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Revue de presse achats - semaine du 7 juin

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Revue de presse achats - semaine du 7 juin

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, et rien que pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture.

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L'oxyde d'éthylène, le pesticide qui donne des cauchemars en cuisine

Infusion bio Eléphant, colombo de légumes Carrefour, mélange mexicain Ducros, falafels houmous Bjorg... Jour après jour, l'étrange liste de la répression des fraudes s'allonge. Selon un rapport du Sénat, depuis le mois d'octobre, Bercy a exigé le retrait des magasins de plus de 5 000 références contaminées à l'oxyde d'éthylène. Un redoutable pesticide classé comme mutagène, cancérogène et toxique pour la reproduction. L'Union européenne impose une limite maximale de résidus (LMR) de 0,05 mg/kg dans l'alimentation conventionnelle et 0,01 mg/kg en bio.>> Lire l'article complet sur le site de l'Express

Chine: la plus forte hausse des prix à la production depuis fin 2008

La hausse des prix à la production en Chine s'est inscrite en mai à son niveau le plus élevé en près de treize ans, selon des chiffres officiels publiés mercredi. L'indice PPI, qui mesure le coût des marchandises sorties d'usine, a connu une augmentation de 9% sur un an le mois dernier, d'après le Bureau national des statistiques (BNS). Il s'agit de sa plus forte hausse depuis septembre 2008. Ce résultat, largement supérieur à celui d'avril (6,8%), dépasse la prévision moyenne d'analystes interrogés par l'agence financière Bloomberg (8,5%). Le coût des matières premières sur les marchés mondiaux (pétrole, métaux) combiné à la "reprise robuste" de l'activité en Chine qui tire les prix vers le haut, expliquent en partie ce niveau, a relevé Dong Lijuan, un statisticien du BNS. Les prix de l'extraction de pétrole et de gaz naturel ont ainsi doublé en un an (+99,1%), selon le BNS. >> Lire l'article complet sur le site de Le Temps

Chine : les importations bondissent en mai

La Chine a vu en mai ses importations bondir de 51,1 % sur un an, une flambée qui s'explique par la faible base de comparaison de mai 2020, a annoncé lundi 7 juin l'administration des douanes. Il s'agit du rythme de progression le plus rapide des achats du géant asiatique depuis 2011. Un an plus tôt, en mai 2020, les importations avaient marqué un repli de 14,2 %, lorsque l'économie chinoise sortait de sa paralysie pour cause d'épidémie. Les économistes sondés par l'agence d'information financière Bloomberg avaient anticipé cette hausse (51 %). En avril déjà, les importations de la Chine s'étaient envolées (+ 43,1 % sur un an), grâce à des achats massifs de composants électroniques et une faible base de comparaison avec l'an dernier. >> Lire l'article complet sur le site du Monde

Les entreprises européennes misent plus que jamais sur la Chine

Loin des appels à la relocalisation, les entreprises européennes prévoient d'investir encore davantage en Chine, la plupart du temps cependant avec l'idée de produire là-bas pour le marché local. "L'ambition est non seulement de rester mais d'étendre leur présence en Chine", observe la Chambre. A peine 9 % des entreprises européennes envisagent de déplacer tout investissement actuel ou prévu hors de Chine, le plus bas niveau enregistré. Au lieu de cela, six entreprises sur dix (contre la moitié l'an dernier) envisagent de consolider leurs positions dans le pays, que ce soit en se renforçant dans leurs coentreprises, en augmentant leurs dépenses pour gagner des parts de marché ou en... relocalisant. Conséquence d'un monde bipolaire qui se dessine, les filiales chinoises de groupes européens rapatrient en Chine ou se rapprochent de fournisseurs chinois afin d'éviter d'éventuelles perturbations dans la chaîne d'approvisionnement dues à d'éventuelles tensions géopolitiques. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Pierre Fabre va investir 4,5 M€ pour relocaliser à Gaillac des actifs produits en Allemagne

