PSA table sur plus de 1,8 milliard d'euros de réduction de coûts entre 2010 et 2012
Dans son nouveau Plan de performance pour la période 2010-2012, PSA Peugeot Citroën table sur 1,815 milliard d'euros de réduction de coûts.
Je m'abonneDans son nouveau Plan de performance pour la période 2010-2012, PSA Peugeot Citroën table sur 1,815 milliard d'euros de réduction de coûts. Ces réductions de coûts se traduiront notamment par une augmentation du taux d'utilisation des capacités de production (ce taux était de 81% en 2008), par une amélioration de 20% de la productivité industrielle et de la productivité, encore par la réalisation de 400 millions d'euros d'économies sur les frais généraux de l'entreprise.
« Notre effort accru de productivité et d’amélioration de la performance nous permettra de rattraper notre retard en termes de rentabilité et de retrouver la croissance. Avec l’amélioration significative de la situation financière du Groupe au second semestre 2009, ce plan nous donne les marges de manœuvre nécessaires pour réaliser nos ambitions », a notamment déclaré Philippe Varin, le président du directoire du groupe PSA Peugeot Citroën. Ce Plan de performance pour la période 2010-2012 prévoit également une amélioration de la dynamique commerciale de l'entreprise (présence plus forte dans le B to B, nouvelle identité pour Peugeot en janvier 2010, enrichissement de l'offre de services aux clients, augmentation de la pénétration du groupe en Chine, en Amérique latine et en Russie, etc.).
« Nous faisons face à une nouvelle donne de l’industrie automobile : croissance accélérée des marchés asiatiques, vieillissement dans les pays développés, urbanisation croissante, préoccupation environnementale de plus en plus forte. Pour répondre à ces nouvelles tendances, PSA Peugeot Citroën s’est fixé trois ambitions : devenir un groupe plus global, avec un coup d’avance en matière de produits et services, tout en étant une référence en efficacité opérationnelle, ces trois ambitions s’appuyant sur une culture du développement responsable », conclut Philippe Varin.