Revue de presse achats (semaine du 5 au 9 novembre)
Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de souci. La rédaction a sélectionné pour vous des articles parus sur le Net et qui vous intéresseront car en lien avec les achats: relation fournisseurs, RSE, travel, fleet, IT, mais aussi carrière et management. Bonne lceture!
Je m'abonneLes secrets de fabrication des nouveaux maillots du XV de France
Fournisseur historique de la FFR, Le Coq Sportif a été choisi l'an dernier pour équiper les XV et les équipes de Seven des Bleus pour les six prochaines saisons (2018-2019 à 2023-2024). L'enseigne a aussi décidé de revenir aux fondamentaux pour la conception de ses produits : depuis 2013 le fil est tricoté et maillé chez Aube Tricotage à une quarantaine de kilomètres et le produit est teint chez France Teinture, distante d'environ 30 kilomètres. Un mode de fonctionnement qui a fait son effet dans le choix de l'équipementier par le bureau dirigeant de la FFR en 2017. "J'ai vécu des moments émouvants en visitant les usines. C'est une véritable incarnation des métiers. J'ai été fasciné devant le tricotage et la teinturerie", raconte Serge Simon lors de la présentation du maillot à la presse le 30 octobre dernier. "C'est bien plus qu'une collaboration, c'est une symbiose. L'ADN du partenariat, c'est bien la fabrication française." >> Lire l'article complet sur le site de l'Est Républicain
Adidas : comment le phénix renaît de ses cendres
Revers du succès commercial et de la multiplication des modèles, la logistique devient de plus en plus complexe. Adidas a vendu près de 400 millions de paires de chaussures l'an passé - sport et Originals confondus -, 150 millions de plus qu'en 2014. "On ressemble de plus en plus à une marque de "fast fashion", avec quatre collections par an comme Zara ou H & M, raconte un manager de l'entreprise. Et, en plus, 80% des modèles sont des nouveautés ou des évolutions de modèles anciens. C'est un peu le casse-tête." Pour les petites séries haut de gamme, une solution radicale se profile : Adidas imagine une "speed factory" entièrement robotisée, où des chaussures seraient fabriquées à la demande en impression 3D. Deux sites expérimentaux tournent déjà en Allemagne et aux Etats-Unis. Cela permettrait, au passage, de rapatrier une partie de la production qui, pour l'heure, est presque intégralement réalisée dans une centaine d'usines sous-traitantes en Asie (pour moitié au Vietnam, les autres se répartissant entre l'Indonésie et la Chine). >> Lire l'article complet sur le site de Capital
Renault va produire deux nouveaux fourgons en France
Le site fabriquera à partir de la mi-2019 une nouvelle fourgonnette Nissan (NV250). Ce nouveau véhicule est plus petit que l'actuel NV300, un fourgon fabriqué dans une autre usine française de Renault, à Sandouville en Seine-Maritime, sur la plate-forme du Renault Trafic. Ce dernier site va quant à lui produire un fourgon pour Mitsubishi destiné aux marchés australien et néozélandais. C'est la première fois qu'un véhicule Mitsubishi est fabriqué en France, et une première en Europe depuis que le groupe japonais a renoncé à son usine d'assemblage néerlandaise fin 2012. >> Lire l'article complet sur le Figaro
La sidérurgie façonne encore le marché du carbone à son avantage
Pour les allocations gratuites de quotas allouées à la sidérurgie, la Commission souhaitait au départ interrompre leur distribution pour les émissions de CO2 correspondant au "torchage" du gaz des hauts-fourneaux dès 2021. Cette pratique de torchage, déjà interdite ou très encadrée dans la plupart des industries comme la raffinerie ou l'extraction de pétrole en Europe, est en effet très nocive. Le mélange de charbon à coke et de minerai de fer brûlés à haute température produit deux fois plus de CO2 que le simple charbon. Et les particules émises contribuent sévèrement à la pollution de l'air. La plupart des haut-fourneaux européens ont déjà mis en place des solutions qui permettent d'éviter le torchage, en recyclant le gaz dans des circuits de chaleur ou en fabriquant de l'électricité. Les volumes d'énergie qui auraient dû être économisés en interdisant le torchage du secteur représente la consommation d'électricité pour un an d'1 million de personnes. Le montant total est d' environ 6 millions de quotas, soit 120 millions d'euros par an. Des fonds qui atterriront dans la poche des sidérurgistes plutôt que celles de l'Etat : au départ, la Commission voulait mettre ses quotas aux enchères.>> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Petit Bateau, arrimé dans l'Aube
Petit Bateau a fermé cet été son site logistique situé au Maroc, près de Casablanca, pour rapatrier en France les flux destinés à ses clients de la grande distribution au Benelux, en Italie et dans l'Hexagone. Désormais, le fabricant de vêtements et sous-vêtements pour enfants (groupe Yves Rocher) a entièrement centralisé sa logistique sur sa nouvelle plate-forme inaugurée en 2016, à Buchères, près de Troyes. Un site de 43.700 mètres carrés implanté au coeur du parc logistique de l'Aube, qui accueille également d'autres acteurs textiles de renom comme Devanlay, licencié mondial de la marque Lacoste, ou le groupe Eurodif. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Agroalimentaire : le coup de pouce d'Amazon aux petits producteurs français...
