Or, pour une grande surface, on est sur des quantités qui tournent autour de 50 à 60 kg. La moindre fuite coûte donc extrêmement cher au magasin." >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Factures impayées : la galère estivale des PME

Le nombre de demandes de médiations liées à un impayé augmente ainsi de 20 % durant la période estivale, constate Pierre Pelouzet, le Médiateur des entreprises, une structure rattachée au ministère de l'Économie. Elle vient en aide aux entreprises rencontrant des difficultés dans une relation commerciale. Que l'économie soit en crise ou se porte comme un charme, cette statistique revient inlassablement chaque été. Et peu importe le secteur d'activité : personne n'échappe à cette loi implacable. Le pire, c'est que la recrudescence estivale n'a pas grand-chose à voir avec une quelconque once de malhonnêteté : on ne devient pas soudainement mauvais payeur au mois d'août. Cette statistique est tout simplement la conséquence de services paie déstabilisés par les congés. Les factures sont tout simplement... oubliées. >> Lire l'article complet sur le site du Journal des entreprises

Startups françaises : de la "gonflette" aux réalités

Dans le même temps, rançon du succès, de plus en plus de jeunes pousses se font achetées. Même si le chiffre doit être pris avec des pincettes, la notion de startup n'étant pas clairement définie, on dénombre 250 rachats de startup par an, dont une cinquantaine implique des groupes étrangers. Selon l'institut Friedland, lorsque l'on resserre l'observation, sur les jeunes entreprises innovantes, 20% seraient revendues à horizon de 5 ans, et dans 50% des cas à des capitaux étrangers. Les jeunes pousses en conviennent : entre le soutien de la BPI, l'abondance des fonds, la prolifération d'incubateurs et d'accélérateurs, le nouvel intérêt des groupes pour les parrainer ou les absorber, le contexte a significativement évolué en 10 ans. Le capital est abondant. Il y'a de la gonflette et peut-être de la bulle. Il n'en reste pas moins, que tout cela traduit une véritable évolution de notre écosystème d'innovation. Le temps, où il s'agissait de faire grossir nos PME, pour les transformer en ETI, par croissance organique, celui du fléchage de l'épargne vers les actions non côtés, pour étoffer nos entreprises en fonds propres, paraît suranné. Le processus d'innovation se financiarise lui aussi. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Les députés veulent taxer les produits trop salés

La commission d'enquête veut mettre fin aux déclarations d'intention, peu efficaces. "Ce qui est sûr, c'est que les engagements volontaires des industriels ne marchent pas", selon Loïc Prud'homme, cité par Le Figaro. Les membres de la commission d'enquête préfèrent taxer les produits trop salés : "Il faut contraindre les fabricants", abonde la députée Michèle Crouzet (LREM). Les parlementaires ont un modèle en tête qui a fait ses preuves : celui de la taxe soda , entrée en vigueur le 1er janvier 2012. Les jus, soupes, laits et soda sont taxés dès qu'on observe du sucré ajouté dans leur composition. Les résultats sont visibles : une enquête de BFMTV cet été a montré que le taux de sucre dans les sodas a baissé drastiquement, les industriels préférant à présent l'utilisation d'édulcorants. La taxe coûte chaque année 520 millions d'euros aux industriels, selon le syndicat Boissons rafraîchissantes de France. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Les prix du sucre déraillent

La baisse mondiale du prix du sucre est essentiellement dûe aux variations de la production. Le prix actuel est ainsi équivalent à celui de l'été 2015. Les aléas climatiques vont continuer à provoquer des variations conjoncturelles des prix. La tendance à la hausse sera par contre structurelle dans la mesure de l'évolution de la consommation mondiale risque d'être supérieure à l'offre. >> Lire l'article complet sur le site d'Atlantico

Quand les enseignes de distribution repensent leurs stratégies prix

Dans une logique de prix encore plus bas nous retrouvons la stratégie discount que nous avions évoquée précédemment. Pour proposer les prix les plus cassés, toute l'organisation est structurée autour de cet objectif. Qualité de service amoindrie, minimum de références pour augmenter le pouvoir de négociation de l'enseigne envers ses fournisseurs... Les entreprises choisissent d'avoir un équipement en magasin minimal, une absence de marques nationales et peu d'opérations (pas de promo) mais certaines démarques très agressives pour pousser encore plus bas l'image prix. >> Lire l'article complet sur le site de Influencia

Travail illégal dans le BTP : vers des sanctions plus lourdes contre les fraudeurs

