Revue de presse achats - semaine du 31 janvier
Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture.
Je m'abonneLes alliances dans la grande distribution, un levier de pression sur les fournisseurs à l'efficacité limitée
La formation d'une alliance aux achats constitue donc moyen de renforcer une forme de pouvoir en faveur des enseignes et aux dépens des fournisseurs. Cependant, ces alliances apparaissent comme un levier finalement fragile pour établir le rapport de force. En effet, elles se caractérisent par une instabilité chronique et une performance souvent contestée qui alimentent la recherche depuis plusieurs décennies. Et, si le domaine des achats est souvent considéré comme le champ d'application privilégié de ce type d'alliance pour créer de la valeur, dans ce secteur comme dans d'autres, leur taux d'échec demeure de l'ordre de 50%. De nombreux facteurs ont été soulignés pour expliquer cette tendance. Récemment, leur complexité a notamment été identifiée pour expliquer l'instabilité des alliances en général. Notre travail de thèse permet en outre d'apporter un nouvel éclairage sur les alliances dans les achats et les difficultés rencontrées. Nous mettons en effet en évidence que la négociation commerciale n'est pas une simple transaction, mais une activité dont les dimensions processuelle et sociale nécessitent d'être intégrées à sa compréhension. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation
Avec son "Chips act", l'Union européenne veut quadrupler sa production de puces électroniques
Alors que l'Europe ne pèse aujourd'hui que 10% de la production mondiale de puces, Bruxelles veut doubler cette part d'ici 2030. "Il s'agit [...] pour l'Europe de multiplier par quatre notre propre production", résume Thierry Breton. L'enjeu est d'abord stratégique, afin de renforcer "l'indépendance" de l'Europe. La pandémie a servi d'avertissement : "on ne peut se permettre d'être dépendant de pays tiers dans des domaines stratégiques. Nous l'avons vu avec l'épisode des masques puis des vaccins", souligne le commissaire européen. Il est aussi économique : "le marché devrait doubler d'ici là pour atteindre mille milliards de dollars", des opportunités intéressantes pour l'avenir. Pour Thierry Breton, l'Europe dispose de qualités essentielles permettant d'atteindre l'objectif fixé : les "compétences", d'abord, "de très bons équipements industriels", ensuite, ainsi qu'un "environnement géopolitique stable, fondé sur le respect de l'État de droit" et des "règles claires sur la durée". En outre, des "aides financières" seront mobilisées pour attirer les grands constructeurs, par le biais de "fonds européens" et "d'aides des États membres", ajoute le représentant de la Commission. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Semi-conducteurs : Berlin fait capoter la reprise de Siltronic par le taïwanais GlobalWafers
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Dans son contrat de coalition, le nouveau gouvernement allemand a fait de la maîtrise des technologies critiques un enjeu clair de souveraineté. Après plus d'un an de négociations, le projet de rachat de l'entreprise munichoise Siltronic, spécialiste de la production de disques en silicium, par son concurrent taïwanais GlobalWafers, vient d'en faire les frais. Il s'agissait pour le numéro trois mondial de ce marché essentiel à la confection des semi-conducteurs de créer, avec le numéro quatre du secteur, un nouveau poids lourd mondial. En refusant de donner son approbation réglementaire avant le 31 janvier à minuit, date butoir concernant la validité de l'offre de reprise pour 4,35 milliards d'euros de GlobalWafers sur Siltronic, le gouvernement allemand a torpillé le projet. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Commande publique
Exclusion automatique des marchés publics en raison de certaines infractions pénales : les parades