La "boutique des producteurs" d'Amazon débarque en France. Après les jeunes chefs d'entreprises et les artisans, le géant de Seattle a décidé de donner un petit coup de pouce aux producteurs du secteur agroalimentaire français, patrons de PME et TPE. Cette boutique d'un genre nouveau a donc pour objectif d'offrir davantage de visibilité aux fromageries, boucheries, distilleries et autres commerces de bouche de l'hexagone, rapportent les Échos. Dans un espace dédié, ils pourront mettre en avant les spécificités de leurs produits, et ainsi booster leurs ventes."Plusieurs dizaines de producteurs ont intégré notre programme où nous proposons pour l'instant plus de 2.000 références-produits", indique au quotidien économique le directeur de la marketplace d'Amazon France, Patrick Labarre. Celui-ci indique que le groupe a même noué des contacts avec des acteurs majeurs de l'agroalimentaire français, "dont le monde coopératif". >> Lire l'article complet sur le site de Capital
... et Pourquoi Mounir Mahjoubi presse Amazon de desserrer l'étau autour des TPE/PME françaises
Le gouvernement appelle l'ensemble des TPE-PME françaises qui "rencontrent des difficultés avec les plateformes de vente en ligne", à le signaler sur le site demarches.simplifiees.fr, d'ici à la fin du mois de novembre. L'objectif : recenser les plaintes pour permettre ensuite au gouvernement de négocier avec Amazon pour "trouver, avant la fin de l'année, des réponses concrètes aux problématiques récurrentes", d'après le secrétariat d'État au Numérique. Autrement dit, protéger les entreprises du bon vouloir d'Amazon et des autres plateformes phares comme Cdiscount, eBay ou Rue du commerce. Le médiateur des entreprises, situé à Bercy, a été saisi par Mounir Mahjoubi pour mener les négociations. De son côté, Amazon France affirme sa volonté de collaborer. "Amazon soutient toutes les initiatives susceptibles de contribuer à une plus grande confiance entre les places de marché numériques et les entrepreneurs", a indiqué le géant dans un communiqué de presse. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
L'industrie européenne sous tensions
Le coup de frein général de la croissance du secteur manufacturier s'explique principalement par une baisse des carnets de commande au cours du mois. "Le volume global des nouvelles commandes se replie, en effet, très légèrement pour la première fois depuis novembre 2014, tendance que les répondants expliquent notamment par l'affaiblissement des échanges internationaux." Les experts soulignent que les commandes à l'export ont baissé pour la première fois depuis le milieu de l'année 2013. Les ventes l'étranger ont reculé en Autriche, en France, en Allemagne et en Italie. La confiance des industriels interrogés s'érode sur le plan commercial. En effet, elle est à son plus bas niveau depuis 2012. Les entreprises se disent préoccupées par la multiplication des mesures protectionnistes, la hausse possible des tarifs douaniers et le climat d'incertitude politique. Enfin, la montée des prix du pétrole, des carburants et des métaux ont poussé les prix d'achat à la hausse. Pour compenser l'augmentation de leurs coûts, "les fabricants de la zone euro ont relevé leurs tarifs au cours du mois" souligne Markit. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Innovation
Comment la SNCF et la RATP vont "laver" l'air de leur gare
La qualité de l'air dans les stations et gares souterraines inquiète. Alors pour tenter de l'améliorer, la Région Ile-de-France, la RATP et la SNCF s'apprêtent à lancer, ce mois-ci, plusieurs expérimentations. Elles seront réalisées par cinq entreprises, retenues en septembre dernier dans le cadre d'un appel à projet de la région Ile-de-France. Chacune de ces sociétés va tester une technique différente. AirParif, l'association de surveillance de la qualité de l'air en Ile-de-France, évaluera ces innovations fin 2019, avec l'espoir de trouver une solution pour l'ensemble du réseau. Dans les stations souterraines, la pollution est en effet préoccupante. Les taux de particules fines (PM10 ou PM2,5) y sont élevés. Suez va tester le "traitement de l'air par ionisation positive". Air Liquide utilisera des "purificateurs électrostatiques", qui s'agrippent également sur les particules en suspension dans l'air et les envoie sur une plaque collectrice. Le groupe Sicat, lui, a proposé un système de piège passif des particules sur les parois des quais fonctionnant grâce aux fortes turbulences liées au passage des trains. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien
RSE
Du Cambodge à l'Europe, les ravages du trafic de bois
Si la Chine importe massivement du bois, l'Europe n'est pas en reste. Ces dernières années, des sociétés françaises ont régulièrement été épinglées par des associations comme Greenpeace pour avoir importé du bois illégal. Pour tenter d'enrayer le trafic, l'Union européenne a adopté en 2013 le Règlement sur le bois de l'UE (RBUE), qui interdit la vente dans le marché commun de bois exploités de manière illégale selon les lois du pays d'exploitation. Selon Rodd Myers, chercheur en justice environnementale à l'université d'East Anglia, en Angleterre, si "la réglementation RBUE est probablement efficace pour limiter les flux d'importation illégale de bois dans l'Union, l'impact des accords bilatéraux (APV) passés avec les pays producteurs sur la réduction de l'abattage illégal est encore incertain". >> Lire l'article complet sur le site du Point
La consommation de matières premières devrait doubler d'ici à 2060
Un rapport de l'OCDE intitulé "Perspectives mondiales des ressources matérielles à l'horizon 2060" révèle que l'utilisation mondiale de matière première devrait doubler en à peine quarante ans (...) Ainsi, les prédictions de l'étude concernant l'exploitation des matières fossiles, de l'agriculture, des matériaux de construction et de produits manufacturiers à l'horizon 2060 annoncent de gigantesques bouleversements de l'environnement. Les matériaux tel que le fer, l'aluminium, le cuivre, le zinc, le plomb, le béton, le sable et le gravier sont aujourd'hui "responsables à environ 16% des émissions à effets de serre mondiales". Leur production "pourrait être multipliée de deux à quatre fois d'ici à 2060" et "compromettre de plus en plus notre bien-être", explique Angel Gurría, secrétaire général de l'OCDE. L'extraction et la production de ces derniers sont aujourd'hui responsables d'un large panel de conséquences environnementales. Les productions de fer et d'acier sont responsables de l'acidification de l'écosystème et des substances toxiques qu'ingère l'homme à travers l'air ou la nourriture. Le béton, dont la production est moins polluante mais particulièrement massive est un des premiers facteurs responsables du changement climatique de la planète. La production de cuivre endommage spécialement l'état de l'eau potable sur Terre, plus que n'importe quelle autre production de matériel de construction. D'autres conséquences comme l'eutrophisation, la dégradation de la couche d'ozone ou l'usure des terres font partie de l'impact global que provoque l'utilisation excessive des matières premières. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Commande publique
Le tour de passe-passe budgétaire qui fait perdre 800 millions d'euros à la défense
Dans le cadre du projet de loi de finances rectificative, le ministère des Armées perd 800 millions d'euros : 400 millions d'euros d'annulations budgétaires et 400 millions supplémentaires de paiement des opérations extérieures. Et en même temps, le ministère des Armées a de bonnes nouvelles. Il va récupérer une partie de la réserve de précaution (250 millions) et a fait des économies (300 millions environ). En effet, l'hôtel de Brienne a constaté une sous-consommation des crédits du ministère qui concernent la masse salariale. Soit une économie estimée à 150 millions d'euros notamment en raison d'un plus grand nombre de départs de sous-officiers que prévu. De même, le surcoût des des OPEX et MISSINT (missions intérieures) devrait atteindre 1,37 milliard d'euros en 2018, précise-t-on au ministère des Armées. Soit 130 millions d'euros environ de moins qu'en 2017. Pas si mal. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune
Une proposition de loi envisage d'exempter les communes de moins de 100 habitants des procédures de passation des marchés
Selon l'exposé des motifs de la proposition, les formalités administratives, particulièrement contraignantes, dissuadent souvent les maires d'engager des travaux nécessaires pour la commune. L'ensemble des documents à produire dissuadent également les petites entreprises qui n'ont pas les moyens, ou connaissent des difficultés, pour remplir les dossiers de candidature en réponse aux appels d'offres. Elles se trouvent alors injustement exclues de marchés publics auxquels seuls des entreprises de taille suffisante peuvent répondre, ce qui fragilise toute une économie locale. De plus, ces entreprises de taille suffisante ne sont pas intéressées par des travaux de faible importance, peu rentables pour elles, ce qui laisse les petites communes avec des lots de travaux non attribués faute de prestataires. >> Lire l'article complet sur le site de Weka
Clauses environnementales : les nouvelles pratiques des collectivités
La France s'est engagée dans une Stratégie nationale de transition écologique vers le développement durable. Elle fixe comme objectif de mener "une politique de commande publique durable ambitieuse". L'objectif étant que 30 % des marchés comprennent au moins une disposition environnementale d'ici 2020. "Les statistiques tendent à montrer que les acheteurs publics prennent de plus en plus compte les enjeux environnementaux dans leurs marchés, constate Nicolas Charrel, avocat spécialiste de ces questions au cabinet Charrel Associés. Mais il existe aussi une forme d'appréhension dans la mise en oeuvre de considérations environnementales dans la commande publique, de peur de fausser la concurrence". Les procédures de passation des marchés publics étant relativement longues et complexes, les services des marchés peuvent être tentés de limiter l'utilisation de ces nouveautés juridiques apportées par la réforme. La crainte du contentieux est aussi latente. Résultat, il semble que cet objectif de 30% soit encore assez éloigné de la réalité des marchés. "Il est important de démystifier l'accent qui peut être mis sur les considérations environnementales", estime Nicolas Charrel. Certaines collectivités ont dépassé ces craintes. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Environnement
Marché public : méconnaissance par le SIAAP du principe d'impartialité de la procédure d'attribution
Dans le cadre de la modernisation de l'usine de pré-traitement des eaux usées de Clichy (Hauts-de-Seine), véritable point de convergence des eaux usées d'Ile-de-France, le Syndicat Interdépartemental d'Assainissement de l'Agglomération Parisienne (SIAAP) a confié en 2012 une mission d'assistance à maîtrise d'ouvrage à la société Artélia. Le SIAAP, assisté par la société Artélia, a ensuite engagé une procédure pour l'attribution d'un marché de conception-réalisation relatif à la refonte de l'usine de Clichy. Trois offres ont été présentées, dont celles du groupement d'entreprises Passavant et du groupement constitué notamment des sociétés Stereau et OTV, filiale de Véolia. En 2015, le SIAAP a conclu avec le groupement Stereau-OTV le marché, dont la société Passavant, qui a vu son offre rejetée, a demandé l'annulation au tribunal. Par un jugement du 6 novembre 2018, le tribunal administratif prononce la résiliation du marché au motif que le SIAAP n'a pas respecté le principe d'impartialité de la procédure d'attribution. >> Lire l'article complet sur le site du Tribunal administratif de Cergy-Pontoise
Le social, parent pauvre de la commande publique
"Un lent cheminement", voilà comment le conseil économique, social et environnemental (Cese) qualifiait, dans un rapport paru fin mars, le développement des clauses sociales dans la commande publique. A l'appui de ce constat, un bilan plutôt décevant : 8,6 % des marchés intègrent des dispositions en faveur de l'insertion par l'emploi des personnes en difficulté, contre 2 % en 2010. Un chiffre bien loin de l'objectif de 25 % inscrit dans le dernier Plan national d'action pour les achats publics durables à l'horizon 2020. Et pourtant, le sujet n'est pas neuf. Voilà des années que l'on assigne à la commande publique cette vocation "socialement responsable". Un concept vertueux mais flou qui, en pratique, se résume essentiellement à la promotion de l'emploi pour des publics en difficulté. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes
Quels sont les enjeux de la propriété intellectuelle dans les marchés publics ?
La direction des affaires juridiques (DAJ) du ministère de l'Economie et des Finances a publié le 25 octobre dernier une fiche sur "l'impact du RGPD sur le droit de la commande publique". Avec, pour premier rappel, le fait que le Règlement européen sur la protection des données personnelles (le RGPD), entré en vigueur le 25 mai dernier, ainsi que la loi n° 78-17 Informatique et Libertés du 6 janvier 1978 modifiée, sont applicables aux contrats de la commande publique, dès lors bien sûr que ces derniers comprennent une prestation mettant en oeuvre un traitement de données à caractère personnel. Voir l'article sur le site de la Gazette des communes
Fleet / Mobilité
Paris : faute de bus propres, la RATP va rappeler des véhicules diesel
Le diesel va faire son grand retour dans les transports en commun parisiens. Comme l'a annoncé l'entreprise qui gère les transports en commun en Île-de-France, la RATP va avoir recours à 118 bus diesel en 2019, faute d'un nombre suffisant de véhicules "propres". Concrètement, le plan de restructuration du réseau de bus parisien appelé "le Grand Paris des bus", lancé en 2017, qui prévoit la modification de 53 lignes de bus et l'ajout d'environ 250 arrêts en avril 2019 serait trop ambitieux pour un parc 100 % propre (électrique ou au gaz naturel). L'opération nécessite l'utilisation de 118 bus supplémentaires, mais les réserves de véhicules "propres" sont vides, a indiqué la RATP à l'AFP, confirmant une information du Parisien. >> Lire l'article complet sur le site du Point
Pollution : la bombe à retardement du moteur à essence
On nous aurait menti ? Voué aux gémonies au moment même où la réglementation lui impose enfin d'être propre, le moteur diesel fait office de bouc émissaire devant un moteur à essence devenu beaucoup plus polluant. C'est ce que fait apparaître une étude récente du laboratoire allemand TÜV Nord, réalisée pour le compte de l'ONG Transport&Environment. À l'heure où les particules sont sur toutes les langues, l'ONG bruxelloise a sélectionné trois berlines compactes animées par des moteurs à injection directe d'essence pour en mesurer les émissions polluantes. Le résultat est édifiant : sur le cycle NEDC d'homologation actuel, ces voitures essence émettent entre 4 et 8 fois plus de particules (en nombre) que la norme autorisée actuellement... pour les moteurs diesel. Cela en toute légalité, puisque les moteurs à essence n'auront à satisfaire une norme aussi sévère que les moteurs diesel dans le domaine des particules qu'en 2017. Il s'agit là d'un inconvénient imprévu par le législateur. En voie de généralisation parce qu'elle autorise une augmentation du taux de compression et, par là, une réduction des émissions de CO2, l'injection directe ne permet pas un mélange air-carburant aussi homogène que l'injection indirecte classique. Il en résulte des zones de sur-richesse qui provoquent l'apparition de particules lors de la combustion. >> Lire l'article complet sur le site du Point
Voiture électrique : les loueurs sonnent la charge
Si les voitures électriques n'ont pas encore envahi le parc des entreprises, les loueurs longue durée sont déjà prêts à "brancher" les flottes automobiles. Les Echos présente les solutions proposées par Arval, ALD, LeasePlan et Alphabet. >> Lire l'article sur le site des Echos
IT
Blockchain : 4 atouts pour votre entreprise
Nombreux sont les secteurs qui pourront en bénéficier. Et vous êtes concernés si vous souhaitez mettre en place un projet impliquant la gestion de grands volumes de données à partager entre plusieurs acteurs indépendants. Et le JDN de lister les atouts en expliquant comment procéder : Atout n°1 : Sécurisez vos transactions financières - Atout n°2 : Accélérez vos transactions - Atout n°3 : Authentifiez vos documents officiels - Atout n°4 : Archivez et tenez des registres. >> Lire l'article complet sur le site du JDN
Travel
Comment acheter sur le marché de la location de voitures courte durée ?
En termes d'achat, il faut viser large en intégrant les loueurs traditionnels, les start-ups et en régionalisant les offres en fonction des compétences, des services, des offres et des prix finaux. Dans une telle configuration, l'utilisation de la carte logée ou d'une place de marché capable de centraliser les données et le paiement (TMC) est le seul moyen de réellement piloter les dépenses sous réserve que les outils soient adaptés. Le travail est rude, demande une remise en cause systématique car, heureusement, les choses bougent. Il demande de l'expérience mais apporte d'excellents résultats (la location de véhicule représente généralement 15% des dépenses) et participe à la satisfaction de vos clients internes.>> Lire l'article complet sur le site de Déplacements Pros
Environnement de travail
Notre cerveau face au télétravail : comment éviter les pièges?
Lorsqu'on parle de travail à domicile, on entend tout type de pratique ! Rares sont ceux qui ont la chance d'avoir un bureau dédié, et le travail se fait souvent sur la table de la salle à manger, assis dans le canapé, voire même directement dans le lit. Cependant, travailler dans son lit (une pratique incluant la lecture de ses mails professionnels sur son smartphone avant d'aller dormir) peut être risqué pour les personnes ayant déjà un sommeil fragile ou des difficultés d'endormissement. En effet, si les challenges associés au travail s'immiscent dans cet espace réservé au sommeil, un mauvais conditionnement peut s'installer dans notre cerveau. Être dans son lit peut alors provoquer des ruminations liées au travail ou simplement nous maintenir éveillés, au lieu d'induire naturellement l'endormissement. Face aux insomnies, les médecins du sommeil préconisent d'ailleurs de bannir toute activité éveillante du lit, et se lever si l'on ne parvient pas à trouver le sommeil au bout de 20 minutes. Ces stratégies ont pour but de recréer une association positive entre le fait d'être dans son lit et de dormir; autrement dit, recréer un bon conditionnement. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle
RH/ Carrière
Après quoi les managers courent-ils ?
Il y a beaucoup moins de données concernant le lien que les managers font entre leur pratique de la course à pied et leur pratiques managériales. Nous avons donc conduit 33 entretiens avec des " dirigeants marathoniens ", qui participent à des marathons (course de 42,195 km), des ultra-trails (course nature de plus de 42,195 km) ou des Ironman (épreuve combinant 3,8 km de natation, 180 km de vélo et un marathon) tout en occupant des postes à très hautes responsabilités. Ces cas extrêmes montrent bien l'existence d'un lien entre pratique sportive et pratiques managériales : Un outil de recrutement et d'évaluation. Un vecteur de performance personnelle. Une soupape de décompression nécessaire. Un moyen de trouver un équilibre. Un marqueur identitaire positif. >> Lire l'article complet sur le site de HBR France
Vous avez envie de piquer une colère : 5 conseils pour la dominer
La colère peut vous faire sortir de vos gonds en un quart de seconde. Une injustice, un collègue imbuvable, un commentaire sur les réseaux sociaux... L'élément déclencheur peut survenir n'importe où, n'importe quand, dans votre travail. Si vous sentez la moutarde monter, voici quelques règles pour éviter l'explosion (...) Se mettre en colère pendant votre travail est légitime, cette émotion souvent que votre intégrité, votre ego ou votre bien-être ont été touchés. Mieux vaut agir en conséquence, une fois l'émotion retombée, quand vous avez recouvré vos capacités, par une introspection (Pourquoi me suis-je mis en colère ? Était-ce justifié ?), et si cela est pertinent et dans la mesure du possible, tâchez de communiquer avec la personne concernée, lui expliquer calmement et factuellement la situation qui pose problème, dans le but de rétablir l'équilibre. >> Lire l'article sur Cadre-Dirigeant
Dans la Silicon Valley, une formation pour apprendre à regarder ses collègues dans les yeux
Selon une étude de l'université du Michigan, il existe plusieurs critères pour savoir si une personne parvient à bien établir un contact visuel. Il faut regarder dans les yeux 50% du temps lorsqu'on parle, 70% du temps lorsqu'on écoute et à chaque fois que l'on s'apprête à parler. Tenir le contact pendant quatre ou cinq secondes puis regarder sur le côté, pas en bas. Il ne faut pas non plus rompre le contact trop brusquement (...) Lynn Goldman, la doyenne de l'Institut de santé publique de l'université Georges Washington, pense peut-être savoir pourquoi autant d'employées et employés de la Silicon Valley sont inadaptés socialement. Une grande part de nos relations sociales, encore plus dans le cadre du travail, passent désormais par des écrans, en particulier lorsque l'on travaille dans le domaine des nouvelles technologies. Le nombre d'interactions face à face est donc plus faible. Or, si une personne arrive à l'âge adulte sans avoir appris à soutenir un regard, ce pourrait bien être trop tard pour elle. >> Lire l'article complet sur le site de Slate