Contre un investissement de 4,5 M€, Pierre Fabre va procéder à la relocalisation en France de deux actifs en oncologie, le binimetinib et l'encorafénib, actuellement produits en Allemagne. Les actifs réintégreront son site de Gaillac, dans le Tarn. Pierre Fabre avait acquis les droits de commercialisation pour l'Europe du Mektovi (binimetinib) et du Braftovi (encorafénib) auprès du géant américain Pfizer."Nous avons acquis une licence pour ces produits anticancéreux en 2015 et il était prévu dans les termes de l'accord que si nous réussissions le transfert de technologie, nous pourrions fabriquer les principes actifs en France", a détaillé Eric Ducournau, directeur général du groupe Pierre Fabre. Autre investissement annoncé par Pierre Fabre, dans le Gers, à Aignan, avec la création d'une nouvelle chaîne de production. Le site d'Aignan est spécialisé dans la fabrication de sucres cuits pharmaceutiques, utilisés notamment pour le sevrage tabagique et les pastilles contre la toux. >> Lire l'article complet sur le site de Industrie Pharma

Bosch ouvre une usine de production de semi-conducteurs en Allemagne

Comme le rapporte l'agence de presse Reuters, Bosch vient d'ouvrir une nouvelle usine destinée à la production de puces électroniques à Dresde, dans l'est de l'Allemagne. D'une valeur d'1 milliard d'euros, elle va permettre à l'entreprise d'augmenter sa capacité à servir directement les constructeurs automobiles en dépendant moins des fabricants tiers. Il s'agit, pour Bosch, du plus grand investissement de son histoire. Les puces construites dans l'établissement sont des ASIC (circuit intégré spécifique à une application). Comme leur nom l'indique, elles sont pensées pour effectuer une seule et même tâche. La fabrication de puces destinées aux outils électriques débutera en juillet, tandis que la production de puces pour les véhicules électriques ou autonomes commencera au mois de septembre. >> Lire l'article complet sur le site de Siècle Digital

Flambée des prix des matières premières - L'Ania demande une hausse des prix alimentaires

A cause de la flambée des prix des matières premières, les entreprises interrogées par l'Ania remontent un besoin de revalorisation tarifaire de 9 % en moyenne des produits agroalimentaires toutes catégories confondues, indique l'association dans un communiqué publié le 8 juin. La tendance reste déflationniste en 2021 pour les produits de grande consommation alimentaires, avec -0,49 % sur les 5 premiers mois de 2021. L'alignement de l'inflation alimentaire à un niveau comparable à l'inflation globale (1,4 % en mai) se traduirait par un coût d'environ deux euros par ménage et par mois, estime l'Ania.>> Lire l'article complet sur le site de Réussir


Supply chain

La logistique sous pression pour réduire le CO2

La chaîne logistique va devoir carburer pour rattraper son retard en matière de réduction d'émissions de gaz à effet de serre. Selon les calculs de l'ONG Carbon Disclosure Project, les émissions de la chaîne logistique produisent aujourd'hui 11,4 fois plus que la moyenne des autres activités économiques. Lors d'une réunion sur les différentes initiatives déjà prises à ce sujet organisé au sommet Movin'On, sommet mondial de la mobilité, Oscar de Bok, PDG de DHL Supply Chain (groupe Deutsche Post DHL) constaté que "69 % de nos clients se sont engagés dans la réduction de leurs émissions de CO2". Du coup, le poids lourd allemand compte investir 7 milliards d'euros dans des ressources logistiques neutres sur le plan des émissions de carbone d'ici à 2030 et respecter l'Accord de Paris sur le climat. 80.000 véhicules électriques, soit 60% de la flotte, vont être déployés pour livrer le dernier kilomètre. >> Lire l'article complet sur Stratégies Logistiques

Suez : un million de cargaisons cherchent un transporteur

Conséquence de l'avarie du navire l'Ever Given échoué dans le canal de Suez sur les transports terrestres, plus d'un million de courses attendent un transporteur selon la bourse de fret Timocom. La situation devrait se prolonger, voire s'aggraver, dans les jours à venir. Cela se ressent particulièrement sur les transports fluviaux et le rail, ce qui augmente la pression sur la route, avec des embouteillages dans les centres logistiques. C'est ce que Timocom appelle "l'effet ketchup" dans la logistique européenne, conséquence de la crise du canal de Suez. Le leader sur le marché de la bourse du fret comptabilise depuis plusieurs jours plus d'un million de cargaisons à la recherche d'un camion à travers le continent. Timocom s'attend même à une aggravation de la situation dans les semaines à venir. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Jumeau numérique : la puissance du logiciel au service de la logistique

