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Revue de presse achats - semaine du 21 octobre

Publié par Audrey Fréel le | Mis à jour le
Revue de presse achats - semaine du 21 octobre

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture.

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[Nomination] Stellantis fait évoluer son organisation, dont sa direction supply chain

Assurant que l'industrie automobile connaît une « période de transformation darwinienne », selon les mots de son CEO Carlos Tavares, Stellantis a annoncé faire évoluer son organisation en ce mois d'octobre 2024. S'en suivent des changements stratégiques, « qui entrent en vigueur immédiatement au sein de son équipe managériale », selon le constructeur. Outre des évolutions de postes (avec départs, arrivées et promotions) dans différentes branches, marques et entités commerciales du groupe automobile franco-italo-américain, la direction supply chain change également de périmètre. « Pour stimuler davantage la performance commerciale, l'organisation de la supply chain sera transférée de la direction des achats à la direction industrielle dirigée par Arnaud Deboeuf, permettant à Maxime Picat de consacrer encore plus d'attention et d'expertise aux améliorations de la performance à réaliser avec nos fournisseurs partenaires », détaille Stellantis dans un communiqué.

Jointe par Voxlog, la direction de la communication de Stellantis précise que seuls les périmètres d'activités des deux intéressés évoluent pour l'instant. « Maxime Picat [chief purchasing and supply chain officer depuis juin 2022, ndlr] était auparavant responsable à la fois des achats et de la supply chain. Il pourra désormais concentrer tous ses efforts sur les achats et la cruciale relation avec nos fournisseurs, au niveau mondial », nous spécifie-t-elle.
Arnaud Deboeuf exerce quant à lui en qualité de chief manufacturing officer de Stellantis depuis janvier 2021. « Il supervisera le périmètre supply chain, en lien avec la fabrication », ajoute la direction de la communication du constructeur automobile, informant également que les titres des postes d'Arnaud Deboeuf et de Maxime Picat restent, pour l'heure, inchangés. »Lire l'article complet sur le site de Voxlog.

[RH] Salaire : cette catégorie est particulièrement pénalisée par l'inflation

Face à l'inflation, tout le monde n'est pas logé à la même enseigne. Certains subissent en effet, selon Europe 1, le recul de leur pouvoir d'achat plus intensément que les autres. L'année dernière, en effet, un cadre du privé a touché en moyenne 4573 euros nets par mois. C'est certes une centaine d'euros de plus qu'en 2022. Mais avec une inflation restée forte (+ 4,9 % en 2023, après + 5,2 % en 2022), le pouvoir d'achat des cadres lié directement à leur salaire s'est dégradé de quasiment 3 %. »Lire l'article complet sur le site de Capital.

[Économie] BCE-L'inflation pourrait revenir à la cible plus rapidement que prévu, dit Lagarde

WASHINGTON, 22 octobre (Reuters) - L'inflation dans la zone euro pourrait revenir à l'objectif de 2% plus rapidement que prévu, a déclaré mardi la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde.

"Je suis absolument convaincue que nous atteindrons cet objectif de manière durable dans le courant de l'année 2025", a déclaré Christine Lagarde lors d'un événement organisé par Bloomberg Newsmaker.

Les dernières projections de la BCE prévoient un retour à la cible d'inflation de 2% au dernier trimestre de 2025. »Lire l'article complet sur le site des Échos Investir.

[Energie] Retour à la normale attendu sur les prix du gaz cet hiver

La France a fait le plein de gaz et peut affronter un hiver rude : ce mercredi, les transporteurs GRTgaz et Teréga se sont voulus rassurants. L'alerte rouge de l'hiver 2022, suite au démarrage de la guerre en Ukraine, s'éloigne peu à peu. « Le réseau français est en mesure d'assurer les approvisionnements nécessaires pour couvrir les besoins en consommation et en transit vers l'Europe, même en cas de forte baisse des températures », affirment les deux gestionnaires des réseaux français. L'année dernière, les mêmes acteurs se montraient encore vigilants sur les risques pour la saison hivernale 2023-2024 mais la sérénité revient désormais sur ce marché.

Le niveau de remplissage des réserves de gaz atteint 95 % grâce à des importations soutenues depuis la Norvège, les Pays-Bas et l'Espagne. Les terminaux méthaniers ont également fait le plein de gaz naturel liquéfie (GNL). Douze nouveaux points d'entrée pour importer la molécule ont été créés en Europe depuis 2022, quatre d'entre eux entreront en service à la fin de l'année, ce qui dopera de 11 % les capacités européennes par rapport à 2023. Un levier pour soutenir les achats aux Etats-Unis notamment. »Lire l'article complet sur le site des Échos.

[Approvisionnement] Le géant Eramet suspend son usine de recyclage de batterie à Dunkerque

Le groupe minier français Eramet a annoncé jeudi sa décision de "suspendre" son projet d'usine hydrométallurgique de recyclage de batteries pour véhicules électriques prévu dans le nord de la France, "dans l'attente d'un modèle économique solide et pérenne en Europe".

"Faute de montée en puissance en Europe des usines de batteries et de leurs composants, il existe aujourd'hui de fortes incertitudes, à la fois sur l'approvisionnement en matières premières de l'usine et sur les débouchés des sels métalliques issus du recyclage", explique Eramet dans un communiqué.

"Nous restons totalement convaincus de la nécessité de développer une économie circulaire des métaux critiques sur le sol européen, dont le recyclage des batteries en fin de vie sera un élément clé de la chaîne de valeur future, mais la réalité est que la chaîne de valeur des batteries électriques en Europe connaît un démarrage très difficile", a expliqué la PDG du groupe Christel Bories, lors d'une conférence téléphonique avec la presse jeudi. »Lire l'article complet sur le site de BFM.

[Transport] Les prix du transport en baisse de 2,2% en septembre

Dans le baromètre d'Upply paru le 18 octobre 2024, William Béguerie, expert du TRM, constate une baisse des prix du transport routier en France de 2,2% en septembre par rapport au mois précédent. Il s'agit de la deuxième baisse la plus sévère de l'année après celle enregistrée en janvier. Selon l'auteur, ces chiffres sont en opposition au contexte économique marqué par un redressement du climat des affaires. Les chiffres de l'Insee montrent en effet un gain de 0,8 point, après une progression de près de trois points en août grâce aux Jeux Olympiques. L'indice du climat des affaires se rapproche ainsi de son niveau de juin dernier et de sa moyenne de longue période, notamment grâce au redressement dans les secteurs du commerce de détail et du commerce de gros. »Lire l'article complet sur le site de Stratégies Logistique.

Actualités achats à l'international

[Économie] Canada : La Banque centrale abaisse ses taux avec le ralentissement de l'inflation

OTTAWA, 23 octobre (Reuters) - La Banque du Canada (BOC) a réduit mercredi son taux directeur de 50 points de base à 3,75%, sa baisse la plus importante en quatre ans, l'institution saluant le ralentissement de l'inflation.

La banque centrale a procédé à quatre baisses de taux consécutives depuis le mois de juin. En septembre, l'inflation a atteint 1,6%, inférieure à l'objectif de 2% visé par la BOC.

"Nous procédons à une plus grosse réduction aujourd'hui parce que l'inflation est maintenant de retour à 2% et que nous voulons qu'elle reste près de la cible", a déclaré le gouverneur de la banque centrale, Tiff Macklem, dans sa déclaration préliminaire à la conférence de presse. »Lire l'article complet sur le site des Échos Investir.

[Énergie] En Espagne, premiers doutes sur les méga-projets de production d'hydrogène

Après l'euphorie, le retour à la réalité ? Candidate au titre de championne d'Europe de l'hydrogène vert, produit à base d'électricité renouvelable, l'Espagne va sans doute revoir ses ambitions à la baisse. Repsol a annoncé le gel de ses trois grands projets d'investissements dans la production d'hydrogène renouvelable à Tarragone en Catalogne (avec une capacité de 100 mégawatts), à Carthagène dans le sud de l'Espagne (150 MW) et près de Bilbao au Pays basque (100 MW). »Lire l'article complet sur le site de L'Usine Nouvelle.

[Exportations] La fièvre protectionniste de Trump est aussi dirigée contre l'Europe

Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche pourrait faire très mal aux Européens . En effet, ces dernières années, les entreprises européennes ont misé sur le marché américain alors que l'activité économique du Vieux Continent stagnait. Il faut dire que les ventes au détail ont progressé de près de 15 % en volume de l'autre côté de l'Atlantique depuis 2018, soit plus de deux fois plus vite que dans l'Union européenne (UE).

Sans compter que la consommation des ménages américains représente 30 % des dépenses mondiales de tous les habitants de la planète. La croissance américaine depuis 2019 a participé à soutenir l'activité économique européenne .

Résultat, les exportations européennes de biens vers les Etats-Unis ont dépassé la barre des 500 milliards d'euros, dont un tiers était allemand, l'an passé, soit 4 % du PIB de l'Europe. Cette performance a permis à l'UE de dégager un excédent commercial avec l'Amérique de près de 160 milliards d'euros, dont 60 milliards pour la seule Allemagne. Même avec la crise énergétique à la suite de la guerre en Ukraine et les achats européens d'hydrocarbures à Washington, le déficit américain vis-à-vis de l'Europe ne s'est pas réduit.

Une réindustrialisation aux dépens de l'Europe

Le problème, c'est que Donald Trump n'aime pas les déficits commerciaux bilatéraux, que ce soit avec la Chine, qui reste son ennemi préféré, ou avec l'Europe, à laquelle l'ex-président ne ressent aucun attachement. « En matière de commerce, Donald Trump est un mercantiliste, c'est-à-dire qu'il juge le succès ou l'échec de son pays en fonction des excédents ou déficits extérieurs », résume Bruno Cavalier, chef économiste d'Oddo BHF. D'où son idée de taxer toutes les importations américaines à 10 % pour tenter de renforcer la compétitivité des industriels américains sur leur marché intérieur. »Lire l'article complet sur le site des Échos.

 
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