Parmi les mesures du ministère du Travail, le renforcement des sanctions financières en cas de fraude au détachement assortie de la suspension de la prestation de service, la généralisation de la publication des condamnations pour travail illégal, le renforcement des enquêtes de l'inspection du travail, ou encore l'extension des pouvoirs du préfet pour ordonner la fermeture ou la cessation d'activité... Le mot d'ordre affiché par les autorités, est de continuer à sanctionner, notamment les récidivistes, jusqu'à des peines d'incarcération si besoin est. Car les sanctions pénales contre les personnes physiques pour travail illégal peuvent se matérialiser : par un emprisonnement de 3 ans et une amende de 45 000 euros, l'interdiction de gérer ou exercer, l'exclusion des marchés publics pour 5 ans au plus, la confiscation de ce qui a servi à commettre l'infraction ou qui en est le produit, la publication et l'affichage du jugement ou encore la privation des droits civiques. Au niveau des sanctions administratives, le travail illégal peut entraîner : la fermeture administrative (pour maximum 3 mois) et l'exclusion des contrats administratifs (maximum 6 mois) par le préfet, l'annulation de certaines mesures d'exonération de cotisations, le refus et le remboursement des aides publiques à l'emploi ou à la formation professionnelle, l'impossibilité de soumissionner pour un marché ou un contrat public. >> Lire l'article complet sur le site de Clicanoo

Supply chain

UniCarriers se met au pas de la logistique de Skechers

Situé à Herstal, près de Liège, le centre de distribution européen du fabricant de chaussures américain Skechers, étendu sur 118 000 m², approvisionne l'ensemble du marché européen en chaussures de sport et de loisirs. Pour ce faire, l'entreprise a automatisé de nombreux processus et s'est notamment équipé d'environ 75 matériels de manutention de son partenaire UniCarriers, avec laquelle elle travaille depuis 2002. Une collaboration qui s'est renforcée quand le fabricant de chaussures a multiplié par cinq la surface de son centre de distribution. "Lorsque nous avons inauguré notre centre de distribution, nous avons cherché un fournisseur de matériels fiable, capable de nous assister pour nos activités commerciales en Europe. Nous l'avons trouvé à l'époque avec Atlet et nous maintenons aujourd'hui notre excellente collaboration avec UniCarriers, le successeur de la société", explique Bart Geenen, directeur des opérations EDC chez Skechers. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog


RSE

La responsabilité sociale et environnementale des entreprises prime désormais sur leur vision stratégique

Intégrer cette dimension engagée et responsable pose des éléments de contraintes, de choix et probablement de renoncement à court terme qu'il faut questionner et estimer. La transition est délicate, car elle peut perturber une part de la croissance et produire des vents contraires à court terme. Mais elle est indispensable et offre d'évidence un très beau territoire de convergence, de modernité et de puissance créatrice. Cette transition vers une seule Finance, responsable par nature, ouvre, sans nul doute, un vaste champ d'opportunités et de cohérence à long terme. Avons-nous seulement le luxe d'une alternative ? >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'achat responsable, politique publique ou pratique à part entière ?

Le seul moyen pour définitivement faire de l'achat responsable, l'acte d'achat économiquement le plus efficient, est d'approcher l'ensemble de ses achats de manière structurée et maîtrisée en coût global. Le coût global d'acquisition ou "total life cost" (TLC), comprend généralement le prix d'acquisition, le coût de passation de la commande, le coût d'utilisation et/ou de possession du produit, le coût de fonctionnement et le coût de destruction du produit. On peut également y ajouter les coûts relatifs à la non-qualité et au risque RSE. Passé ce stade de la définition se pose la question de l'application, dans la durée, d'une équation qui parfois et encore pour de nombreuses structures publiques comporte de nombreuses inconnues. Ainsi certains établissements publics, comme l'UGAP, ont grandement avancé sur ce sujet en déployant une stratégie intégrant désignation et formation d'un référent, accompagnement spécifique de ses 75 acheteurs ou encore déploiement d'outils spécifiques permettant la mesure, son enregistrement et son ajustement dans le temps. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Bretagne : un centre de tri collecte tous les emballages et valorise 100 % des déchets plastiques

Le centre de tri Généris, situé à Ploufragan en Bretagne, appartient à Kerval Centre Armor, qui regroupe quatre syndicats intercommunaux de valorisation des déchets dans les Côtes-d'Armor. Dans ce centre, tous les types d'emballages sont collectés, traités et stockés. Les déchets sont valorisés dans 14 filières de recyclage comme le PET clair, le PET coloré, le polyéthylène, l'acier, l'aluminium ou encore le polystyrène. Pour optimiser le recyclage des matériaux, il est demandé aux habitants de la collectivité de mettre la totalité de leurs emballages dans la poubelle jaune. >> Lire l'article complet sur le site de l'Infodurable


Commande publique

Comment faire respecter aux collectivités l'obligation d'adopter un schéma de promotion des achats publics responsables ?

