Revue de presse achats - semaine du 7 septembre
Publié par La rédaction le - mis à jour à
C'est spécialement pour vous, qui n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine, que la rédaction a fouillé le Web pour débusquer des informations suscptibles de vous intéresser. Alors ne passez pas à côté !
Comment l'IA redessine la fonction achats
En recommandant le meilleur prestataire pour un besoin donné, l'IA permet de desserrer l'étau de la politique de référencement qui, selon Benoit Chatelier, n'incite pas à l'innovation permanente. "Pour diminuer son risque fournisseur, une entreprise va faire appel aux mêmes prestataires qui seront référencés pendant quatre ou cinq ans." Une frilosité qui contraste avec marché actuel et son renouvellement permanent de l'offre. La fonction achats ne peut toutefois pas répondre aux sollicitations de tous les prestataires. Pour Jean-Philippe Couturier, un chatbot peut opérer ce travail de qualification de l'offre en posant les questions récurrentes. "Le sourcing de nouveaux fournisseurs est particulièrement fastidieux. Il suppose de rassembler un grand nombre de pièces." Dans l'autre sens, Askeet a développé une interface conversationnelle pour assister l'acheteur dans la définition de son besoin afin de l'orienter vers les fournisseurs les plus pertinents. Les prestataires sollicités disposeront, de leur côté, d'un cahier des charges précis. Ce qui facilitera la mise en relation. Au-delà des données publiques comme les informations au greffe du tribunal de commerce ou les cours de Bourse, ces mêmes fournisseurs ont tout intérêt à rendre publics leurs références clients ou leurs tarifs. A l'image d'une stratégie de référencement naturel, ils doivent travailler la présentation de leur offre pour la rendre plus "visible" par les algorithmes. >> Lire l'article complet sur le JDN
Le réseau, outil essentiel de l'acheteur
Christophe Hannequin ne restreint pas sa veille et ses échanges aux seuls acheteurs territoriaux, bien au contraire : "Ainsi, le CNA présente l'avantage de réunir aussi bien des acheteurs publics que des acheteurs privés, ce qui nous permet de mutualiser certaines réflexions, même si les contraintes qui s'imposent au secteur public sont plus lourdes que celles qui prévalent dans le privé. Mais rencontrer les responsables d'organisations professionnelles ou de gros acheteurs, comme par exemple la SNCF, nous permet d'élargir notre horizon". Les perspectives communes, c'est ce qu'évoque également le responsable de la commande publique de la communauté urbaine de Dunkerque lorsqu'il veut caractériser les échanges au sein du groupe achat de France Urbaine : "Il existe entre nous une véritable homogénéité d'horizon, explique Jean-Christophe Caroulle, même s'il y a évidemment une très grande différence de moyens entre une métropole de plus d'un million d'habitants et une communauté d'agglomération qui en regroupe à peine plus de 100 000". Celui qui anime avec Christophe Hannequin le groupe achat de France Urbaine souligne l'intérêt des échanges entre acheteurs sur des sujets métiers, des échanges selon lui facilités par la grande cohésion du réseau : "Nous nous connaissons personnellement, convient-il, et c'est beaucoup plus simple lorsqu'un d'entre nous souhaite un retour d'expérience sur un sujet ou un autre".>> Lire l'article complet sur le site de santé-achat-info
Le plan de l'Europe pour sécuriser son accès aux matières premières
Par Thierry Breton, commissaire européen pour le marché intérieur chez European Commission - "Nous allons lancer une alliance européenne pour les matières premières à la fin de ce mois. Nous allons inviter les acteurs qui partagent ces éléments. Par exemple, les entreprises minières, celles qui utilisent ces matériaux, celles qui recyclent, les ONG, les organisations syndicales, les régions, etc. Ensemble, nous veillerons à ce que chacun bénéficie des niveaux élevés de savoir-faire dans la conception et l'utilisation des matières premières critiques. Nous veillerons également à ce que les sites de production en Europe soient conformes à nos exigences, notamment environnementales. Une opportunité exceptionnelle pour accélérer le triptyque de la transition verte et numérique et de la résilience. En conclusion, si j'invite chacun à prendre connaissance des 10 mesures présentées dans le plan d'action de la Commission, je souhaitais rappeler trois éléments d'importance. Je ne connais pas d'autre continent qui a évalué les besoins de matériaux critiques pour la double transition sur les 30 ans qui viennent. Nous nous sommes mis en situation de comprendre ce qui se passait sur notre continent en matière de ressources, d'extractions, et d'investissements à faire. >> Lire l'intégralité de cette tribune sur la page LinkedIn de Thierry Breton