Le projet, baptisé Digilogs, va permettre une modélisation numérique d'un système, qu'il soit physique ou financier. Le jumeau numérique teste des scénarios, des hypothèses pour une prise de décision plus éclairée et rationnelle. Permettant ainsi de mesurer l'impact d'une décision avant même sa mise en place, le tout étant alimenté par de la data directement issu du terrain. "Aujourd'hui, il n'existe pas d'outil permettant de modéliser, simuler, anticiper et tester les impacts sur le stock ou le taux de service par exemple", détaille Boris Dartiguepeyrou, responsable technique au sein de l'équipe CEA Tech Hauts-de-France. Le jumeau numérique mis au point permet ainsi de virtuellement changer l'emplacement d'un produit, modifier le process d'un flux, avoir des quais de chargement supplémentaire dans un entrepôt... et d'en mesurer les conséquences. >> Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique


Commande publique

Reprise de la commande publique : des inégalités régionales

L'Association des communautés de France (AdCF), en partenariat avec la Banque des territoires, livre une déclinaison régionale de son Baromètre de la commande publique (tous acheteurs publics réunis). L'étude revèle que si la commande publique a connu en 2020 une chute très significative au niveau national, les régions n'ont pas été affectées avec une ampleur analogue. "L'intensité des baisses en 2020, comme celle du rebond du premier trimestre 2021, présente des amplitudes variables d'une région à l'autre. La façade atlantique et l'Ile-de-France ont dans l'ensemble mieux résisté en 2020. Côté rebond, c'est en Centre Val-de-Loire et en Normandie que l'achat public connaît la reprise la plus dynamique début 2021." >> Lire l'article complet sur le site de Achats Public.info

Réemploi : Strasbourg montre l'exemple

L'Eurométropole de Strasbourg a devancé l'appel avec deux marchés que le ministère de la Transition écologique a d'ailleurs cités dans sa notice explicative du décret AGEC commande publique. Le premier a concerné l'achat de mobilier pour aménager la pépinière d'entreprises de Hautepierre. "L'initiative est venue de deux collègues de la direction de l'économie et de l'attractivité. Comme notre Spaser, édition 2018, favorisait déjà le réemploi, elles se sont dit : pourquoi pas ?", explique Antonin Klapka, coordonnateur des achats, en charge notamment de toute la partie achat durable, à l'Eurométropole. Avec l'aide d'un architecte décorateur, une vingtaine de pièces a été réalisée à partir d'invendus ou d'objets de seconde main. Des meubles ont ainsi retrouvé une nouvelle vie dans un design conforme à l'esprit du lieu. D'autres ont ressuscité sous une nouvelle forme : les manges-debout ont été fabriqués à partir de tambours de lave-linge, une table s'est métamorphosée en plateau d'échecs. >> Lire l'article complet sur le site de Santé Achats.info

Alstom remporte un contrat d'environ 1 milliard d'euros pour des trains au Mexique

Un consortium mené par Alstom a remporté un contrat d'environ 1,3 milliard d'euros, dont "près d'un milliard" pour le constructeur ferroviaire français, afin de fournir le matériel roulant et la signalisation du "Tren Maya", une nouvelle liaison ferroviaire au Yucatan, au Mexique. C'est concrètement un consortium comprenant une association d'Alstom et Bombardier Transport qui a été retenu fin mai par le Fonds national pour la promotion du tourisme (Fonatur), mais le premier a racheté le second fin janvier. Alstom est associé dans l'aventure aux groupes locaux Gami Ingeniería e instalaciones et Construcciones Urales, a-t-il précisé mercredi dans un communiqué. Alstom doit notamment fournir 42 trains dérivé de sa gamme X'Trapolis, adapté aux conditions locales. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro


RSE

Le travail des enfants augmente pour la première fois en deux décennies

Des millions d'enfants risquent d'être poussés à travailler à cause de la pandémie de Covid-19, au moment où le monde a enregistré la première hausse du nombre d'enfants au travail en deux décennies, a mise en garde l'ONU jeudi. Un rapport conjoint de l'Organisation internationale du travail (OIT) et de l'Unicef, l'agence onusienne en charge du bien-être des enfants, estime qu'au début 2020, 160 millions d'enfants étaient forcés de travailler, soit 8,4 millions de plus en quatre ans. Si les projections actuelles sur la hausse de la pauvreté dans le monde devaient se matérialiser, ce sont neuf millions d'enfants de plus qui vont être forcés de trouver du travail d'ici la fin de l'année prochaine, selon le rapport. Mais les modèles statistiques montrent que ce nombre pourrait être plus de cinq fois plus élevé, a mis en garde, Claudia Cappa, statisticienne de l'Unicef et co-auteure du rapport. "Si les protections sociales baissent par rapport à leur niveau actuel, à cause de mesures d'austérité et d'autres facteurs, le nombre d'enfants forcés de travailler pourrait bondir de 46 millions" d'ici la fin 2022, a-t-elle expliqué à l'Agence France Presse (AFP). >> Lire l'article complet sur le site de Le Temps

Devoir de vigilance : les entreprises sont de plus en plus poursuivies en justice par des ONG

La dernière affaire date du 7 juin. Quatre organisations, dont la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), ont assigné Suez en se reposant sur le devoir de vigilance. Les ONG lui reprochent de ne pas avoir mis en place de mesures préventives et correctives suffisantes pour prévenir des fuites de pétrole dans une usine d'eau potable alimentant plus de 140 000 personnes dans la ville d'Osorno au Chili. Le 3 mars dernier, pour la première fois, c'est une chaîne de supermarché, Casino, qui a été assignée. Les ONG, dont Notre Affaire à tous et Sherpa, estiment que ses ventes de produits à base de viande bovine d'Amérique du sud participent à la déforestation et à l'accaparement de terres des autochtones. "Il y a une judiciarisation de la RSE (responsabilité sociétale des entreprises)", croient Sébastien Mabile et François de Cambiaie, les deux avocats qui sont en charge du dossier qui oppose un collectif d'associations et de collectivités à Total. "Aujourd'hui, la RSE ce n'est plus de belles paroles sans engagements, il y a une responsabilisation des entreprises et le contentieux fait partie de la palette mise à disposition pour faire bouger les lignes", ajoutent-ils. >> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Loiret : McDonald's inaugure "une première ferme pilote", pour réduire l'empreinte environnementale

D'autres innovations ont également été présentées, même si pour le moment elles ne sont pas très utilisées par les agriculteurs, du robot pour désherber de manière économe les cultures, au drone, pour ajuster les doses de pesticides en fonction des besoins, en passant par les tracteurs électriques ou à hydrogène, ou encore un projet de méthaniseur (pour lequel Christophe Guerton ferme la porte). Souvent pointé du doigt pour sa responsabilité dans le réchauffement climatique (1/5 des gaz à effet de serre y sont liés, selon le ministère de l'Agriculture), pour les professionnel du secteur, le monde agricole pourrait faire partir de la solution. "On a quelque chose qui est la base de notre métier, qui est le sol. Le sol, est un puits de carbone et sur lequel on peut capter, stocker du carbone qui permet de diminuer les effets du changement climatique. Aujourd'hui, les moyens techniques, on en a. Alors ils ne sont pas clos, il faut encore en trouver d'autres, et c'est pour ça qu'on s'associe énormément avec les instituts de recherche pour aller plus loin", détaille Samuel Vandaele, le président des Jeunes Agriculteurs de France. >> Lire l'article complet sur le site de France Bleu

Pourquoi le jean 100% made in France n'existe pas (encore)

Souvent confectionné aux quatre coins du monde, le jean est sur la liste des vêtements les plus polluants. À titre d'exemple, du champ de coton à l'armoire de l'utilisateur, un jean peut parcourir jusqu'à 65.000 km soit 1,5 fois le tour de la Terre et nécessiter 2000 litres d'eau pour être fabriqué, sans compter les pesticides, détergents et autres colorants utilisés. Pièce favorite des mastodontes de la fast fashion, sa production avait déserté la France ces dix dernières années. Pourtant, depuis quelque temps, la production française de jeans semble renaître de ses cendres et susciter un réel intérêt du côté des clients. Cette demande s'est d'autant plus accentuée avec la crise du Covid-19. Les utilisateurs, en pleine recherche de valeurs et d'authenticité, repensent leur manière de consommer, ce qui encourage les marques à revoir leur production. "Nous nous sommes retrouvés face à un problème d'approvisionnement. Les entreprises françaises ont eu tendance à revoir leur sourcing et à rapatrier une partie de leur chaîne de production en France ou plus largement dans le bassin méditerranéen et en Europe", explique Marina Coutelan, consultante en mode éco-responsable et anciennement responsable développement durable chez Première Vision Paris, l'entreprise d'événementiel pour les professionnels de la mode. >> Lire l'article complet sur le site de Madame Figaro

La RSE, l'inclusion et la diversité convergent

L'inclusion et la diversité sont des sujets qui s'invitent de plus en plus régulièrement à la table de la responsabilité sociétale des entreprises, la RSE. Des concepts qui se rejoignent mais ne fonctionnent pas automatiquement de pair, comme le rappelle la philosophe Adélaïde de Lastic, consultante en éthique des organisations. "Une organisation peut avoir une démarche d'inclusion sans RSE, mais il n'est pas possible de mettre en oeuvre une démarche de RSE sans inclusion." Pour expliquer cela, il faut d'abord rappeler que la RSE est définie dans la norme ISO 26.000 , qui pose sept grands principes : la gouvernance, l'environnement, les relations et conditions de travail, les droits de l'homme, le développement local, la prise en compte des consommateurs, les loyautés des pratiques. Une quarantaine de sous-thèmes y affèrent. "Une entreprise qui a adopté une démarche de RSE développe donc des actions sociales et respecte les droits humains. Ce qui implique d'inclure tous les types de publics dans la masse salariale et de les traiter de manière égale en termes de salaire, de formation, de qualité de vie au travail, et ne tolérer aucune discrimination", rappelle Adélaïde de Lastic. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Après Renault et Volkswagen, l'affaire du "dieselgate" s'étend à Peugeot

Après Volkswagen en mai et Renault mardi, Peugeot a été mis en examen, mercredi, en France dans l'enquête sur le scandale du "dieselgate", débloquant un dossier enlisé depuis des années. Dans un communiqué mercredi soir, Stellantis, maison-mère de Peugeot, a annoncé la mise en examen de sa filiale "en raison d'allégations de faits de tromperie portant sur la vente de véhicules diesel Euro 5 intervenue en France entre 2009 et 2015." "Nos filiales sont fermement convaincues que leurs systèmes de contrôle des émissions répondaient à toutes les exigences applicables à l'époque et continuent aujourd'hui de les respecter, et elles attendent avec impatience l'occasion de le démontrer", a ajouté le groupe. Une source judiciaire a confirmé la mise en examen mercredi du chef de "tromperie entraînant un danger pour la santé de l'homme ou de l'animal". >> Lire l'article complet sur le site de Le Temps


Travel / Mice

Malgré le Covid, le trafic des jets privés a repris de plus belle

Ces vols aux tarifs inabordables pour le commun des mortels - comptez entre 5 000 et 8 000 euros pour un vol Paris-Nice - ont des effets délétères sur l'environnement car ils émettent dix fois plus de CO2 par personne que les liaisons aériennes commerciales. Quelques chiffres, publiés dans le rapport, permettent de comprendre l'ampleur des dégâts. Un vol privé de quatre heures génère autant d'émissions qu'un individu moyen en une année. En France, la moitié des vols en jet privé parcourent moins de cinq cents kilomètres, soit la distance opérationnelle où les avions sont les moins performants et donc les plus polluants. Près de 60 % des émissions générées par les jets privés sont liées aux aéroports du Bourget (Paris) et de Nice. Les mille vols annuels entre Paris et Nice polluent à eux seuls autant que 40 000 familles se rendant sur le même lieu de vacances en voiture. Rappelons au passage que seuls 4 % des Français prennent l'avion régulièrement. >> Lire l'article complet sur le site de Reporterre


IT

Data center : comment la pénurie de puces informatiques affecte le secteur ?

