Revue de presse achats - semaine du 14 au 18 janvier
Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? La rédaction a pensé à vous! Nous vous avons sélectionné des informations publiées cette semaine, en rapport avec les achats, la supply, la RSE, l'IT, mais aussi des infos RH ou carrière. Bonne lecture!
Je m'abonneComment le responsable des achats peut devenir "le responsable des objectifs" grâce à la transformation numérique
Au fur et à mesure que des innovations telles que l'intelligence artificielle, l'apprentissage automatique, l'Internet des objets et la blockchain redéfinissent des industries entières, les réseaux deviennent non seulement plus rapides, mais également plus intelligents pour obtenir des informations à partir de vastes étendues de données apparemment sans rapport. En cours de route, ces avancées permettent aux responsables des achats de regarder au-delà de leurs domaines de compétences traditionnels. Les applications en "nuage" reprenant de plus en plus souvent les activités tactiques quotidiennes de la fonction, elles permettent aux responsables des achats de se concentrer sur des priorités stratégiques telles que le renforcement de la résilience de la chaîne d'approvisionnement, la protection de la marque contre les risques liés aux tiers et la création de nouvelles sources d'innovation. Ces priorités vont au-delà des opérations au sens strict. Considérez le risque de réputation associé au travail forcé en amont dans une chaîne d'approvisionnement. Un réseau instille confiance chez les acheteurs et les fournisseurs quand il offre une visibilité non seulement sur les stocks, les durées de cycle et les taux de rotation, mais aussi sur les critères qui permettent de déterminer si les valeurs de la marque d'un partenaire commercial s'alignent sur celles de la vôtre. >> Lire l'article complet sur le site de TotalBusinesseMagazine
Carrefour lance un audit indépendant de 100% de ses abattoirs et devient le premier distributeur français à demander des caméras dans ses abattoirs
Carrefour lance un audit totalement indépendant de l'ensemble des abattoirs fournissant les marques Carrefour, Carrefour Bio, Reflets de France, ainsi que les Filières Qualité Carrefour, selon le référentiel de Protection animale établi par l'association spécialisée OEuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs (OABA). En parallèle, Carrefour devient le premier distributeur français à installer des caméras dans ses abattoirs. 84 audits seront ainsi réalisés avant la fin de l'année 2019. (...) Pour garantir une transparence totale sur les conditions d'abattage, Carrefour renforce son dispositif de contrôle. A compter d'aujourd'hui, Carrefour est le premier distributeur français à demander à l'ensemble de ses fournisseurs d'équiper leurs abattoirs de caméras. Un premier pilote sera réalisé en collaboration avec la coopérative Cooperl, qui complétera ainsi l'installation sur ses 3 abattoirs, et qui partagera les résultats de ce test avec Carrefour, et l'OABA. Cette démarche vise à renforcer les contrôles déjà réalisés et poursuivre la coopération que le groupe entretient depuis plus de 30 ans avec ses fournisseurs et éleveurs. >> Lire l'article complet sur le site de Carrefour
E.Leclerc va lancer une marque destinée à accompagner commercialement les producteurs en conversion bio
Le Mouvement E.Leclerc lancera en février une nouvelle marque pour soutenir les agriculteurs français en conversion vers le bio. Son nom : " Récoltons l'avenir ". L'objectif : s'engager sur des contrats de filière de cinq ans " pour aider les agriculteurs durant les trois ans de conversion au bio ", indique un communiqué du 9 janvier 2019. Cette initiative s'inscrit dans une démarche d'accompagnement contractualisée entre la marque de distributeur " Marque Repère " et les agriculteurs de la coopérative " Les Celliers Associés ", détaille le mouvement. " Lors de la première année de conversion, la majeure partie de la production est intégrée aux gammes conventionnelles Marque Repère, précise le communiqué. En deuxième et troisième années, la production est valorisée au travers des produits " Récoltons l'avenir ". Ceci permet à l'enseigne E.Leclerc de proposer aux consommateurs des produits en conversion vers une agriculture durable et qui ne peuvent pas encore porter le label Biologique ". >> Lire l'article complet sur le site de La France Agricole
Airbus veut des réductions de coûts importantes pour le jet A220
Alors qu'il envisage d'accroître sa production dans les années à venir, Airbus incitera également ses fournisseurs à l'aider à réaliser des réductions de coûts substantielles sur son nouvel avion à passagers A220. Selon un reportage de Reuters, Philippe Balducchi, qui dirige l'installation Airbus-Bombardier sur l'appareil précédemment connu sous le nom de série C, a déclaré lundi que des réductions significatives en pourcentage à deux chiffres proviendraient en grande partie des réductions de prix proposées par Airbus, base d'approvisionnement sur le programme. >> Lire l'article complet sur le site de BizJounals.com
Les mécanismes de la contractualisation inversée
La loi pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, durable et accessible à tous, du 30 octobre 2018, dite "loi Egalim", vient réformer en profondeur la contractualisation dans le but de parvenir, enfin, à un rééquilibrage des relations au profit des agriculteurs. Deux mesures phare dans cette loi : confier au producteur, et non plus à l'acheteur, l'initiative de la proposition initiale de contrat et donc de la construction du prix - notamment à partir des indicateurs des coûts de production - ce que l'on a appelé la contractualisation inversée et imposer que la suite de la chaîne - c'est-à-dire les contrats de revente - prenne en compte ces indicateurs, ce que l'on a appelé le transfert en cascade. Le champ de la contractualisation s'étend à "tout contrat de vente de produits agricoles livrés sur le territoire français [...] conclu sous forme écrite". >> Lire l'article complet sur le site de Les Marchés
Supply chain
L'évolution des nouvelles technologies et leur impact sur la supply chain
Les solutions d'analyse prédictive combinant big data et machine learning annoncent une vraie révolution à tous les niveaux de la Supply Chain et des organisations. A partir de l'analyse de données industrielles (historique des ventes, évolution des gammes, main-d'oeuvre disponible...) et la combinaison d'indicateurs externes (prévisions météo, indices macro-économiques, tendances consommateurs...), l'analyse prédictive est en mesure de prévoir à l'avance la consommation d'énergie d'un grand groupe industriel, l'évolution du prix des matières premières, d'anticiper les rayons à approvisionner dans le retail, ou le personnel des caisses pour mieux anticiper la demande, voire ajuster les prix... (...) Décathlon a généralisé l'usage de la puce RFID dans la Supply Chain générant ainsi des gains sur la logistique et dans les magasins. Déployer cette solution en début de chaine a permis au spécialiste de l'équipement sportif d'avoir une vue complète sur la production, d'optimiser la visibilité des flux logistiques, d'améliorer le pilotage de l'entrepôt, gagner en rapidité lors des inventaires, avoir une meilleure traçabilité, et gagner en rapidité à l'encaissement. >> Lire l'article complet sur le site de l'ASLOG
Gartner dévoile son classement des meilleures supply chains européennes
Le cabinet Gartner a dévoilé son classement annuel des 15 meilleures supply chain européennes. Celui-ci se base sur les ROI, les rotations d'inventaire, la croissance et les politiques RSE des entreprises. Sur le podium, on retrouve le géant agroalimentaire Unilever, le leader du retail Inditex (Zara, Pull & Bear) puis Nestlé. Unilever et Inditex conservent ainsi leurs positions de l'année précédente et arrivent également en tête du classement mondial de Gartner. Trois entreprises font leur entrée dans le classement : Novo Nordisk à la sixième place, British American Tobacco à la 14e place et Danone à la 15e place. "Les organisations logistiques européennes continuent de progresser, représentant désormais 11 des 25 meilleures supply chain mondiales et montrant une croissance forte de leur chiffre d'affaires avec une moyenne de 8,3 %, tout en ayant des scores très élevés sur les questions de RSE", analyse Stan Aronow, research vice president chez Gartner. "Pour cela, celles-ci s'appuient sur des innovations digitales - robotique, IA, réalité augmenté -, s'axent sur l'expérience client et réalisent des efforts sur la visibilité et la traçabilité tout au long de la supply chain". >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog
La supply chain, compatible avec un avenir sans déchets d'activités économiques?
(...) Potentiel d'attractivité accru, impact positif sur les performances, encouragement de l'opinion, ce contexte favorable doit permettre aux supply chains d'évoluer. (...) Mais par où les entreprises doivent-elles commencer pour établir une supply chain exempte de plastiques à usage unique et de déchets de manière générale ? Tout repose initialement sur les données. Grâce à un logiciel dédié au design de leur supply chain, les entreprises peuvent disposer d'une vue d'ensemble sur cette dernière, leur offrant dans le même temps des informations détaillées concernant notamment les spécificités d'emballage de leurs produits. De cette façon, on peut étendre cette veille des déchets à toutes les industries où les déchets tels que les solvants ou accumulateurs seraient repérés. Les fournisseurs d'emballages alternatifs qui répondent à ces attentes peuvent ainsi être ajoutés au modèle de supply chain, directement au sein du logiciel, aux côtés d'un indicateur ou d'un indice relatif à leurs caractéristiques tarifaires et à leur positionnement au sein du réseau. Un logiciel dédié au design de la supply chain peut aider les entreprises à visualiser un problème en tirant parti de données volumétriques permettant d'identifier rapidement les sources et les flux des différents fournisseurs. Le logiciel permettrait aussi la traçabilité des déchets. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle
Le marché de la logistique du froid, en pleine reconfiguration
La croissance du marché s'est accompagnée d'une reconfiguration majeure de l'arène concurrentielle. En effet, squeezés par la hausse des investissements et des coûts nécessités par les exigences réglementaires et, d'autre part, la pression sur les prix découlant de multiples facteurs (baisse du pouvoir d'achat des consommateurs, maîtrise des dépenses de santé et "industrialisation" progressive des méthodes d'achat des laboratoires...), de nombreuses PME de transport à température dirigée ont vu leurs performances se dégrader. En effet, l'optimisation du groupage en amont et la massification des produits en aval sont aujourd'hui plus que jamais des enjeux essentiels pour les acteurs. Un nombre important de grands intégrateurs ont d'ailleurs dynamisé leur activité sur ce marché, considéré comme de plus en plus attractif. Mais selon Les Echos Etudes, les grands acteurs ne sont pas les seuls à tirer leur épingle du jeu, des entreprises de plus petites tailles souvent des spécialistes, affichent également des performances financières positives. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Brexit et transport routier, l'inconnue ...
En attendant d'en savoir plus sur la conclusion d'un Brexit qui s'éternise, les organisations patronales françaises, Medef en tête, préviennent les entreprises qu'elles ont intérêt à s'organiser. Côté Gouvernement français, on prend aussi les devants. Gérald Darmanin, originaire du Nord et ministre de l'Action et des Comptes publics, qui s'inquiète aussi à juste titre pour la compétitivité des entreprises de transport et de logistique mais aussi des ports tente la conciliation à coup de réunion. Pour l'heure, les incertitudes persistent. Cependant, pour anticiper, le Ministre a déjà annoncé 700 créations de postes dans la Douane d'ici à 2020. De nombreuses inquiétudes subsistent car même en simplifiant au maximum les procédures douanières, la question des contrôles sanitaires ne pourra pas être traitée en 6 mois car ces contrôles appellent de nombreuses infrastructures. Les embouteillages ne sont pas à exclure. Mais ira-t-on jusqu'à la situation apocalyptique prédit par les anglais ? >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo
Innovation
The North Face présente un textile imperméable d'un nouveau genre au CES 2019
Scott Mellin, qui dirige Mountain Sports at The North Face à un niveau international, explique dans un communiqué : " Grâce à Futurelight, nous pouvons en théorie transformer tout ce que l'on veut en une matière ventilée et imperméable avec, pour la première fois, une notion de confort. Imaginez un tee-shirt, un pull ou même un jean étanche que vous auriez plaisir à porter ". Le textile met à profit la technologie "Nanospinning", qui crée des nano-ouvertures rendant le matériau poreux sans compromettre son imperméabilité. Le processus permet de modifier le poids, l'élasticité, la ventilation, la résistance et la texture même du tissu pour l'adapter à différentes activités. On peut donc imaginer un textile plus respirant pour l'aérobic et des vêtements ultrarésistants pour un usage par climat venteux et humide. Futurelight est conforme à l'engagement de la marque en termes de développement durable. Le tissu à trois épaisseurs est créé à partir de matériaux recyclés, dans une usine fonctionnant à l'énergie solaire et sans recourir à des éléments chimiques. >> Lire l'article complet sur FashioNetWork
Le futur de la chaussure selon Nike : une basket connectée, auto-laçante et... à recharge
La Nike Adapt BB est nécessairement une chaussure bardée de technologies. Ainsi, elle sera équipée d'une batterie qu'il faudra recharger par induction en la posant sur un tapis fourni. Sur ce point, le fabricant rassure : "Si la batterie est à plat alors que vous portez encore vos chaussures, pas de panique. Elles pourront toujours se délacer pour libérer vos pieds." Paradoxalement, elle n'intégrera pas de capteurs pour mesurer la performance (nombre de pas par exemple)... Nike ne s'est pas embarrassé de gadgets pour cette génération. Le gros plus de la Adapt BB se nichera dans sa connexion avec une application (qu'il faudra mettre à jour, bien sûr). En quelques clics sur son smartphone (ou un bouton présent sur la chaussure), il sera donc possible d'ajuster très rapidement le maintien. Pour les sportifs de haut niveau, il s'agit d'une aubaine : en fonction des moments, ils peuvent avoir besoin d'une basket plus ou moins serrée. >> Lire l'article complet sur le site de Numerama
Une bouteille écologique végétale inventée à Toulouse
Le choix du lin pour créer une bouteille éco-responsable n'est pas anodin. Le lin est une matière qui ne présente que des avantages : il allie résistance, légèreté et longévité. Autre point crucial, il ne demande ni irrigation ni traitement et on le cultive très facilement en France (pays qui produit 67% du lin dans le monde). Il est d'ailleurs déjà employé dans d'autres domaines : automobile, aéronautique, VTT,.. Pourquoi ne pas généraliser son utilisation dans divers secteurs de la société en vue de remplacer, quand faire se peut, le plastique ? Pour transformer le lin en bouteille, l'entreprise a du relever un défi de taille : concevoir un tissage qui s'adapte à la forme de la bouteille, du goulot étroit au corps plus large. Pour résoudre ce problème, Green Gren Technologies s'est tourné vers la Suède, leader mondial du composite végétal où a été développée une technique de tissage cylindrique. Une technique reprise dans la conception de cette bouteille écologique : une " chaussette " en lin est posée sur un moule, on rajoute de la résine végétale puis le tout est chauffé pour obtenir la forme de la bouteille. >> Lire l'article complet sur le site MrMondialisation
Commande publique
Quand le gouvernement sous-traite l'écriture de ses lois
Le ministère des transports a procédé à un appel d'offre éclair visant à sous-traiter l'écriture d'une partie de sa loi sur les mobilités, dévoilée à la fin de l'année dernière. A l'époque, à peine quelques lignes dans le Canard enchaîné, toujours bien informé, et qui s'étonne de voir la captation par un cabinet privé d'un rôle " normalement dévolu au ministère proposant le texte ". Il faut dire que cette innovation du gouvernement a de quoi surprendre. Largement pratiqué dans les pays anglo-saxons, le recours à des cabinets de conseil et d'avocat pour l'élaboration de certaines lois, reste très mal vu en France. Dans un pays de tradition étatiste et jacobine, le fait de recourir à des acteurs privés est perçu comme une forme de renoncement de l'Etat à ses prérogatives et comme une dérive conduisant immanquablement à des risques de conflit d'intérêt. >> Lire l'article complet sur le site de France Culture
Grand débat : la note édifiante de Bercy sur l'état des finances publiques
Le ministère de l'Économie a publié, sur le site dédié au grand débat, une note édifiante sur la répartition des dépenses publiques. Pour plus de clarté, le document dévoile les dépenses ramenées à un budget de 1 000 euros. La morale du document publié par Bercy : "Les finances publiques de la France sont marquées par le niveau de dépenses publiques le plus élevé des pays développés." La note de Bercy rappelle également que, "chaque année, l'administration dépense plus qu'elle ne perçoit". "En 2017, pour 100 euros perçus par les administrations publiques, elles ont dépensé 105 euros", poursuit le document, qui se désole que les niveaux de déficit et de dette française soient supérieurs à la moyenne des autres pays européens. >> Lire l'article complet sur le site du Point
RSE
27 grands industriels et un milliard de dollars pour réduire la pollution plastique
Chimistes, pétroliers, gestionnaires de déchets, et aussi fabricants de biens de consommation, ils sont vingt-sept acteurs majeurs de l'industrie à s'être rassemblés, le 16 janvier, sous cet étendard au nom sans équivoque : "Alliance to end plastic waste" (l'Alliance pour en finir avec les déchets plastiques - AEPW). Un nom volontaire, quasi guerrier. Un engagement nécessaire, quand 8 à 12 millions de tonnes de plastiques finissent dans les océans, d'après l'ONU. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle
Gaspillage : comment Amazon détruit et jette des millions d'objets neufs chaque année
En tout, selon les estimations d'élus CGT, rapportés par Le Monde, Amazon détruit chaque année plus de 3,2 millions d'objets manufacturés neufs. Près de 300. 000 objets neufs ont été jetés en trois mois dans son entrepôt de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), le plus petit des cinq établis en France par le géant de la vente en ligne. Pourquoi cela ? Amazon stocke beaucoup de produits de ses partenaires afin d'assurer une livraison rapide à ses acheteurs. Or, si le produit ne trouve pas preneurs, la question des invendus se pose. Récupérer la marchandise ou la détruire s'avèrent les deux seuls alternatives possibles explique Guillaume Cahour, le journaliste qui a mené l'investigation. En effet, les clauses contenues dans les contrats entre la plateforme d'Amazon ("market place") et les vendeurs tiers qu'elle héberge et dont elle stocke les produits dans ses entrepôts prévoient qu'en cas d'invendus, soit les marchandises sont renvoyées, soit elles sont détruites même neuves. À la destruction de biens neufs, constatée par M6, s'ajoute le fait que certains d'entre-eux, repérés grâce à des balises GPS placés sur eux, sont sauvagement déchargés dans un site de la forêt orléanaise. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Jeans 1083 : le "made in France", bien plus qu'un argument marketing
Le fabricant de jeans 1083 qui oeuvre à la renaissance d'une filière nationale sur un marché ravagé par les importations à vil prix. Un combat mené en s'appuyant sur l'éthique, l'écologie et la solidarité entre industriels. " 97 % de la valeur de nos jeans irrigue l'économie locale ", assure son fondateur Thomas Huriez, interrogé au siège de la société à Romans-sur-Isère (Drôme). Seuls le coton brut et les boutons et rivets sont importés. Et encore, ces derniers seront achetés dans la Drôme dès l'an prochain. (...) Dès l'an prochain, 1083 commercialisera le premier jean " 100 % économie circulaire ". Fabriqué en polyester recyclé à partir de bouteilles et de déchets plastiques ramenés dans les filets des pêcheurs, il sera vendu avec une consigne de 20 euros. Une fois usé, retour en port payé au fabricant - qui le recyclera - pour être remboursé de sa consigne. " L'avenir, c'est l'économie circulaire. C'est aussi une chance pour la France de redevenir un grand pays textile ", fait valoir l'entrepreneur. >> Lire l'article complet sur le site de FashionNetWork
Environnement de travail
Casque citrouille, bureau e-bulle : comment survivre en open space ?
Une étude récente parue dans la revue Philosophical Transactions of the Royal Society remet même carrément en cause le modèle de l'open space dans le processus de collaboration humaine. Contrairement à l'idée selon laquelle un espace ouvert faciliterait le contact, l'analyse révèle que les interactions directes sont 73% moins courantes que dans des bureaux cloisonnés. En revanche, côté emails et messagerie instantanée c'est l'explosion avec un + 67% pour les premiers et + 75% pour la seconde. Alors, comment s'isoler pour tenter de conserver le peu de productivité - et de bonne humeur - qu'il vous reste ? L'ADN fait le tourd es solutions... >> Lire l'article complet sur le site du média
IT
L'efficience énergétique des serveurs va encore progresser
Dans le cadre d'une mise à jour du lot 3 de la Directive Européenne 2009/125/EC portant sur "un cadre pour la fixation d'exigences en matière d'écoconception applicables aux produits liés à l'énergie", le seuil minimum d'efficience énergétique des serveurs et des équipements de stockage va encore augmenter : d'ici le 1er mars 2020 : 88% à 95% - d'ici le 1er janvier 2023 : 90% à 96% - d'ici le 1er janvier 2016 : 94% à 96% - selon la charge entre 20 % et 100%. La grande nouveauté, c'est l'introduction de critères de réparabilité, de durabilité, et d'efficience matière dans la directive. Ainsi, le projet de directive propose plusieurs points de progrès notables qui seront obligatoires dès le 1er mars 2020. >> Lire l'article complet sur le site de GreenII
L'investissement proactif dans la cybersécurité, une nécessité sous-estimée
De manière générale, le sujet des menaces de sécurité est de plus en plus fréquemment abordé et on peut déceler une certaine volonté d'augmenter les budgets IT pour bénéficier d'une meilleure protection. Mais ce discours ne se traduit pas systématiquement en actes. Malheureusement les investissements en IT ne sont toujours pas une priorité absolue. Ils sont encore perçus comme un mal nécessaire plus qu'un investissement sur l'avenir. Le choix de ne pas allouer plus de budget à l'IT découle de deux convictions. D'une part l'entreprise présuppose qu'elle n'est pas exposée au risque, que " cela n'arrive qu'aux autres ". D'autre part, elle est persuadée de ne pas pouvoir se permettre d'embaucher un expert sécurité à plein temps. Si l'histoire a prouvé qu'aucune entreprise n'est à l'abri d'une cyberattaque, il est possible que les finances d'une société ne lui permettent pas de s'offrir les services d'un spécialiste en cybersécurité à temps complet. Pour beaucoup d'entreprises, employer un expert à plein temps dans l'entreprise est effectivement trop cher. Et pendant qu'elles tergiversent ou remettent à plus tard les investissements dans leur sécurité, les cyberterroristes sont en activité constante. La menace est permanente et pourtant, de nombreuses sociétés ne comprennent pas qu'il est dans leur intérêt, y compris financier, d'investir maintenant un budget bien pensé plutôt que réparer les dégâts et déployer un meilleur niveau de sécurité une fois que l'attaque aura eu lieu. Tant que l'entreprise n'est pas victime d'attaque, le budget dédié à la sécurité peut être perçu comme une dépense frustrante, voire inutile. Cependant, pour 86 500$ perdus en moyenne, les entreprises dépensent 14 à 21K$ pour se reconstruire. A cela s'ajoutent les coûts de réparation, l'intégration de nouveaux logiciels, les coûts de formation à leur utilisation, les dépenses de communication... D'où la nécessité d'anticiper pour se protéger en amont. >> Lire l'article complet sur le site de IT Social
Fleet / Mobilité
GNV : un guide pour les gestionnaires de flotte
L'année 2019 sera-t-elle celle du GNV ? Alors que Seat annonce la commercialisation en France de sa Seat TGI fonctionnant au gaz, GRDF souhaite également partir sur de bonnes bases en ce début d'année en publiant un guide en ligne du GNV. Destiné spécifiquement aux gestionnaires de flotte, ce livre blanc rappelle les avantages du GNV, ainsi que les différentes aides et éléments à prendre en compte. On y apprend notamment que 115 stations d'avitaillement sont ouvertes au public en France, que 250 devraient être accessibles en 2020, et que 17 400 véhicules GNV circulent actuellement en France. Disponible sur le site de GRDF moyennant le renseignement d'une adresse mail, ce guide pointe également vers les différents outils mis à disposition par GRDF pour faciliter la démarche, notamment la carte des stations, l'inventaire des véhicules GNV et un simulateur de TCO. >> Lire l'article sur le site de L'Automobile l'Entreprise
Travel
Hôtel : les voyageurs d'affaires millennials veulent du wifi, netflix et des consoles de jeu
Les Millennials s'entendent sur un point avec les voyageurs d'affaires les plus aguerris : le besoin vital d'une connexion internet pendant le séjour. 70% des jeunes sondés ont indiqué qu'un wifi puissant les encouragerait à réserver dans un hôtel. Par ailleurs, plus de la moitié d'entre eux (57%) se disent prêts à y retourner si la connexion se révèle de très bonne qualité. Les autres éléments qui décident les Millennials à choisir un établissement plutôt qu'un autre, sont la présence d'une smart TV avec Netflix (54%) et des consoles de jeu. Toutefois, sur ce dernier point, les hommes apprécient plus que les femmes la possibilité de jouer à des jeux vidéos pendant leur séjour (40% des hommes contre 22% des femmes). >> Lire l'article complet sur le site de DéplacementsPros
RH / Management / Carrière... et autres !
Seulement 15% de femmes dans Les ComEx des 120 plus grosses entreprises françaises ... alors que..
Les comités executifs des 120 plus grosses entreprises françaises ne comptent que 15% de femmes. Pire, plus d'une sur cinq, ne présente aucune femme dans son ComEx. Seulement, 7 entreprises du SBF 120 ont une femme à leur tête, les 111 autres sont dirigées par des hommes. Parmi ces mauvais résultats, certains bons élèves se distinguent. L'étude dévoile le Top 3 des ComEx du SBF 120 avec le plus de femmes : Icade, 56% - GTT, 43% - Ipsos, 40%. (...) L'analyse du Lab Proches souligne que l'organisation des entreprises est aussi le résultat d'une forme d'élitisme qui se joue au niveau de l'éducation et de certaines filières majoritairement masculines de grandes écoles. Enfin dans l'entreprise, la valeur des femmes et de leurs compétences n'est pas jugée selon les mêmes critères que les hommes et par le prisme des stéréotypes de genre. Ainsi, l'ambition ou l'autorité ne sont pas vues comme des qualités chez une femme - elles sera plutôt décrite comme froide- alors qu'elles sont célébrées chez un homme. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN
... selon Émile Servan-Schreiber : "Le QI d'un groupe est corrélé à sa proportion de femmes" !
Dans un livre paru fin octobre, Supercollectif, la nouvelle puissance de nos intelligences, cet expert, récemment sollicité par la CIA, décrypte les secrets de l'intelligence collective et nous explique comment elle peut améliorer la rentabilité de l'entreprise ou sauver nos démocraties en danger. Il nous révèle aussi une vérité qui va nous enchanter : plus il y a de femmes dans un groupe de travail plus celui-ci est intelligent. "Parce qu'elles ont une intelligence émotionnelle plus développée qui permet au groupe de mieux réfléchir. Généralement, les femmes communiquent mieux, ont une écoute plus riche, plus bienveillante, une capacité à deviner les émotions des autres, à se mettre à leur place, à comprendre les non-dits. Elles savent aussi respecter le temps de parole de chaque individu. Cela ne sert à rien d'avoir un collectif d'opinions différentes si on ne laisse pas à chacun le temps de s'exprimer. Les scientifiques ont donc estimé que les femmes avaient les qualités nécessaires pour améliorer la bande passante du groupe... Et en ont logiquement conclu que son QI était corrélé à la proportion de femmes." >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Emotions et entreprise, les prémices d'un mariage heureux
Pour Sylvie Gleises, directrice générale Europe de Axa Art, tout manager doit prendre en considération le facteur émotion afin de mieux gérer ses équipes : " On est un bon manager quand on laisse parler ses émotions et quand on est sincère. Notamment en situation de stress. Le coaching et les formations sont importants mais la sélection du manager doit aussi avoir une dimension humaine ". De plus, dans certains secteurs plus que d'autres, savoir répondre aux émotions du client n'est pas toujours chose évidente bien qu'essentielle : "l'industrie de l'assurance a par essence une connotation négative. Nous intervenons à des moments douloureux pour les clients où les émotions dominantes sont anxiété, peur, passion, colère. Nos collaborations sont ainsi confrontées à des émotions fortes et négatives, et sans empathie, on ne peut pas accompagner correctement nos clients". >> Lire l'article complet sur Influencia
Dix citations historiques de grands leaders à connaître absolument
"Si vous n'êtes pas un preneur de risque, vous devriez sortir des affaires" - "La valeur d'une idée réside dans son utilisation" - "Le poison le plus dangereux est le sentiment d'accomplissement. L'antidote est de penser tous les soirs à ce qui peut être fait mieux demain" - "L'art le plus difficile n'est pas de choisir les hommes mais de donner aux hommes que l'on a choisi toute la valeur qu'ils peuvent avoir"... De Bill Gates à Walt Disney en passant par Napoléon Bonaparte, les entrepreneurs et grands leaders laissent derrière eux de nombreuses pensées pleines de bon sens. Le Figaro a sélectionné dix citations cultes. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro