Voyages d'affaires : 5 conseils pour mieux gérer la reprise

Avec le déploiement des vaccins contre le Covid-19 dans le monde, la crise sanitaire semble bientôt toucher à sa fin. Les entreprises et leurs employés peuvent commencer à envisager la reprise de leurs voyages d'affaires. Dans ce cadre, American Express Global Business Travel (AMEX GBT) a publié son nouveau livre blanc "On the road to wellbeing", qui donne des informations sur le devoir de diligence des gestionnaires des voyages. Le rapport stipule que les responsables des voyages devraient pouvoir rendre compte de l'impact des voyages d'affaires sur le bien-être des employés et des voyageurs, cependant la plupart d'entre eux ne disposent pas des KPI nécessaires. Pour cela, AMEX GBT leur propose de comprendre, mesurer, gérer, et surveiller cet impact en 5 étapes :

1. Impact : déterminer les aspects des voyages d'affaires qui ont le plus d'impact sur les employés

2. Identification : identifier les profils de risque voyageurs pour comprendre l'impact des voyages sur les employés

3. Révision : vérifier que la politique de voyage de l'entreprise est mise à jour avec des mesures qui favorisent le bien-être, telles que l'assistance en cours de voyage, ou les indemnités de frais adaptées

4. KPI : introduire des indicateurs de performance clés (KPI) pour mesurer la performance des initiatives de bien-être et communiquer à ce sujet dans toute l'organisation

5. Mesure : s'assurer que l'enquête de satisfaction sur les voyages comprend le bien-être des employés.

Le livre blanc fournit aussi des conseils pour aider à évaluer la perception qu'ont les salariés de la reprise des voyages, et souligne le rôle du gestionnaire travel dans le bien-être des employés et la prise en compte des profils de risques individuels des voyageurs.

Les experts d'AMEX GBT expliquent notamment comment il est possible de combiner les données sur les voyages avec celles des ressources humaines afin de comprendre l'impact des voyages sur la santé mentale et physique des individus, et suggère qu'ils peuvent, grâce à leur connaissance des voyageurs, identifier ceux qui risquent de se fatiguer ou de s'épuiser, et contribuer à leur confort, en mettant en place des mesures pour rendre leurs voyages plus aisés, par la compensation "temps de vol" pour les vols de nuit long-courriers par exemple.