Optimiser ses achats de classe C : tout est dans la data !
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Les achats de classe C, achats indirects qui ne font l'objet d'aucune récurrence, représentent en moyenne 5 % du total des achats des entreprises mais 70 % de leurs coûts administratifs*. Maîtriser ces coûts de gestion représente clairement un enjeu majeur de compétitivité pour les entreprises.
Je m'abonneLe défi n'est pas mince car ces achats engagent par nature une très grande hétérogénéité de fournisseurs, qu'il faut créer, gérer, et qui génèrent des factures et des livraisons en nombre. À l'heure de la transformation digitale des achats, récolter, structurer et analyser les données relatives aux achats sauvages est une piste d'optimisation qui présente un réel intérêt. Démonstration avec le dernier livre blanc publié par Manutan...
Sel pour lutter contre le verglas sur le parking ou rayonnage additionnel urgent, ces achats concernent tous les services d'une entreprise. Leur seul point commun est sans doute qu'ils sont le plus souvent déclenchés dans l'urgence, et encore plus souvent hors de toute démarche structurée.
Or, cette approche de pure réactivité a un coût. Ce coût, mal appréhendé et donc souvent caché, est alimenté par de multiples sources qui s'additionnent et finissent par chiffrer. Aux coûts logistiques - livraison, réception et mise à disposition, éventuellement erreurs & retours - s'ajoutent les coûts de traitement : gestion des fournisseurs, rapprochement des factures, suivi du SAV, d'autant plus élevés que les achats de classe C sont plus ou moins bien intégrés dans le processus achat. Et dans une proportion difficile à quantifier, la casse, les pertes et le vol alimentent également la grande rivière des coûts cachés.
Si les coûts sont cachés, c'est parce que la collecte et l'analyse des données relatives aux achats de classe C, par nature disparates, sont particulièrement difficiles pour les directions achats. Le livre blanc Manutan propose de contourner la difficulté du recensement interne des données en choisissant un fournisseur qui dispose d'une méthodologie efficace et d'une base clients suffisamment fournie pour avancer vers une véritable stratégie d'optimisation des coûts cachés.
- La première étape consiste à documenter les flux des achats de classe C de l'entreprise, en relevant notamment leur nature, leur mode de passation et le taux de service associé.
- Cette première étape induit la deuxième, qui s'appuie sur la qualité du système d'information du partenaire pour estimer des volumes globaux grâce à des benchmarks de sociétés comparables, couplés avec des études sectorielles.
- La troisième étape est une analyse de la maturité de l'entreprise selon six axes d'amélioration.
- Enfin, la dernière étape est la définition et la mise en oeuvre d'un plan de progrès est la quatrième étape de la démarche proposée par le livre blanc pour maîtriser ses achats de classe C en s'appuyant sur l'analyse des données.
En associant un système d'information à une solution de business intelligence adaptée, le livre blanc démontre, en appui sur un cas client, qu'il est possible de collecter et de compiler toute la data nécessaire à la compréhension des comportements liés aux achats de classe C de l'entreprise. Le diagnostic posé permet de mettre en place un plan de progrès, objectivé par un quantitatif d'économies à réaliser.
En réduisant son coût total d'acquisition (TCO) des achats de classe C, l'entreprise améliore sa productivité.
Télécharger le livre blanc en cliquant ici.
*Étude Sherpa HEC
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