Revue de presse achats - semaine du 14 février
Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine? La rédaction a séléctionné, pour vous, des articles publiés sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture.
Je m'abonneLes cours de l'aluminium s'envolent
L'offre mondiale est également limitée par la baisse de la production en Europe. Les fonderies européennes ont déjà diminué leur production de plusieurs centaines de milliers de tonnes en raison des coûts énergétiques élevés. Les tensions géopolitiques entre l'Ukraine et la Russie n'arrangent pas les choses. La Russie est l'un des plus grands producteurs d'aluminium au monde et la menace de sanctions occidentales contre Moscou en cas d'attaque contre l'Ukraine fait également monter les prix. Face à cette offre restreinte, la demande, elle, devrait rester vigoureuse cette année, le métal argenté est parmi les plus utilisés par diverses industries. Les prix devraient donc poursuivre leur progression. La banque d'affaires américaine Goldman Sachs estime même que la tonne d'aluminium va atteindre 4 000 dollars cette année. >> Lire l'article complet sur le site de RFI
La guerre des prix se durcit dans les négociations commerciales
Les agriculteurs s'impatientent, à trois semaines de la fin des négociations annuelles sur les prix. « Pour nous, c'est une question de vie ou de mort », martèle André Sergent, le président de la Chambre d'agriculture de Bretagne, après une nouvelle série d'actions devant les supermarchés bretons. Dans un contexte d'inflation sans précédent sur les prix des matières premières, la loi EGalim 2, annoncée par le gouvernement comme la solution pour protéger la rémunération des agriculteurs, peine à s'imposer à la table des négociations, malgré la promesse de la fédération du commerce et de la distribution d'une application intégrale de la loi. Les 250 enquêtes ouvertes par la DGCCRF semblent en attester, en dépit de rares accords. >> Lire l'article complet sur le site du Télegramme
Énergie : "les entreprises doivent agir, car les prix ne vont pas baisser"
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L'impact sur l'activité des entreprises n'est pas homogène. Dans un premier temps, les entreprises ayant mis en place des stratégies d'achat d'énergie à l'avance pourront se protéger de l'impact dans l'immédiat. Néanmoins, nous constatons une situation très problématique chez nos clients n'ayant pas anticipé de telles stratégies. Ils sont très inquiets, car le prix de l'énergie représentait en 2021 environ un tiers de leur facture ; or, l'explosion du prix fait qu'aujourd'hui il représente deux tiers de celle-ci. Les conséquences sont énormes, car leurs budgets se voient multipliés par deux. Dans un deuxième temps, même les entreprises ayant effectué des achats d'énergie à l'avance seront touchées. Ces contrats vont arriver à terme et ils seront renégociés à la hausse. Ils pourront lisser cette hausse et réfléchir à des stratégies pour y faire face à moyen terme, mais la hausse des prix de l'énergie est générale et elle est partie pour durer longtemps. Ceci est dû au fait que la hausse n'est pas conjoncturelle : elle est structurelle. >> Lire l'article complet sur le site diu Monde de l'Energie
Ukraine, le risque céréalier
Les conséquences pourraient être "colossales" sur le marché des céréales et oléagineux, confie un expert agricole. Et pour cause, le blé de la mer Noire, c'est presque un tiers du commerce mondial. L'impact pourrait être d'autant plus grand que cette année, l'Ukraine s'est illustrée par une récolte de blé record de plus de 32 millions de tonnes. Un chiffre qui lui a permis de prendre des parts de marché à la Russie au Nigeria et au Pakistan. Mi-janvier, les marchés ont donc très vite réagi au vu des tensions géopolitiques grandissantes. "Un réflexe d'anticipation, et de peur", explique Sébastien Poncelet, directeur Développement chez Agritel, cabinet d'analyse des prix agricoles. Un réflexe qui s'est traduit sur les marchés à terme du blé, pour une livraison dans plusieurs mois donc - que ce soit sur le marché Euronext ou celui de Chicago - par des contrats qui ont pris 10% en une dizaine de jours. Mais la situation ne s'étant pas envenimée sur le terrain, les prix sont retombés. Les prix pour un départ immédiat des blés de la mer Noire – eux – n'ont pas sourcillé pour l'instant. >> Lire l'article complet sur le site de RFI
