Pourquoi et comment Rip Curl a choisi d'externaliser le traitement de ses factures clients

Pour faire face à son activité saisonnière, Rip Curl Europe a souhaité externaliser le traitement de ses factures clients afin d'allouer de manière plus efficace ses ressources en interne et passer progressivement à la dématérialisation pour offrir un meilleur service à ses clients. "Nous avons choisi Esker à l'issue d'un benchmark des solutions disponibles sur le marché pour sa taille, sa crédibilité et sa présence à l'international avec notamment le respect des réglementations dans les pays européens", témoigne Aloïs Bersan, manager des départements comptabilité, trésorerie et contrôle de gestion chez Rip Curl Europe.

La société française Rip Curl Europe, basée à Soorts-Hossegor, gère la facturation de l'ensemble de ses filiales européennes, avec des particularités fiscales pour chacune d'entre elles. Auparavant, une personne était dédiée à la facturation et gérait l'impression, la mise sous pli et l'envoi des factures clients, ce qui représentait environ trois heures de travail par jour. Elle va maintenant pouvoir se consacrer au développement du site e-commerce qui nécessite des opérations de contrôle au niveau du service finance.

La solution Esker va aussi permettre à Rip Curl de faire face à un accroissement de son activité en externalisant dans un premier temps l'envoi de ses factures par courrier, puis d'évoluer dans un second temps vers un flux dématérialisé avec plusieurs options : e-mail/PDF signé, plateforme dédiée et EDI pour certains clients qui l'exigent. Cette évolutivité a été un critère de choix pour Rip Curl qui souhaitait proposer à ses clients une transition en douceur vers la facturation électronique. "Chez Rip Curl, la relation client est au coeur de notre stratégie commerciale. La solution évolutive d'Esker était la seule à nous permettre de proposer un service complémentaire de dématérialisation à nos clients sans leur imposer un changement brutal. Une fois la solution implémentée, l'objectif est de convertir un maximum de clients à la facturation électronique pour rentabiliser la solution de dématérialisation. Selon nos estimations, le seuil de rentabilité se situe à un taux de 25% de conversion", conclut Aloïs Bersan.