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Revue de presse achats (semaine du 12/11)

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Revue de presse achats (semaine du 12/11)

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de souci. La rédaction a sélectionné pour vous des articles parus sur le Net et qui vous intéresseront car en lien avec les achats: relation fournisseurs, RSE, travel, fleet, IT, mais aussi carrière et management. Bonne lecture!

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RSE

[Objectif RSE] Chez Seb, la lutte contre l'obsolescence programmée est moteur d'innovations

Seb a ainsi mis en place une imprimante 3D pour fabriquer les pièces détachées à la demande. Or, en travaillant avec l'ADEME, il s'est rendu compte que l'impact environnemental de cette démarche n'était positif que sur certains produits. "On s'est pour l'instant focalisé sur les produits très peu demandés. On réalise des tests pour évaluer la manière dont les pièces vont se comporter dans le temps", indique Joël Tronchon. En attendant le groupe se tourne vers l'économie de la fonctionnalité, c'est-à-dire vendre un service plutôt qu'un produit. Il teste, avec Monoprix, la location de ses appareils culinaires. C'est Envie, l'entreprise professionnelle de réinsertion, qui sera en charge de nettoyer, réparer si nécessaire et ré-emballer les produits. "Le but est de répondre à une nouvelle manière de consommer mais aussi d'optimiser l'usage de nos produits", résume le directeur développement durable.>> Lire l'article complet sur le site de Novethic

Oreo accusé d'accélérer la déforestation

Le rapport d'une trentaine de pages est accablant. Greenpeace y dénonce l'exploitation de l'huile de palme en Indonésie par le groupe Mondelez, producteur des biscuits Oreo ou encore des chocolats Cadbury. Selon l'association, le géant de l'agroalimentaire aurait détruit 70 000 hectares de forêt tropicale pour y planter des palmiers, dont 25 000 hectares abritaient des orangs-outans, une espèce en danger critique d'extinction.(...) Les orangs-outans meurent donc "littéralement pour un biscuit", affirme Kiki Taufik, responsable en Asie du sud-est de la campagne de Greenpeace contre la déforestation en Indonésie, au journal The Independant. Face à la campagne de Greenpeace, Mondelez a tenté de rassurer en affirmant à The Independant que l'entreprise était en train d'exclure douze de leurs fournisseurs, qui ne respectent pas les normes en matière d'exploitation de l'huile de palme. >> Lire l'article complet sur le site de l'Express

A Paris, un quartier se lance dans l'économie circulaire entre entreprises

Les Deux Rives. C'est le nom du quartier d'affaires situé des deux côtés de la Seine dans les 12e et 13e arrondissements de Paris. C'est aussi là qu'est né le projet de quartier d'économie circulaire, initié par la RATP et la mairie de Paris. L'objectif : créer des échanges de services entre les entreprises situées entre Bercy et la Gare de Lyon (côté 12e) et entre Tolbiac et la gare d'Austerlitz (côté 13e). "Dès 2012, la RATP a eu la volonté de limiter l'impact environnemental de son siège situé quai de la Rapée dans le 12e, notamment pour la collecte de papier carton", évoque Nathalie Jarosz, responsable de l'activité économie circulaire à la RATP. (...) la ville de Paris s'intéresse au projet de la RATP mais souhaite élargir le spectre et ne pas se limiter à la collecte de papier carton. Autour de deux thématiques que sont le traitement de déchets et la mobilité (des salariés et des livraisons), des ateliers sont organisés pour identifier des pistes de synergies concrètes. Première étape, le recensement de toutes les entreprises présentes dans la zone située entre Bercy, Tolbiac, Austerlitz et la gare de Lyon afin de leur proposer de participer au projet. 700 entreprises et environ 100.000 emplois sont identifiés sur ce secteur. >> Lire l'article complet sur le site de goodfuture.greenflex

Consommation : deux Français sur trois prêts à payer plus cher les produits alimentaires français...