La DGCCRF inflige des amendes de 1,8 million d'euros à Heineken et 976.000 euros à Altran
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Le géant néerlandais de la bière Heineken et le spécialiste français de l'ingénierie Altran ont été sanctionnés d'amendes de respectivement 1,8 million d'euros et 976.000 euros pour des retards dans le paiement de leurs fournisseurs, a annoncé mardi la DGCCRF sur son site internet. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
L'impact de la blockchain dans les achats
L'utilisation de la block-chain et des smart contracts commence à se développer. En effet, plusieurs entreprises ont testé ce dispositif, en B&B et B2C. Tesla a lancé un pilote dans le cadre de ses opérations d'importation de pièces dans son usine de Shanghai. En exploitant la blockchain, le projet vise à rationaliser les processus de la chaîne d'approvisionnement pour ses expéditions de marchandises. En collaboration avec son partenaire, COSCO-Shipping, acteur majeur des armateurs de porte-conteneurs, Tesla a mis en oeuvre une application blockchain. Celle-ci permet l'accès à une base de données partagée qui a en outre contribué à raccourcir le temps de libération des cargaisons une fois celles-ci déchargées. Ces premiers tests du projet pilote mettent en évidence les avantages qu'apportera la Blockchain dans le secteur du fret. Grâce à ce retour d'expérience, COSCO renforce les réflexions autour de la Blockchain au sein du réseau "Global Shipping Business Network", dont il est membre. La solution expérimentée par Carrefour vise à renforcer la traçabilité du poulet d'Auvergne tout au long de son cycle de vie, de l'élevage jusqu'à la vente du produit au consommateur. Les acteurs de la chaine d'approvisionnement (céréaliers, éleveurs, abattoirs, etc.) renseignent dans la Blockchain les informations des produits qu'ils transforment ou distribuent : date de naissance, date de mise en élevage, lieu et date d'abatage, date de mise en rayon, etc. Aussi, le consommateur dispose ainsi d'un accès à la traçabilité du poulet à chaque étape de sa production, en flashant un QR Code. Au-delà de la visibilité fournie au consommateur, ce projet, basé sur un processus digitalisé, permet d'améliorer des processus tels que le rappel alimentaire, limitant ainsi les coûts. >> Lire ce sujet sur le site de Oveus
Semiconducteurs : 1150 milliards de composants écoulés en 2021 et un record en revenus
Avec 1150 milliards de semiconducteurs livrés ("semiconductor units") sur l'année, qui constitue également un record, la production a atteint des niveaux inégalés pour répondre à une "forte demande persistante". Et ce n'est que le début, anticipent les observateurs de la WSTS (World Semiconductor Trade Statistics), alors que "les puces sont toujours plus embarquées dans les technologies essentielles actuelles et du futur", indique la SIA, et que la demande restera soutenue plus années durant. >> Lire ce sujet sur le site de Génération nouvelles technologies
RSE
Chaînes d'approvisionnement : les fournisseurs ne sont pas assez incités à agir pour le climat
Ce sont bien ces émissions indirectes qui pèsent le plus lourd dans la facture carbone. Elles sont, en moyenne, 11,4 fois plus élevées que celles engendrées par l'activité directe de la société, selon le rapport "Engaging the Chain, driving speed and escale". Les experts soulignent en effet la grande difficulté des entreprises à mesurer le scope 3, c'est-à-dire celui des émissions indirectes liées à leurs sous-traitants. Mais cet "oubli" conduit à un décalage entre les promesses des sociétés et l'impact réel de leurs efforts. Une récente étude du NewClimate Institute a ainsi calculé que les baisses de 100% des émissions annoncées par des entreprises n'atteignent en réalité que 40%. (...) Par ailleurs, comme ces émissions ne sont pas prises en compte, les donneurs d'ordre sont peu nombreux (38%) à demander à leurs fournisseurs d'agir en faveur du climat. Ainsi, 44% seulement des fournisseurs ont des objectifs climatiques