Revue de presse achats (Semaine du 25 au 29 juin)
Voici une sélection d'articles parus cette semaine sur le Net, qui vous concernent directement ou indirectement car ayant trait aux achats, à la supply, à la RSE, à la relation fournisseurs, au management, aux RH, etc. Bonne lecture!
Je m'abonneAlerte sur les métaux critiques
Depuis que la France a soldé, en 1996, ses stocks stratégiques de matières premières et que l'industrie s'est convertie au?"juste à temps" pour ses approvisionnements, les entreprises ont perdu en grande partie la conscience de leurs dépendances. La crise des terres rares, en 2011, a réveillé cette conscience. Les exigences, plus récentes, portant sur la responsabilité sociale et environnementale des donneurs d'ordres ont ajouté une couche d'urgence, celle de décortiquer les supply chains. Mais retracer les intrants de chaînes de sous-traitance mondialisées n'est pas si simple. Deux grandes transitions s'avèrent très gourmandes en matières premières dont il est difficile de prévoir la disponibilité à dix ans. À trente ans encore plus. La transition énergétique, qui vise à substituer aux énergies fossiles des énergies renouvelables, dévoile peu à peu sa face sombre. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle
Alliance aux achats pour Roady et Profil Plus
Les deux spécialistes de l'entretien et de la réparation automobile, Roady, qui appartient au groupement les Mousquetaires, et Profil Plus, indépendant spécialiste du pneumatique, créent une société commune, Prody, pour la négociation et le référencement de leurs principales marchandises. >> Lire l'article complet sur le site de LSA
CPO: l'emploi le plus agréable, le plus stimulant et le plus varié
Si vous voulez identifier l'emploi le plus agréable, le plus stimulant et le plus varié qui soit actuellement offert, le directeur des achats est en tête de liste. (...) L'approvisionnement est devenu le point de rencontre de toutes les technologies. L'intelligence artificielle (IA) est amusante lorsqu'elle est utilisée pour donner la météo via Amazon Alexa ou Google Home, mais n'atteint son potentiel que lorsqu'elle est utilisée pour acheter un stock de 90 000 produits sans aucun apport humain. Et l'IA n'est que le début. Un directeur achats doit maîtriser le jargon de l'analyse de données, connaître la mécanique du risque et être un maître de la géographie mondiale en coordonnant les chaînes d'approvisionnement étendues à tous les endroits de la planète. Et juste au moment où la description du poste semble terminée, une autre mission majeure est ajoutée à la liste. Conduire la la transition vers un commerce éthique." Les consommateurs étant plus conscients que jamais de leur impact sur le monde, l'approvisionnement est surveillé afin d'assurer un approvisionnement éthique tout au long de la chaîne d'approvisionnement", déclare Jonquil Hackenberg, responsable des avis de C-suite chez Infosys Consulting. >> Lire l'article complet sur le site de Raconteur
Créances commerciales : 4 conseils pour responsabiliser leur financement
"Dans les pratiques d'affacturage ou d'affacturage inversé, la multiplicité des postes de coûts complique la donne pour les fournisseurs", préviennent les auteurs du cahier technique. En tout, la médiation des entreprises a ainsi recensé plus de 50 postes de coûts différents pratiqués par les factors. Quelle que soit la solution de financement retenue, simplifier et clarifier ses structures de coûts, et être transparent sur les risques supportés par le donneur d'ordre et/ou le fournisseur en cas de défaillances est essentiel. Alors que cette pratique est désormais interdite, "certains donneurs d'ordre offrent une réduction des délais de paiement ou mettent en place des plates-formes d'affacturage inversé en échange de rabais commerciaux ou d'un contrat d'exclusivité signé par le fournisseur", remarque Dominique Chesneau, trésorier de la DFCG, président de Trésorisk et copilote du groupe de travail. Pour éviter de tels liens léonins, les experts soulignent "la nécessité d'une muraille de Chine entre négociations d'achats et de financement". >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Le rôle des achats dans la relation DSI-métiers
Le déploiement du Cloud a déplacé le pouvoir décisionnel, en matière d'achats technologiques, du département informatique vers les unités opérationnelles. Les unités opérationnelles achètent et utilisent des logiciels sans passer par l'informatique car elles en ont la possibilité mais aussi l'envie. Cette tendance est irréversible et les DSI et autres responsables informatiques n'auront d'autres choix que de s'adapter. Par exemple, les départements vente et marketing sont les plus enclins à agir ainsi de manière autonome. Selon Forrester, les directeurs marketing sont les plus susceptibles de prendre le contrôle de leurs dépenses technologiques, plus d'un tiers (36 %) d'entre eux maîtrisant entièrement les nouveaux investissements dans leur domaine et 19 % prenant l'initiative avant d'y associer le DSI par la suite. >> Lire l'article complet sur le site de NewsInformatique