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Le Conseil d'Etat, qui ne dispose pas du pouvoir de censurer la loi, a tiré les conséquences de la décision de la CJUE en définissant, à titre transitoire, un régime juridique qui vient, selon nous, se substituer aux dispositions du CCP (CE, 12 octobre 2020, "Société Vert Marine", n°419146, Tables). Dans l'attente de l'édiction de textes compatibles avec le droit de l'Union européenne, le Conseil d'Etat a fait une application directe de la directive, estimant que "l'exclusion de la procédure de passation des contrats de concession prévue à l'article L. 3123-1 du Code de la commande publique n'est pas applicable à la personne qui, après avoir été mise à même de présenter ses observations, établit dans un délai raisonnable et par tout moyen auprès de l'autorité concédante, qu'elle a pris les mesures nécessaires pour corriger les manquements correspondants aux infractions mentionnées au même article pour lesquelles elle a été définitivement condamnée et, le cas échéant, que sa participation à la procédure de passation du contrat de concession n'est pas susceptible de porter atteinte à l'égalité de traitement". >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur
Variantes : comment éviter le contentieux
Solution différente de celle envisagée par l'acheteur, la variante permet au candidat de remettre une offre différente, qu'elle soit moins chère ou techniquement supérieure. Elle correspond à des "modifications, à l'initiative des candidats, de spécifications prévues dans la solution de base décrite dans les documents de la consultation" (CE, 5 janvier 2011, n° 343206, Société Technologie Alpine Sécurité/Commune de Bonneval-sur-Arc). Cette utilité pour l'acheteur a une contrepartie : celle d'être particulièrement vigilant sur l'usage de la variante lors de la passation de son marché. Le principe en procédure formalisée est l'interdiction, sauf mention contraire du pouvoir adjudicateur aux documents du marché. A l'inverse, pour les MAPA, le principe est l'autorisation des variantes, sauf mention contraire du pouvoir adjudicateur. >> Lire l'article complet sur le site santé-achats
RSE
Les achats responsables, nouvelle frontière de la RSE
Par Hugues Poissonnier, professeur associé à Grenoble Ecole de Management
Réinsuffler de l'audace dans la politique RSE des entreprises
Quelle tristesse que la tiédeur ! Les entreprises, en matière de RSE, ne doivent pas se contenter d'une demi-mesure qui ne sera pas véritablement efficace dans la durée. En effet, les initiatives prises ne doivent pas se cantonner à un seul département dans les organisations ou bien se restreindre à figurer dans un onglet, actualisé de temps en temps, sur un site internet corporate. Bien trop souvent, les projets portés se retrouvent cloisonnés, peu coordonnés et peu visibles des parties prenantes. Un soutien financier par-là, une aide ailleurs... Avec, souvent pour seul horizon, la perspective d'une belle publication sur les réseaux sociaux. Changer d'échelle offrira, par conséquent, la possibilité de proposer autre chose que des seules actions dispersées et sans liens véritables. Il ne peut s'agir uniquement d'une addition d'actions ponctuelles si l'on souhaite que les externalités positives de l'entreprise soient globales. >> Lire l'article complet sur le site de du Journal de l'économie
Les industriels accélèrent dans le recyclage du plastique
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Poussés par un durcissement de la réglementation et par les consommateurs, les fabricants de bonbons, shampoings et autres yaourts sont en quête de plastique recyclé. C'est pourquoi les industriels ont annoncé plus de 1 milliard d'euros d'investissements rien qu'en ce mois de janvier en France. La palme revient à l'américain Eastman, qui consacre près de 900 millions d'euros à la construction d'une usine (capacité de 160.000 tonnes, 350 emplois) dans un lieu à définir. Le canadien Loop, associé à Suez, débourse de son côté 250 millions d'euros pour son premier site européen (capacité de 70.000 tonnes, 180 emplois) à Port-Jérôme-sur-Seine (Normandie), dont L'Occitane, L'Oréal et Danone seront clients. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
TotalEnergies et Veolia s'allient pour valoriser les gaz issus des décharges