La marque française de pains Jacquet, avec les instituts BVA et B2B Intelligence, a interrogé à la fois les consommateurs, les distributeurs et les agriculteurs sur ce sujet. Ces 3 sondages - élaborés en miroir - révèlent que la grande majorité, des consommateurs (73%), des agriculteurs (69%) et des distributeurs (66%), sont prêts à payer plus cher des produits fabriqués en France. L'engouement est certain, 91% des consommateurs ont davantage envie d'acheter des produits alimentaires qui soient français et 79% des distributeurs déclarent que l'argument "produit français" leur permet d'augmenter leurs ventes. Consommer français s'installe ainsi comme un véritable mouvement de société et non un simple effet de mode. 82% des consommateurs et 90% des distributeurs, perçoivent en effet cette consommation comme une tendance de fond qui va se développer dans les prochaines années!Et les personnes interrogées savent à l'unanimité de quoi ils parlent en la matière. L'origine française des matières premières est, en effet, et de loin, le critère le plus important pour un produit fabriqué en France pour 80% des consommateurs, 69% des agriculteurs et 61% des distributeurs. >> Lire l'article complet sur le site de Agro Media

... et Emballages : les consommateurs veulent plus d'évolutions

Pour la première fois, Citeo a décrypté les habitudes des consommateurs en amont de leur acte de consommation. Une étude réalisée par Action Plus pour Citeo dans une cinquante hypermarchés et magasins de proximité, toutes enseignes confondues, livre ses enseignements sur le rapport des consommateurs à leurs emballages. LSA livre les 10 principaux enseignement dont ceux-ci: La recyclabilité apparait comme le 1er critère d'un emballage respectueux de l'environnement, et cela pour 63% des personnes interrogées - La mention "100% recyclable" est une mention associée au respect de l'environnement pour 97% des interviewés - 90% des consommateurs s'intéressent principalement à l'emballage apparent. Ils ne sont que 8% a considéré les emballages extérieurs et intérieurs. >> Lire l'article complet sur le site de LSA

Taxes sur les carburants : ce qui revient vraiment à la transition écologique

Reste la question du fléchage de cette fiscalité verte. Les données collectées par le rapporteur du budget à l'Assemblée nationale, Joël Giraud (LREM), à l'occasion du collectif budgétaire de fin d'année, montrent que les recettes supplémentaires liées à la taxe carbone ont été affectées, en très grande majorité, au budget de l'Etat. En 2019, 45 % des recettes de taxe intérieure de consommation pour les produits énergétiques (TICPE) devraient alimenter le budget général, contre 36 % en 2017. Une partie des recettes (7,2 milliards) sont dirigées vers un compte d'affectation spéciale qui finance les énergies renouvelables. Le reste se répartit entre les régions, les départements et l'AFITF, l'agence dédiée au financement des infrastructures de transport. Seule la partie affectée à l'Etat augmente. Les autres affectataires ne bénéficient pas, ou peu de la montée en puissance de la taxe carbone. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Métier et relations fournisseurs

L'Oréal mise sur le bio pour relancer ses produits grand public

"Nous sommes partis d'un constat, celui du décalage entre l'offre disponible et les attentes très fortes des consommateurs pour des produits bio et naturels", a déclaré à Reuters Céline Brucker, directrice générale de la division de produits grand public de L'Oréal France. Ciblant le soin du visage, avec un nettoyant à la citronnelle du Sri Lanka ou une crème anti-âge au lavandin du Vercors, la nouvelle gamme de Garnier comportera 11 produits vendus à moins de 10 euros dans les grandes et moyennes surfaces. Pour séduire, L'Oréal dit avoir particulièrement soigné les textures des crèmes et leurs parfums, souvent considérés comme le point faible de la cosmétique bio. Ce lancement sera stratégique pour L'Oréal, dont la division grand public, la première par le chiffre d'affaires, est à la peine depuis 2017. >> Lire l'article complet sur le site des EchosInvestir