La production ralentie de gaz carbonique fait craindre une pénurie de bulles dans les boissons
La filiale britannique de Coca-Cola a annoncé de son côté qu'elle " répondait actuellement à un problème industriel qui affecte l'approvisionnement en CO2 au Royaume-Uni " en suspendant temporairement une partie de sa chaîne de production de boissons. Elle a toutefois assuré qu'il n'y aurait pas d'impact sur l'approvisionnement. Le groupe néerlandais Heineken dit travailler " vingt-quatre heures sur vingt-quatre " pour répondre à une hausse de la demande, étant donné les températures chaudes et la compétition de football, en s'approvisionnant en gaz dans tout son réseau européen. Une pénurie de dioxyde de carbone industriel affecte également les producteurs de viande et les entreprises de l'agroalimentaire, dont le réfrigérant est composé de glace carbonique. La glace est un autre produit qui pourrait donc venir à manquer, alors que les températures ont atteint les 30 °C dans certaines régions d'Europe du Nord. >> Lire l'article complet sur le site du Monde
Comment GRDF met la science-fiction au service des risques
Dans un groupe comme GRDF, la gestion des risques et des opportunités suppose d'avoir toujours un coup, voire plusieurs dizaines d'années d'avance. "Compte tenu du poids des investissements et de leur durée, la manoeuvrabilité dans le secteur énergétique peut parfois s'apparenter à celle d'un paquebot à qui il serait complexe de faire changer immédiatement de cap, résume sa directrice contrôle interne, risques et audit, Christine Ribes. Pour être prêts en 2030, il faut prendre les bonnes décisions dès maintenant." Au vu des bouleversements à venir dans cette branche d'activité, la classique cartographie des risques à trois ou six ans, "où tous les signaux sont plutôt au vert", ne suffisait donc plus. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Harley Davidson va délocaliser pour échapper aux taxes douanières européennes
La célèbre marque de motos a déploré que les taxes douanières européennes soient passées de 6% à 31% sur ses produits entrant sur le marché européen, ce qui renchérit le prix au détail de chaque véhicule de 2200 dollars (1880 euros environ). Non seulement le constructeur est touché par ces taxes mais les droits qui frappent les échanges d'acier renchérissent aussi le coût de cette matière première, avait déjà prévenu en avril le directeur financier du groupe. Depuis le 22 juin, Bruxelles a en effet frappé une série de produits typiquement américains de droits de douane de 25%, prenant ainsi des mesures de rétorsion après les taxes de 25% sur l'acier et de 10% sur l'aluminium européens. Ainsi les célèbres motos mais aussi les jeans, le bourbon ou encore le beurre de cacahuètes sont dans le collimateur de Bruxelles. "Ce sont des produits symboliques qui ont été taxés par l'UE", commente Thibault Lanxade, vice-président du Medef, ce mardi, au micro de Radio Classique. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
RSE
Huile de palme : le premier négociant mondial pris la main dans le sac de la déforestation
Une nouvelle enquête publiée par Greenpeace International démontre que Wilmar International, premier négociant mondial d'huile de palme, continue de se livrer à la destruction des forêts indonésiennes, malgré son engagement "zéro déforestation". Ce n'est pas la première fois que Wilmar fait une entorse à ses engagements en matière de respect de l'environnement et des droits humains. Pour échapper à ses responsabilités, le groupe a ainsi cédé ses concessions les plus "problématiques" à Gama. L'analyse des données commerciales montre que le groupe Wilmar continue d'acheter de l'huile de palme à Gama pour le compte de nombreuses grandes marques internationales, alors qu'il sait pertinemment que Gama viole sa politique zéro déforestation. "Une fois de plus, on constate que les grandes marques ne peuvent pas faire confiance à leurs fournisseurs. Wilmar a revendu l'huile de palme de Gama dans le monde entier, notamment à des entreprises comme Mondelez, Nestlé ou Unilever. Ces entreprises ne doivent pas se laisser duper : elles doivent rompre leurs contrats avec Wilmar jusqu'à ce que le négociant soit en mesure de leur prouver que son huile de palme n'a pas de lien avec la déforestation et qu'elle provient de fournisseurs responsables", ajoute Cécile Leuba. >> Lire l'article complet sur le site de Greenpeace
Déchets du bâtiment : quelles responsabilités pour les maîtres d'ouvrage ?
