Risques sécuritaires, économiques, stratégiques... S'il est vendu comme un levier d'optimisation des coûts, le basculement d'une DSI "classique" à un modèle externalisé peut coûter cher, même très cher, à l'entreprise. Gros plan sur ce qu'il ne faut pas faire.
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Basuler dans le cloud ou ne pas basculer dans le cloud ?
Tiraillées entre l'envie de faire des économies et la peur, de plus en plus d'entreprises se posent la question - existentielle dans le contexte d'une économie qui tend à reposer sur la data : Basculer dans le cloud ou ne pas basculer dans le cloud ? Un casse-tête auquel le fait de savoir répondre "non" ou, à fortiori, "oui" ne met néanmoins pas un point final. "Mettre ses données dans le cloud, c'est comme confier ses clés. Cela peut très bien se faire, il faut juste s'assurer d'avoir affaire à quelqu'un de confiance ". Présent à la table ronde sur le thème "Les contrats d'achats pour le cloud" organisée la semaine dernière au siège français de Deloitte - un événement qui s'inscrivait dans le cycle des "jeudis soirs de la CDAF - Vincent Leroux-Lefevbre, acheteur de prestations intellectuelles chez Sage a trouvé la bonne image pour souligner l'enjeu, énorme pour les entreprises, de ne pas rater leur passage à l'information "en nuage". D'autant plus que les conséquences, dans ce cas, seraient de nature à leur faire regretter les salles de serveurs à domicile... La preuve par 5.