A l'heure où toutes les industries se plaignent quant à la pénurie des puces, l'offre de CPU semble stable. En effet, si un data center existe, c'est premièrement pour assurer que ses processeurs informatiques puissent poursuivre le calcul des chiffres, et ce, sans être interrompus. Ce secteur est ainsi une source de revenus considérables pour les fabricants. C'est pourquoi, même si les fournisseurs de commutateurs de réseaux font face à un problème dans le délai de livraison, ils asservissent les data centers en priorité. Résultat, les dirigeants au sein des sous-secteurs de l'industrie cherchent à persuader les analystes boursiers quant à leur capacité à acquérir des puces. Cela leur permettrait effectivement d'atteindre les prévisions de revenus annuels. Une chose est sûre, c'est que cette année, les sociétés consacrent plus de ressources à la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Selon un producteur de produits d'alimentation, ce coût supplémentaire pourrait même avoir une répercussion sur la clientèle. >> Lire l'article complet sur le site de Le Bigdata

Roubaix : l'enseigne de mode Camaïeu paralysée par une cyberattaque

C'est manifestement une cyberattaque à laquelle Camaïeu doit faire face, bloquant toute sont infrastructure. (...) Les boutiques fonctionnent donc, mais pour combien de temps ? "Tout étant informatisé, on ne sait pas ce que vendent les magasins et on ne sait pas comment les réapprovisionner", explique-t-on dans l'entreprise. À Roubaix, côté bureaux ou entrepôt, c'est la paralysie. À tel point qu'une part non négligeable des salariés aurait été placée en chômage technique. Hasard ou pas, il y a deux semaines, c'est Dispeo, via sa maison mère le groupe Hopps, qui aurait été victime d'une cyberattaque (Dispeo a refusé de répondre à nos questions). Or, Dispeo, implanté à Hem et à Toufflers, est prestataire logistique de Camaïeu pour la gestion de ses stocks. Ce jeudi, des responsables de l'enseigne de mode seraient justement venus chez Dispeo pour envisager un approvisionnement des boutiques. >> Lire l'article complet sur le site de La Voix du Nord

Cinq clés pour déployer une stratégie IT de plateformes

Le pilotage des coûts fait, depuis longtemps, partie du quotidien des directions informatiques. Aujourd'hui, ils doivent relever un autre défi. Dans un contexte budgétaire toujours aussi contraint, il leur faut moderniser le système d'information et accompagner la transformation digitale de l'entreprise. Placées au coeur de la révolution numérique, les DSI sont très attendues sur cette équation aussi complexe que stratégique. Et la crise née de la pandémie Covid-19 accentue encore la pression. >> Lire l'article complet sur le site de IT For Business


RH / Carrière / Management

Les quatre métacompétences du futur

L'expertise professionnelle sera une pâte à remodeler sans cesse pour s'adapter aux nouvelles réalités. Demain, il n'y aura plus vraiment de formation dispensée une fois pour toute : c'est tout un socle de compétences qui sera plutôt transmis, parmi lesquelles "apprendre à apprendre". Apprendre à apprendre pour s'adapter, pour se réinventer, pour désapprendre, pour oublier, pour décider, pour trier les informations et pour construire ses connaissances. C'est ce socle de compétences, enseigné par des professeurs d'un nouveau genre, qui me permettront d'acquérir toutes les connaissances dont j'aurai besoin pour remplir telle ou telle mission. Ce socle de compétences est notamment composé de quatre métacompétences, véritables guides pour les comportements et les actions, fondamentales pour les métiers de demain. >> Lire l'article complet sur le site de HBR


 
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