et 28% ont un plan de transition concret pour les atteindre. A l'arrivée, ils sont une extrême minorité (3%) à fixer des objectifs en ligne avec les accords de Paris validés par la Science Based Targets initiative (SBTi). "Au rythme actuel, il faudrait plus de dix ans avant que l'ensemble des fournisseurs aient défini des objectifs climatiques", déplore ainsi Michel Fredeau, directeur associé au BCG. (...) Ce dernier constate que les entreprises interrogent de plus en plus leurs fournisseurs avec une quantité de données demandées en hausse de 50% par rapport à 2020. Résultat, en 2021, plus de 70% des fournisseurs ont déclaré leurs émissions de scope 1 et 2, sans toutefois prendre en compte le scope 3, selon le rapport du BCG et de CDP. >> Lire l'article complet sur le site de Novethic
Le Groupe Bel annonce vouloir renforcer son objectif de réduction carbone
Bel travaille à réduire son empreinte carbone sur toute sa chaine de valeur, et travaille avec ses producteurs de lait pour développer des pratiques d'agricultures plus durables. Ces derniers mois, le Groupe a annoncé le lancement en 2022 de deux nouvelles initiatives : - Une nouvelle prime de 5€/1000L en France pour les 750 éleveurs partenaires de l'APBO, garantissant l'alimentation 100% européenne des vaches dès octobre 2022. - Un programme pilote portant sur l'alimentation des vaches et destiné à réduire les émissions de méthane des troupeaux, dès le printemps 2022 en France et en Slovaquie, mené en collaboration avec l'entreprise DSM. Le Groupe a fait le "choix de déployer un outil d'analyse de l'impact carbone à tous les niveaux de décision de l'entreprise" . Piloté à partir de données mensuelles, il permet une vision consolidée, précise et régulière de l'empreinte carbone du groupe dans tous ses marchés, marques, segments, et produits. Concrètement, le groupe a déjà mis en place des grilles d'évaluation des impacts environnementaux et sociétaux pour toutes les décisions stratégiques de l'entreprise, et travaille à définir des budgets " carbone" au même titre que des budgets financiers. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN
Comment Michelin va recycler le polystyrène avec un micro-ondes de 1.200 tonnes
Le polystyrène est connu sous sa forme expansée, quand il sert d'isolant. Mais non expansé, il sert aussi depuis des décennies à faire des emballages ménagers, notamment les pots de yaourt. Sur 100.000 tonnes mises sur le marché chaque année en France, moins de 5.000 tonnes sont recyclées, et seulement en produits à faible valeur ajoutée (cintres, pots de fleurs...). Impossible de refaire des emballages alimentaires. La loi prévoyant l'interdiction des emballages sans solution de recyclage en 2025, l'industrie agroalimentaire a formé le consortium PS25 pour aider financièrement toute solution qui émergerait. Une solution bien avancée est la technologie électrique de la start-up canadienne Pyrowave, retenue par Michelin. Au Québec, depuis un an, son réacteur pilote à micro-ondes avale les déchets de polystyrène, qu'il transforme en un liquide transparent : le styrène, monomère de base du polystyrène. Environ 60 % du styrène mondial sert à faire du polystyrène, mais le styrène entre aussi dans la composition du caoutchouc synthétique des pneus. D'où l'intérêt de Michelin, qui travaille au recyclage des pneus. « Autant optimiser la voie du recyclage par micro-ondes en collaborant avec PS25, qui est demandeur", explique Christophe Durand, directeur du développement des matériaux durables chez Michelin. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Le premier béton de bois à bilan carbone négatif fabriqué en Isère
En Isère, une entreprise a réussi à produire le premier "béton de bois". Un matériau innovant et écologique qui a tapé dans l'oeil du groupe Lafarge. Il est constitué d'un peu de ciment et de beaucoup de bois. 90% au total de plaquettes de bois broyées provenant de scieries iséroises. Baptisé "TimberRoc", ce nouveau matériau a été mis au point par une petite entreprise à Beaurepaire en Isère, après une quinzaine d'années de recherches. Sa composition lui permet d'être négatif en émission carbone : "On emprisonne le carbone accumulé par les arbres durant des décennies dans le béton de bois sur un temps long. Résultat, on a ce bilan carbone négatif", précise Laurent Noca, co-inventeur de la société CCB Greentech. Excellent isolant, ce matériau est aussi trois fois plus léger que le béton classique. >> Lire l'article complet sur le site de France Info
Climat : "Nous ne pouvons nous satisfaire d'une mobilisation en demi-teinte de l'Etat et des entreprises"
Victor Koldunov - stock.adobe.com Portrait of offended european man in suit holding hands crossed on chest, lookin Tribune de Pascal Demurger, directeur général de l'assureur MAIF
Le charbon assoupli en France: "A force d'être plus vert que vert, on en arrive à être tout noir"
Plus de charbon en France. Pour assurer l'approvisionnement électrique, très tendu cet hiver, le gouvernement a assoupli, ce dimanche, les limites d'utilisation de ses deux dernières centrales à charbon. De quoi permettre de produire plus d'électricité dans le cas où la situation énergétique se compliquerait, alors que plusieurs réacteurs nucléaires sont à l'arrêt pour des raisons de maintenance. "Dans notre logique de transition énergétique, on se dit qu'on va aller très vite vers le renouvelable. Mais il y a des fois où il n'y a pas de vent, souligne Philippe Chalmin, économiste et professeur à Paris Dauphine, spécialiste des matières premières, dans 'Apolline Matin' ce lundi sur RMC et RMC Story. Si vous n'avez pas de nucléaire, si vous n'avez plus de gaz, vous revenez à cette horrible charbon. A force d'être plus vert que vert, on en arrive à être tout noir." Car, en plus des centrales nucléaires à l'arrêt, la crainte d'un conflit militaire entre l'Ukraine et la Russie pèse sur la question énergétique. >> Lire l'article complet sur le site de BFM TV
Ces entreprises exemplaires en matière d'environnement
L'Oréal, Firmenich mais aussi Danone, HP ou, moins évident de prime abord, Philip Morris... Un peu plus d'une dizaine de grands groupes sur près de 13.000 scrutés par le CDP (ex-Carbon Disclosure Project), la plus grande base de données récoltées sur la performance environnementale des entreprises, ont décroché cette année un « triple A » , la note maximale décernée par cette association à but non lucratif. L'organisme est mandaté par plus de 600 investisseurs aux manettes de plus de 110 milliards de dollars d'actifs afin de connaître en détail leur impact sur la planète et leurs efforts pour lutter contre le réchauffement climatique, gérer la ressource en eau et les forêts. A l'heure où les entreprises et les gouvernements sont soumis à une pression de plus en plus forte pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et arrêter le "greenwashing", le "triple A" est pour elles une référence. "La note est utilisée dans des produits financiers, dans des indices boursiers, explique Laurent Babikian, directeur monde des marchés de capitaux chez CDP. Si l'entreprise a une bonne performance environnementale, le taux d'intérêt de certains prêts dits durables pourra baisser et vice versa. Etre bien noté joue aussi sur la réputation". >> Lire l'article complet sur le site des Echos
La CMA-CGM ne transportera plus de déchets plastiques sur ses navires
Tous les ans, environ 10 millions de tonnes de plastiques finissent en mer. "Si rien n'est fait, ce chiffre devrait tripler dans 20 ans pour atteindre 29 millions de tonnes chaque année, avec des conséquences irréversibles pour les écosystèmes marins, animaux et végétaux", explique la CMA-CGM. Chaque année, la CMA-CGM transportait l'équivalent de 500.000 tonnes de déchets plastiques, principalement issus des pays industrialisés de l'hémisphère nord en direction de l'Asie du sud-est. Au-delà du transport, et de la pollution qu'il engendre, c'est le stockage à l'air libre des déchets arrivés à destination ou encore l'absence d'infrastructures de recyclage ou de transformation des déchets plastiques qui échappent aux filières de recyclage et de valorisation. La CMA CGM affirme que son initiative "évitera que ces déchets soient exportés vers des lieux où le processus de tri, de recyclage ou de valorisation ne peut être garanti." >> Lire l'article complet sur le site de France Bleu
Commande publique
Réemploi – 6 grandes cuisines centrales créent le groupement de commandes "Tremplin"
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Group bridge concept and building connections as a business success by joining t
Les différentes initiatives et tests menés par le Siresco (93), le Sivu (33), le Syrec (92) pour passer aux contenants de cuisson et de réchauffe en inox ou en verre ont démontré, outre la difficulté de la mise en place de nouveaux processus de production et d'organisation, que les coûts et la disponibilité de ces contenants en nombre suffisant constituaient des écueils de taille. Le remplacement des barquettes à usage unique en polypropylène pour la cuisson traditionnelle, des poches en plastique pour les cuissons sous-vide et des barquettes en bio plastique coûte cher. Entre l'investissement, l'automatisation et le lavage, le surcoût pourrait représenter 20 % du coût initial d'un couvert. Pour favoriser la recherche et développement auprès des industriels (automatisation des tâches) et obtenir les meilleurs tarifs, le Siresco, le Sivu Bordeaux – Mérignac, le Syrec, les villes de Nantes (44), Rennes (35) et Toulouse (31) annoncent la création du groupement de commandes "Tremplin", placé sous la houlette de Nathalie Beugnot. Forts d'un périmètre d'1,87 million d'habitants et de 150 000 repas servis par jour, ses 6 membres plaident pour une collaboration inédite avec industriels et fournisseurs de solutions alternatives auxquels le groupement peut permettre d'optimiser leurs offres aux collectivités en fonction du volume de commande prévisionnel et de mieux amortir leurs propres investissements en R&D. >> Lire l'article complet sur le site de Restauration21
Nîmes : le directeur du CHU dans le collimateur d'une enquête du parquet national financier
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Enlarged eye of tax inspector looking through magnifying glass, inspecting offsh
L'enquête, ouverte en décembre 2021, porte sur des faits de corruption et favoritisme. Les investigations concernent "la passation de plusieurs marchés publics en lien avec le fonctionnement des hôpitaux d'Annecy et de Nîmes", a révélé ce lundi le PNF. Nicolas Best dirige le CHU de Nîmes depuis décembre 2018. Il dirigeait auparavant l'hôpital d'Annecy. >> Lire l'article complet sur le site de Midi Libre
Dracénie Provence Verdon Agglomération : une stratégie globale d'achats responsable
Créée en décembre 2000, Dracénie Provence Verdon agglomération (100 000 habitants) rassemble 23 communes, dont Draguignan, sur un territoire situé entre le parc naturel régional du Verdon, le massif des Maures et celui de l'Estérel. Après avoir substitué au diesel une énergie de transition (gaz) pour le transport public et les véhicules de collecte des déchets, l'agglomération poursuit sa marche verte, comme l'explique Anthony Pathéron, directeur des affaires juridiques et de la commande publique durable : "La question climatique monte en puissance. Un de nos objectifs est d'intégrer le programme Territoire engagé transition écologique. Ce label délivré par l'ADEME constituera une première étape qui nous amènera à nous pencher sur la commande publique comme levier d'action face au changement climatique. Dans cette optique, nous travaillons avec un bureau d'études chargé d'établir un diagnostic de nos pratiques et de fixer des objectifs qui tendent vers plus de durabilité énergétique". Un contrat de performance énergétique en cours d'élaboration visera notamment à rénover la grande majorité du patrimoine (gymnases, locaux, stations d'épuration, stades, etc.) afin de réduire drastiquement ses émissions de gaz à effets de serre. >> Lire ce sujet sur le site de Intercommunalités de France
Certificats d'économie d'énergie et commande publique : mise à jour de la fiche technique