Veolia et Solvay s'unissent dans les batteries de véhicules électriques
Solvay et Veolia, à travers sa filiale SARP Industries, sont déjà activement engagés avec un fabricant automobile et les producteurs de cellules de batteries afin de coordonner et mettre à profit les meilleures technologies et compétences à chaque étape de la chaîne -de l'accès aux batteries usagées au démantèlement, à l'extraction et à la purification des métaux. >> Lire l'article complet sur le site de Capital
Incinération des déchets d'activité : l'indice initial de variation des coûts
Afin de permettre aux entreprises de recyclage d'indexer leurs contrats de prestation à l'évolution des coûts de l'élimination des déchets en France, Federec s'est appuyé sur le cabinet KPMG France pour mettre en place un nouvel indice permettant de connaître la variation des coûts de mise en incinération des déchets non dangereux des activités économiques. >> Lire ce sujet sur constructioncayola
Marchés privés : les mesures pour faire face aux surcoûts engendrés par la crise
Ainsi, dans certains cas et sous le contrôle du juge civil, le régime de la force majeure, qui exonère les parties de toute faute contractuelle en cas de suspension ou annulation de contrat, pourrait s'appliquer. " Si l'empêchement est temporaire, l'exécution de l'obligation est suspendue par la force majeure à moins que le retard qui en résulterait justifie la résolution du marché. Si l'empêchement est définitif, la reconnaissance de la force majeure autorise la résolution de plein droit du contrat et les parties sont libérées de leurs obligations", détaille Bercy. La force majeure peut être invoquée au cas par cas dès lors que les trois conditions suivantes sont réunies : évènement imprévisible, évènement extérieur aux parties et impossibilité absolue de poursuivre l'exécution de tout ou partie du marché public. Toutefois, il n'est pas assuré que la force majeure pourra être retenue : le titulaire devra démontrer qu'il ne dispose d'aucun autre moyen pour exécuter la prestation et qu'il existe un lien de causalité entre l'inexécution et l'épidémie. Il est donc "particulièrement important d'examiner les clauses du contrat". Et de "documenter de manière approfondie une éventuelle demande (arrêts de travail des salariés, déclarations de défaillance des fournisseurs, constats contradictoires, inventaires, attestations diverses, etc.)". Mais avant tout, l'exécutif rappelle qu'une négociation à l'amiable entre les deux parties est à privilégier dès la survenance de difficultés. >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur
Corinne Lepage : "Le plan de relance est très intéressant dans sa globalité, mais décevant quand on rentre dans le détail des mesures" à propos du volet Ecologie du plan
Par exemple, sur la rénovation énergétique, les mesures sont très favorables à la rénovation des bâtiments publics qui bénéficieront d'un financement de 4 milliards d'euros. La rénovation des bâtiments privés ne sera dotée que de deux milliards d'euros. Je pense que l'on aurait pu équilibrer les choses parce que financer la rénovation des bâtiments privés, c'est aussi donner du pouvoir d'achat aux ménages. En ce qui concerne l'agriculture, le gouvernement veut encourager l'agriculture biologique mais ne définit pas de limite. Par ailleurs, je note l'absence de dispositions sur la recherche d'alternatives aux pesticides. Dans le domaine de l'énergie, je regrette l'absence de mesures sur le développement du renouvelable ou sur l'autoconsommation électrique. >> Lire l'article complet sur le site Le Monde du Droit
La RATP remporte un contrat gigantesque en Egypte
La RATP remporte un succès commercial d'envergure à l'international. La régie et l'Autorité nationale des tunnels (NAT) égyptienne ont conclu un contrat accordant pour 15 ans l'exploitation et la maintenance de la ligne 3 du métro cairote au géant tricolore, selon le ministère des Transports. "La valeur du contrat de sous-traitance de l'exploitation et de la maintenance (de la ligne 3) pour 15 ans à l'entreprise RATP Dev est de 1.138 milliards d'euros", précise le ministère dans son communiqué. "C'est la première fois qu'un projet de partenariat entre la NAT et l'entreprise française est mis en oeuvre", précise-t-il. Selon une source proche du dossier, il s'agit également de la première fois qu'une entreprise étrangère est choisie pour exploiter une ligne de métro en Egypte. Pour faciliter ses opérations sur place, RATP Dev, qui appartient au groupe Régie autonome des transports parisiens (RATP), devrait créer une filiale égyptienne, selon la même source. >> Lire l'article complet sur le site de Capital
Commande publique
Commande publique : de l'urgence aux tensions