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Le biométhane produit sera collecté, purifié et commercialisé par TotalEnergies, soit comme carburant pour transports lourds, soit pour injection dans les réseaux de gaz locaux. Veolia dispose au niveau mondial "d'un gisement global de biogaz supérieur à 6 TWh d'énergie primaire", selon sa directrice générale adjointe Estelle Brachlianoff: le groupe "vise à développer davantage de capacités de production d'énergie verte décentralisée et locale". Quant à TotalEnergies, qui cherche à se transformer en "compagnie multi-énergies", il affiche en France près de 500 GWh de capacité de production de biométhane. Il vise au moins 2 TWh annuels d'ici 2025, France et étranger inclus, en s'associant à des partenaires, par exemple Clean Energy aux Etats-Unis. Pour 2030, il vise 6 TWh. Pour ce partenariat entre les deux géants français, aucun chiffre, notamment d'investissement, n'a été livré. L'idée est de «combiner les forces pour accélérer», indique-t-on. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
"Dans l'industrie de la mode, ce n'est pas le coton bio ou le polyester recyclé qui changeront la donne"
Interview de Maxine Bédat, ancienne avocate, fondatrice du New Standard Institute, un groupe de réflexion et d'influence consacré à la mode durable - "Selon l'enquête du cabinet Quantis qui mesure l'impact environnemental du secteur, effectuée en 2018, deux tiers de l'empreinte carbone de l'industrie de la mode proviennent des usines, de la façon dont le fil est filé, teint et tissé, et de la confection. C'est massif. Il faut donc améliorer l'efficacité de la production, accélérer la transition vers des sources alternatives d'énergie. Mais les marques de mode n'y procèdent pas, car elles sont plus occupées à nous raconter des histoires sur la façon dont elles recourent à des matières premières jugées durables, comme le coton bio ou le polyester recyclé. Or tout le monde sait que ces ingrédients magiques ne suffiront pas à changer la donne. Car l'empreinte carbone de cette industrie ne provient ni du champ de coton ni de la fin de vie d'un vêtement, mais des usines." >> Lire l'article complet sur le site du Monde
Supply chain
Les biais cognitifs aggravent les problèmes d'approvisionnement
VAlex - stock.adobe.com Abstract human face, 3d illustration, head constructed of cubes, artificial inte Par Sébastien Breteau, président et fondateur de Qima
Les premiers instants sont propices à la persistance du biais de confirmation. Et en période d'incertitude, le manque d'informations fiables aggrave cette persistance. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Airbus va créer une compagnie aérienne pour le transport cargo XXL en Beluga
Ces dernières années, les besoins en matière de fret aérien ont explosé, une tendance renforcée depuis le début de la crise sanitaire où il a fallu acheminer en urgence du matériel médical et aussi faire face à l'explosion du e-commerce. Airbus ne compte pas s'attaquer à l'ensemble de l'activité cargo et vise en particulier le segment "hors gabarit" adapté aux capacités XXL du BelugaST : 7,1 mètres de hauteur, 6,7 mètres de largeur, 39 mètres de long et une capacité d'emport de 40 tonnes. "Cet avion offre les plus grandes dimensions par rapport à n'importe quel avion cargo au monde, estime Reza Fazlollahi, responsable du développement commercial chez Airbus. Jusqu'à présent, il fallait parfois démanteler une charge utile pour pouvoir la transporter et la réassembler à l'arrivée avec des tâches supplémentaires de maintenance et de test, autant d'activités chronophages et de coûts additionnels pour les sociétés. Pouvoir transporter une charge utile, assemblée en un seul morceau, représente évidemment un gain de temps et d'argent pour nos clients." Airbus compte adresser à la fois le marché civil et militaire et cible l'industrie aéronautique, la filière pétrole et gaz, les grandes machines, les conteneurs et les hélicoptères. L'avion est notamment utilisé en cas d'urgence quand le transport par bateau ou par camion est considéré comme trop lent. Au-delà des transports de charges volumineuses, l'avionneur lorgne sur le transit de biens à forte valeur ajoutée. "Le marché du fret aérien grand format est un marché de niche. Mais ces dernières années, même avant le Covid, nous avions été approchés par plusieurs compagnies qui nous demandaient si le Beluga était disponible pour réaliser des vols charters dans différentes destinations à travers le monde", ajoute Reza Fazlollahi. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
