Sérénia s'intéresse aux surfacturations
Laurent Mayer, p-dg de Sérénia.
Récupérer jusqu'à 1,5% du montant total des achats, tel est l'objectif affiché par Sérénia qui propose un nouveau service de récupération des surfacturations. Pour le cabinet de conseil opérationnel en réduction des coûts, certaines entreprises n'ont pas les ressources internes pour réaliser des contrôles et récupérer le trop versé. Par exemple, deux types d'erreurs sont fréquemment constatés: d'une part, le mauvais enregistrement des données dans les systèmes d'information (factures payées deux fois, avoirs non déduits, erreurs de devises...), et d'autre part, le paiement des contrats deve nus inutiles (maintenance hardware, licences...) ou non correctement appliqués (pénalités de retard...).
Les erreurs les plus préjudiciables viennent toutefois de la différence entre les conditions négociées par les achats et celles réellement facturées. «Nous avons constaté que ces erreurs coûtaient, en moyenne, 1 euro pour 100 euros d'achats à l'entreprise, témoigne Laurent Mayer, p-dg de Sérénia. Notre offre a également pour objectif de formuler des recommandations pratiques pour permettre, à l'avenir, de réduire le niveau de ces surfacturations.»
Sérénia se rémunère sur le montant total des sommes récupérées, un pourcentage confidentiel qui varie selon les clients.
www.serenia.com