Pour atteindre l'objectif de valorisation de 70% des déchets du BTP en 2020, il est indispensable de définir les rôles et obligations des différents acteurs. C'est là tout l'objectif d'une analyse juridique réalisée dans le cadre de la plateforme DEMOCLES. Menée en collaboration avec Enckell Avocats, l'étude revient sur les responsabilités du maître d'ouvrage en matière de prévention et de gestion des déchets de ses chantiers selon les différentes phases. L'analyse s'appuie sur les nombreuses interrogations des maîtres d'ouvrage issues de situations auxquelles ils ont été confrontés sur leurs chantiers. Elle apporte " une interprétation éclairante " du Code de l'environnement et s'inscrit dans la feuille de route économie circulaire. >> Lire l'article complet sur le site de BatiWeb
Déchets : la Corse investit dans le compostage pour en finir avec le "tout enfouissement"
La Corse a inauguré ce 20 juin sa première bioplateforme publique de compostage à Viggianello (Corse-du-Sud). Cette installation vise à réduire la part des biodéchets enfouis sur l'île, qui ne dispose d'aucun incinérateur. Avec seulement deux centres d'enfouissement toujours en fonctionnement et quasi arrivés à saturation, la Corse, qui a longtemps misé sur ce seul mode de traitement des ordures, est régulièrement en proie à une crise des déchets.En charge de la question, l'exécutif nationaliste à la tête de la région à adopter un plan qui vise à réduire de 60% les déchets à enfouir d'ici 2021. "Pour nous il s'agissait de réussir la création de cette nouvelle filière de recyclage que constituent les biodéchets, leur traitement étant un enjeu majeur pour la Corse puisqu'ils représentent entre 20 et 30% des déchets à enfouir", souligne François Tatti, président du Syvadec (Syndicat de Valorisation des Déchets de Corse). >> Lire l'article complet sur le site de la Caisse des dépôts et des territoires
Franprix bannit les articles en plastique à usage unique
Dès la fin du mois de juillet, la marque appartenant au groupe Casino stoppera l'approvisionnement des articles en plastique à usage unique et écoulera ses stocks jusqu'à l'épuisement. Les nouveaux articles seront fabriqués dans des matériaux durables comme du carton, du bois ou du bambou. L'enseigne anticipe d'un an la législation française. La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, promulguée en août 2015, interdit la vente et la distribution de gobelets, verres et assiettes en plastique à partir du 1er janvier 2020. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien
Yumi, pénalisé par ses bouteilles 100 % végétales
L'organisme chargé de prélever auprès des entreprises une écocontribution sur les emballages a décidé de lui infliger un "malus". Concrètement, la taxe payée par Yumi sur chaque bouteille est multipliée par deux. Explication de Citeo : comme ces nouveaux contenants atterrissent dans les poubelles jaunes, ils perturbent le recyclage du plastique et altèrent donc la qualité du matériau recyclé. Grâce à des trieuses optiques, les centres de tri sont pourtant capables de détecter les bouteilles en résine végétale (PLA). Mais les industriels n'ont pas envie de mettre des moyens supplémentaires pour isoler un tout petit volume de PLA dans l'énorme masse de plastique usagé. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Supply chain
UPS inaugure sa plateforme logistique géante en Ile-de-France
Le gigantisme de la nouvelle installation logistique s'exprime en chiffres: pour le tri des colis et documents, plus de 1000 convoyeurs (d'une longueur de plus de 8 kilomètres au total!) ont été installés. Au total, 132 emplacements de chargement/déchargement pour les véhicules de livraison ont été prévus à l'intérieur. Le centre comporte 37 portes de déchargement poids lourds et 125 portes de chargement poids lourds. Le site répond à la croissance de l'activité logistique due à l'accélération des achats en ligne liés à l'explosion de l'e-commerce, induisant une activité de stockage et de livraison de colis au plus près des consommateurs. Pour servir l'île-de-France et ses 12 millions de consommateurs, les investissements dans les sites logistiques sont de plus en plus gigantesques. >> Lire l'article complet sur le site de BFM
La Halle maintient et modernisera ses deux sites logistiques français
