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Revue de presse achats - semaine du 4 novembre

Publié par Audrey Fréel le | Mis à jour le
Revue de presse achats - semaine du 4 novembre

Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser. Bonne lecture.

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[Commande publique] Fournitures payées trop cher : Bercy demande un rapport sur les achats de l'État et des collectivités locales

Pointés du doigt depuis plusieurs semaines, les prix proposés par les centrales d'achat pour la commande publique vont être décortiqués par l'Inspection générale des finances (IGF). Quelques semaines après la polémique, l'État réagit. Ce mardi 5 novembre, le ministre chargé des Comptes publics, Laurent Saint-Martin, a annoncé sur RTL avoir «diligenté une mission de l'inspection générale des finances», afin de revenir sur les prix auxquels les pouvoirs publics - État et collectivités territoriales - achètent leurs fournitures.

Ampoules, lampes, tables... Lorsque ces acteurs achètent leurs fournitures «plus cher que ce qu'on pourrait avoir au supermarché, forcément ça questionne», a reconnu le membre du gouvernement. L'enquête devra «comprendre comment fonctionne ce mécanisme de centrale d'achat», pointé du doigt ces derniers jours pour des prix qui semblent parfois bien plus élevés que ceux du marché.

Les catalogues de fournitures des centrales d'achat affichent en effet des tarifs parfois jusqu'à deux fois plus chers que ce que l'on peut trouver soi-même dans le commerce, avant même d'avoir négocié les prix en cas de grande quantité commandée. Un stylo BIC quatre couleurs, par exemple, est facturé 2,26 euros par l'UGAP, la principale centrale d'achat de l'État, alors qu'il est vendu à 1,99 euro l'unité sur le site de la marque, et encore moins cher dans la grande distribution. »Lire l'article complet sur le site du Figaro.

[Économie] Pourquoi l'élection de Donald Trump n'est «pas une bonne nouvelle» pour l'économie française et européenne

Durant sa campagne, le milliardaire a martelé son intention d'imposer des droits de douane «terribles» en cas de retour à la Maison Blanche. De quoi faire craindre un «choc significatif» pour l'Europe.

Une crise «mortifère pour l'Europe» en cas de victoire de Donald Trump : tel est le sombre scénario qui alarmait dimanche Thierry Breton, ancien commissaire européen au marché intérieur, sur le plateau de BFMTV. Crainte par les Européens, cette piste est devenue réalité ce mercredi, charriant avec elle son lot d'incertitudes, en particulier dans le champ économique. De nombreux acteurs, en effet, s'inquiètent des conséquences de la politique défendue jusqu'ici par le milliardaire républicain pour les économies française, d'une part, et européenne, d'autre part. »Lire l'article complet sur le site du Figaro.

[Approvisionnement] Après les inondations en Espagne, faut-il craindre des pénuries de fruits et légumes ?

La situation reste très compliquée dans la région de Valence, en Espagne. Les recherches se poursuivent pour tenter de retrouver des survivants, une semaine après les inondations meurtrières dans la région. Et pour les agriculteurs, l'heure est au bilan. Alors que la récolte des agrumes allait commencer, des milliers d'hectares ont été détruits. Les axes de transport sont aussi perturbés. Problème, la France importe chaque année des milliers de fruits et légumes espagnols. Si on ne peut pas parler de pénurie pour le moment, les supermarchés français constatent de premières difficultés d'approvisionnement, avec déjà des impacts sur certains produits, comme le confirme une enseigne de la grande distribution à Europe 1. Et si des tensions sont déjà visibles, c'est parce que l'Espagne est notre premier fournisseur de fruits et légumes et notamment d'agrumes. Chaque année, la péninsule ibérique en produit en moyenne 6 à 8 millions de tonnes, dont une partie dans la région de Valence. »Lire l'article complet sur le site d'Europe 1.

[Nomination] Julien Curutchet promu directeur supply chain de Leroy Merlin France

Issu de la promotion interne, Julien Curutchet est nommé directeur supply chain de Leroy Merlin France, et membre du nouveau Comex de l'entreprise, depuis le 10 juin 2024. « J'ai appris sur le terrain, aux côtés de ceux qui font tourner la machine au quotidien et au contact de dirigeants inspirants. C'est cette expérience précieuse que je continuerai à porter avec moi dans ce nouveau rôle, a-t-il déclaré le 29 octobre 2024 sur son compte Linkedin. C'est une responsabilité, mais c'est surtout une motivation supplémentaire pour continuer à bâtir un avenir solide pour nos équipes, nos partenaires et nos clients ». »Lire l'article complet sur le site de Voxlog.