IT
Le groupe Blachère dématérialise le traitement de ses factures fournisseurs
Pour le groupe, il s'agissait notamment de pouvoir accéder en temps réel aux factures, à chaque étape de leur parcours : un prérequis important pour se conformer aux obligations réglementaires de la loi de finances 2021, qui impose de gérer les factures fournisseurs dans un format électronique indexé et facilement accessible. Dans ce but, le groupe Blachère a choisi de déployer la solution Anael Dématérialisation, conçue en partenariat avec l'éditeur Yooz, à la fois pour son intégration avec Anael Finance, son ergonomie et pour l'accompagnement fourni par Infor. >> Lire l'article complet sur le site de CIO. >> Lire l'article complet sur le site de CIO
Fleet management / Mobilité
Le jumeau virtuel au service d'une mobilité durable
Interview de Laurence Montanari, Vice-Présidente Industrie Transports & Mobilité chez Dassault Système
Les conseils d'Arval pour se jouer des pénuries
Des actions peuvent toutefois être initiées par les entreprises pour juguler les effets de la crise. Arval en a identifié plusieurs. La première consiste à anticiper le processus de commandes lors des renouvellements de flottes. En somme, n'attendez pas les derniers mois de contrat pour passer commande de vos futurs véhicules. Et pour pallier l'allongement des délais de livraison, Arval propose à ses clients l'extension des durées de contrats ou des kilométrages. Le loueur préconise ensuite de privilégier les véhicules électrifiés qui sont, comme nous l'avons vu, plus facilement disponibles que les modèles thermiques. "Notre travail d'analyse, de conseil et d'accompagnement auprès de nos clients nous révèle surtout qu'au-delà des défis, ce sont aussi de véritables opportunités en termes d'optimisation des coûts et d'accélération de la transition énergétique", explique Shams-Dine El Mouden, directeur international d'Arval Consulting. Un autre levier à actionner consiste à élargir le panel de constructeurs référencés. Tous les constructeurs n'ont pas les mêmes problèmes d'approvisionnement et des opportunités sont possibles chez certaines marques. "Les gestionnaires de flotte doivent désormais envisager de faire évoluer leur politique de flotte", suggère Arval. >> Lire l'article complet sur le site du Journal Auto
Dachser s'équipe de véhicules sans émissions polluantes
Dachser, prestataire de transport et logistique, intègre des véhicules électriques à sa flotte et teste des camions à hydrogène, afin de tendre vers un transport de marchandises qui ne produit pas d'émissions carbonées. En Europe, la société va acheter ou utiliser en partenariat 50 camions à batterie électrique d'ici à 2023, et également ajouter progressivement 1 000 voitures de fonction électriques à sa flotte - ce qui représentera une voiture sur deux - jusqu'à la fin de l'année 2023. « La seule façon pour le secteur des transports d'atteindre l'objectif de zéro émission fixé au niveau mondial est d'utiliser ces véhicules. C'est pourquoi ils constituent un élément clé de notre propre stratégie Climate Protection. Dans les années à venir, nous allons considérablement développer notre utilisation de véhicules propres, ce qui nous permettra d'acquérir une précieuse expérience et nous aidera à en augmenter le nombre », explique Stefan Hohm, chief development officier de Dachser. >> Lire l'article complet sur le site de Vox Log
RH / Management / Carrière
"Le télétravail associé au management inadapté est une bombe à retardement"
Interview de Henri Savall, professeur émérite à l'IAE de Lyon (Université Jean Moulin) et président-fondateur de l'ISEOR
