Découvrez comment International SOS assiste les voyageurs d'affaires
Une réponse aux nouveaux modes de déplacement
International SOS aide les travel managers et les managers sûreté à localiser leurs collaborateurs et communiquer avec eux. Face aux nouveaux profils de voyageurs, qui ont l'habitude de voyager dans le monde entier et pas de manière traditionnelle (les "baroudeurs", génération Erasmus), International SOS apporte une réponse au cas par cas. Pour la problématique du bleisure (rester sur place après le voyage d'affaires dans un cadre privé), Martin Bustarret recommande de verrouiller en amont, par des autorisations écrites de l'entreprise, une politique d'assurance bien établie... Car c'est surtout dans ce cas de figure que les voyageurs d'affaires ont besoin d'assistance, alors qu'ils ne sont pas toujours couverts mais que l'entreprise n'est pas pour autant exonérée de sa responsabilité.
International SOS récupère des informations auprès des agences de voyages, notamment pour la localisation, ainsi qu'Airbnb et Uber. "Nous notons toutefois un changement de comportement des jeunes voyageurs, qui attendent davantage de protection de leur entreprise. Les entreprises elles-mêmes ont pris conscience qu'elles étaient soumises au risque, c'est encore plus prégnant depuis les attentats de Paris" assure Côme Desgrées du Loû, responsable sécurité régional.
Faire la différence entre risque perçu et risque réel
Attention toutefois, il est important que les entreprises et leurs collaborateurs fassent bien la différence entre risque perçu et risque réel. Là encore International SOS joue son rôle de conseil. "Notre rôle est de ramener au risque réel" rappelle Côme Desgrées du Loû. En matière de terrorisme, la société a établi une classification en 5 niveaux de risques, en prenant en compte notamment la capacité des autorités sur place à agir. C'est pourquoi des pays comme la France ou la Belgique bénéficient d'un niveau de risque faible, alors que paradoxalement ce sont ces pays qui inquiètent beaucoup les voyageurs étrangers. "C'est pourquoi nous choisissons nos personnels en fonction de leur capacité de réflexion face à l'inquiétude des clients. Ceux qui vont expliquer que dans certains pays d'Afrique, le risque réel n'est pas celui de l'attentat mais de la petite criminalité, d'avoir un accident de la route ou encore un infarctus" insiste Côme Desgrées du Loû. L'inquiétude des entreprises et de leurs voyageurs est grandissante, faisant exploser les demandes de conseils préalables à un voyage.
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