[Achats publics] Simplification de la commande publique : un projet de décret en consultation

Une consultation publique est ouverte jusqu'au 19 novembre sur le projet de décret portant diverses mesures de simplification du droit de la commande publique parmi lesquelles la pérennisation du seuil de dispense de procédure de publicité et de mise en concurrence préalables pour les marchés de travaux inférieurs à 100 000 euros. L'entrée en vigueur des dispositions devrait intervenir au plus tard le 1er janvier 2025. »Lire l'article complet sur le site La Gazette des communes.

[Achats publics] Avec l'IA, la start-up Explain aide les industriels à mieux détecter les marchés publics

Explain dévoile le 6 novembre à l'occasion des Assises de l'Industrie sa solution Explain Marchés. Un outil pour automatiser la détection des marchés publics sur un territoire donné et des sujets préalablement définis par l'entreprise. L'idée est d'aider les entreprises à ne pas passer à côté d'une offre intéressante pour elle sans passer des heures, voir des jours, à les rechercher. »Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle.

[Supply chain] Fermeture de l'usine Michelin : à Cholet, les craintes des sous-traitants

L'annonce de la fermeture de deux usines Michelin, à Vannes (Morbihan) et à Cholet (Maine-et-Loire), suscite beaucoup d'inquiétudes chez les 1 254 salariés qui vont perdre leur emploi mais également chez les sous-traitants du fabricant de pneumatique. L'équipementier fait travailler des dizaines d'entreprises locales pour le transport des marchandises, la restauration, l'entretien des machines. Pour un sous-traitant qui s'occupe de la dépollution des machines, la fermeture de l'usine Michelin de Cholet va contraindre sa PME à voir 20% de son activité supprimée. »Lire l'article complet sur le site de France Info.

Actualités achats à l'international

[Matières premières] Le pétrole fléchit après la victoire de Donald Trump

Washington (awp/afp) - Les cours du pétrole ont limité leurs pertes après un décrochage mercredi causé par la percée impressionnante du dollar après l'élection de Donald Trump.

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a perdu 0,81% à 74,92 dollars.

Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en décembre, a lâché 0,42%, à 71,69 dollars.

Plus tôt dans la journée, Brent et WTI avaient respectivement glissé à 73,34 et 69,74 dollars. »Lire l'article complet sur le site de Zone Bourse.

[Matières premières] La fraude mongole à 1,1 milliard de dollars qui éclabousse Trafigura

Le négociant de matières premières Trafigura, longtemps considéré comme le bon élève d'un secteur sulfureux, est éclaboussé par une nouvelle affaire qui pourrait lui coûter jusqu'à 1,1 milliard de dollars de perte. Le groupe se dit victime de fraudes de la part de ses employés en Mongolie chargés de l'approvisionnement en carburant du pays. Ces derniers auraient « surfacturé » Trafigura et masqué les impayés des distributeurs locaux.

« Le comportement frauduleux a consisté à manipuler des données et des documents, ce qui a eu pour effet de gonfler les sommes versées par Trafigura, et à dissimuler délibérément des créances en souffrance », a indiqué la maison de trading. « Il s'agissait d'une chaîne complexe de transactions avec un petit nombre de contreparties locales. » »Lire l'article complet sur le site des Échos.

[Energie] En Allemagne, poussée de fièvre brutale dans les prix de gros de l'électricité

A 17 heures ce mercredi, les prix de gros de l'électricité vont franchir le seuil des 800 euros par mégawattheure en Allemagne. Des niveaux jamais atteints depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine. A quoi tiennent ces montants stratosphériques de l'autre côté du Rhin ? C'est avant tout à l'entrée dans l'hiver et à la conjonction d'une absence de vent, d'un faible ensoleillement et d'une consommation plus importante d'énergie avec le froid. Le tout avec un prix du gaz naturel un peu plus cher ces dernières semaines. L'an dernier, l'éolien avait représenté 33 % des volumes d'électricité produits en Allemagne, loin devant le charbon. »Lire l'article complet sur le site des Échos.

 
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