Le secret bien gardé des équipes les plus productives : la gentillesse
L'étude de Google identifie deux points communs à toutes les équipes les plus productives : Chacun y est libre de s'exprimer. Les chercheurs ont remarqué qu'il est nécessaire de laisser à tous les membres d'une équipe la possibilité d'une prise de parole et d'un partage de point de vue. Les membres qui composent ces équipes sont empathiques. En effet, les bonnes équipes réunissent des personnes capables de comprendre le ressenti des autres, en se basant simplement sur l'expression de leur visage, le ton de leur voix ou d'autres indices non verbaux. La possibilité de s'exprimer librement et la capacité empathique des membres d'une équipe créent alors ce que l'on appelle la « sécurité psychologique ». Amy Edmondson, professeure à la Harvard Business School, définit ce phénomène comme un sentiment de confiance partagé par tous qui assure à chacun la liberté de s'exprimer sans être jugé. C'est cette sécurité psychologique qui permet à la gentillesse de s'exprimer. La bienveillance ambiante offre alors un climat de confiance et de respect mutuel dans lequel chaque individu peut donner le meilleur de lui-même, prendre des initiatives, parler de ses erreurs et apprendre à les corriger. >> Lire l'article complet sur le site de Welcome to the Jungle
Leadership : Mesdames, le pouvoir se prend, il ne se donne pas
Au sommet, ces dames sont priées de soigner autant le fond que la forme. Leur façon de s'habiller, de parler ou encore d'occuper l'espace est scrupuleusement observée. Dans le même temps, les standards des plus hautes sphères du pouvoir ayant été conçus par et pour des hommes, il leur faut les adopter. Mais avec subtilité, leur est-il tacitement recommandé, pour ne pas être illico jugées autoritaires ("bossy", disent les Anglo-Saxons) ou agressives. A cet égard, outre-Atlantique, avait fleuri un mouvement #banbossy qu'avait même soutenu l'ex-secrétaire d'Etat Condoleezza Rice. Pas facile d'être "Numéro Une" comme l'a si bien filmé Tonie Marshall. Seule au pouvoir, Méka Brunel, rare dirigeante à la tête d'une entreprise du SBF 120 , l'a longtemps été. « Seule et la plus jeune, se remémore la directrice générale de Gecina. Ma génération a dû s'imposer en copier-coller des hommes. Mais moi - 1,56 mètre, femme, d'origine iranienne -, j'ai toujours cherché à cultiver ma différence. » La prise de fonction est une période un peu stressante et très intense de diagnostic : "Que va-t-elle faire ? Que va-t-elle dire ? : à l'égard des femmes, il n'y a pas de bénéfice du doute mais une certaine suspicion", observe Méka Brunel. "Mais assez vite, je suis sortie de l'idée de devoir toujours me justifier. Les mentors hommes que j'ai eus m'y ont aidé. Ensuite, au fil du temps, j'ai appris à ne pas me laisser atteindre par certaines remarques fielleuses et à les retourner avec humour." >> Lire l'article complet sur le site des Echos
La plateforme Hired dévoile 3 clés pour retenir et recruter des talents
La pandémie a donné aux travailleurs l'occasion de réévaluer leur intégration au sein du monde de l'entreprise. Grande Démission oblige, pour retenir et surtout recruter des talents, les entreprises vont devoir montrer une patte encore plus blanche et impeccable, affirme dans un article de Fast Company Daniel Zhao, économiste pour la plateforme Glassdoor. Diversité, engagement du management et des dirigeants, ressources en matière de santé mentale sont les avantages qui distingueront à l'avenir les entreprises.
Pour infirmer ou confirmer ces intuitions, la plateforme RH Hired a mené une étude réalisée entre octobre 2020 et octobre 2021. Son objectif ?Évaluer la capacité d'attraction et de rétention de talents de plus de 650 entreprises outre-Atlantique. Elle a distingué trois points communs à celles rencontrant le moins de difficultés à recruter : elles donnent la priorité aux candidats sous-représentés, répondent plus rapidement aux candidats et sont plus transparentes quant à la rémunération. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN