Recherche
Mag Décision Achats
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Revue de presse achats - semaine du 13 septembre

Publié par le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 13 septembre
© metamorworks - stock.adobe.com

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a sélctionné pour vous, et rien que pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achst. Bonne lecture !

Je m'abonne
  • Imprimer

Mon directeur achats est une IA

Évidemment, l'IA est disponible 24h/24 et 7j/7. Sa capacité de travail est telle que l'on n'a plus besoin de recourir aux anciennes loi de Pareto (80 % des effets proviennent de 20 % des causes) ou méthode ABC de calculs des coûts. Avec elle, il n'est plus nécessaire d'établir une hiérarchisation entre les fournisseurs, entre les familles d'achats, ou entre les projets. Tous sont traités avec le même niveau d'exigence. La création de valeur s'en trouve bien supérieure. Les achats sont ainsi entrés dans une nouvelle révolution. Avant, la technologie gérait uniquement les tâches basiques et répétitives, et les acheteurs s'occupaient des missions plus complexes et du relationnel. Maintenant, l'IA contrôle tous les processus, opérationnels et tactiques et les acheteurs deviennent les ambassadeurs de l'entreprise auprès des fournisseurs et des partenaires institutionnels comme les laboratoires de recherche, les écoles, les collectivités territoriales et les ONG. Ceux-ci coordonnent les projets d'innovation ouverte collaborative en suivant les instructions de l'IA. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation

Ikea confronté à des ruptures de stocks préoccupantes

Le géant suédois reconnaît qu'environ "10% des références de produits sont manquantes dans les stocks". "Une situation inédite". Certains magasins ont communiqué la date du 6 janvier prochain pour un retour de certaines références. Cette pénurie ne concernerait pas que la France. "Comme de nombreux détaillants, nous rencontrons des défis permanents avec nos chaînes d'approvisionnement en raison du Covid et des pénuries de main-d'oeuvre, le transport, les matières premières et l'approvisionnement étant tous touchés", a expliqué un porte-parole du groupe au Royaume-Uni à l'agence Reuters. >> Lire l'article complet sur le site de La Dépêche

Microprocesseurs : SiPearl s'implante à Sophia-Antipolis

Créée pour pallier le déficit de sociétés capables, en Europe, de concevoir de tels composants, SiPearl n'a pas réellement de problématique de conquête de marché. Elle fait partie du consortium European Processor Initiative (EPI), au sein duquel figurent de potentiels clients, comme Atos, et utilisateurs finaux, comme le CEA ou Genci, l'entité publique française dédiée. Elle a bénéficié de plus de 6 millions d'euros d'aides européennes pour son amorçage, et une levée de fonds significative est en cours. "Nous sommes davantage dans une problématique d'exécution. Nous devons sortir le produit dans les temps et avec les toutes les qualités requises", note Philippe Botton, un ingénieur qui a fait toute sa carrière dans l'industrie des semi-conducteurs. SiPearl devait être en mesure, en 2023, de produire à plein volume. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Pourquoi le prix de gros de l'électricité atteint des sommets

Le prix de gros de l'électricité atteint aussi des sommets. Sur le marché spot, soit pour les achats du jour au lendemain réalisés par les fournisseurs pour servir leurs clients sous contrat, le prix du mégawattheure a frôlé les 160 euros le mégawattheure (€/MWh) début septembre, selon l'index quotidien d'Enerpress. Et sur le marché à terme, soit le prix de l'électricité prévu pour une livraison dans 12, 24 ou 36 mois qui sert à négocier les contrats d'achat des entreprises, le prix a atteint les 100 €/MWh la semaine du 6 septembre 2021. Il s'échangeait autour de 45 €/MWh en début d'année. De quoi affoler les entreprises françaises grandes consommatrices d'électricité, rassemblées au sein de l'Uniden, qui appellent à relever d'urgence le plafond de la vente d'électricité nucléaire historique (Arenh) de 100 térawattheures (TWh) à 150 TWh, comme le rend possible un amendement ajouté par le Parlement dans la loi Énergie Climat de novembre 2019. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Pourquoi le prix de votre café va-t-il augmenter ?

En un an, les cours du café ont augmenté de 36%. Pour l'arabica, la hausse est de 60%, du jamais vu depuis 2014. En cause, les récoltes ont été mauvaises au Brésil suite aux gelées exceptionnelles de cet hiver. Une vague de froid aux conséquences immédiates pour les torréfacteurs comme Christophe Servell, sollicité dans le sujet en tête de cet article. "La dernière fois que j'ai dû acheter du café du Brésil, je l'ai acheté à peu près 30% plus cher que les prix habituels. Lorsque ça gèle au Brésil, le marché s'emballe parce que le pays est le premier producteur mondial et c'est vraiment lui qui fixe un peu la tendance des marchés en fonction de ses capacités de production", explique-t-il. Mais il faut également se tourner vers l'Asie pour comprendre pourquoi les cours du café s'affolent. Le Vietnam est aujourd'hui le deuxième producteur mondial. "Le Covid a amené les autorités vietnamiennes, par exemple, à un confinement extrêmement strict qui a quasiment bloqué les exportations de café du Vietnam depuis quelques semaines déjà", affirme Philippe Chalmin, professeur d'économie à l'université Paris Dauphine. >> Lire l'article complet sur le site de LCI

La pénurie de lithium guette la voiture électrique

En pleine période de croissance, la voiture électrique va-t-elle tomber en panne de lithium ? La question se pose après que certaines grandes entreprises du monde de la tech aient discrètement confirmé un problème d'approvisionnement. Selon nos informations, le géant japonais Nikon aurait en effet annoncé à certains de ses partenaires professionnels qu'il n'y a plus assez de lithium pour pouvoir confirmer les livraisons de futurs produits. Ceux déjà en stock seront livrés, mais ensuite, ce pourrait être le grand flou. Un phénomène qui n'épargnera pas l'automobile, déjà empêtrée dans des problèmes d'approvisionnement en semi-conducteurs. La forte hausse des ventes de voitures électriques et l'augmentation de l'offre met une énorme tension sur le marché du LCE ("lithium carbonate équivalent", la valeur utilisée pour les échanges de lithium au niveau mondial) qui atteint des sommets : 22 000 dollars la tonne en Chine. Nous tutoyons les records de 2018. >> Lire l'article complet sur le site de Caradisiac

Commande Publique

Un ancien maire UDI de Seine-Saint-Denis jugé dans une affaire de marchés publics frauduleux

Un contrat de "conseil en communication" à 90 000 €, un marché de "suivi du plan stratégique du patrimoine" à 262 000 €, une "recherche d'un thermicien" pour 22 800 €, des études de faisabilité pour des logements ou un parking : une vingtaine de marchés litigieux sont visés dans cette procédure, pour un montant estimé à quelque 3,4 millions d'euros. Laurent Rivoire est soupçonné de ne pas avoir respecté les procédures d'appel d'offres et d'avoir privilégié des proches dans l'attribution de ces marchés en tant que p-dg de Noisy-le-Sec Habitant, l'office HLM de cette ville populaire de 44 000 habitants. (...) M. Rivoire sera jugé jusqu'à vendredi devant la quinzième chambre du tribunal, spécialisée dans les affaires financières, pour "favoritisme", "prise illégale d'intérêts" et "trafic d'influence". >> Lire l'article complet sur le site de Ouest France

La commande publique est repartie de plus belle cette année

La commande publique tourne de nouveau à plein régime. Selon le traditionnel baromètre que viennent de publier l'Assemblée des communautés de France (AdCF) et la Banque des territoires, le volume d'achats au premier semestre a augmenté de 43 % par rapport à la même période de 2020. Il ressort aussi en hausse de 6 % par rapport au premier semestre 2019, ce qui, selon l'AdCF, est " conséquent et témoigne de la vitalité de la reprise ". En 2020, la commande publique avait connu un gros trou d'air (-26 % au premier semestre, -18 % sur l'ensemble de l'année) entre les effets du premier confinement et le report de trois mois du second tour des élections municipales. "Frémissante" en fin d'année dernière, la reprise s'était "engagée clairement en 2021", se félicite l'AdCF. A 47,71 milliards d'euros pour l'ensemble des acheteurs publics sur les six premiers mois de l'année, la commande publique se situe désormais à des niveaux supérieurs à ceux d'avant la crise, retrouvant ceux de 2012 et 2013. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

La Région veut de la nourriture 100% locale dans les lycées berrichons d'ici six ans

Le président de la Région veut notamment limiter les allers-retours des produits transformés à l'étranger : "Je ne peux pas accepter qu'on produise du blé dans la Champagne berrichonne ou dans la Beauce, que ce blé parte au Brésil par bateau pour nourrir des poulets, et que ces poulets reviennent dans les assiettes des lycéens en Centre-Val-de-Loire. On marche sur la tête" s'agace François Bonneau, qui ambitionne du 100% local et du 50% bio d'ici la fin de son mandat pour la viande blanche, le maraîchage, ou encore l'arboriculture fruitière. Actuellement, la Région s'appuie sur 236 fournisseurs locaux pour alimenter les 95 restaurants scolaires en Centre-Val de Loire. >> Lire l'article complet sur le site de France Bleu