Un rapport du Conseil économique, social et environnemental (CESE) publié en mars 2018 dresse un bilan mitigé de la mise en oeuvre de ces engagements, l'étude dressant le constat global d'un lent cheminement des clauses sociales et environnementales, ainsi qu'un faible pourcentage d'adoption de SPASER. Une réponse ministérielle évoque les pistes pour que le dispositif législatif soit réellement mis en place par les acheteurs publics concernés. Malgré l'absence d'un dispositif de suivi, l'estimation du CESE montre un faible taux d'application de la loi : 7 % seulement des personnes publiques obligées auraient adopté jusqu'à maintenant un SPASER. Le seuil élevé de 100 millions d'euros HT vise à soumettre à l'obligation la majorité des régions métropolitaines, une soixantaine de départements, près de 70 établissements publics de coopération intercommunale et une dizaine de communes (dont la population est supérieure à 250 000 habitants). Au total, sur environ 50 000 autorités adjudicatrices françaises, près de 160 collectivités publiques sont concernées. L'explication du faible engouement pour les SPASER résiderait dans le faible nombre d'obligés, dû au niveau élevé du seuil de déclenchement, empêchant une véritable mobilisation territoriale autour des SPASER. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Le scandale de la malbouffe dans les cantines

Les 14 000 repas par jour servis par la Sogeres, la société de restauration sélectionnée par les élus dans le cadre d'une délégation de service public, sont "dégueulasses". Chaque midi, les gosses de l'arrondissement ingurgitent des produits industriels, ultratransformés, gavés de sucres, d'additifs et de pesticides concoctés dans une cuisine centrale inadéquate. Et il n'y a pas qu'eux... Partout en France, des collectivités se rassurent en se défaussant sur des groupes restauration, parce que c'est moins cher, moins compliqué à gérer et que les normes d'hygiène y sont scrupuleusement respectées. Et tant pis si dans ces cuisines privées on ne cuisine rien. Tant pis si tout est cuit à 63°C, presque immédiatement refroidi à 3°C, puis réchauffé, parfois jusqu'à 130°C, dans des barquettes faussement écolo. Tant pis si le bio est portion congrue, le gaspillage immense, et les prix des repas pas si compétitifs que ça. >> Lire l'article complet sur le site de Altersanté.fr


Fleet / Mobilité

Le PDG d'Uber veut privilégier le vélo et la trottinette électrique au détriment de la voiture

Le patron d'Uber arrivé en août 2017 explique que les moyens de transport individuel sont plus appropriés pour les trajets courts en ville : "Pendant les heures de pointe, il est très inefficace d'utiliser une carcasse d'une tonne de métal pour transporter une personne sur dix blocs." L'entreprise a effectivement multiplié les acquisitions en ce sens. En avril, elle a racheté les vélos électriques de Jump. Ils sont désormais disponibles dans huit villes américaines et devaient arriver à Berlin à la fin de cet été. En juillet, Uber a aussi investi dans les trottinettes de Lime dans l'optique, peut-être, de racheter cette start-up américaine. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

PSA franchit l'obstacle de la nouvelle norme d'homologation

"Nous sommes prêts. Tous nos véhicules sont homologués selon la norme WLTP. Il n'y a pas d'interruption de production dans nos usines, tous nos modèles sont disponibles à la vente dans nos concessions", se félicite Gilles Le Borgne, le patron de la R & D chez PSA. Pour se conformer aux nouvelles règles européennes , qui entrent en vigueur samedi, le constructeur a dû obtenir le tampon des autorités pour plusieurs centaines de configuration véhicule, un travail de titan. "Les détails de la nouvelle norme n'ont été donnés que fin juillet 2017. Nous avons dû refaire toutes les calibrations motrices de nos gammes, puis les faire tester et remplir les dossiers administratifs", précise l'ingénieur en chef. Si le groupe est resté dans les temps, c'est que ses plateformes accueillaient déjà les équipements de dépollution nécessaires (notamment les SCR sur les moteurs diesel ou les filtres à particules sur les moteurs à injection directe). >> Lire l'article complet sur le site des Echos


IT

Achats - Quand le digital bouscule les habitudes

Les outils digitaux existants proposent effectivement des plateformes hébergées dans le cloud ou directement intégrées dans le système d'information de l'entreprise. Ils permettent une approche globale des processus d'achat et de gestion des relations avec les fournisseurs et les collaborateurs. Ils s'inscrivent en soutien des services Achats qui est, de par leur mission, au carrefour des besoins internes et des solutions extérieures. "La digitalisation des process permet de regrouper, de mutualiser et d'analyser les demandes qui remontent des différents services et de les faire correspondre avec l'offre des fournisseurs référencés, avec les tarifs négociés en conséquence", explique Laurent Guillot, directeur général des opérations de l'éditeur de solutions spécialisées Oxalys Technologies. Les demandes sortant de l'ordinaire peuvent ainsi être centralisées.
"Ces outils sont une aide concrète pour mettre en place des processus standardisés au sein de l'organisation", ajoute Laurent Guillot. Chaque collaborateur accrédité peut ainsi se rendre sur la plateforme et passer sa commande, comme s'il était dans l'environnement familier d'un site marchand grand public. Elle sera ensuite vérifiée par le service achats qui pourra s'assurer du respect du budget, etc. Autre atout non négligeable, les facilités de gestion administrative : l'ensemble des contrats et procédures sont accessibles sur ces plateformes. Elles génèrent des alertes automatiques sur les en cours, les échéances de renouvellement de commandes ou de contrats, les préavis à respecter, etc. >> Lire l'article complet sur le site de NewsRoomEMStrasbourg

Blockchain : l'adoption par les entreprises est "imminente"

Les entreprises ont l'air de vouloir prendre le virage de la blockchain, comme l'indiquait déjà un rapport du cabinet International Data Corporation (IDC) publié en juillet. Selon Deloitte, deux tiers des cadres (65 %) interrogés pour l'enquête ont déclaré que leur entreprise allait investir au moins 1 million de dollars (850.000 dollars) sur les douze prochains mois. Et 39 % au-dessus de 5 millions de dollars (4,3 millions d'euros). "Nous commençons à voir un changement d'approche. Les dirigeants d'entreprises n'ont plus une vision simpliste de la blockchain", souligne Deloitte, avant de conclure : "La seule véritable erreur que les entreprises peuvent faire sur la blockchain, c'est justement de ne rien faire." >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Ford : des drones pour l'inspection de ses usines

Ford explique avoir recours à des drones pour inspecter les moindres recoins de son usine de moteurs de Dagenham, au Royaume-Uni. L'appareil équipé d'une caméra est capable de vérifier toutes les machines, portiques, tuyauteries en hauteur et même le toit de l'usine. Les drones serviront également à localiser d'éventuelles fuites d'air. Jusqu'à présent, Ford utilisait des plateformes élévatrices et des échafaudages pour effectuer toutes ces tâches. Le constructeur américain annonce par ailleurs que les inspections pouvaient prendre jusqu'à 12 heures et qu'elles ne prennent désormais plus que 12 minutes. >>Lire l'article sur le site de AutoPlus



Travel

Air France accusé de "chantage" par Travel Planet

Le 4 septembre, le Tribunal de commerce de Lille se penchera sur le litige qui oppose Travel Planet à Air France. Travel Planet est une société spécialisée dans les voyages d'affaires qui a réalisé en 2017 un chiffre d'affaires d'une centaine de millions d'euros, pour un résultat d'exploitation de 1,4 million d'euros. Le 1er août dernier la compagnie a cessé d'émettre des titres de transports au profit de Travel Planet France. Après avoir rejeté des référés heure par heure, le tribunal va se pencher sur le fond de l'affaire, tant sur le principe de l'existence d'un mandat, que sur la motivation de la révocation et le respect ou non du préavis. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges

L'offre d'Airbnb pour les voyageurs d'affaires connaît un franc succès

La plateforme dédiée au voyage d'affaires d'Airbnb ne s'est jamais aussi bien portée. De 2016 à 2017, les réservations enregistrées par Airbnb for Work (anciennement Airbnb for Business) auraient triplé, selon le spécialiste de l'hébergement alternatif. Le nombre d'entreprises adhérant à la plateforme corporate d'Airbnb a quant à lui doublé depuis l'année dernière, s'élevant aujourd'hui à 700 000. Pour David Holyoke, directeur général d'Airbnb, ce succès s'explique par la tendance croissante du bleisure, mais aussi des voyages d'affaires de groupes, peut-on lire dans un article de Phocuswire. Les hébergements alternatifs, dupliquant le confort et la convivialité d'un "chez soi" deviennent effectivement l'option privilégiée des collaborateurs. >> Lirer l'article sur le site de Tom Travel


Carrière / RH / Management... et autres

Plus de huit cadres franciliens sur dix veulent quitter la région parisienne

Leurs motivations? En très grande majorité, 90% d'entre eux souhaitent quitter Paris et ses environs pour trouver un cadre de vie plus agréable, et 65% un meilleur équilibre entre leur vie personnelle et professionnelle. Les atouts de la capitale aux yeux de ces cadres, comme la vie culturelle, l'accessibilité rapide à tous les services et l'intérêt de leur travail, ne suffisent pas à leur bien-être. Ils sont 55% à se déclarer non satisfaits de leur vie actuelle. Le coût de la vie, trop chère pour 77% d'entre eux, constitue leur première récrimination. Vient ensuite le temps de transport qu'ils sont 56% à trouver excessif : plus d'une heure et demie par jour pour près de la moitié d'entre eux. Le manque de proximité avec la nature (54%), l'environnement dégradé (48%) et les problèmes de logement (48%) sont également cités comme motifs de fuite. Les cadres franciliens s'accordent par ailleurs pour dire qu'ils trouvent les Parisiens stressés (94%), désagréables (61%) et hautains (60%). >> Lire l'article complet sur le site du Figaro

Transformation : en finir avec la notion de résistance au changement

Le plan qui n'a pas anticipé la "résistance au changement" est un mauvais plan car il est conçu sans tenir compte, et donc souvent sans comprendre voire sans même s'intéresser à ce que pensent les collaborateurs. Cette "résistance au changement", à supposer qu'elle existe, est souvent la traduction d'un problème plus profond. Comme souvent, les termes que nous employons pour qualifier un problème traduisent notre façon de concevoir le monde et contraignent les solutions que nous apportons au dit problème. Ils peuvent même créer des problèmes qui n'existent pas. Par exemple, un policier verra la consommation de cannabis comme un crime, un médecin comme un problème de santé publique tandis qu'un libertaire la verra comme un non problème. Tous les trois auront une définition différente de la question et proposeront donc des solutions différentes. Le terme même de "résistance au changement" traduit ainsi un modèle mental... >> Lire l'article complet sur le site de Contrepoints

L'absentéisme en hausse dans les entreprises en France

Si la majorité des entreprises (41 %) interrogées déclarent une "augmentation modérée" de leur taux d'absentéisme entre 2013 et 2017, 16 % du panel interrogé signalent un absentéisme "en forte progression". A l'inverse, seulement 14 % des entreprises témoignent d'une "diminution modérée" et 4 % d'une "forte réduction" (21 % "stable"" et 4 % ne se prononcent pas). L'étude distingue quelques tendances, en fonction de la taille des entreprises ou du secteur d'activité. L'absentéisme touche notamment les grosses entreprises, de plus 5.000 salariés. Elles sont 79 % à déclarer une hausse de l'absentéisme dans leurs effectifs. S'agissant des secteurs plus exposés que la moyenne, "le sanitaire-médico-social", arrive en tête avec 68 % des entreprises interrogées qui constatent une hausse de l'absentéisme. Les secteurs "commerce-distribution" (60 %) et "transport-logistique" (59 %) sont eux aussi touchés. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Comment le smartphone est en train de transformer votre main

Lorsque l'on pense aux effets pervers de nos smartphones, c'est souvent le terme d'addiction qui revient le premier. Une addiction aux écrans qui aurait des conséquences sur la santé, qu'il s'agisse de nos yeux, de notre sommeil ou même de notre audition. Mais, une autre menace pourrait bien se profiler, plus insidieuse, et pourrait changer l'aspect de nos mains. La paume de la main ne risque rien à tenir un smartphone, et tapoter sur un écran n'est pas risqué pour le bout des doigts. En revanche, la façon dont on tient son téléphone pourrait changer l'aspect de l'auriculaire, relève Slate. Ainsi, il est possible de voir apparaître un peu de corne là où repose le bas de l'écran. La peau du côté de l'auriculaire, qui n'a pas vocation à servir d'appui, va s'épaissir peu à peu et de façon accélérée, en fonction de l'intensité d'usage du smartphone. Il s'agit en fait d'une réaction de défense du corps face à ce qu'il considère comme une agression. Un phénomène bien connu de ceux qui écrivent beaucoup, mais c'est dans ce cas le majeur qui est concerné. >> Lire l'article complet sur le site du Point


 
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