EDF construira bien la centrale hydroélectrique de Nachtigal au Cameroun

Après l'annonce le 2 novembre de la signature d'un mémorandum d'accord pour la construction d'une centrale électrique au gaz, alimentée par du gaz naturel liquéfié, au Vietnam, dans laquelle EDF prévoit d'investir 438 millions d'euros pour un montant total du projet de 1,32 milliard d'euros, l'électricien Français concrétise un énorme projet hydroélectrique en Afrique. EDF vient de signer avec ICF, un membre du groupe Banque mondiale, et la République du Cameroun, les accords définitifs pour la construction du barrage hydroélectrique de Nachtigal, au Cameroun. EDF va concevoir, construire et exploiter pendant 35 ans un barrage et une usine hydroélectrique de 420 MW sur le fleuve Sanaga au niveau des chutes de Nachtigal, situées à 65 km au nord-est de Yaoundé, explique EDF dans un communiqué. Le projet comprend aussi la construction d'une ligne de transport d'électricité de 50 km jusqu'à Nyom. Il est porté par la société NHPC (Nachtigal Hydro Power Company), constituée aujourd'hui par EDF (40 %), IFC (30 %) et l'État du Cameroun (30 %). >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

Dans les Vosges, Le Jacquard Français fête ses 130 ans avec du beau linge

La PME vosgienne a entamé un partenariat avec le Slip Français, autre entreprise textile prônant le made in France. Pour la fête des pères en juin dernier, les deux maisons ont sorti "le kit du cuistot" : un tablier orné d'un slip, un torchon et un gant. Cette année, la marque a également collaboré avec les cuisinières haut de gamme La Cornue et avec Monoprix pour des collections de linge de cuisine. Bien qu'évoluant sur un marché de niche et riche d'un savoir-faire d'exception, l'entreprise doit faire face à de nombreux défis. "Le fait d'appartenir à un groupe nous a aidé à survivre. Notre filière nécessite des investissements lourds. Un métier à tisser comme ceux que nous avons dans l'usine, coûte un million d'€. En septembre dernier, nous avons investi 200 000 € dans un nouveau bobinoir", fait remarquer la dirigeante. >> Lire l'article complet sur le site de Traces écrites

Supply chain

L'AFT et l'Apec publient un référentiel des métiers du transport et de la logistique

L'Apec (Association pour l'emploi des cadres) s'est associée avec l'AFT (Association pour le développement de la formation professionnelle dans les transports et la logistique) pour publier un nouveau référentiel spécialement dédié aux métiers du transport et de la logistique. Outil pratique pour les cadres et les entreprises, celui-ci présente 15 fiches métiers regroupées en trois grandes familles (métiers de la conception, du transport et de la logistique), qui décrivent le contexte d'exercice de ces professions, leurs évolutions, et les compétences et profils recherchés actuellement par les recruteurs. Un travail d'analyse pour mieux saisir les mutations actuelles de ces secteurs (technologiques, sociales et reglementaires) et l'impact de celles-ci sur les métiers et les compétences demandées. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Le premier train de fret à grande vitesse est lancé

"Nous serons les premiers ! " avait promis il y a deux ans la gouvernance de Mercitalia Rail, le pòle fret de Ferrorie dello Stato Italiane (FS), la compagnie des chemins de fer italiens. C'est désormais chose faite. Car après les tests en format réduit du 11 octobre dernier entre Vicence et Padoue (nord), le train de fret à grande vitesse italien Mercitalia Fast est entré en service dans la nuit du 7 novembre dernier. Il transportera en marchandises l'équivalent de 18 camions "transport international routier" (TIR). Du lundi au vendredi, ce nouveau service reliera le terminal Mercitalia de Maddaloni-Marcianise situé à Caserte dans la province napolitaine à l'interport de Bologne en trois heures et demi à une vitesse moyenne de 180 km/h. "Ce train de marchandises, le plus rapide du monde est également le premier service de transport de marchandises en conteneurs roulants, utilisant le réseau ferroviaire grande vitesse durant la nuit", estime Marco Gosso, administrateur délégué de Mercitalia. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Commande publique

Nourriture Bio à la cantine et repas moins chers!