La crise covid-19 est passée par là. D'abord, elle a libéré l'expression critique : une réglementation inadaptée à l'urgence et, pour faire court, des acheteurs publics "frileux" et bien trop craintifs du juge pénal. Ils auraient aussi tout intérêt à s'inspirer du savoir-faire des acheteurs privés, et à mieux gérer le concept de bonne gestion des deniers publics : "J'entends encore des hauts fonctionnaires me dire "moi, je gère l'impôt des Français ; donc j'achète au moins cher" !" s'est agacé cet autre intervenant lors des UEED. Autre ingrédient contribuant à un ton véhément : certaines contradictions mises en valeur avec cette crise. La commande publique est un moteur économique et de relance indispensable... mais l'achat local n'est qu'à peine toléré, et sous réserve de le "maquiller" (...). Ajoutons cet autre constat : la commande publique n'a pas su faire assez de place à la responsabilité sociale et environnementale, alors que la crise est aussi "sociétale et environnementale". >> Lire l'article complet sur le site de Achatpublic.info
RSE
RSE : les entreprises européennes sont les meilleures
Alors que certaines sociétés font de vrais efforts en matière d'achats, la majorité d'entre elles semble ne pas avoir intégré de dimension "responsable" à ce niveau-là. Tous autres items mesurés (environnement, social et droits de l'Homme, éthique...) enregistrent de meilleurs scores d'au moins 9% depuis 2015, tandis que les achats responsables ne cessent de baisser depuis 2016. La pandémie de Covid-19 a mis en avant certaines faiblesses des chaînes d'approvisionnement. Pour chaque secteur, plus d'un quart des fournisseurs n'avait pas mis en place de mesures pour protéger la santé ou la sécurité des équipes. Pour le co-p-dg d'EcoVadis Pierre-François Thaler, ça n'est pas anodin. Une entreprise est "aussi solide que [son] fournisseur le plus vulnérable - et sans un système de gestion de la durabilité, les organisations continueront à connaître des perturbations de leurs chaînes d'approvisionnement, sans contribuer de manière significative à une durabilité plus globale", estime-t-il. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN
Retail responsable : Le discounter Penny affiche le prix environnemental de ses produits
"Les prix de vente actuels des denrées alimentaires ne reflètent pas ou insuffisamment les coûts de l'impact environnemental de l'azote, des gaz à effet de serre et de la production énergétique, juge Tobias Gaugler, chercheur de l'Institute of Materials Resource Management de l'Université d'Augsbourg qui a fait cette étude financée par Penny, un des nombreux retailers à voir "vert" durant cette rentré . Les dommages causés à l'environnement entraînent des coûts qui sont simplement cachés. Nos calculs démontrent ce véritable écart de prix, bien que nous ne disposions pas des données nécessaires pour tenir compte d'autres aspects importants, tels que le bien-être des animaux ou les effets des germes multirésistants. Je me réjouis que cette discussion ne soit plus confinée aux milieux scientifiques et qu'elle fasse désormais partie de la vie quotidienne des gens. Et je suis très enthousiaste à l'idée de voir si cette initiative de double prix aura un effet d'entraînement". Cette initiative peut paraître étonnante de la part d'un distributeur. Mais de plus en plus d'enseignes ont compris qu'elles ne pouvaient plus se contenter de cacher les défauts dans leur cuirasse en faisant du "greenwashing" auprès des consommateurs. Dire la vérité est devenu la meilleure des défenses. >> Lire l'article complet sur le site Influencia
MSC : un label en eaux troubles
Le label MSC "Marine Stewardship Council", qui devait encourager une pêche durable par le biais de la sensibilisation citoyenne, est aujourd'hui accusé par l'association Bloom de certifier essentiellement des pêcheries industrielles destructrices. Ces accusations portent également sur les critères d'accès au label jugés trop laxistes puisque seules les pêches à explosif ou au poison ne peuvent prétendre à la certification. Enfin, des conflits d'intérêt sont à nouveau soulevés à l'endroit des cabinets chargés d'évaluer la pêcherie avant certification. Leurs décisions ne peuvent en effet qu'être difficilement contestées par les citoyens et les ONG car le processus d'objection actuel est très coûteux. Le directeur scientifique de l'association Bloom estime ainsi que "le MSC est devenu un frein à la pêche durable. En servant de bouclier marketing aux industriels de la pêche mondiale, le MSC empêche aujourd'hui toute possibilité de changement structurel du secteur de la pêche en légitimant les pires pratiques" (...) S'il réitère son ambition de faire évoluer les professionnels vers une pêche plus durable, le MSC ne prouve pas auprès de certaines associations que cet engagement se traduit par des résultats probants>> Lire l'article sur le site de Valeurs vertes (et télécharger le pdf)