Les travaux doivent commencer en 2020 à Issoudun, avec un agrandissement de 24 000 mètres carrés, et s'achever en 2021. L'objectif ? Accélérer la digitalisation et l'internationalisation de l'activité. Car l'enseigne nourrit des ambitions pour les années à venir : elle espère voir ses commandes croître de 30 % d'ici 2023, surtout grâce au e-commerce. Alors que ses dépôts expédient aujourd'hui vers le réseau et les clients de l'e-shop 80 millions de pièces, ce sont environ 107 millions de pièces qui sont anticipées à horizon cinq ans. Et ce en proposant des délais de livraison réduits. La chaîne, qui totalise 871 magasins dans l'Hexagone, table aussi sur un développement à l'étranger, qui sera soutenu par ces plateformes hexagonales, notamment en Afrique et en Europe de l'Est. >> Lire l'article complet sur le site de Fashion Network
Commande publique
Des PPP pour payer des pépettes à perpèt
Le chef de file du groupement est toujours une grosse entreprise du BTP avec, dans son équipe, une armée de prestataires, dont l'architecte. Le contrat porte sur une trentaine d'années, l'utilisateur public verse un loyer au privé pendant tout ce temps et récupère la propriété de l'immeuble à la fin. Le ministère des Armées et le tribunal de Paris ont été bâtis de cette façon, avec Bouygues en chef de file. La Défense et la Justice sont donc locataires. Le PPP a également été utilisé à haute dose pour les prisons, les hôpitaux et tous les nouveaux stades. Pris dans une analyse financière à courte vue, le commanditaire ne regarde qu'une chose : il récupère un immeuble neuf sans l'avoir payé. Mais comme rien n'est gratuit, cette forme de location-vente n'est que de la dette reportée sur la génération suivante, et augmentée des frais financiers. Dès 2014, la Cour des comptes qualifiait les PPP de "bombes à retardement" et cette année, elle a sommé la chancellerie de cesser d'utiliser ce dispositif pour ses prisons. >> Lire l'article complet sur le site de Libération
Collectivités. Elles refusent la mise sous tutelle par l'État
C'est en fanfare que le président de la communauté de l'agglomération havraise (Codah) doit signer aujourd'hui la contractualisation financière entre la Codah et l'État. Ce qui ne fait pas l'unanimité. Nathalie Naïl, conseillère communautaire d'opposition (PCF), dénonce un "diktat de l'État sur les collectivités territoriales qui vise à fragiliser un peu plus les services publics locaux en mettant la pression sur les élus pour que les dépenses, donc les services, soient réduites sans discernement ". À quelques jours du 30 juin, jour de clôture des signatures des contrats, la défiance monte chez les élus locaux. En cause : une contractualisation qui concerne les collectivités et établissements publics de coopération intercommunale (Epci), dont les dépenses de fonctionnement dépassent les 60 millions d'euros par an. Dans les termes du contrat, l'obligation consiste à ne pas dépasser un taux de croissance des dépenses de fonctionnement de 1,2 % par an, inflation comprise. Quant à la récompense, elle semble bien timide. Les bons élèves de l'austérité budgétaire pourront bénéficier, à partir de 2019, d'une majoration du taux de subvention des projets financés par la dotation de subvention à l'investissement local (Dsil)... selon le bon vouloir du préfet. >> Lire l'article complet sur le site de l'Humanité
Révision des prix : pas de remise en cause de l'indice choisi par l'acheteur
En l'absence d'illicéité de la clause de révision, un titulaire n'est pas fondé à revendiquer l'application d'un autre indice de révision que celui figurant dans le marché ou à demander que cette clause soit écartée et que le solde du marché soit arrêté sans révision du prix. En l'espèce, l'indice de révision du prix conduisait, compte tenu des fluctuations des cours d'une matière première, à un solde négatif du marché en faveur de l'acheteur. Si l'emploi de la matière première ne représente que 8 % du montant total du lot, cette seule circonstance ne suffit pas à démontrer que l'indice de révision n'est pas en relation directe avec l'objet du marché. La clause de révision du prix figurant dans le CCAP ne saurait donc être regardée comme illicite au regard de l'article L. 112-2 du Code monétaire et financier. >> Voir l'article sur le site de Weka
L'interdiction du critère RSE est-elle logique ?