Dans le cadre d'un un projet d'autosuffisance alimentaire visant a produire des légumes bio pour les enfants de la commune, le maire de Mouans-Sartoux Gilles Pérole à acheté 12 ha de terres. Il a permis l'installation d'agriculteurs bio qui produisent aujourd'hui presque 100% des besoins de la cantine scolaire. (...) cela coûte moins cher, contrairement à ce que l'on entend souvent sur les produits bio. Ici, le coût des repas a diminué de 15 à 20 centimes! Les élèves choisissent entre deux tailles de portions de nourriture et trient eux-mêmes les restes de leurs assiettes. Manger bio à la cantine et être sensibilisé au gaspillage vont de paire. En France, sur un repas classique de 450 g servi à la cantine, 150 g sont jetés! c'est plus de 30% de nourriture gaspillée. A Mouans-Sartoux, en plus de réduire le coût de chaque repas, des économies importantes sont réalisées dans le traitement des déchets. Le poids des poubelles a diminué de 80 %. >> Lire l'article complet sur le site de Mieux Vivre Autrement

A Niort, le sourçage des fruits et légumes a tout changé

En 2015, le groupement d'achat des lycées et collèges des Deux-Sèvres a organisé une rencontre avec les fournisseurs de denrées alimentaires. Un sourçage très encadré qui a modifié radicalement les relations avec les fournisseurs, comme l'explique Olivier Coq, adjoint gestionnaire du lycée Jean Macé de Niort et coordonnateur du groupement. >> Lire l'article complet sur le site de Achat Public

Marchés publics - Le montant des pénalités de retard ne peut pas être un sous-critère !

Si la cour administrative d'appel a estimé que la collectivité pouvait tout à fait prévoir ce genre de sous-critère, le Conseil d'Etat n'a pas suivi ce raisonnement. Il a effectivement jugé que la définition du montant des pénalités de retard par le candidat dans son offre n'était pas un sous-critère pertinent. Selon lui, un tel sous-critère "ne permet pas de mesurer la capacité technique des entreprises candidates à respecter des délais d'exécution du marché, ni d'évaluer la qualité technique de leur offre". Pour conclure, les juges de cassation ont également rappelé qu'un tel sous-critère restait peu pertinent compte tenu d'une part, du fait que l'application de pénalités de retard reste une simple faculté pour l'acheteur, et d'autre part, que le juge peut toujours moduler le montant des pénalités de retard s'il s'avère excessif ou dérisoire. Le Conseil d'Etat a donc annulé l'arrêt de la CAA et renvoyé l'affaire devant les juges d'appel. >> Lire l'article complet sur le site de la Caisse des dépôts et des territoires

IT

"Pas d'interruption de service", Orange prépare la migration du téléphone fixe vers le réseau IP

Vannina Kellershohn, vice-présidente de la communication unifiée et collaboration chez Orange Business Services : Pour les entreprises qui veulent passer à l'IP, nous avons deux approches. Nous expliquons au client que le passage à l'IP est l'opportunité de mixer son accès internet avec d'autres usages, notamment la voix. Pour cela, nous avons des offres "multiplay". Pour les clients qui ne veulent pas un accès internet spécifique, nous prévoyons des offres de substitution "monoplay", où il y aura un accès data mais qui permettra juste un usage pour la voix. Notre conseil au client est de profiter du passage à l'IP pour passer sur du "multiplay". Si le client ne le souhaite pas, il a la possibilité de rester sur du monoplay mais en IP. Techniquement nous rajoutons une box mais notre engagement est d'avoir les mêmes tarifs en prix catalogue. En terme d'infrastructures - la seule différence pour le client est de prévoir une alimentation électrique puisque pour avoir une box internet il faut une alimentation électrique. Pour une entreprise, c'est normalement gérable... >> Lire l'interview complète sur le site de l'Usine Nouvelle


Travel

Nouvelle taxe de séjour en Ile-de-France : les hôteliers montent au créneau

Cette nouvelle taxe est également en contradiction totale avec les objectifs fixés par le Conseil interministériel pour le Tourisme. Elle pénalisera l'attractivité de la 1ère région d'accueil des touristes français et étrangers et affaiblira durablement la compétitivité du tourisme d'affaires, locomotive de l'industrie du tourisme en Ile-de-France. L'Umih et le GNC rappellent que 80% de la taxe de séjour est collecté aujourd'hui par l'hôtellerie et les résidences de tourisme et à peine 1,3% via les plateformes de type Airbnb. A l'exception de Paris, aucune collectivité en Ile-de-France n'a mis en place une taxe de séjour sur les meublés qui doit être collectée par les plateformes. Avant de surtaxer les touristes français et étrangers, les collectivités concernées par la SGP ont la responsabilité de mettre en place ces nouvelles opportunités offertes par la loi et le cas échéant, en reverser tout ou une part à la SGP. >> Lire l'article complet sur le site du Quotidien du trousime

Comment Airbnb capte la clientèle d'affaires

"Nous proposons un système de paiement centralisé, un suivi pour les travel managers et un support clients 24h/24", décrit Emmanuel Marill. Les grandes entreprises pèsent pour 40%, comme les PME et start-up. Les entreprises de taille moyenne alimentent les 20% restants mais sont en forte croissance. Paris, Londres et Los Angeles figurent parmi les destinations business les plus demandées. La plateforme met à leur disposition une collection de logements ciblée (WiFi de qualité, arrivées et départs autonomes et flexibilité en cas d'annulation). "Près de 12% de notre parc parisien répond à ces critères", précise Emmanuel Marill. L'opérateur a également lancé à leur attention Airbnb +, un service qui prévoit le contrôle préalable du logement. Pour le géant californien, l'arrivée de cette clientèle est une aubaine. Les entreprises louent souvent un hébergement pour plusieurs collaborateurs (plus de deux) et pour des périodes plus longues (cinq jours) que la clientèle touristique (trois à quatre jours). Beaucoup de séjours débordent sur le week-end. "On leur offre plus qu'un hébergement, on propose une expérience", ponctue le patron d'Airbnb. Et le mouvement n'est pas près de s'arrêter. Ce service permet aux entreprises de réaliser des économies de 49% sur l'hébergement de leurs collaborateurs. La plateforme l'a bien compris. Elle réfléchit à des offres en journée pour des réunions de travail ou de formation à l'esprit d'équipe. >> Lire l'article complet sur le site de Europe 1


Fleet /mobilité

L'UE définit et impose des quotas de "véhicules propres" aux flottes publiques

Outre définir ce qu'est -ou non- un "véhicule propre", les députés européens ont décidé d'imposer aux États-membres de s'équiper d'un certain volume de véhicules de ce type. Les marchés publics permettant de renouveler les flottes d'États ou d'administrations publiques comprendront, à l'avenir, une clause relative à l'intégration de véhicules fonctionnant avec les sources d'énergies citées plus haut. Pour la France, à l'horizon 2025, "50% des voitures et camionnettes achetées via des marchés publics" devront être des "véhicules propres". Cette part augmentera au fil des ans pour atteindre 71% en 2030.Plus complexe encore, parmi la quantité de véhicules propres à acquérir, les pays devront respecter une stricte répartition en termes de mix énergétique. "Jusqu'en 2025, 70% des voitures et camionnettes propres achetées par marché public seront basses ou zéro émissions. Après 2025, cette part ne correspondra plus qu'à des véhicules zéro émissions", résume Contexte. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise

"Le moteur diesel sur du 100% renouvelable serait une belle option", estime le directeur général du groupe Avril

Selon Jean-Philippe Puig le biocarburant est "une solution dans le cadre de la transition énergétique". Il explique que les camions pour des raisons d'autonomie ont besoin des moteurs diesels "qui ne sont pas prêts de disparaitre, mais les passer à 100% sur du végétal c'est quand même une belle option". Le directeur général du groupe Avril assure qu'avec l'Oleo 100,"vous avez 60% de moins en gaz à effet de serre." Le dirigeant du groupe agro-industriel vient de lancer un nouveau biocarburant 100% à base de colza. Il s'appelle l'Oléo 100 et sera réservé aux flottes professionnelles. "Il a de révolutionnaire qu'il s'agit d'un carburant 100% végétal, 100% français et donc 100% renouvelable. Dans le Oleo 100 vous ne trouverez que du colza français qui a été cultivé, récolté et transformé en France", a indiqué Jean-Philippe Puig. Ce nouveau carburant "n'est pas moins cher que le gazole, il sera commercialisé au même prix au kilomètre parcouru. Ce carburant est moins taxé sur le carbone en revanche", a-t-il poursuivi. L'Oleo 100 ne concerne que les professionnels, "notre cible c'est d'abord les camions, les bus et les cars". >> Lire l'article complet sur le site de FranceTVInfo


Environnement de travail

Le bureau de demain est arrivé

Faire du bureau un endroit où l'on se sent aussi bien que chez soi est devenu le mot d'ordre des aménageurs. Ils y voient une vraie alternative au télétravail d'ailleurs peu développé en France. "Plus on donne aux collaborateurs la possibilité de choisir des espaces différents selon leurs activités, plus leur niveau d'engagement augmente", constate François Brounais, patron Europe occidentale, Afrique et Moyen Orient de Haworth. Certes, l'open space et les postes "en batterie", restent encore la règle mais la mutation du travail induite par le digital (nos bureaux ont migré vers les smartphones et ordinateurs portables) et le prix croissant de l'immobilier, bouleversent la manière dont sont utilisés les mètres carrés. "En moyenne 40 % à 45 % des postes fixes sont inoccupés", rappelle ce dernier, "autant en redistribuer une partie en espaces informels, propices aux échanges et à la collaboration". >> Lire l'article complet sur le site des Echos


RH / Carrière / Management

Manager, c'est créer les conditions dans lesquelles on aime travailler

Tout cadre bien dans sa tête et d'une saine ambition veut faire partie d'une grande aventure, d'une épopée qui est plus grande que lui, un objectif ambitieux, une conquête importante, une innovation capitale, une conquête de marché... Si vous êtes passionné par ce que vous voulez atteindre, faites-leur part de votre croisade de réaliser ce qui n'a jamais été fait auparavant. Les médiocres qui veulent être payés et garder leurs emplois, quels que soient ce qu'ils font ne vous intéressent pas. Vous n'avez pas besoin de résignés pour mener votre conquête, mais de combattants qui adorent le challenge. Vous devez récompenser le meilleur de ses performances, et le moyen le plus efficace et facilement compréhensible par tous est d'instaurer une vraie méritocratie. >> Lire l'article complet sur le site de Cadre Dirigeant

Absentéisme dans les collectivités : "le management est la pierre angulaire"

Dans son panorama 2018, "Collectivités territoriales, qualité de vie au travail et santé des agents", le courtier en assurance Sofaxis met en avant les liens entre conditions de travail et performance organisationnelle durable. Un sujet sur lequel les collectivités doivent encore plancher puisque pour 41% des agents, le taux de satisfaction a baissé sur les six mois qui ont précédés l'enquête. Le taux d'absentéisme, lui, a progressé de 3% en 2017.(...) Le panorama met en avant les principaux facteurs impactant à la fois le nombre d'agents absents (exposition) et le nombre d'absences (fréquence). Dans les deux cas, ils sont liés à des pressions psychologiques, la peur au travail ou des tensions. "Plus on est dans la valeur ajoutée produite et dans l'utilité de son travail, moins les agents sont absents", résume Vincent Lelong, directeur général de Sofaxis. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes

60% des cadres envisagent de démissionner, selon une étude de Cadremploi

Six cadres sur dix envisagent de démissionner de leur poste actuel, principalement pour améliorer leurs perspectives professionnelles et leur salaire, selon une étude Ifop pour Cadremploi publiée mardi. 20% des cadres pensent même "souvent" à démissionner et "plus d'un cadre sur trois" va jusqu'à envisager une reconversion, d'après cette enquête. Mais quatre cadres sur dix perçoivent la démission "comme risquée". Pourtant, parmi les cadres qui ont déjà démissionné, plus de 80% "constatent un impact positif sur leur niveau de bien-être général", notamment sur leur vie privée, relève Cadremploi dans un communiqué. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Les "digital natives" ou le complexe d'Obélix

L'idée que les jeunes nés après 1984 auraient développé une compétence numérique innée est en effet plus que discutable. " Les élèves utilisent assez facilement les réseaux sociaux, les jeux, mais à part ça, on ne peut pas dire qu'ils maîtrisent l'informatique, explique Catherine Cluzeau, enseignante, qui donne des cours de traitement de texte en lycée hôtelier. Les tableurs, la mise en page, la ­recherche sur Internet, ils ont beaucoup de mal avec tout ça. Quand tu leur demandes de trouver une info, ils sortent généralement une liste de liens, sans aucune hiérarchie ni vérification. >> Lire l'article complet sur le site du Monde




 
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