L'Ile-de-France en passe de suspendre ses paiements à la RATP et la SNCF

L'an dernier, IDFM avait obtenu de l'Etat 1,45 milliard d'euros d'avance remboursable sans intérêt, et 150 millions de subventions. Un accord qui avait fait des jaloux parmi les autorités organisatrices des autres régions. A la suite de ce ballon d'oxygène, la Région avait repris ses paiements en fin d'année, alors qu'elle verse en temps normal environ 400 millions mensuels à la RATP et 300 millions par mois à la SNCF, selon le communiqué. Cette année, les négociations avec l'Etat semblent patiner, et le confinement du printemps dernier a été moins strict que les deux précédents. Mais l'impasse financière est bien réelle : " IDFM ne peut payer ses dépenses qu'avec ses recettes de fonctionnement, et c'est cela qui est versé aux opérateurs. Il n'y a que la France qui a prévu une avance remboursable à ce sujet, au lieu de subvention pure et simple ", appuie Sylvie Charles, la directrice générale de SNCF Transilien. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'Australie torpille le français Naval Group en optant finalement pour des sous-marins à propulsion nucléaire

Devant les difficultés inhérentes à un programme tel que celui confié à Naval Group [d'autant plus que des questions de transferts de technologies et de charges industrielles sont à régler], une partie de la presse australienne a fait ses choux gras des critiques sur la gestion du "Future Submarine Program", dont le coût a été évalué à 50 milliards d'euros [sur 50 ans, ndlr]. À noter que l'américain Lockheed-Martin a également été choisi pour livrer les systèmes de combat des futurs navires de la RAN. Lors d'une audition au Sénat, en février 2020, Hervé Guillou, alors Pdg de Naval Group, avait dénoncé des attaques "médiatiques à charge", relayées par "un certain nombre de médias qui ne nous veulent pas que du bien". Cependant, le gouvernement australien avait jusqu'alors toujours pris le parti de l'industriel français. Comme encore le 30 août dernier. >> Lire l'article complet sur le site de Opex360


RSE

Plastique : les failles du recyclage

Le directeur général de l'entreprise Carbios, qui a conservé son bagout marseillais malgré deux décennies passées en Auvergne, s'est associé avec Alain Marty, la " rock star " française des enzymes, qui en a identifié deux capables de dégrader le polyéthylène téréphtalate (PET), le plastique des bouteilles d'eau. " C'est un hasard : dans la nature, leur rôle est de s'attaquer à la paroi des feuilles ", raconte le professeur à l'Institut national des sciences appliquées de Toulouse. Elles ne fonctionnent cependant qu'avec cette résine, qui représente moins d'un dixième des plastiques mis sur le marché... et pour laquelle les filières de recyclage thermomécanique sont les plus performantes. "Demain, le volume de vos tee-shirts [souvent issus de résines plastiques, comme le polyester, NDLR] sera deux fois plus important que celui des bouteilles, et il n'y a quasiment rien qui est fait pour les recycler", rétorque Jean-Claude Lumaret. Qui admet qu'une décennie supplémentaire sera nécessaire pour développer des enzymes capables de s'attaquer à d'autres résines. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'Etat débloque des fonds pour trouver des nouvelles solutions de recyclage

Afin d'accroître l'économie circulaire, l'Etat va massivement soutenir la R&D, a annoncé lundi la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili à l'occasion de la visite de Skytech, une entreprise innovante de recyclage des plastiques basée dans les Yvelines. La nouvelle stratégie dite "3R", pour "Recyclabilité, Recyclage et Réincorporation des matériaux", s'appuie sur le "plan d'investissement d'avenir quatre" (PIA 4) doté de 600 millions d'euros d'ici à 2027. Dans ce cadre, "le gouvernement va engager 370 millions d'euros de nouveaux fonds PIA pour cette stratégie, et c'est un effort sans précédent", a affirmé Barbara Pompili en précisant que "les soutiens porteront d'abord sur le R&D avec 310 millions d'euros pour mettre au point des solutions de recyclage plus performantes". Cinq matériaux sont concernés : les plastiques, les matériaux composites, les textiles, les papiers cartons et, en priorité, les matériaux stratégiques dont la France a besoin, comme les batteries électriques, les aimants permanents d'éoliennes [...]. "Notre ambition est de disposer d'ici à 2030 des capacités industrielles pour recycler 100 % des batteries électriques, produire 2 millions de tonnes de plastique recyclé d'ici à 2025 et les réincorporer, et multiplier par quatre le recyclage du textile d'ici à 2025", a poursuivi la ministre. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Quelles sont les entreprises les plus performantes en matière de RSE ?

Selon les sondages, certaines entreprises ont de l'avance en RSE. Michel et Augustin et So'Bio sont les piliers du podium des marques les mieux classées. De plus, les réserves naturelles comme le Zoo de Beauval occupent une place conséquente dans le top, le respect de la biodiversité étant perçu comme l'un des critères de notation clés. Seul point étonnant de ce classement, la 4e place attribuée à Doctolib, récemment touché par un scandale de partage de données utilisateurs, assez peu compatible avec l'image d'une entreprise soucieuse de son influence sociétale. Depuis 2019, certains marchés ont particulièrement investis sur leur engagement. Alors, le terme de "société à mission" a fait surface, pour inciter les entreprises à se rendre concrètement utiles à la société, sans faire faillir leur lucrativité. Et les résultats sont là ! En termes de RSE, des entreprises comme MACIF ou le Crédit Mutuel atteignent de très bons scores, liés à leur lutte contre les discriminations et leur prise de position publique pour le respect de la vie privée. Cette partie du classement reflète l'efficacité de la loi Pacte, ayant redéfini le statut social des entreprises en vertu d'un intérêt collectif. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Guerlain annonce la création de son "Sustainable Board"

La Maison Guerlain continue d'accélérer son engagement afin de conjuguer toujours plus Luxe et Développement Durable. Ainsi, parmi les nombreux projets et partenariats initiés cette année, Guerlain annonce la constitution de son "Sustainable Board" . Treize personnalités, reconnues pour leurs expertises qui vont accompagner le déploiement stratégique des actions de la Maison de Haute Parfumerie et Haute Cosmétique.(...) Les missions du "Sustainable Board" de Guerlain : - Co-construire des solutions sur différentes thématiques stratégiques : telles que l'éco-formulation, l'éco-design, la traçabilité des ingrédients, les filières durables ou la préservation de l'Abeille. - Partager avec Guerlain les sujets prioritaires de leurs secteurs respectifs, et valider que la Maison les adresse de façon claire, juste et proportionnée. - Donner de façon libre et indépendante, leurs opinions et conseils sur les projets en cours. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Supply chain

CMA CGM bloque ses taux de fret spot

Dans une note à sa clientèle, plus habituée aux annonces "surcharges" qu'à une décision de blocage des prix, le groupe français indique qu'à compter du 9 septembre et jusqu'au 1er février 2022, il bloque toute hausse des taux de fret sur le marché spot. La décision s'applique sur l'ensemble des services opérés par ses marques (CMA CGM, CNC, Containerships, Mercosul, ANL, APL). "Le groupe souhaite privilégier une relation de long terme avec ses clients face à une situation inédite pour le transport maritime", indique-t-il dans sa note commerciale. L'armateur français répète en outre qu'il a investi "massivement" depuis la fin de l'année dernière pour renforcer ses capacités (14 nouveaux navires en propriété et 32 navires d'occasion prévus en 2021) alors qu'il a déjà réceptionné depuis janvier 24 porte-conteneurs dont 9 nouveaux navires (parmi lesquels les cinq derniers de 23 000 EVP au GNL) et 15 d'occasion. Pour pallier la pénurie de conteneurs, 520 000 boîtes ont étoffé son parc en un an, à fin juin. MA CGM bloque ses taux de fret spot. >> Lire l'article complet sur le site du Journal de la marine marchande

Immobilier logistique : l'explosion du e-commerce impacte les valeurs locatives

La crise sanitaire que nous traversons, si elle a une vertu, pourrait être celle de faire prendre conscience de la dépendance de la métropole vis-à-vis de ses sources d'approvisionnement et de l'importance d'une chaîne logistique efficace", soutient le spécialiste de l'immobilier logistique CBRE dans sa dernière étude baptisée "Les messageries face au défi du e-commerce". Constatant que les messageries, bâtiments spécifiques dédiés au transbordement et à la gestion rapide des flux de petits envois ont depuis plusieurs années de nouveau le vent en poupe, les résultats de cette étude mettent néanmoins en évidence un manque d'offres disponibles. Malgré tout, ce segment a affiché une certaine robustesse depuis le début de la crise sanitaire. "Comparativement à la plupart des autres secteurs, et même s'il y a eu une légère baisse de la demande placée à cause du manque de produits (142 100 m2 placés en 2020 et 31 200 m2 placés au premier semestre 2021), le marché des messageries a très bien résisté à la crise", indique l'étude. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Kraft Heinz condamné à une amende de 62 millions de dollars car l'équipe approvisionnement a induit la finance en erreur

L'équipe d'approvisionnement de la société Kraft Heinz a falsifié le langage de certains accords avec les fournisseurs pour montrer un coût des marchandises vendues (COGS) inférieur à celui qui existait réellement, conduisant l'équipe des finances et de la comptabilité du géant mondial de l'alimentation à déformer ses performances financières, le Securities and Exchange Commission (SEC). La société a réglé une amende de 62 millions de dollars et a retraité ses états financiers. >> Lire l'article complet sur le site de Supply Chain Dive

Logistique : le nouveau plan du gouvernement pour redresser le fret ferroviaire

Pour asseoir la crédibilité à terme de ce plan, les quatre parties prenantes - qui n'ont pas toujours l'habitude de ramer dans le même sens - signeront également ce lundi à la SITL "un pacte" destiné à mettre en oeuvre les mesures qui leur incombent : à savoir l'Etat, l'alliance 4F pour les acteurs du fret ferroviaire national, SNCF Réseau (les voies de chemins de fer et les gares) et l'Association des utilisateurs de transport de fret (AUTF), c'est-à-dire les grands clients qui choisissent en majorité le camion. Officiellement, ni vainqueur ni vaincu, juste des enveloppes budgétaires supplémentaires en faveur du fret ferroviaire. Le mode réputé écologique par excellence, si l'on oublie le parc de locomotives diesel qui le tracte. En termes de chiffres néanmoins, un décodage s'impose, car tout n'est pas nouveau. "Pour compléter les actions internes des opérateurs, l'Etat sera au rendez-vous, avec un plan d'investissement à hauteur de 1 milliard d'euros dans le cadre du plan de relance (financé à 50 % par l'Etat), ainsi que la mise en place d'une enveloppe supplémentaire annuelle de 170 millions jusqu'en 2024 pour soutenir l'exploitation des services de fret ferroviaires", stipule le document ministériel, que Les Echos a pu consulter. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Fleet management

Les bornes de recharge : le maillon faible de la révolution électrique de l'automobile

C'est le chaînon manquant de la transition énergétique de l'automobile. Le noeud gordien qu'il faut absolument trancher pour relever le plus gros défi auquel est confrontée cette industrie depuis sa création il y a plus d'un siècle : passer en un temps record de la voiture à moteur thermique au véhicule électrique pour décarboner un secteur responsable de plus de 15 % des émissions de gaz à effet de serre en France. Ce chaînon manquant, c'est le réseau de bornes de recharge électrique. Au moment où les ventes de véhicules 100% électriques et hybrides rechargeables explosent sous les effets conjugués du durcissement de la réglementation à l'encontre des voitures thermiques, des aides publiques à l'achat, d'une prise de conscience environnementale toujours plus prononcée dans la société, et d'un choc d'offre avec l'arrivée sur le marché d'une multitude de nouveaux modèles, le déploiement des bornes électriques ne suit pas le même rythme. A tel point que cette différence de tempo, si elle perdurait, pourrait menacer l'essor de la voiture électrique et retarder le processus de décarbonation du secteur, alors que Bruxelles a proposé cet été toute une panoplie de mesures pour réduire d'au moins 55% les gaz à effet de serre d'ici à 2030. >> Lire le dossier complet sur le site de La Tribune

Carrière / RH / Management.. et autres

Télétravail : comment créer une culture d'entreprise à distance

Entretenir une culture d'entreprise à distance suppose de faire évoluer le management traditionnel : le contrôle permanent des collaborateurs et les politiques de présentéisme ne peuvent fonctionner. Au contraire, les relations doivent être construites sur la base de la confiance et de l'autonomie. Ce sont les livrables et les objectifs atteints qui doivent être mesurés et non le nombre d'heures de connexion. C'est dans cette perspective que les fondateurs de Basecamp, éditeur d'un outil Web de gestion de projets, ont écrit "Remote : Office Not Required". Ils recommandent de découper les missions en petites tâches, d'être le plus transparent possible avec ses salariés, de les responsabiliser en leur donnant toute l'autonomie nécessaire. Jason Fried et David Heinemeier Hansson prennent l'exemple des vacances : elles sont illimitées et il suffit d'en avertir ses collègues pour se coordonner, pas besoin de demander la " permission ". >> Lire l'article complet sur le site de HBR


 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page