La décision du Conseil d'Etat Nantes Métropole, du 25 mai dernier, de confirmer l'annulation de la passation de l'intercommunalité en raison de la présence de critère dit RSE (responsabilité sociale des entreprises) a fait couler beaucoup d'encre. Partant de cet arrêt, les deux avocats Fanny Michel et Maître Nicolas Lafay, expliquent pourquoi le verdict de la Haute juridiction était prévisible. Quelle est l'intégration des démarches RSE (responsabilité sociale des entreprises) dans la gouvernance de votre société ? Votre structure est-elle engagée dans un processus de gestion partenariale ? Quelles sont les dispositifs mis en oeuvre pour favoriser l'égalité homme-femme ? Toutes ces questions que les acheteurs peuvent être tentés de poser aux candidats, afin de sélectionner une entreprise... >> Lire l'article sur le site de AchatPublic.info
Paris expérimente les poubelles compactantes
Ces nouvelles poubelles en phase d'expérimentation fonctionnent à l'énergie solaire et peuvent écraser jusqu'à 600 litres de déchets, soit cinq fois plus que la capacité d'une corbeille de rue classique! Lorsque la corbeille est pleine, la compaction s'active automatiquement. Fonctionnant avec un système de compaction solaire, ces poubelles "nouvelle génération" écrasent automatiquement les déchets. A l'issue de cette expérimentation, la Ville de Paris lancera un marché avec des caractéristiques précises de la future poubelle compactante et le marché sera ensuite attribué au prestataire qui y répondra le mieux. >> Lire l'article complet sur le site de Paris.fr
Campagne de Macron : enquête ouverte sur le rôle des collectivités lyonnaises
Une enquête préliminaire a été ouverte après une plainte d'élus de droite dénonçant le rôle joué par la ville et la métropole de Lyon en faveur de la campagne électorale d'Emmanuel Macron, a-t-on appris ce lundi 25 juin de source proche de l'enquête. Cette enquête, ordonnée vendredi par le parquet et confiée à la police judiciaire, vise des faits présumés de détournements de fonds publics, financement irrégulier de campagne électorale, abus de biens sociaux et recel, évoqués dans une plainte contre X déposée par le maire de Caluire Philippe Cochet, président du groupe Les Républicains à la métropole de Lyon (nommément citée dans l'enquête), et son homologue à la ville, Stéphane Guilland. >> Lire l'article complet sur le site de l'Obs
IT / Digital
Le Cigref se plaint des "pratiques irritantes" des fournisseurs IT
Le modèle traditionnel "licence et maintenance" est totalement "à bout de souffle", selon le Cigref. Bousculé par le cloud, ce modèle persiste cependant : les éditeurs veulent du revenu non seulement récurrent mais assuré. Ils refusent donc de respecter la première promesse du cloud : l'agilité, le paiement à la consommation, donc la variabilité à la baisse comme à la hausse. "Les fournisseurs refusent de se transformer pour apporter les promesses du cloud", a accusé Bernard Duverneuil. Il en résulte une dégradation continue des relations entre clients d'un côté, prestataires et éditeurs de l'autre. Bernard Duverneuil a répété plusieurs fois, sous des formes variées : "ce refus de transformation des éditeurs constitue un frein à l'agilité et à la performance des entreprises". >> Lire l'article complet sur le site du Monde Informatique
Fleet / Mobilité
80 km/h : pourquoi la promesse d'arrêter si ça ne marche pas ne sera jamais tenue
Les chances d'un retour aux 90 km/h sont quasiment inexistantes. Voici pourquoi.
Un objectif de moins en moins ambitieux - Édouard Philippe et la Sécurité Routière le martèlent depuis six mois, la mesure est faite pour sauver des vies. Afin de convaincre, il faut donner un chiffre. Mais l'objectif visé est de plus en plus faible. Forcément, cela facilite les chances de l'atteindre. Lorsque le projet a commencé à se préciser, on nous rappelait la donnée mise en avant depuis plusieurs années par les associations favorables à l'abaissement de la vitesse, 400 vies épargnées par an. Puis dans le dossier de presse officiel en janvier, c'était entre 300 et 400 vies. Et depuis quelques semaines, le Premier Ministre parle surtout de 300 morts en moins. Bientôt ce sera entre 200 et 300 ?
La moindre baisse sera suffisante - Le gouvernement peut déjà se défendre en disant que la promesse de sauver environ 300 vies par an garde une forme de conditionnel. C'est un objectif idéal mais la mortalité pourrait baisser dans de plus faibles proportions. À n'en pas douter, s'il y a une baisse, même petite, ce sera suffisant pour continuer. On nous dira que rouler moins vite a eu ses effets, que chaque vie sauvée est une petite victoire, et qu'il serait idiot de revenir en arrière. >> Lire les autres raisons avancées par Caradisiac
Vulog entrevoit "l'opportunité de faire de Paris la référence mondiale de l'autopartage"
Sa vision, Grégory Ducongé, le président de Vulog va l'exposer à des partenaires potentiels, dans l'optique d'un déploiement à court terme. Il argue d'une vitesse d'exécution de trois mois. "On discute avec certains constructeurs et prestataires de service, confie-t-il, mais il ne serait pas étonnant de voir des loueurs, des assureurs ou des énergéticiens prendre position." Son programme table sur une flotte qui doit atteindre 20 000 véhicules dans trois à quatre ans. Une équation qui se base sur la densité nécessaire dans les cinq zones qui découpent Paris et sa banlieue. Grégory Ducongé militera pour une hétérogénéité, avec des véhicules de différentes capacité. Electriques, ils profiteront de l'infrastructure existante. Pour mémoire, à fin 2016, Autolib' comptait 6 300 bornes dans 1 100 stations. Mais, dans le plan de Vulog, il n'est point question d'en dépendre pour trouver à stationner, d'autant que le "free floating" et la boucle fermée sont considérés sur un pied d'égalité. >> Lire l'article complet sur le site de JournalAuto.com
Nouveau front contre le monopole des pièces de carrosserie
Comme le précisait récemment Alain Landec, président de la Feda, "cette affaire remet en lumière le dossier des pièces captives". Dans un communiqué, l'organisation professionnelle demande au Gouvernement de légiférer rapidement vers une ouverture du marché des pièces visibles. "La distribution multimarque de pièces détachées appelle le Gouvernement à mettre fin à un monopole qui porte lourdement préjudice au consommateur, première victime des dérives révélées par la presse, mais aussi à l'emploi d'une grande partie de la filière automobile", ajoute la Feda. >> Lire l'article complet sur le site de JounalAuto.com
Environnement de travail
Le Conseil d'État annule le décret tertiaire
À l'issue d'une procédure de 12 mois, le Conseil d'État s'est donc prononcé et a annulé le décret. Il a jugé en particulier que ce dernier méconnaissait le principe de sécurité juridique en imposant un délai trop court pour les études énergétiques et plans d'action prévus par le décret au 1er juillet 2017, ainsi que pour la réalisation des travaux exigés avant le 1er janvier 2020. Dernier décret signé par Ségolène Royal en application de la loi du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte, le décret du 9 mai 2017 mettait en place diverses obligations visant à réduire les consommations énergétiques dans les bâtiments à usage tertiaire. Il s'agissait notamment de parvenir, d'ici à 2020, à -25 % par rapport à la consommation de référence du bâtiment. >> Lire l'article complet sur le site de Workplace
Trois initiatives sportives de la RATP pour les salariés
La RATP a choisi le sport pour illustrer ses engagements en matière de RSE. Elle prend ainsi part aux grands événements sportifs et soutient des athlètes dans leur carrière. Mais elle favorise aussi l'activité chez ses salariés. "Nos métiers de terrain comme ceux de bureau sollicitent le corps, indique Anaïs Lançon, directrice de la communication et de la marque Groupe RATP. Il est donc important pour nos salariés de pouvoir concilier travail et activité sportive." Le groupe table sur l'impact positif du sport pour la santé physique, l'intégration sociale et le bien-être de ceux qui le pratiquent, et a mis en place trois initiatives pour ses salariés: Un club de sport - Participation à trois grandes courses à pied - Un forum pour s'informer. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
RH/ Management et autres !!