Valorisant les efforts en matière d'économie énergétique, cette fiche, applicable à tous les acheteurs, répond aux questions essentielles que se posent les collectivités locales : Qu'est-ce qu'un CEE ? Qui sont les obligés ? Comment les obligés peuvent-ils répondre à leurs obligations et faire l'acquisition de CEE ? Qui sont les acteurs éligibles ? Quelles sont les prestations éligibles ? Comment les CEE sont délivrés aux obligés et aux éligibles ? Le dispositif est illustré par un exemple de mise en oeuvre des CEE dans la commande publique à travers les marchés publics de travaux. Dans cet exemple, plusieurs situations sont proposées, selon que l'acheteur éligible obtient lui-même les CEE dans le cadre d'un marché de travaux, ou bien que l'opérateur économique en bénéficie par la valorisation des CEE dans le cadre d'une procédure de passation d'un marché public de travaux lancée par un acheteur éligible par les candidats. Dans ce cas, l'acheteur éligible peut prévoir dans les documents de la consultation la possibilité de valoriser les CEE comme élément de la rémunération du titulaire ou permettre la valorisation des CEE via les variantes. Un troisième cas est le seul accessible à tous les acheteurs éligibles ou non : il s'agit de la cession du droit à demander la délivrance des CEE à un obligé. Les travaux réalisés "sans frais pour l'acheteur" grâce à la valorisation de CEE font l'objet d'un point de vigilance spécifique. Sont apportées, enfin, des précisions sur la prise en compte de la composante "CEE" dans les marchés d'achat d'électricité et de gaz relevant de commande publique. >> Consulter cette fiche sur le site de Economie.gouv
Supply chain
Faut-il surtaxer les livraisons express pour décarboner les transports de marchandises ?
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Home delivery service and working service mind, Woman customer hand receiving a
Mieux réglementer les livraisons de colis à domicile fait partie des recommandations figurant dans un rapport de France Stratégie, un organisme d'analyse de prospective rattaché à Matignon, et du Conseil général de l'environnement et du développement durable. Ces deux organismes se sont penchés sur les façons de décarboner les transports de personnes et de marchandises dans les années à venir. Le rapport formule plusieurs recommandations, et notamment celle de réglementer les tarifs de livraison pour pousser les consommateurs à plus de sobriété. "Le premier problème, celui qui a le plus gros impact, ce sont les livraisons express", explique Régine Brehier membre du Conseil générale du développement durable qui a co-dirigé ce rapport. "On en arrive même à ce qu'on appelle 'la livraison instantanée', qui est la livraison en moins de deux heures. C'est quelque chose qui pèse énormément car quand on demande un délai de livraison très court, les camionnettes circulent très peu remplies pour pouvoir respecter les délais." Le rapport recommande de sensibiliser le client en lui indiquant par exemple le bilan CO2 de ses colis, même s'il est encore très difficile à calculer avec précision. Il plaide aussi pour "éviter de faire de la livraison express l'option par défaut", "interdire la mention 'livraison gratuite'", "faire payer la livraison, et en particulier la livraison express, à un tarif incluant son impact environnemental" et mettre en place "une mesure de taxation des colis, assortie d'une surtaxe des livraisons instantanées". >> Lire l'article complet sur le site de France Inter
IT
Intelligence artificielle : un marché de 500 milliards $ à horizon 2023
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Machine learning systems technology , accurate facial recognition biometric tech
IDC prévoit que les investissements dans les technologies d'intelligence artificielle (IA) – logiciels, matériels et services – progressent de 19,6% pour atteindre 432,8 milliards de dollars cette année 2022. Quant au cap des 500 milliards de dollars, il serait franchi dès 2023, soit une année plus tôt que ne le prévoyait initialement la société d'études. "Les solutions d'intelligence artificielle sont actuellement axées sur les problèmatiques d'optimisation des processus métiers et d'augmentation des capacités humaines", déclare Ritu Jyoti, vice-présidente de recherche IA et automatisation chez IDC. Les "progrès de technologies linguistiques, vocales et visuelles, et de solutions d'intelligence artificielle multimodale" sont indéniables. Couplés à "l'ingéniosité humaine", elles consituent "un facteur de différenciation" qui permet aux entreprises "de se développer et de prospérer" >> Lire l'article complet sur le site de Silicon.
Travel management
Pourquoi les entreprises limiteront durablement les voyages d'affaires
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Elegant asian businessman checking email on mobile phone while walking with suit
Le retour à la normale n'est toujours pas en ligne de mire, et certains assurent qu'il n'arrivera jamais. Les commerciaux et les techniciens, indispensables au business, sont certes repartis sur les routes, mais pas toujours au même rythme. Les top managers (en particulier les p-dg) ne voyagent plus autant qu'avant. Déplacements domestiques, européens ou intercontinentaux... Plus la distance est importante, plus l'écart avec les niveaux d'avant-crise est important. L'an passé déjà, Bill Gates prédisait que 50% des voyages d'affaires allaient disparaître. Plus optimistes, certains affirment que seuls 25% des voyages long-courriers seraient perdus. Si le diagnostic est difficile, tout le monde reconnaît que le manque à gagner est colossal. Des pans entiers de l'économie sont touchés. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Les tendances incontournables du voyage d'affaires en 2022
Tribune de Adrien Cannes, Senior Consulting Manager chez American Express Global Business - "En 2022, les entreprises du voyage d'affaires devront faire face à un défi qui représente également une opportunité pour les acheteurs et fournisseurs : la réduction des émissions carbone. L'objectif est de stimuler l'investissement et l'innovation nécessaires pour ouvrir la voie à des déplacements plus respectueux de l'environnement. A ce jour, le dispositif le plus efficace est la compensation carbone, qui offre la possibilité d'atténuer jusqu'à 100 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) d'une entreprise en faisant appel à des ONG notoires comme la fondation Carbonfund.org, Carbon Footprint et Tasman Environmental Markets. Les programmes de voyage constituent également un des éléments clés pour y parvenir. En effet, une étude publiée en 2021 par le Business Travel Show Europe révèle que 62 % des sondés prévoient la mise en place de politiques voyages durables au sein de leur organisation. Les Travel Managers doivent travailler en étroite collaboration avec les parties prenantes, les partenaires et les prestataires de services afin d'identifier les meilleurs leviers existants pour aider à réduire les émissions liées aux voyages." >> Lire cette tribune sur le site de Déplacements Pros
Fleet management
Mégane e-Tech électrique : Renault se hisse au niveau de Tesla
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Process for success concept. Wooden cube block flip over word process to success
Dans le premier cas, ici avec Renault, le constructeur part d'une feuille blanche pour construire un véhicule adapté à l'électrique en terme de poids, de design ou encore d'intégration des outils d'aide à la conduite et de répartition des masses. D'autres constructeurs comme Tesla et Volkswagen avec sa série ID. ou encore les coréens Kia et Hyundai ont opté pour cette stratégie d'une plate-forme dédiée. Sans aucun la meilleure stratégie à l'heure actuelle. La majorité des autres constructeurs automobiles comme Stellantis notamment, ont opté pour une plate-forme multi-énergie qui permet d'avoir un investissement réduit en équipant un modèle thermique d'une motorisation électrique. C'est plus facile et moins cher mais cela n'a rien à voir en terme d'efficience électrique et d'autonomie. Le client final fait d'ailleurs assez vite la différence entre ces deux types de véhicule électrique. L'autonomie est très réduite et incertaine dans ce second cas. Le boom de l'hybride rechargeable en 2021 marque bien d'ailleurs ce manque d'engouement pour ces vrais-faux véhicules full électriques. >> Lire l'article complet sur le site de Auto Infos
Carrière / RH / Management et .... autres
Pourquoi les femmes font plus de burn-out que les hommes
Alors que les entreprises continuent à gérer les défis liés à la pandémie et cherchent à construire un lieu de travail plus égalitaire pour l'avenir, elles doivent se concentrer sur deux priorités clés : faire progresser tous les aspects de la diversité et de l'inclusivité, et s'attaquer à l'épuisement professionnel croissant que connaissent tous les employés - mais particulièrement les femmes », indique le rapport "Les femmes sur le lieu de travail". Voici trois raisons qui l'expliquent. L'effet double journée - Des manageuses plus à l'écoute - Elles consacrent plus de temps à soutenir leurs collègues. >> Lire l'article complet sur le site des Echos