Comment une entreprise nordiste collecte et traite les masques de protection usagés
Par Nicolas Gallée, directeur business consulting et Florent Boizard, directeur supply chain solutions chez Hardis Group - "Pour à la fois optimiser les productions et les stocks, il est indispensable de disposer d'indicateurs d'aide à la décision : cela passe par la mise en place d'échanges de données bilatéraux entre les différents acteurs de la chaîne logistique ou, dans l'idéal, par une plateforme d'hypervision capable d'agréger les données de l'ensemble de l'écosystème, à condition toutefois que tous les acteurs de la chaîne d'approvisionnement soient disposés à cet échange de données multilatéral (notamment lorsque plusieurs concurrents sont impliqués). Mais les outils ne se suffisent pas à eux-mêmes. Et les difficultés d'approvisionnement récentes l'ont bien montré : ce qui compte avant tout, c'est de sécuriser la relation avec l'ensemble des acteurs. Soit un engagement par l'industriel d'un certain niveau d'achat auprès de ses fournisseurs, en contrepartie de quoi il obtient une garantie d'affectation de moyens : matières premières, produits semi-finis, transport, etc. De cette façon, il peut travailler en confiance avec l'ensemble de ses partenaires sur sa chaîne d'approvisionnement, et même limiter ses risques sur un approvisionnement mono-sourcé. >> Lire la tribune sur le site de VoxLog
L'écosystème digital secoue les business models du transport
Un véritable écosystème digital est en train de se construire autour d'un environnement supply chain connectant les achats de matières premières, le transport, la logistique, la documentation, les douanes, le calcul de l'empreinte carbone... L'exemple de la transformation amorcée par le géant mondial Unilever est à ce titre édifiant. Comme d'autres secteurs, le marché traditionnel des produits de grande consommation est bousculé par la digitalisation, qui transforme l'expérience client. La technologie permet un engagement direct entre les consommateurs et les fabricants, une personnalisation accrue, une production proche du client et un marketing de précision. Pour accompagner ces tendances, Unilever développe un concept de supply chain connectée. "Nous devons nous éloigner d'une chaîne d'approvisionnement linéaire pour aller vers un cercle d'approvisionnement dans lequel Unilever est un hub digital au centre du dispositif. Les silos fonctionnels traditionnels tels que les ventes, la R&D, le marketing et la supply chain sont remplacés par trois processus primordiaux : création de la demande, satisfaction de la demande et innovation", décrit Marc Engel, directeur Supply Chain d'Unilever, dans les colonnes du magazine digital Supply Chain Movement. >> Lire l'article complet sur le site de Upply
Les organisations du transport routier préviennent: "le secteur n'acceptera aucune augmentation de sa fiscalité !"
Transport routier de marchandises et la logistique & Plan de Relance, l'ensemble des organisations professionnelles s'allient dans un communiqué (...) - Contrairement aux autres secteurs touchés par la crise, le Transport routier de marchandises et la Logistique ne bénéficieront pas de mesures spécifiques. Si le secteur espère bénéficier indirectement de la relance globale, les organisations professionnelles avertissent qu'elles seront extrêmement attentives à toute augmentation de la pression fiscale sur les entreprises du secteur. Privées de mesures de soutien ad hoc, les entreprises ne sauraient ; de surcroît, financer ce plan via de nouvelles taxes. >> Lire l'article complet sur le site de Transportissimo
Travel management
Les capacités aériennes repartent à la baisse en Europe
-6,1% en Europe Occidentale, -12,3% pour l'Europe Centrale et Orientale : les chiffres qu'alignent le consultant OAG sont sans appel. Les capacités aériennes dans l'ensemble du monde sont en baisse, et le phénomène touche particulièrement l'Europe. Selon OAG, alors que les transporteurs aériens planifiaient un total de 59 millions de sièges pour la semaine du 31 août au 6 septembre, ce chiffre s'est établi en réalité à 58,4 millions. Plus d'un demi-million de sièges ont été retirés à la dernière minute. En parallèle, l'Asie du Nord-Est (Chine, Corée, Japon) et l'Amérique du Nord font état d'une baisse de leurs capacités respectives de -2,6% et -3,5%. Les craintes d'une seconde vague de contamination en Asie du Nord-Est et les premiers cyclones en Amérique du Nord ont contribué à ces baisses. OAG estime qu'une reprise musclée de l'offre aérienne est largement compromise cet hiver. Le consultant britannique pense que cette offre se caractérisera par une grande volatilité de dernière minute. Un élément qui pèserait particulièrement sur la reprise des voyages d'affaires. >> Lire l'article complet sur le site de Voyages d'affaires
Emmanuelle Llop : "Les agences doivent examiner cette semaine la faisabilité des voyages programmés"
"Les agences doivent examiner d'ici le 15 septembre la faisabilité des voyages programmés, ou reprogrammés d'ici à la fin de l'année. L'objectif est de vérifier si les conséquences du Covid conduisent à les annuler." Une recommandation en phase avec celle de Jean-Pierre Mas, président des Entreprises du Voyage (EdV), que nous avons interrogé en début de semaine. "Bien entendu, il leur faut travailler avec leurs fournisseurs, en direct ou via les tour-opérateurs, pour organiser les annulations éventuelles et la mise en place des (nouveaux) avoirs", ajoute Emmanuelle Llop. >> Lire l'article complet sur le site de L'echo Touristique
Air France et Amadeus signent un accord NDC
Air France facturera cependant une commission de quelques euros par billet pour les agences utilisant ce système et les agences devront signer un accord commercial avec Air France et Amadeus pour pouvoir l'utiliser. Cette commission sera cependant moins importante que celle facturée aux agences via les GDS et qui avoisine 11 euros. Au cours des dernières années, Air France-KLM a travaillé avec Amadeus pour connecter ses services NDC à la plateforme Amadeus. Les premières étapes de vente (shop, order, pay) ont déjà été intégrées et des agences pilotes pourront réserver via NDC en utilisant la plateforme Amadeus d'ici à la fin de l'année. L'intégration complète, incluant les fonctions d'après-vente, devrait être réalisée au cours du premier semestre 2021. Les agents de voyages pourront rechercher, comparer, réserver et gérer l'après-vente des offres Air France-KLM à travers un affichage consolidé unique accessible via leur propre solution Amadeus, qu'il s'agisse des Travel API ou de Selling Platform Connect. Amadeus permettra également aux voyageurs d'affaires de réserver via NDC par l'intermédiaire de cytric Travel & Expense. >> Lire l'article complet sur le site de Business Travel
IT
Comment la blockchain pourrait venir à bout de la pollution engendrée par le plastique
L'industrie du recyclage ne semble toujours pas en mesure d'absorber cette masse sans cesse grandissante de plastique. En cause : un processus parfois inefficace mais également un manque de données numériques pour suivre le parcours d'un produit, de sa création à sa destruction. Le défi pour le secteur du recyclage repose donc dans la traçabilité de la chaîne d'approvisionnement du plastique. Un problème que pourrait bien résoudre la blockchain. La société américaine RecycleGO vient ainsi de construire une plateforme permettant de suivre tout type de matériau recyclable tout au long de son cycle de vie. En consignant cette activité dans un grand livre distribué et décentralisé, sa solution de blockchain pour la collecte du plastique entend redonner de la traçabilité et de la responsabilité à l'ensemble de la chaîne du plastique tout au long du processus de recyclage. >> Lire l'article complet sur le site de ZDNet
RH/ management / carrière
Augmentation de salaires 2020 : la crise n'épargnera pas les cadres, enfin pas tous
Si en 2019, 1 cadre sur 2 disposait d'une part variable dans sa rémunération (5000 euros soit 10% du salaire total/ chiffre médian), avec la crise sanitaire, on n'est plus du tout sur la même tendance. Faute de business suffisant, les primes sur objectifs atteints devraient mécaniquement être moins importantes que l'an passé. Les premiers concernés par ce recul du variable seront évidemment les commerciaux. De plus, à défaut de pouvoir légalement baisser les salaires fixes, "les primes exceptionnelles accordées par les employeurs pourraient être revues à la baisse", souligne l'Apec. A noter que l'intéressement et la participation, dont les montants dépendent des résultats des entreprises, vont évidemment être impactés. Lors de la crise financière de 2009, les montants des participations et des intéressements versés avaient respectivement baissé de 15 et 3 % en France.>> Lire l'article complet sur le site de Cadremploi
Ces savoir-être, bénéfiques pour le business
Le savoir-être est au coeur de la vie du dirigeant : être curieux et à l'affût de l'information sont des facteurs déterminants. Le dirigeant est confronté quotidiennement dans un monde qui bouge à la prise de risques. Le chef d'entreprise doit, en tant que véritable chef d'orchestre, avant tout, maîtriser sa communication dans un monde gouverné par l'image pour pouvoir développer son entreprise. Adopter un comportement adéquat pour bâtir une relation sur la durée, c'est un art qui s'apprend. Saviez-vous que certaines attitudes adoptées dans le monde de l'entreprise favorisent le business ? >> Lire l'article sur le site de Dynmaique mag