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Revue de presse achats - semaine du 13 janvier

Publié par la rédaction le | Mis à jour le

Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait aux achats. Bonne lecture!

Les prix s'enflamment dans l'assurance de risques industriels

Après quinze ans de calme plat, le marché de l'assurance des risques industriels est en train de s'enflammer. Selon plusieurs acteurs, les prix connaissent depuis l'an dernier une remontée spectaculaire sur fond d'augmentation des coûts des sinistres, de baisse de capacités et de pression réglementaire. "Depuis 2003, le marché de l'assurance industrielle était favorable au client, constate Laurent Belhout, directeur général de la filiale française du courtier américain AON. Mais depuis l'année dernière, il y a un tournant : on constate des hausses de plus de 10 % sur les risques industriels." L'assureur Zurich se prépare même à des hausses de prix de 20 à 40% sur certains comptes. "La dernière fois que ce genre de marché a vraiment existé, c'était en 2002", a déclaré mardi, à Bloomberg, James Shea, responsable de l'assurance commerciale chez Zurich. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

Freelance : quels sont les métiers à impact les plus recherchés par les entreprises ?

People4Impact (plateforme de recrutement dédiée aux indépendants des métiers du développement durable et de l'impact positif, lancée par Birdeo) a analysé les besoins des entreprises clientes du dispositif, afin d'établir le top des missions à impact en freelance les plus demandées : Création et mise en place d'une direction du développement durable - Mise en place de filière durables dans le secteur agricole - Rédaction du rapport développement durable - Initiation d'une démarche d'achat durable. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN

Pétrole brent : L'or noir lâche 10% en une semaine sur fond d'apaisement des tensions au Moyen-Orient

Après avoir enchaîné cinq séances consécutives de baisse, les barils de Brent et de WTI restaient mal orientés mardi matin, cédant encore quelques centimes après avoir respectivement lâché 1,2 et 1,6% lundi. Vers 9h45, les deux références mondiales de pétrole brut ont ainsi touché un plancher de plus d'un mois, à 63,95 dollars pour le Brent et à 57,74 dollars pour le WTI, avant de s'extirper de ce plus bas récent avec l'accord commercial préliminaire sino-américain en ligne de mire, celui-ci devant être signé mercredi à Washington. >> Lire l'article complet sur le site de BFM

Tendances alimentaires : 2020, l'année de tous les possibles pour l'agroalimentaire

Chaque début d'année est marqué par les prédictions sur les grandes tendances à venir en matière d'alimentation. En 2020, le secteur de l'agroalimentaire est plus que jamais confronté aux enjeux et défis que doit relever toute la chaîne de production. Car du champs à l'assiette, désormais le consommateur ne laissera plus rien passer ! Dans le cahier des charges 2020, ce dernier veut consommer "healthy food", de la nourriture saine donc, tout en respectant le bien-être animal et la planète. Le cap est donné ! (...) Les marques devront également renforcer leurs actions en matière de RSE pour faire face à des préoccupations croissantes concernant le plastique ou le bien-être animal par exemple. La fragmentation des achats et de la consommation est également confirmée. Il est désormais obligatoire pour les grands acteurs de maximiser les points de contacts avec les consommateurs français, en trouvant de nouveaux canaux de distribution. >> Lire l'article complet sur le site de AgroMédia

La France va enfin riposter au pillage de ses pépites industrielles. Trop tard ?

Depuis l'arrivée d'Emmanuel Macron, une nouvelle cartographie des grands groupes, startups et laboratoires de recherche stratégiques a vu le jour, afin de mieux les protéger contre les menaces extérieures. Pour les défendre, une nouvelle organisation interministérielle a aussi été mise en place. "Concernant les entreprises de la base industrielle et technologique de défense (BITD), nous travaillons en étroite collaboration avec le ministère des Armées et la Direction générale de l'armement, précise Thomas Courbe. Nous procédons ainsi avec tous les ministères qui sont en relation avec des sociétés stratégiques, par exemple ceux de la Recherche et de l'Enseignement supérieur, de la Santé, du Transport et de l'Énergie, ou de l'Agriculture". En parallèle, le gouvernement renforce, depuis un an, le dispositif de contrôle des investissements étrangers en France (IEF). Les technologies dites "critiques" - dont la cybersécurité, l'intelligence artificielle, les semi-conducteurs ou le stockage de l'énergie - font l'objet d'une attention particulière des pouvoirs publics. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

RSE

Les éleveurs s'engagent pour améliorer le bien-être animal et la qualité du lait

Les responsables du Centre national interprofessionnel de l'économie laitière (Cniel) ont présenté mardi un vaste plan d'actions visant à répondre aux multiples défis - économiques, environnementaux, sanitaires et sociétaux - auxquels sont confrontés à divers degrés producteurs, coopératives, industriels et distributeurs. (...) Il s'agit, à travers cette démarche de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) dûment certifiée (ISO 26000), de garder et de renforcer la confiance des consommateurs, "la priorité de la filière", selon cette organisation qui, pour ce faire, s'est fixé toute une série d'objectifs à atteindre d'ici 2025. Entre autres exemples, 100 % du lait livré aux coopératives ne devra plus présenter la moindre trace d'antibiotiques à cette date. De même que l'empreinte carbone ne devra pas excéder 0,92 kg de CO2 pour chaque litre (contre 1,11 kg) A cette échéance, les 50.000 exploitations laitières réparties sur l'Hexagone devront aussi, dans leur totalité, avoir engagé une "démarche de progrès" du bien être animal (BEA). La méthode d'évaluation a été définie. Des ONG, notamment, ont été consultés sur la définition de pas moins de 16 indicateurs extrêmement précis, qui vont de l'évaluation de l'espace de couchage de l'animal, en passant par celle de sa confiance dans l'homme. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'Occitane teste la recharge de gels douche en boutique

La notion de pack réutilisable s'installe dans le secteur de l'hygiène beauté. Comme d'autre marques de la catégorie, L'Occitane propose déjà la possibilité d'écorecharges sous forme de Doypack pour certaines références. Mais pour aller plus loin, la marque envisage l'économie de ce pack recharge par une solution à la fontaine. "L'écoconception est la motivation essentielle de notre initiative. Remplir à nouveau son flacon, c'est la meilleure solution pour réduire l'empreinte plastique", assure Corinne Fugier-Garrel, directrice du développement packaging chez L'Occitane en Provence. (...) Pour développer une fontaine spécifiquement adaptée au gel douche, L'Occitane s'est rapprochée du savoir-faire de son partenaire en mobilier de magasin Marie Laure PLV. "Il a fallu prendre en compte le fait que le gel douche ne coule pas naturellement quand on souhaite remplir un flacon dans un temps réduit. Donc il faut que le jus soit à la fois poussé et aspiré pour remplir un flacon en moins d'une minute", ajoute la responsable du projet, qui confie également que le travail d'amélioration des machines se poursuit avec l'expérience. >> Lire l'article complet sur le site de Premium Beauty News

Electronics Watch veille aux achats informatiques éthiques

L'association Electronics Watch s'est donnée pour mission de faire la lumière sur les conditions dans lesquelles sont fabriqués, à travers le monde, serveurs, ordinateurs, imprimantes ou encore téléphones portables. En raison d'une cascade de sous-traitants installés à l'autre bout de la planète, il est souvent bien difficile de connaître par exemple l'origine des composants. Ou de savoir comment travaillent les ouvriers de ces entreprises. C'est pourquoi Electronics Watch a monté un réseau de personnes indépendantes chargées de mener l'enquête sur place, notamment en Chine, en Inde, au Vietnam, en Indonésie ou en Malaisie. Leurs investigations dépassent les audits classiques puisque les salariés sont interrogés sur ce qui se passe véritablement dans les usines : précarité, recours à des produits toxiques, absence de couverture sociale... >> Lire l'article complet sur le site santé-achat

Léa Nature devient une entreprise à mission environnementale

Devenir une entreprise à mission entre en résonance avec l'histoire et la philosophie de LÉA NATURE : la création en 2000 d'un comité éthique garant de nos valeurs, l'adhésion de nos marques bio au collectif 1% for the Planet en 2007, la mise en place d'une politique RSE avec un plan d'engagements depuis 2013. Inscrire notre mission d'intérêt général dans notre objet social est l'affirmation d'une démarche environnementale toujours plus engagée. Les engagements pris ne sont plus une option mais une obligation. (...) Après avoir mis en place une démarche RSE au sein de notre entreprise, évaluée niveau Excellence par ECOCERT 26000 et défini des engagements renouvelés annuellement, notre prochaine étape est de créer un comité de suivi, constitué des parties prenantes, et une gouvernance RSE. C'est au programme de l'année 2020 ! >> Lire l'article complet sur le site de la marque

Succès du lait d'amande : les abeilles ne disent pas merci aux bobos bio

L'amande est très gourmande en eau, six fois plus que les céréales : il faut carrément utiliser 4 litres d'eau pour produire une seule amande, contre 1,5 litres pour une fraise par exemple. Or la Californie commence à manquer sérieusement d'eau douce et, avec le réchauffement climatique, cette situation ne peut que s'aggraver. Les amandiers consomment actuellement à eux seuls 10 % de toute l'eau douce de cet état ! Les conflits locaux ne peuvent donc que se multiplier dans cette région. Entre les différents agriculteurs (par exemple les maraîchers, les cotonniers ou les céréaliers contre les arboriculteurs, même si progressivement ces derniers passent au goutte à goutte), et entre les agriculteurs et les urbains (les américains n'ont pas encore l'habitude de rationner l'eau d'arrosage de leurs gazons ou pour le nettoyage de leurs voitures !). De plus, comme toute activité de monoculture, l'usage de pesticides est absolument indispensable, et encore plus s'agissant d'arbres. D'autant plus que l'opinion publique est là-bas beaucoup moins sensibilisée à ces questions que les européens. On cultive les amandiers sur un sol nu, nettoyé avec force glyphosate, et on répand énormément de fongicides et d'insecticides, beaucoup plus que dans les vergers de pommes, qui pourtant sont réputés pour cela ! Les conséquences environnementales sont de plus en plus désastreuses évidemment. >> Lire l'article complet sur le site de Atlantico


Supply chain

Pourquoi les organisations logistiques doivent répondre à l'appel de l'IA

L'IA va profondément bouleverser la façon dont les entreprises opèrent et leurs processus logistiques. Si ces dernières années ont été marquées par la démocratisation des systèmes robotiques, des progrès ont été remarqués du côté de systèmes d'IA qui viennent apprendre des décisions humaines et des données de la supply chain. Ils permettent de mieux la piloter, de l'optimiser et de la faire évoluer. L'heure est venue de se lancer dans des projets de transformation pour passer à des solutions globales, capables d'assister demain les logisticiens pour augmenter leur agilité et améliorer leurs prises de décisions. Au menu de cet article de VoxLog: améliorer ses prévisions et réagir plus rapidement - Faire apparaître l'invisible et optimiser l'éxecution en entrepôt - Repenser son organisation. >> Lire le dossier sur le site de VoxLog

Loi d'orientation des mobilités : le transport routier de marchandises est aussi concerné !

Si elle fait la part belle aux déplacements en vélo, la loi comporte aussi des mesures relatives au transport routier de marchandises (...) Dès le 1er article de la loi, la stratégie ainsi que la programmation financière et opérationnelle des investissements de l'État dans les systèmes de transports pour la période 2019-2037 est fixée. On relèvera que, parmi les divers objectifs de cette stratégie, se trouve celui "d'améliorer l'efficacité des transports de marchandises pour renforcer la compétitivité des territoires et des ports". Ainsi, l'État prévoit une augmentation de 40 % des investissements dans les transports entre les périodes 2014-2018 et 2019-2023. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique

Comment le "Supply Chain Network" de L'Oréal livre 7 milliards de produits par an

L'un des secrets de la chaîne d'approvisionnement de L'Oréal est son réseau mondial de centres de distribution et de voies de transport qui garantit que les bons produits sont livrés au bon moment, avec le moins d'impact possible sur l'environnement. Inutile de dire que ce n'est pas un mince exploit. "Nous parlons de plus de 150 centres de distribution, livrant plus de 7 milliards de produits chaque année à un demi-million de points de livraison à travers le monde", explique Jamie. (...) Pour relever ces défis, nous avons de nombreux projets innovants en préparation, tels que l'automatisation à grande vitesse super cool, un programme d'excellence opérationnelle pour améliorer encore la qualité tout en réduisant les déchets, et un tout nouveau système de gestion d'entrepôt qui contribuera à porter la numérisation de nos centres de distribution à de nouveaux niveaux. >> Lire l'article complet sur le site de Beauty Tomorrow


Commande publique

Au secours, les nouvelles régions dépensent encore plus qu'avant !

Dans son rapport sur les finances publiques locales, publié le 24 septembre, la Cour des comptes a tiré un premier bilan de ces regroupements territoriaux. Si la mise en place des nouvelles entités "s'est passée sans heurt", elle n'a pas "produit les économies escomptées", rapportent les magistrats, avec leur sens inné de la litote. Pour en avoir le coeur net, nous sommes allés enquêter en Occitanie et dans le Grand-Est. Et le constat y est en effet sans appel, même si ailleurs, en Auvergne-Rhône-Alpes, on trouve quelques raisons d'espérer.(...) Les postes qui ont le plus dérapé ont été les frais généraux et les dépenses de personnel. Les secondes encore plus que les premiers, d'ailleurs. Leur envolée s'explique d'abord par la dispersion des centres de décision. A l'exception de la Nouvelle-Aquitaine, qui a fait de Bordeaux sa capitale unique, les autres régions ont choisi... de ne pas choisir. Dans le Grand-Est, par exemple, qui regroupe les ex-Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine, la majorité (LR) a décidé de conserver les trois anciens hôtels de région. Désormais, celui de Strasbourg accueille les réunions de la commission permanente du conseil régional et de toutes les commissions thématiques, sauf celle des finances qui se réunit à Châlons-en-Champagne. Les séances plénières du conseil régional, elles, se tiennent à Metz. Ce compromis baroque ménage les susceptibilités des élus et assure une meilleure répartition des emplois, mais il donne fortement l'impression de marcher sur la tête. >> Lire l'article complet sur le site de Capital

Marchés publics : les offres anormalement basses dans le collimateur

Le patron de la fédération essonnienne du bâtiment ne cache pas sa colère contre ces pratiques : "Ces entreprises ne remplissent souvent pas leurs obligations légales et fiscales. Des entreprises peuvent déclarent 3.000 euros de salaire annuel brut à l'Ursaff pour une dizaine de salariés ! J'ai été l'un des premiers à réclamer à l'Ursaaf des systèmes d'alertes ", déclare Fabien Daurat, président de la Fédération française du bâtiment de l'Essonne (FFBE). Ce dernier ajoute que ces sociétés s'assurent généralement auprès de compagnies d'assurances exotiques, ce qui génère des augmentations de primes pour les entreprises sérieuses. " Quelques acteurs économiques sont des margoulins. Une offre anormalement basse signifie souvent, in fine, du travail au noir, ou encore des déchets qui ne sont pas mis au bon endroit ! ", souligne François Durovray. Sans compter un dernier effet pervers pour la collectivité : les entreprises qui affichent des prix particulièrement faibles par rapport à la prestation disparaissent rapidement. Conséquences : retards de chantiers, abandons de chantiers, équipement non terminé... et nouveaux appels d'offres. >> Lire l'article complet sur le site des Echos

L'acheteur est tenu par la répartition des pénalités de retard proposée par le mandataire d'un groupement conjoint

En cas de groupement conjoint, chaque membre du groupement perçoit directement les sommes se rapportant à l'exécution de ses propres prestations - Selon le cahier des clauses administratives générales (CCAG) travaux, les pénalités sont réparties entre les cotraitants conformément aux indications données par le mandataire, sauf stipulations différentes du cahier des clauses administratives particulières. Le mandataire a la responsabilité de l'application des pénalités de retard applicables à chaque entreprise. S'il incombe au maître de l'ouvrage de liquider le montant global des pénalités de retard dues par l'ensemble des entreprises, il appartient au seul mandataire commun de répartir entre les entreprises les pénalités dont il fait l'avance jusqu'à ce qu'il ait fourni les indications nécessaires à leur répartition. En cas d'inaction du mandataire commun, le maître de l'ouvrage est tenu de lui imputer la totalité des pénalités. Dans cette hypothèse, sauf s'il est dans l'impossibilité de recouvrer effectivement le montant de ces pénalités sur le mandataire, le maître de l'ouvrage ne peut les imputer à une autre entreprise. >> Lire l'article complet sur le site de Weka

Chorus Pro : cap sur les 100 millions de factures

Le cap des 100 000 000 de factures déposées sur Chorus Pro depuis sa mise en service en 2016 va être franchi cette année. Au 31 décembre 2019, la solution mutualisée de facturation électronique pour tous les fournisseurs de la sphère publique, mise au point afin de répondre aux obligations fixées par l'ordonnance du 26 juin 2014, avait réceptionné au total 84 714 925 factures par 131 708 structures actives (données communiquées par l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat, AIFE). Le nombre de dépôts est en constante augmentation. De 11,1 millions en 2017, ils sont passés à 27,4 millions en 2018 et 45,6 millions en 2019 (+ 66 %). Les sommets ont été atteints au cours du 4ème trimestre 2019 : plus de 4,5 millions factures ont été déposées chaque mois, soit une croissance de 30 % du volume annuel, avec systématiquement un pic lors de la 1ère semaine du mois. 32 % proviennent des proviennent des grandes entreprises (+ de 5 000 salariés). 37 % des factures ont été déposées par des ETI (250 à 5 000 salariés), 27 % par des PME-TPE. >> Lire l'article complet sur le site de Santé Achat

Le Bataillon de Marins-Pompiers de Marseille va se doter de drones aériens Novadem NX-70

D'ici quelques semaines, il comptera en effet une équipe spécialisée dans l'appui robotisé. "Cette équipe sera dotée de véhicules urbains et hors route permettant l'engagement, la coordination multi-vecteurs et le renseignement d'origine image", explique le capitaine de corvette Christophe F., chef de la division études en charge du développement des technologies robotisées au sein du BMPM. Et pour équiper cette nouvelle unité, le BMPM a choisi d'acquérir quatre drones NX70 auprès du fabricant français Novadem. "Ces drones ainsi que l'ensemble des équipements acquis au travers de l'Union des Groupements d'Achats Publics [UGAP] apporteront une capacité de renseignement aérien immédiatement disponible et une véritable plus-value opérationnelle dans un large spectre de missions", des marins-pompiers de Marseille, s'est réjoui ce dernier. >> Lire l'article complet sur le site de Zone Militaire

IT

La gestion des données en 2020

Si de grandes quantités de périphériques arrivent en fin de vie et rendent les entreprises vulnérables, 61 % sont très préoccupés par les risques de piratage de données liés à ces équipements. 80 % des multinationales stockent cependant du matériel informatique hors service. Plusieurs risques sont relevés, retenons ceux-ci : Les méthodes de suppression de données non sécurisées / La non-gestion du matériel hors service sur site / L'inexistence de piste d'audit pour les actifs en fin de vie. >> Lire l'article complet sur le site ITPro

Débusquée par la NSA, une faille critique menace Windows

Microsoft a publié mardi 14 janvier un correctif pour une faille jugée "extraordinairement sérieuse" par l'expert en sécurité Brian Krebs, qui peut toucher "l'authentification sur les postes et les serveurs", ainsi que "la protection des données sensibles dans le navigateur Edge ou des applications tierces". La vulnérabilité "peut être utilisée pour fabriquer une signature numérique [...] et permettre à un code malveillant d'apparaître comme un programme bénin validé par un développeur légitime", ajoute-t-il. En clair : toute la crédibilité du système Windows est en jeu, pour les versions Windows 10 ainsi que Windows server 2016 et 2019. Plus de 900 millions d'ordinateurs sont concernés par cette faille dans le fichier crypt32.dll, et seulement une partie d'entre eux seront mis à jour rapidement. "Lorsque des failles critiques ont été découvertes et que des patches ont été publiés dans le passé, cela a pris des mois pour qu'ils soient largement déployés", explique Liviu Arsene, chercheur en cybersécurité chez BitDefender, selon lequel "il est certain que de nombreux ordinateurs resteront vulnérables longtemps". >> Lire l'article complet sur le site du Point

Universal Robots propose ses cobots à la location avec DLL

Spécialisé dans la robotique collaborative, Universal Robots va prochainement proposer ses solutions de cobots via une offre de location, intitulée UR Solutions Finance. Celle-ci a été développée en collaboration avec DLL, spécialisée dans les solutions de financement d'équipement. De quoi mettre l'automatisation logistique dans toutes les mains, tout en continuant de bénéficier des services d'Universal Robots en termes de SAV et de maintenance. "Nous plaçons toutes les entreprises sur un pied d'égalité en leur permettant de mettre des cobots immédiatement au travail sans investissement initial. UR Solutions Finance offre aux industriels un modèle rapide, à faible risque et avantageux pour accélérer l'automatisation de leurs usines. Ce partenariat facilite la mise à niveau des cobots existants, l'ajout d'unités supplémentaires ou la mise en oeuvre de robots collaboratifs à titre expérimental, en leur donnant la possibilité d'obtenir un maximum de productivité, de qualité et de rentabilité sans accroître leurs coûts ni leurs dépenses d'investissement", estime Klaus Vestergaard, directeur financier d'Universal Robots. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Travel management

Un passager brûlé par du café en vol : la compagnie peut être responsable

"Un café s'il vous plaît ! (mais pas trop chaud)", entendrons-nous peut-être désormais à bord des avions. En tous cas, depuis le 19 décembre 2019, un arrêt rendu par la Cour de justice de l'Union européenne indique que les brûlures causées au passager par du café bouillant à bord d'un vol sont les conséquences d'un accident dont la compagnie est responsable. Me Emmanuelle Llop revient sur cette décision de justice.(...) En cas d'accident ayant causé un dommage corporel à un passager dont l'indemnisation est inférieure à (environ) 154 000 €, la compagnie doit payer des dommages-intérêts du seul fait que cet accident a eu lieu à bord de l'avion ou pendant les opérations d'embarquement ou débarquement. Dans la mesure où ce n'est qu'au-dessus de ce seuil qu'afin de préserver l'équilibre équitable des intérêts bien compris des passagers comme des transporteurs, ces derniers peuvent invoquer la faute du passager ou d'un tiers ou la force majeure pour exclure leur responsabilité, il est primordial de définir ce que recouvre cette notion d'accident.>> Lire l'article complet sur le site de Tourmag


Fleet management

Accidents de trajet : une nouvelle procédure pour les employeurs

"Les employeurs doivent déclarer un accident du travail ou de trajet dans le même délai qu'auparavant, soit 48 h après avoir pris connaissance du sinistre, à la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM) d'affiliation du salarié", indique l'Assurance maladie risques professionnels. En revanche, l'employeur dispose désormais d'un "délai garanti de 10 jours à partir de la date de la déclaration d'accident du travail (DAT) pour émettre des réserves sur l'origine professionnelle de l'accident." S'il n'y a pas de contestation de l'employeur, la CPAM dispose de 30 jours après réception de la DAT pour statuer sur le caractère professionnel de l'accident. Ce délai passe à 70 jours en cas de contestation de l'employeur ou si la CPAM l'estime nécessaire, afin de permettre la réalisation d'investigations complémentaires. La CPAM envoie un questionnaire à remplir dans les 20 jours à l'employeur, le salarié et d'éventuels témoins via le service en ligne "questionnaire risque professionnel". Suit une phase contradictoire où salarié et employeur peuvent consulter le dossier et émettre des observations via ce même service en ligne, et ce pendant un délai de 10 jours à l'issue duquel la CPAM rend sa décision. La procédure ne dépasse donc pas 90 jours. >> Lire l'article complet sur le site de Flotauto