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Revue de presse achats - semaine du 16 mai

Publié par Audrey Fréel le - mis à jour à
Revue de presse achats - semaine du 16 mai

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture.

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Les surprenantes pratiques de la centrale d'achats suisse du groupe Orpea

Le bâtiment se situe près du paisible village d'Etoy, en Suisse, à deux pas du lac Léman. C'est ici, dans un centre d'affaires design, que se trouve l'entreprise qui se chargeait de commander jusque fin 2020 les viandes, poissons, fruits, produits surgelés, biscottes et autres compotes qui composaient les repas des résidents de tous les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) et cliniques du groupe Orpea en France. Soit près de 400 établissements. Ici se trouve Kauforg : la centrale d'achats suisse du géant mondial des Ehpad, une filiale de Senevita, elle-même filiale du groupe Orpea.

En mars 2022, un rapport de l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de celle des finances (IGF), fruit d'une enquête de six semaines, a pointé une priorité accordée à la performance financière plutôt qu'à des critères de qualité, dénonçant notamment une nourriture "insuffisante".

À la tête de cette centrale, on trouvait jusqu'à récemment trois Français. Il y avait le directeur des achats d'Orpea, arrivé il y a près de 17 ans, le directeur des services informatiques, un pur "produit maison" arrivé il y a 25 ans et le directeur-adjoint des achats, un ancien de chez Sodexo. Particularité de leur statut : ces trois hommes étaient tous salariés du siège d'Orpea à Puteaux, avec en plus, un contrat à tiers-temps dans la société Kauforg, en Suisse. >> Lire l'article complet sur le site de France Inter

Approvisionnement en énergie : Thierry Breton favorable à une mutualisation d'achats en Europe

Le commissaire européen au marché intérieur Thierry Breton s'est dit favorable à une mutualisation dans l'approvisionnement énergétique au sein de l'Union européenne. "On en a parlé pour les vaccins, j'en ai parlé pour les semi-conducteurs, on en parle désormais pour l'énergie... On ne peut réagir qu'au niveau continental et en solidarité, donc oui il faudra des politiques de mutualisation et d'achats en commun" des énergies, a-t-il dit sur les radios françaises France Inter et Franceinfo, et le quotidien Le Monde. Pour l'énergie, "je vois qu'aujourd'hui un certain nombre de pays ne sont pas favorables encore, dont l'Allemagne. Je suis convaincu qu'on le fera. Je comprends les raisons, mon rôle est de trouver des solutions solidaires pour pouvoir faire face", a-t-il encore dit. Pour lui, "on est en train de bâtir une nouvelle solidarité européenne dans cette guerre de l'énergie". >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Gaz naturel liquéfié (GNL) : pourquoi une crise d'approvisionnement se profile au niveau mondial

Le marché des combustibles fossiles se trouve pour le moins disputé, à l'heure où le Vieux continent tente de se défaire des hydrocarbures en provenance de Russie, devenus indésirables depuis l'offensive en Ukraine. En effet, pour remplacer peu à peu les quelque 150 milliards de mètres cubes de gaz russe qu'ils achètent chaque année, les Vingt-Sept se tournent massivement vers le GNL, acheminé par bateaux des quatre coins du monde plutôt que par gazoduc. D'autant que Bruxelles doit se préparer à l'éventualité que Vladimir Poutine coupe lui-même les vannes, après avoir réduit les flux de gaz transitant par l'Ukraine, et suspendu les livraisons à la Pologne et la Bulgarie. Résultat : déjà croissante en 2021, la demande mondiale de GNL explose...et l'offre ne suit pas. De quoi créer un « déséquilibre structurel », alertait début mai l'association professionnelle du secteur. Et même préparer le terrain à une « crise majeure » d'approvisionnement sur le globe, a récemment averti le cabinet d'analyse en énergie Rystad Energy. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Défense : l'Europe veut se lancer dans les achats conjoints

L'invasion de l'Ukraine par la Russie pousse les capitales à revoir à la hausse leur budget militaire. Elle propose donc de coordonner leurs dépenses pour faire fructifier à l'échelle européenne ces choix stratégiques.

"Nous devons acheter ensemble comme nous l'avons fait avec les vaccins et comme nous voulons le faire avec le gaz. C'est pourquoi nous proposons une task force de défense pour des achats conjoints, au sein de laquelle les Etats membres pourraient s'engager pour leurs besoins à court terme. Et nous proposons également des incitations financières pour que les États membres participent" à ce dispositif, insiste le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell. >> Lire l'article complet sur le site d'Euronews

"Un tsunami d'inflation" : pourquoi les prix du Kiri, de la Vache qui rit ou du Babybel (groupe Bel) vont augmenter

Dans les supermarchés, le groupe Bel assure qu'une hausse des prix de ses produits de ses produits est inévitable pour faire face la flambée des coûts de production. "Ce qu'on a devant nous, c'est un tsunami d'inflation", a assuré ce jeudi matin sa nouvelle directrice générale, Cécile Béliot, sur le plateau de BFM Business. Tout augmente pour le géant des fromages en portion: les matières premières ont grimpé de 37%, tirées notamment par le beurre et la crème, tandis que les emballages ont pris 30% et que le coût du transport maritime a doublé, a-t-elle rapporté. >> Lire l'article complet sur le site de BFM.

52 % des projets de digitalisation de la supply chain bloqués par le manque de personnel

Dans une étude menée à l'échelle planétaire sur la transformation numérique de la supply chain en 2022, le CSCMP et ToolsGroup révèlent que les entreprises, persuadées des bienfaits du digital dans leur grande majorité, sont confrontées à une pénurie de ressources humaines qui les empêche de mener à bien leurs projets. Réalisée lors du premier trimestre de cette année auprès de plus de 300 professionnels du secteur, elle rapporte le fait que les entreprises sont désormais nombreuses à s'engager dans un processus de digitalisation de leur activité (93 %).

Les dirigeants des sociétés interrogées se disent "extrêmement préoccupés" par les menaces externes pesant sur la supply chain : retards dans les approvisionnements pour 25 %, inflation galopante pour 24 %, et augmentation des coûts de traitement des commandes pour 19 % d'entre eux. La digitalisation est vue comme un moyen de parer à ces menaces.

Bien que motivées pour se digitaliser, 52 % des entreprises se déclarent freinées par une pénurie de personnel et de compétences, l'obstacle principal qui entrave leurs efforts de transformation numérique. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Marchés publics : opération transparence pour la région Bretagne

"La région Bretagne n'a rien à cacher ! ", lance Loïg Chesnais-Girard, son président, venu célébrer à la Maison de la Bretagne (Paris 15e) le lancement ce 18 mai de l'Observatoire des données de l'achat public. Une initiative qui repose sur un credo : "L'achat public, qui représente 250 à 300 millions d'euros par an pour le conseil régional, doit participer au développement de notre territoire, à la création d'emplois, et à la performance énergétique et environnementale".
L'Observatoire est ainsi bâti en miroir du Schéma des achats économiquement responsables élaboré par la collectivité en 2018 - et en cours de refonte, le chantier devant aboutir à l'automne. "Lorsque nous procédons à un achat, souligne le président de la région, nous devons pouvoir répondre de nos choix devant les citoyens et devant les entreprises. Le portail permet à tous, et pas seulement à une caste d'entrepreneurs à la pointe, d'avoir accès à nos données étendues". >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur

Deutsche Bank sera plus stricte avec ses fournisseurs sur le développement durable

Deutsche Bank exigera de ses fournisseurs dans le monde entier qu'ils affichent une note de durabilité à partir de juillet, selon une note interne consultée par Reuters, une mesure qui ne satisfera probablement pas entièrement les militants écologistes. Le président du directoire de la banque allemande, Christian Sewing, reviendra sur ce projet lors d'un discours aux actionnaires jeudi, a déclaré une source au fait de la question. Les entreprises financières sont soumises à une pression croissante de la part des écologistes et des investisseurs pour qu'elles prennent en compte les questions environnementales, sociales et de gouvernance (ESG) dans leurs activités. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle

 
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