26% des Français ont trompé leur partenaire avec un(e) collègue selon une étude
Ils sont pourtant peu à passer à l'acte: seuls 36% des hommes ont essayé de séduire leur "crush" du boulot, tandis que la proportion est nettement plus élevée chez la gent féminine. Quand 30% des femmes avouent avoir fantasmé sur un collègue, elles sont 27% à avoir vraiment agi pour tenter un flirt, certainement grâce à des signaux plus clairs de la part de leurs homologues masculins. Pour autant, le cliché de la "promotion canapé" n'est pas prêt de disparaître, puisque les hommes se dirigent plus naturellement vers un(e) collègue de rang hiérarchique inférieur (à 19%), contre 5% pour les femmes, qui préfèrent donc à 16% avoir une relation sexuelle avec l'un(e) de leur supérieur(e). Et il semblerait que les personnes ayant une position hiérarchique avantageuse en profitent à de nombreux égards: les chefs d'entreprise sont deux fois plus nombreux (59%) à s'être adonnés à des ébats sexuels sur leur lieu de travail, quand les salariés ne sont que 32%. >> Lire l'article complet sur le site du HuffingtonPost ...
Alors...
Amour au boulot : risquez-vous de vous faire virer comme le p-dg d'Intel ?
Qu'en est-il en France ? Est-il possible d'être licencié pour avoir trouvé l'amour au travail ? "L'amour au travail n'est pas interdit. C'est un droit fondamental, qui relève de votre vie privée. Votre employeur ne peut pas vous le reprocher, tout comme votre liberté de pensée ou votre liberté religieuse", répond Eric Rocheblave, avocat spécialisé en droit du travail. Ainsi, une relation amoureuse au bureau n'est pas une faute en soi, c'est pourquoi "l'interdire via le règlement intérieur, comme c'est le cas outre-Atlantique, n'est pas possible en France", commente Eric Rocheblave, avocat spécialisé en droit du travail. >> Lire l'article complet sur le site de Capital
Le télétravail chamboule la culture managériale
D'autant que le télétravail affecte l'organisation et le rapport à l'emploi ainsi que la culture managériale. Le lieu où il s'effectue, par exemple, n'est pas anodin. A la ville de Paris (52 000 agents, 2,2 millions d'hab.), 800 agents télétravaillent sur les 10 000 identifiés comme pouvant le faire, généralement depuis leur domicile. C'est d'ailleurs le choix le plus fréquent, car souvent le plus commode à mettre en place. Au conseil départemental de l'Hérault (4 000 agents, 1,1 million d'hab.), la progression du télétravail ces trois dernières années s'explique en revanche par l'ouverture de télécentres ou l'identification de postes de travail disponibles un ou deux jours par semaine dans divers sites de la collectivité, voire de collectivités partenaires. Désormais, 95 télétravailleurs peuvent se relayer sur 19 postes et, fin 2018, 45 nouvelles places seront ouvertes. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes