Revue de presse achats - semaine du 7 au 11 janvier
La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus cette semaine sur le Web qui traitent des achats, de relation fournisseurs, de RSE, de fleet, de travel, mais aussi de management, des gestiond e carrière, etc. Bonne lecture !
Je m'abonneNike, l'incroyable plantage du maillot 2 étoiles des Bleus
En réalité Nike ne possède presque aucune usine, au contraire d'Adidas qui a multiplié l'ouverture de sites de production ultra robotisés en Europe afin de se rapprocher du consommateur occidental. Tout est sous-traité en Asie. Adidas et Puma ayant plus recours à la Turquie. Et à en croire un ex dirigeant de Nike qui souhaite conserver l'anonymat, la firme à la virgule "n'entend pas pousser les cadences d'une usine car cela risque de se retourner contre eux. Nike a toujours en mémoire leur plus gros traumatisme, leur manque de conscience éthique lors de leur production". Ainsi pour le bon connaisseur de l'entreprise, l'équipementier "préfère perdre de l'argent à court terme si l'usine ne peut pas livrer que risquer un risque d'image important". Faute d'information fiables, les experts s'accordent sur l'hypothèse d'un problème sur le tissu de fabrication du maillot 2 étoiles. "A ce niveau de volume, la planification de la production est essentielle décrypte un expert de l'habillement. C'est comme lors d'un décollage d'un avion en aéroport. Si vous ratez votre créneau, vous pouvez difficilement repousser les autres. Nike aurait pu choisir de produire le maillot de l'équipe de France mais cela aurait été au détriment d'un autre produit dans le reste du monde." >> Lire l'article complet sur le site de Challenges
Un ancien acheteur et quatre mareyeurs condamnés pour corruption
Le tribunal correctionnel de Nantes a condamné, ce jeudi, un ancien acheteur d'une chaîne d'hypermarchés pour " corruption passive " à dix-huit mois de prison avec sursis et à une amende de 15 000 €, après s'être fait remettre des commissions occultes par des fournisseurs pour s'attirer ses faveurs. L'acheteur, qui vit aujourd'hui dans le Morbihan, avait ainsi perçu près de 500 000 € de pots-de-vin entre 2012 et 2015 auprès d'une demi-douzaine de mareyeurs de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), de Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), de Haute-Goulaine (Loire-Atlantique), de Concarneau (Finistère) et de Carnac (Morbihan). Son épouse, qui était officiellement la gérante de la société de " consulting ", facturait les " prestations de conseil en matière d'approvisionnement et de prix " de son mari. Elle a écopé de six mois de prison avec sursis et d'une amende de 5 000 €. L'époux devra aussi verser 5 000 € à son ancien employeur pour son " préjudice d'image " et 1 200 € pour ses frais de justice. Quatre des sept mareyeurs, qui étaient poursuivis pour " corruption active ", ont, quant à eux, été condamnés à des amendes allant de 2 000 à 3 500 €. L'acheteur faisait miroiter aux mareyeurs une possible augmentation du chiffre d'affaires ou un déréférencement de leur société >> Lire l'article complet sur le site du Télégramme
2019, année de tous les défis pour les distributeurs
Des premiers accords tripartites ont été signés par Intermarché et Leclerc avec respectivement Bel, Savancia et Danone. Ils garantissent aux éleveurs laitiers un prix qui couvre leurs coûts. Tout reste à faire pour les autres filières. Surtout, la guerre des prix se déplace sur de nouveaux terrains. Le magazine spécialisé "LSA" a repéré des promotions de 70 % sur du dentifrice Signal chez Hyper U, sur des tablettes lave-vaisselle Sun chez Leclerc et un paquet d'Ariel offert (la nouvelle loi bannit le mot gratuit des prospectus) pour un acheté chez Leader Price. Intermarché fera de la surenchère pour la célébration de son cinquantenaire. Leclerc a en outre annoncé la baisse des tarifs de ses 4.600 produits à la marque Repère. La concurrence reste vive entre les enseignes. La guerre des prix portera sur les marques de distributeurs et, surtout, sur les produits d'hygiène-beauté de grandes marques qui ne sont pas encadrés par la loi alimentation. >> Lire l'article complet sur les Echos
Les banques françaises ont du mal à maîtriser leurs coûts
C'est l'un des talons d'Achille des banques françaises : leurs coûts de fonctionnement élevés (...) Les grands acteurs de la finance se sont pourtant engagés dans d'ambitieux plans d'économies. Mais "les évolutions rapides de la réglementation, comme la transformation digitale du secteur, requièrent de tels investissements que les banques ne peuvent pas pleinement bénéficier des plans de réductions des dépenses", souligne Nicolas Malaterre, responsable banques françaises chez S&P Global Ratings. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Risques clients / Export : les faillites dans le monde en hausse de 6 % en 2019, selon Euler Hermes
La météo des risques clients continue à se gâter à l'échelle mondiale : les dernières prévisions publiées le 9 janvier par l'assureur- crédit Euler Hermes* tablent sur une poursuite de la hausse des défaillances d'entreprises en 2019, pour la troisième année consécutive, avec une progression de 6 % principalement tirée par la forte hausse des faillites en Chine (+ 60 % en 2018) et une augmentation plus modérée mais nette de celles enregistrées en Europe (+ 2 % en 2018). En 2018, la progression des défaillances dans le monde avait déjà été forte, de l'ordre de 10 %. Ces prévisions s'appuient sur les données compilées par Euler Hermes pour 43 pays représentant 83 % du PIB mondial. Principaux facteurs en cause, selon l'assureur-crédit : les effets conjugués de la décélération de la croissance mondiale et du resserrement des conditions financières (hausse des taux d'intérêt aux Etats-Unis et en zone euro). >> Lire l'article complet sur le Moci
Novartis se renforce dans l'immunothérapie en misant sur une pépite française
C'est un fleuron français de la thérapie génique et cellulaire qui pourrait passer sous pavillon suisse. Le laboratoire Novartis a fait une offre de rachat de CellforCure, une entreprise créée en 2010 par le groupe biopharmaceutique français LFB, localisée aux Ulis, en Essonne. L'entreprise s'est vite imposée comme un champion de ce secteur en Europe. Novartis et CellforCure étaient déjà liés depuis cet été par un partenariat. Le laboratoire suisse avait alors annoncé son intention d'ouvrir mi-2019 aux Ulis un centre de production pour ses traitements de CAR-T, une niche prometteuse en immunothérapie, le premier dans l'Hexagone.>> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Les PME de la plasturgie face au défi du plastique recyclé
Il s'agit de pousser les entreprises à incorporer davantage de matière plastique recyclée dans leurs produits. Afin de dynamiser l'industrie du recyclage et diminuer l'usage de plastique pétrosourcé, le plus polluant. Le gouvernement veut atteindre tout bonnement 100 % de recyclage d'ici sept ans. La pression est forte. Les images d'océans envahis de sacs plastiques - plus de 150 millions de tonnes y flottent - marquent les esprits. Or, la France est globalement à la traîne. Dans le cadre de la feuille de route sur l'économie circulaire, 55 entreprises et fédérations françaises (emballage, bâtiment, automobile...) se sont engagées cet été à incorporer 600.000 tonnes en matière plastique recyclées (MPR) dans leurs produits d'ici 2025. Soit un doublement de ce qui est fait aujourd'hui (300.000 tonnes). Une réunion a eu lieu le 6 décembre pour évaluer les premiers avancements. " Le secteur de l'emballage est le plus réactif ", glisse-t-on au ministère. L'enjeu est énorme : 3,6 millions de tonnes de plastique sont mises sur le marché tous les ans en France. >> Lire l'article complet sur les Echos
Supply chain
De l'importance d'agir sur la financiarisation de la supply chain
De plus en plus, la multiplication et l'internationalisation des flux poussent les directions supply chain à s'interroger sur la partie financière de leurs activités. Dans des organisations encore trop souvent silotées, peinant à communiquer, supply chain et finance se doivent pourtant de travailler main dans la main sur le pilotage de la rentabilité et des flux financiers de l'entreprise. (...) Le logisticien Staci qui se positionne désormais comme une "european fulfillment company", travaillant sur la désintermédiation entre le fabricant du produit et le consommateur : "Chez Staci, pour faciliter ce mouvement, nous assurons le financement, la distribution, la facturation et l'encaissement de toute la supply chain", explique Thomas Mortier, son CEO. "Consolider les flux physiques, d'information et financiers au même endroit apporte de l'efficacité et limite les interfaces informatiques entre les deux logiciels supply et finance", poursuit-il. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog
Innovation
Les techniciens d'Enedis utilisent la réalité augmentée pour voir le réseau électrique à travers le sol
La start-up française XXII fait la démonstration au CES 2019 d'une application en réalité augmentée qu'elle a mis au point pour le compte d'Enedis. Ils ont développé ensemble une application capable de convertir les plans 2D historiques d'Enedis en plans 3D, de calculer et ajuster leur position précise en temps réel à l'aide d'un smartphone et d'une balise GPS Trimble Catalyst, et de les afficher en réalité augmentée via un casque Microsoft HoloLens. Le tout réuni dans un casque de chantier. Elle permet aux techniciens du gestionnaire du réseau électrique français de voir les lignes électriques à travers le sol et ce avec une grande précision. Le résultat est un gain de 25% sur le temps d'intervention par rapport aux plans papier utilisés jusqu'ici.>> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Digitale
RSE
Mode, les désastres écologiques de la "fast fashion"
D'après l'Ademe, la mode émet chaque année 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre, soit davantage que les vols internationaux et le trafic maritime réunis (1). Un impact climatique majeur, qui s'ajoute aux autres effets de la filière, comme la pollution et le gaspillage.Ceux de l'eau, par exemple : selon la Fondation MacArthur, 4 % de l'eau potable est utilisée pour produire nos vêtements. Fabriquer un tee-shirt nécessite l'équivalent de 70 douches et un jean, 285 ! Des substances chimiques sont par ailleurs utilisées pour la production des fibres, naturelles (le coton est cultivé à grand renfort de pesticides) et synthétiques (à base de pétrole) mais aussi leur traitement, leur teinture, etc. >> Lire l'article complet sur le site de La Croix
Obsolescence programmée : un nouveau site pour connaître les marques durables
Pour permettre aux consommateurs de refuser l'obsolescence programmée, l'association HOP (Halte à l'Obsolescence Programmée) en partenariat avec CommentReparer.com, a lancé ce premier décembre le site Produits Durables. On y trouve les marques les plus fiables. Le site comporte quatre catégories : électroménager, électronique, auto, textile (avec les collants seulement pour l'instant, mais arrive bientôt une rubrique chaussures). Pour chaque produit, les marques les plus recommandables sont mises en avant. Les notes se composent d'avis d'experts. HOP est allée les dénicher partout où ils existent : dans les palmarès des magazines 60 millions de consommateurs ou de Que Choisir, dans ceux du site consumériste britannique Which, etc. >> Lire l'article complet sur le site de l'Info Durable
L'industrie cimentière veut réduire de 80 % ses émissions de CO2 d'ici 2050
L'industrie compte également développer le recyclage pour être moins polluante et fabriquer ainsi ses matériaux à partir de déchets. "Il est tout à fait réaliste d'imaginer fabriquer demain du ciment uniquement à partir de matières existantes valorisantes", estime le SFIC. Une technique qui permet de ne plus puiser une nouvelle fois dans les granulats naturels (sable, gravillons...) et de profiter de la déconstruction de milliers de bâtiments des années 1950 à 1980 qui arriveront bientôt en fin de vie. Une pratique qu'il va falloir généraliser car selon l'OCDE, la demande en matériaux devrait doubler d'ici 2060, particulièrement pour le sable et le gravier dont la demande va devancer celle du charbon, des métaux et même du pétrole. >> Lire l'article complet sur le site de Novethic
Écologie : en finir avec le vide des cartons
Selon une étude, les colis expédiés par les sites de vente en ligne contiennent en moyenne 43% d'espace vide. On trouve 18% de vide pour les vêtements, 52% pour les jouets et 64% pour la verrerie. Éliminer cet espace inutile et donc diminuer la taille des colis est un enjeu de taille pour les géants du commerce sur internet. >> Voir le reportage sur FranceTvInfo
Achats publics
L'achat public en 2019, l'année de tous les dangers ou de toutes les opportunités !
À situation exceptionnelle, pression historique et volonté d'apporter des réponses rapides et "simples", la tentation du moins-disant risque de nouveau venir hanter les nuits des acheteurs publics en 2019. Il est en effet simple de réduire au prix une analyse économique ou encore de mettre un critère prix pondéré à 80 %. Cette approche de court terme pourrait remettre en cause les nombreux efforts réalisés par les acheteurs publics mais également par les entreprises et notamment les PME pour davantage dialoguer, mieux se comprendre et avancer vers un achat public plus responsable à moyen et long terme et plus vertueux. Une approche, une nouvelle fois trop économique, qui pourrait mettre en difficulté nos entreprises voir en achever certaines ! Des contradictions et des obligations naissent parfois des approches disruptives. L'occasion est donnée désormais de changer de logiciel que ce soit en matière de responsabilité sociale des entreprises (RSE), de comportement de consommateur mais aussi de dépense publique. L'occasion de passer d'une approche "contrainte budgétaire" à une approche "développement économique" ! >> Lire l'article complet sur le site de Weka
Laure Bédier : "Le droit de la commande publique est appelé à évoluer"
"Le droit de la commande publique est encadré par le droit européen, ce qui limite certaines initiatives pas nécessairement adaptées. La commande publique doit respecter des principes constitutionnels qui s'appliquent, même en dessous des seuils. Cela étant, le droit de la commande publique est appelé à évoluer : il s'adapte aux réalités économiques et à la société. Ainsi, des dispositions issues de la loi sur les états généraux de l'alimentation seront intégrées, comme celles de la loi "Elan". Seront intégrées aussi les dispositions de la loi "Pacte" et notamment les dispositions de transposition de la directive sur la facturation électronique. Je pense également aux dispositions du projet de loi de "dé-surtransposition des directives", qui exclut des règles des marchés publics les prestations de représentation légale associée à des prestations juridiques." >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes
Quelles obligations de reprise des personnels s'appliquent en cas de marchés conclus avec une entreprise adaptée ?
Même si le prestataire nouveau n'est pas une entreprise adaptée, la convention collective nationale des entreprises de propreté et services associés du 26 juillet 2011 prévoit les conditions de garantie de l'emploi et de continuité du contrat de travail du personnel en cas de changement de prestataire. Ces dispositions offrent la garantie de la continuité de leur contrat de travail aux salariés affectés à un marché faisant l'objet d'un changement de prestataire, pour des travaux effectués dans les mêmes locaux, à la suite de la cessation du marché public. En conséquence, le nouveau prestataire doit s'engager à garantir l'emploi de la totalité du personnel affecté au marché qui remplit certaines conditions de classification dans la grille nationale des emplois et d'ancienneté sur le site concerné par la reprise. Le transfert des contrats de travail s'effectue de plein droit et s'impose donc au salarié. Le nouveau prestataire est tenu d'établir un avenant au contrat de travail qui mentionne le changement d'employeur et reprend l'ensemble des clauses du contrat de travail initial. À l'inverse, les entreprises adaptées sont, en principe, exemptées de l'obligation de reprise des personnels. >> Lire l'article complet sur le site de Weka
L'achat public innovant, exonéré de mise en concurrence
Ce décret est entré en vigueur le lendemain de sa publication, soit le 25 décembre 2018 : le dispositif s'applique aux consultations lancées à compter de cette date. Il constitue une expérimentation : il n'est valable que pour une période de 3 ans à compter de la date d'entrée en vigueur du décret, soit jusqu'au 25 décembre 2021. À l'issue de cette période, un bilan de l'efficacité de la mesure conduira ou non à sa pérennisation. Le mécanisme autorise les acheteurs publics à conclure sans publicité préalable ni mise en concurrence, c'est-à-dire de gré à gré, des marchés portant sur des travaux, fournitures ou services innovants et répondant à un besoin n'excédant pas 100 000 EUR HT, et ce, quelle que soit la taille de l'entreprise titulaire du marché. Comme pour les marchés dont le montant n'excède pas 25 000 EUR HT, qui pour ce motif peuvent être conclus sans publicité ni mise en concurrence (Article 30 du décret n° 2016-360 - Article R. 2122-8 du code de la commande publique), il est simplement fait obligation aux acheteurs de veiller "à choisir une offre pertinente, à faire une bonne utilisation des deniers publics et à ne pas contracter systématiquement avec un même opérateur économique lorsqu'il existe une pluralité d'offres susceptibles de répondre au besoin", c'est-à-dire de ne pas abuser du système.>> Lire l'article complet sur le site des Echos
Recherche universitaire : quand les collectivités parient sur l'innovation
La collaboration entre les collectivités et les universités a été l'occasion de développer les partenariats avec l'environnement socio-économique, accélérant l'ouverture des établissements de l'enseignement supérieur. Aujourd'hui, les projets associant universités, acteurs privés et collectivités sont devenus la règle. Car pour ces dernières, l'enjeu n'est plus seulement de promouvoir l'attractivité de leur territoire, mais de faciliter l'innovation et de nourrir le développement économique. D'ailleurs, les collectivités concentrent désormais leurs investissements en matière de R&T sur les secteurs clés qu'elles ont identifiés. Et elles n'hésitent pas à se saisir des travaux de chercheurs pour appuyer leurs décisions publiques. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes
Environnement de travail
Surprise, les jeunes rêvent de bureaux fermés
Afin d'attirer les jeunes talents les plus prometteurs, les grands groupes injectent ces dernières années des millions dans la création de flex-office (espaces de travail sans bureau attitré) ou encore dans la location de bureaux en coworking. Ces aménagements très coûteux sont pourtant TRÈS loin de faire rêver leurs futures recrues, selon l'enquête menée par la Chaire Workplace Management de l'Essec Business School*, que Challenges a pu consulter en exclusivité. Si ses résultats sont à prendre avec beaucoup de précautions étant donné l'échantillon très restreint qui a été sondé, ils n'en demeurent pas moins détonnants. Interrogés sur leurs préférences en matière d'aménagement de bureau à la sortie de l'école, les étudiants se montrent particulièrement conservateurs sur leur futur espace de travail. Ce qui les attireraient le plus? Le bon vieux bureau fermé individuel est plébiscité par près du tiers d'entre eux!>> Lire l'article complet sur le site de Challenges
Dans ces bureaux du futur, les salariés seront identifiés par smartphone
Les salariés des futurs bureaux y accéderont via une application pour smartphone qui connaît leur agenda, ce qui lui permettra d'émettre des suggestions comme s'asseoir près d'une fenêtre, se rendre dans une salle, commander un repas ou encore proposer une aide à la navigation dans le bâtiment. Les espaces de travail, désormais partagés, s'adapteront en fonction des usages. Des casiers seront disponibles pour stocker ses effets personnels. À la manière d'une voiture alertant sur l'état de carburant, l'imprimante enverra des alertes au système de gestion de l'immeuble lorsque le niveau de papier est bas afin que quelqu'un puisse l'approvisionner... >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Fleet / Mobilité
Marché flottes 2018 : Peugeot devance Renault !
Petit événement sur le marché des flottes. Renault a été détrôné de sa place de marque numéro un sur le créneau des voitures particulières en entreprises. La marque au losange a été devancée à la dernière minute par Peugeot. Avec 117 919 immatriculations, la marque au lion est arrivée en tête du classement au terme d'une année marquée par une forte croissance de son activité, de plus de 10 %. Renault, avec 117 547 unités au compteur, doit donc se contenter de la deuxième place. Le constructeur paye son année mitigée, sa croissance se limitant à 2,6 %. La troisième marche du podium est occupée sans surprise par Citroën. La marque aux chevrons, malgré une activité en berne (-2,1 %), conserve une marge d'avance confortable sur Volkswagen qui n'a guère brillé en 2018 (30 350 unités, -5,4 %). Notons également les difficultés rencontrées par les marques premium du Top 10. Mercedes-Benz (18 110 unités, -4,7 %), BMW (16 998 unités, -13,9 %) et Audi (15 544 unités, -20,1 %) ont particulièrement souffert. C'est également le cas de Nissan, d'Opel, de Mini, de Land Rover et de Porsche qui terminent l'année dans le rouge. >> Lire l'article complet sur le site de JournalAuto.com
IT
Ce qui freine les entreprises françaises dans leur transformation digitale
Mais quels sont donc les freins à cette transformation ? Nos travaux montrent que les investissements dans les groupes du CAC40 n'ont pas ralenti : depuis 2013, ils ont même été en progression régulière, même si l'amplitude de cette progression tend à baisser. Une analyse portant sur un nombre sensiblement plus important d'entreprises (près de 250) montre toutefois que quatre facteurs prédominent et freinent plus généralement que d'autres les progrès des entreprises.
Le premier de ces facteurs, et probablement le plus important, est la propension qu'ont bon nombre d'entreprises à déléguer la transformation digitale à un expert dédié (CDO, DSI ou consultant externe), limitant ainsi l'investissement du top management et du P-DG sur le sujet. Si cette solution offre l'intérêt d'acquérir immédiatement une bonne expertise, elle a l'inconvénient de créer des tensions internes : l'équipe "transformation digitale" sera le plus souvent perçue comme un empêcheur de tourner en rond dès lors qu'elle va s'intéresser aux sujets importants de l'entreprise. Or, sans une bonne maîtrise des sujets digitaux, il est rare que le P-DG fasse oeuvre d'audace et arbitre en faveur d'une équipe par nature transverse et pour laquelle il faut s'opposer à ceux qui font marcher l'activité au quotidien. >> Lire l'article complet sur le site de HBR
Management / RH / Carrière... et autres!
Salaire des cadres : c'est officiel, la prime de bienvenue est de retour
Pour attirer les candidats qui rechignent à démissionner, certaines entreprises n'hésitent pas à leur verser des primes d'arrivée afin de les inciter à les rejoindre. Evidemment cette pratique n'est pas automatique mais, dans un marché de l'emploi cadres clairement favorable aux candidats, ces "welcome bonus", très pratiqués par les anglo-saxons, s'invitent aux tables des négociations. Ces primes oscillent entre 3000 euros et 2 à 3 mois de salaire pour les profils de middle management. Voire beaucoup plus pour les cadres supérieurs et dirigeants. D'ailleurs, les employeurs n'apprécient guère d'aborder le sujet des "golden hello". Les refus de témoigner ont été bien plus nombreux que les accords.(...) Les grands noms de la finance, le BTP mais aussi l'informatique, bref des secteurs en tension sont ouverts à ce type de négociation. >> Lire l'article complet sur le site de Cadremploi
Management : la fin du chef ?
Ces nouvelles formes de management ont en commun de remettre en cause la figure du chef et les modèles de management traditionnels fondés sur la hiérarchie. Elles se rejoignent également sur le fait qu'elles mettent toutes les trois en avant l'autonomie et le travail en équipe. C'est pourquoi, de moins en moins chef omnipotent, le manager est désormais appelé à devenir un facilitateur, un animateur d'équipe. Tout porte à croire que le management, dans sa version classique, est devenu obsolète et que les différentes strates de management sont à éliminer. On observe d'ailleurs que la notion de leader est aujourd'hui plus à la mode que celle de manager. Aborder ce début siècle, avec ses turbulences, sa complexité et son ambiguïté, ne pourra se faire avec succès, sans la réhabilitation de la figure du chef en management.>> Lire l'article complet sur le site des Echos
La résilience tient à votre capacité à récupérer, non à endurer les difficultés
Dans son excellent ouvrage "La révolution du sommeil" (Fayard, 2017), Arianna Huf?ngton écrit : "Nous sacrifions notre sommeil au nom de la productivité, mais l'ironie est que notre manque de sommeil, malgré les heures supplémentaires passées au travail, s'accumule et induit jusqu'à 11 jours de productivité perdus par année et par employé, soit approximativement 2 280 dollars." Le secret de la résilience est de s'engager vers un gros effort, puis de s'arrêter, de récupérer, pour ensuite déployer à nouveau un réel effort. Cette conclusion repose sur un phénomène biologique. L'homéostasie est un concept biologique fondamental selon lequel le cerveau a la capacité de constamment rétablir et maintenir un état de bien-être. Le spécialiste en neurosciences positives Brent Furl de l'université A&M du Texas, a pour sa part créé le terme "valeur homéostatique" pour établir la valeur qu'ont certaines actions dans la génération d'un état d'équilibre et donc de bien-être. Lorsque notre corps s'écarte de cet alignement à cause d'une surdose de travail, nous gaspillons une grande part de nos ressources mentales et physiques afin de le rééquilibrer, avant de pouvoir avancer de nouveau. >> Lire l'article complet sur le site de HBR