Revue de presse achats (semaine du 15 au 19 octobre)
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Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de panique! La rédaction vous a fait une sélection d'articles (intéressants, bien sûr!) ayant trait aux achats et à la relation fournisseurs, à la RSE, à la supply, etc. On vous souhaite bonne lecture!
Traçabilité des fournisseurs : et si on s'en souciait ?
Le devoir de vigilance oblige les grands groupes à se préoccuper de la bonne prise en compte des risques environnementaux et sociaux par leurs sous-traitants et fournisseurs. Et les autres ? Étant donnés les risques liés aux fournisseurs et les avantages à plus les surveiller, les entreprises ont tout intérêt à s'emparer de la question de la traçabilité. Findus, Nike ou encore Total. Lorsque ces marques sont évoquées, les affaires qui y sont liées viennent rapidement à l'esprit : les lasagnes de cheval pour Findus, le travail des enfants pour Nike ou encore la marée noire causée par l'Erika pour Total. Ces trois histoires ont un point commun : ce sont les fournisseurs de ces grands groupes qui sont à l'origine de ces scandales. Comment s'assurer que ses fournisseurs n'ont pas des pratiques contraires au cahier des charges qui leur a été confié ? Réaliser une cartographie des risques afin d'identifier dans quels domaines il faut être le plus vigilant et permet ensuite de constituer un cahier des charges précis, exigeant tel ou tel label ou encore la non présence de telle substance cancérigène dans les produits, si ce risque a été identifié. Faire remplir à ses fournisseurs un questionnaire assorti d'une attestation sur l'honneur pour s'assurer de leurs bonnes pratiques. Enfin, cette démarche de traçabilité des fournisseurs peut s'inscrire dans un processus plus global d'achats responsables. >> Lire l'article complet sur le site Courrier Cadres
L'Autorité de la concurrence enquête sur un cartel du jambon
Il s'agirait-là d'une première dans l'histoire de la concurrence, avec une entente dans les deux sens, en amont et en aval. Les industriels de la charcuterie se seraient entendus sur les prix autant à l'achat, dans leurs approvisionnements auprès des abatteurs de porcs, qu'à la vente auprès des distributeurs. Mais aussi par le nombre de participants à ce cartel : 14 entreprises sont soupçonnées d'avoir joué un rôle à des étapes différentes de la chaîne. De l'ex-Financière Turenne Lafayette à Fleury Michon, en passant par Les Salaisons celtiques (Intermarché) ou le groupe Nestlé... Certains pour des lardons, d'autres pour du jambon ou du saucisson, les uns à l'achat, les autres à la vente. Des pratiques qui auraient eu cours entre janvier 2011 et avril 2013. Le secteur agroalimentaire est tout particulièrement dans le collimateur de l'Autorité de la concurrence. En mars 2012, les producteurs d'endives avaient été déclarés coupables d'entente sur les prix. En 2015, la foudre tombe sur les produits laitiers. Vient ensuite le tour du " cartel des poulets ". De nombreuses entreprises agroalimentaires s'étonnent néanmoins d'être régulièrement visées par des enquêtes concernant des pratiques anticoncurrentielles, dans un contexte où les grandes surfaces se livrent à une intense guerre des prix. Et ce, d'autant que leurs circuits de distribution se regroupent entre eux, en toute légalité, pour leur acheter des marchandises. Sur ce point, l'Autorité de la concurrence a ouvert, le 16 juillet, des enquêtes sur les effets des derniers rapprochements à l'achat dans la grande distribution. >> Lire l'article complet sur le site Le Monde
Fnac Darty fera le tour des incubateurs en 2019 pour trouver les bonnes startups
Fnac Darty est sous la pression d'Amazon et entend transformer son modèle économique. Le distributeur veut monter en puissance dans ses relations avec les startups. En 2019, l'entreprise va organiser le " Fnac Darty Innovation Tour " avec les incubateurs pour trouver les bonnes startups. " Il faut structurer le sourcing. Nous avons beaucoup de startups qui viennent frapper à la porte et en même temps, il n'y en a pas assez " relate Anne-Laure Feldkircher, directrice de la stratégie et Merger & Acquisition du groupe Fnac Darty, et secrétaire du Comex. Côté dispositifs de sourcing, le distributeur organise déjà des speed dating en début de mois pour jouer l'intermédiaire entre les startups et les opérationnels. Et la directrice entend travailler sur la culture. Elle a créé un réseau d'ambassadeurs dans les services de Fnac Darty et dans les différents pays où il est présent pour être les portes d'entrée des startups. L'intrapreneurship et le développement des talents internes sont également considérés comme un levier puissant, et ils feront partie de la feuille de route de 2019 de Anne-Laure Feldkircher. >> Lire l'article complet sur le site La Revue digitale
Nike : la Fédération Française de Football attend toujours les maillots à deux étoiles
Nike reste muet. Mais le mécontentement de ses clients qui attendent les maillots floqués de deux étoiles devient palpable. Si bien que la semaine passée, le président de la Fédération Française de Football a même tancé l'équipementier avec qui l'organisme est lié jusqu'en 2026, avec un accord de 50 millions d'euros par an. Selon Les Echos, seulement 30 000 maillots ont été proposés depuis la victoire des Bleus le 15 juillet en Russie. Un nombre loin de pouvoir répondre aux plus de 300 000 précommandes annoncées. Sur ces maillots pouvant être vendus jusqu'à 140 euros pièce, la fédération toucherait 7 euros, selon le quotidien économique. Un manque à gagner qui a donc de quoi échauder la FFF qui, selon Le Figaro, a même dû trouver une solution alternative. La fédération aurait fait appel à une société pour broder une seconde étoile sur ses stocks de maillots à une étoile, afin de pouvoir contenter les fans. >> Lire l'article complet sur le site Fashion network
Achats, marketing... Le palmarès 2019 des cabinets de conseil par métier
"Contrairement à notre précédent palmarès, nous avons décidé cette année de regrouper les deux fonctions, les achats étant souvent liés dans les entreprises à toute la chaîne d'approvisionnement et de livraison. Dans ce domaine, tant les consultants que les clients apprécient les qualités de nombreux cabinets parfois très spécialisés". >> Voir le classement sur le site de Capital
Créer une fonction compliance au sein de l'entreprise
En faisant de la compliance une véritable priorité et en évitant ainsi les lourdes amendes et les frais d'avocats considérables engendrés par certaines actions contentieuses, une entreprise a plus de réserve disponible afin d'investir et doper sa croissance. L'éthique et la conformité sont aujourd'hui au coeur des défis des entreprises. Lutte anti-blanchiment, lutte anti-corruption, traitement des données à caractère personnel, délits d'initié, antitrust, RSE, les sujets des métiers de la compliance, souvent brûlants, ne manquent pas. Le premier enjeu réside dans la définition du périmètre de l'éthique et de la compliance retenu par la société ou le groupe. Les outils, notamment digitaux, sont une des clés du succès de la fonction compliance, car elle est transversale à l'ensemble de l'entreprise et nécessite une remontée constante de l'information en mode "Bottom up". Si elle est bien menée, la création d'une fonction compliance peut constituer un formidable outil de compétitivité. En effet, les scandales de non-conformité sont souvent très onéreux. Qu'on en juge par les affaires récentes ayant touché, dans des domaines différents, BNP Paribas, Walmart, Volkswagen ou plus récemment LafargeHolcim. >> Lire l'article complet sur le site Le vie éco
La demande mondiale d'acier reste solide
L'Association mondiale de l'acier a doublé mardi ses prévisions de croissance de la demande mondiale pour 2018 et 2019 mais a indiqué que les tensions commerciales mettaient sous pression les perspectives du secteur. La demande d'acier devrait progresser de 1,4% l'an prochain à 1,681 milliard de tonnes, selon l'association plus connue sous le nom de Worldsteel, qui représente 85% des aciéristes mondiaux. C'est le double de la prévision d'une croissance de 0,7% qui avait été donnée en avril. Cela représente toutefois un ralentissement par rapport à la croissance de 3,9% attendue cette année, à 1,658 milliard de tonnes. En avril, Worldsteel avait donné une prévision de croissance de 1,8% pour 2018. >> Lire l'article complet sur le site Usine nouvelle
Innovation
La SNCF fait nettoyer ses gares par des robots autonomes
Après plusieurs mois de test, quatre gares de la SNCF font désormais nettoyer leurs sols par des robots. Et le robot-poubelle Baryl continue de se déployer. La question de la propreté est un enjeu fort à la SNCF. Deux tonnes de déchets y sont ramassées toutes les vingt-quatre heures. Pourtant, faire circuler un robot dans une gare n'est pas aisé. La fréquentation des usagers quasi constante représente autant d'obstacles pour l'engin. Le robot n'est d'ailleurs qu'un des piliers de la propreté de demain. " Chez nous, l'utilisation des robots fait partie d'une stratégie d'innovation globale, avec les objets connectés et l'utilisation des data ", déclare Philippe Carles. Les data joueront un rôle majeur : elles aideront à reconstituer les parcours et les flux des usagers en journée, et à adapter les horaires et les temps de passage des prestataires de nettoyage. Quand intervenir pour laver le sol ? Quand faut-il vider les poubelles ? Dans ce domaine, les poubelles connectées permettent de faire un pas en avant. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos
Ce mini lave-vaisselle made in France et "écolo" engrange déjà 2900 précommandes
Sept jours après son lancement, 2900 précommandes ont été validées et payées d'avance pour Bob, mini lave-vaisselle à réservoir d'eau, conçu et fabriqué en France. Sa cible, les foyers de 1 à 2 personnes n'aimant pas faire la vaisselle à la main. La livraison est prévue à l'été 2019. Le pari industriel des concepteurs repose sur la montée en puissance de la production de Bob dans l'usine de s20 industries. Sur l'ancien site vendéen (à la Roche-sur-Yon) de l'industriel Fagor-Brandt, les repreneurs de l'usine y ont maintenu la fabrication de petit électroménager en sous-traitance et un savoir-faire dont Bob va bénéficier dès maintenant. >> Lire l'article complet sur le site de BFM
Supply chain
Réinventer la supply chain par la technologie
Le modèle des supply chain traditionnelles ne peut plus coexister avec le monde digital actuel. Ces modèles trop fragmentés manque d'efficacité et ne sont plus en mesure de répondre de manière satisfaisante au besoins de marchés toujours plus volatiles dans un environnement géo-politique fluctuant et dans un contexte d'échanges commerciaux globalisés et largement connectés. La multicanalité des commandes complexifie la gestion d'un supply chain encore organisée en silos. Si le nouveau pétrole est la donné, l'enjeu de demain est d'arriver à faciliter l'échange de cette donnée. Construire sa supply chain en fonction de la circulation de la donnée pourra permettre de relever le défi de la gestion en temps réel mais aussi contribuer à créer de nouveaux segments et permettre de trouver de nouvelles opportunités en termes de transport et de livraison. >> Lire l'article complet sur le site Supply chain management review
Maintenance des wagons : ArcelorMittal et Novafer créent SteelWag
ArcelorMittal, le plus important chargeur de fret ferroviaire en France, vient d'annoncer la création d'une co-entreprise avec Novafer pour la maintenance des wagons, SteelWag. Pour justifier la création de SteelWag, ArcelorMittal met en avant la nécessité de réduire les coûts et les délais d'acheminement des wagons dans des ateliers éloignés. En outre, les besoins croissants d'ArcelorMittal, qui met en oeuvre chaque année 4 700 trains massifs et 32 000 wagons isolés entre les usines de Dunkerque et Florange (Moselle), vont nécessiter des investissements à hauteur de 500 000 €. Ils sont destinés à financer, par exemple, une fosse, des colonnes de levage, un banc et des équipements informatiques. À ces investissements viendront s'ajouter des recrutements. >> Lire l'article complet sur le site Actu transport logistique
Amazon développe de nouveaux robots pour automatiser le picking dans ses entrepôts
Amazon développe un nouveau type de robot capable d'effectuer des tâches de picking, actuellement opérées par ses employés, rapporte le site américain The Information. Selon la firme, les emplois ne sont pas menacés. Jusqu'à quand ? L'un des projets de recherche d'Amazon impliquerait notamment un robot à même d'identifier visuellement les articles arrivant sur le tapis roulant, de les saisir grâce à des systèmes de succion aux extrémités des bras, et de les déposer sur un établi, rapporte l'une des sources du journal. Pour autant, Amazon maintient que ces robots n'ont pas vocation à remplacer les humains au sein des entrepôts, mais plutôt à les aider à travailler plus efficacement. La compagnie souligne qu'elle a embauché plus de 300 000 personnes dans le monde depuis qu'elle a commencé à utiliser des robots dans ses entrepôts logistiques, il a six ans, rapporte The Information. Des recrutements qui ont tout de même diminué au regard de l'augmentation du volume de ventes. >> Lire l'article complet sur le site Usine Digitale
L'Alsacien Norcan lance un robot collaboratif d'assistance à la préparation de commandes et à la manutention
Norcan va commercialiser dans l'année un robot collaboratif d'assistance à la préparation de commandes et à la manutention, distingué récemment par les trophées Alsace Innovation. Ce chariot du futur possède aussi des fonctions d'autonomie : il peut décharger, se déplacer et se garer lui-même. Baptisé Sherpa, il est capable de porter jusqu'à 100 kg et de tracter jusqu'à 200 kg. La PME bas-rhinoise souhaite poursuivre sa démarche d'innovation. Plusieurs projets sont à l'étude : des cartérisations (sécurisation de machines) autoportantes, de nouveaux types de convoyeurs et le développement de capteurs intelligents capables de fournir des données. A terme, ces capteurs seront intégrés dans les cinq familles de produits fabriqués dans l'usine d'Haguenau. Norcan qui a déjà quatre filiales et six partenaires à l'étranger a des ambitions en Asie et aux Etats-Unis. >> Lire l'article complet sur le site Traces écrites news
Lactalis ouvre un entrepôt équipé de technologies logistiques innovantes
Inauguré officiellement au mois d'octobre 2018, le nouveau site logistique du groupe Lactalis est situé à Saint-Vulbas (01), en plein coeur du parc industriel de la plaine de l'Ain (PIPA). Ayant nécessité un investissement de plus de 40 millions d'euros, ce site dispose de 22 000 m² de surface et d'une capacité de stockage de 12 000 palettes. Pour ses activités d'entreposage, de gestion des stocks et de préparation des commandes, l'entreprise a fait l'acquisition d'équipements de pointe : un magasin de stockage grande hauteur, des convoyeurs et chariots autoguidés (AGV) pour gérer les flux de manière automatisée ainsi qu'une zone de préparation manuelle assistée, destinée au confort des futurs 150 collaborateurs du site. >> Lire l'article complet sur le site Voxlog
Commande publique
Oui au critère de l'expérience comme critère de choix des offres en procédure adaptée
Il est possible, en procédure adaptée, de tenir compte pour choisir l'offre économiquement la plus avantageuse, de l'expérience des candidats, et donc de leurs références portant sur l'exécution d'autre marchés. Toutefois, cette prise en compte doit être rendue objectivement nécessaire par l'objet du marché et la nature des prestations à réaliser et ne pas avoir d'effet discriminatoire. >> Lire l'aryicle complet sur le site Weka
Résilience : Paris se dote de deux rues anti-bruit et anti-chaleur
La mairie de Paris a présenté ce lundi deux premières chaussées réduisant les nuisances acoustiques et thermiques dans le XVe arrondissement de Paris. Elles ont été réalisées avec Colas (groupe Bouygues) et Eurovia (groupe Vinci). Co-financées par l'Union européenne, les deux chaussées devraient réduire de cinq décibels l'exposition au bruit. " Cela équivaut à diviser la puissance sonore par 3 ", assure Jérôme Lefebvre de la municipalité parisienne. La température, elle, devrait baisser de 1,5 °C en journée et de 3°C la nuit, et ce jusqu'à 1,50 mètre du sol. Certes, cela revient plus cher qu'une réfection habituelle, mais le surcoût est limité à 10 %, avance-t-on du côté de la Ville. Que ce soit sur la rue de Frémicourt, conçue sous la responsabilité de Colas (groupe Bouygues), ou sur la rue Lecourbe, travaillée par Eurovia (groupe Vinci), les axes concernés mesurent en réalité 400 mètres chacun. 200 mètres sont réservés à ces expérimentations et 200 mètres sont dédiés à l'asphalte ou au bitume classiques. Tous seront suivis jusqu'en 2027 pour relever les différences entre les portions avec les mêmes conditions de circulation et d'exposition météorologique. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune
L'acheteur doit vérifier la capacité des candidats à exercer une activité réglementée
Sous l'empire de l'ancien Code des marchés publics et préalablement à l'analyse des offres, l'acheteur devait vérifier que les offres étaient acceptables. Étaient à ranger dans la catégorie des offres inacceptables celles pour lesquelles les conditions prévues pour l'exécution du marché méconnaissaient une législation en vigueur. Aujourd'hui, la notion d'offre inacceptable est définie limitativement au seul cas où le prix excède les crédits budgétaires alloués au marché. Le caractère inacceptable de l'offre est ainsi directement lié à la capacité de l'acheteur en matière de financement du projet d'achat. Cependant, il appartient à l'acheteur de contrôler l'aptitude à exercer une activité professionnelle au stade de la candidature. À ce titre, il peut exiger que les opérateurs économiques soient inscrits sur un registre professionnel (article 44 du décret n° 2016-360 du 25 mars 2016). >> Lire l'article complet sur le site Weka
RSE
Amazon fait un petit pas vers la neutralité carbone
Amazon veut réduire son impact environnemental. Le géant de l'e-commerce a en effet annoncé ce mercredi deux projets visant à promouvoir les énergies vertes. Sur ce secteur, Amazon est en queue de peloton au sein des Gafa. Important utilisateur d'emballage, la firme de Jeff Bezos va investir 10 millions de dollars dans la société Closed Loop Fund pour aider aux programmes de tri des déchets des municipalités américaines. En janvier dernier, la compagnie de Jeff Bezos ne revendiquait que 50 % d'énergie verte dans la couverture de ses infrastructures. Même si elle affiche un engagement " à long terme " en faveur du renouvelable. Alors que Google a atteint 100 % d'énergie verte en avril dernier, une semaine avant qu'Apple fasse de même. >> Lire l'article complet sur le site Les Echo
IT
Data et IA : la moitié des entreprises exploite moins de 25% de la donnée collectée et analysée
Comment les entreprises récoltent-elles la donnée. Et surtout qu'en font-elles ensuite ? Comment l'intelligence artificielle intervient-elle dans cette exploitation des données ? Réalisée auprès de 240 décideurs, la première étude PwC/L'Usine Digitale "Intelligence artificielle & Big Data 2018" fait le point sur la maturité dComment les entreprises récoltent-elles la donnée. Et surtout qu'en font-elles ensuite ? Comment l'intelligence artificielle intervient-elle dans cette exploitation des données ? Réalisée auprès de 240 décideurs, la première étude PwC/L'Usine Digitale "Intelligence artificielle & Big Data 2018" fait le point sur la maturité des entreprises en matière d'utilisation de la data. es entreprises en matière d'utilisation de la data. Les entreprises sont dans l'ensemble plus promptes à collecter les données qu'à les exploiter. Une fois les données collectées, qu'en est-il de l'utilisation de l'intelligence artificielle ? Dans 3 cas sur 5, son recours est envisagé ou réel (en cours de pilote pour 14% et en cours de réflexion pour 28% des répondants). Côté organisation, les répondants impliquent davantage leurs ressources internes pour mener des projets liés à l'IA (95% le faisant toujours, souvent ou rarement). 85% font appel à la sous-traitance et/ou co-traitance et 73% à des partenariats de start-up. >> Lire l'article complet sur le site Usine digitale
Fleet / mobilité
Pneus hiver : ils seront obligatoires le 1er novembre 2019
Pour la saison hivernale 2019/2020, les véhicules légers circulant en région montagneuse devront être équipés en pneumatiques hiver. La période s'étendra du 1er novembre au 31 mars. Après l'Allemagne, l'Autriche, la Finlande ou encore l'Estonie, c'est au tour de la France de passer à l'action et de rendre obligatoire les pneumatiques hiver, plus communément appelés pneus neige. Un décret en Conseil d'Etat doit en fixer les modalités d'application. Ainsi, le ministère de l'Intérieur a entamé les consultations avec les différentes parties prenantes (préfets des zones montagneuses, ministère des Transports, manufacturiers de pneus...). >> Lire l'article complet sur le site L'argus
Car policy : les projets pour 2019
Alors que les entreprises planchent sur les budgets pour 2019, les gestionnaires de flotte se penchent sur la car policy. Leurs objectifs sont connus : il va s'agir de réduire les coûts et de verdir les véhicules, en tenant compte de la fiscalité et du cycle WLTP. Ce qui suppose de faire évoluer les motorisations du parc mais aussi les modes de conduite. Pour les gestionnaires de flotte en 2019, les enjeux majeurs resteront liés à l'évolution de la fiscalité, de moins en moins favorable au diesel compte tenu d'un alignement de l'essence sur le gazole d'ici 2022 ; mais aussi et surtout à l'arrivée de la norme WLTP, plus stricte et plus proche de la réalité que le cycle NEDC pour le calcul des émissions de CO2. Un cycle WLTP qui bouleverse les car policies et incite les gestionnaires de flotte à rechercher des véhicules émettant encore moins de CO2, alors que les véhicules essence, moins optimisés, sont en général plus émetteurs que les modèles diesel... Un véritable casse-tête ! >> Lire l'article complet sur le site Flotte Auto
PSA prépare des utilitaires électriques pour la livraison en centre-ville
PSA a décidé de proposer des versions électriques pour l'ensemble de sa gamme de véhicules utilitaires d'ici à 2025, pour continuer à équiper les logisticiens en engins " dernier kilomètre ". Tout commencera vers la mi-2020, avec des Citroën Jumpy et des Peugeot Expert 100 % électriques. Pour le moment, c'est le rival Renault qui en profite, avec son Kangoo ZE. Presque dépourvu en la matière, avec une offre ancienne et limitée à un Berlingot électrique, PSA n'écoule que 4.000 unités par an en ce moment. Pour faire (bien) mieux, PSA entend proposer un loyer mensuel identique entre les versions électriques et thermiques, afin de rendre le choix attractif pour des clients professionnels déjà intéressés par les coûts d'entretien restreints de la technologie. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos
L'Ademe explique pourquoi malgré la baisse du diesel, le secteur auto pollue plus
La livraison annuelle de l'étude de l'Ademe sur les évolutions du marché de l'automobile en France confirme la baisse des ventes de voitures diesel, l'essor des véhicules électriques... mais en même temps, une augmentation des émissions de gaz à effet de serre (le taux moyen d'émission de GES par véhicule a augmenté de 1g). Un paradoxe qui s'explique par l'augmentation du nombre de véhicules vendus, en particulier des SUV (sport utility vehicle, de dimensions plus généreuses qu'un break) et 4x4, plus lourds et donc plus consommateurs... et donc, émetteurs de carbone. >> Lire l'article complet sur le site Science et avenir
WLTP : la direction de l'énergie et du climat planche sur un barème corrigé du malus
Alors que le projet de loi de finances 2019 est en cours d'examen, le gouvernement serait en train d'élaborer une neutralité fiscale liée aux normes d'homologation WLTP, mais qui ne serait pas prête avant janvier 2019. La DGEC serait aux manettes de ce dispositif. S'il est désormais acquis que la nouvelle grille du malus va débuter dès 117 g de CO2 émis par km, rien n'indique dans les textes un dispositif permettant d'assurer la neutralité fiscale évoquée dès le printemps lors des premiers tests d'homologation WLTP, mais dont les résultats sont communiqués sous le format NEDC corrélé. Et pour cause, ce serait la direction générale de l'énergie et du climat, en lien avec Bercy, qui se chargerait d'établir ce coefficient de neutralité. "La DGEC travaillerait à l'élaboration d'un barème d'imposition par tranche de CO2 (et non gramme par gramme comme la base de calcul de la grille de malus, NDLR)", indique un spécialiste du secteur. >> Lire l'article complet sur le site JournalAuto
PLFSS 2019 : les députés s'attaquent aux avantages en nature des électriques
Afin d'encourager les entreprises, et plus spécifiquement les salariés, à rouler en voiture électrique, les députés ont déposé plusieurs amendements dans le cadre de l'examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2019. Ils proposent de jouer sur les avantages en nature. Deux amendements ont été déposés en ce sens après l'article 9 du PLFSS. Un seul a été adopté par la commission des affaires sociales. Il s'agit de l'amendement n°AS539 qui propose de soustraire l'usage privé d'un véhicule de société émettant moins de 60 g/km de CO2 à l'assiette des cotisation sociales. Les véhicules hybrides rechargeables seraient donc inclus dans le dispositif. >> Lire l'article complet sur le site JournalAuto
RH / Carrière / management
Se tenir droit : Un challenge qui augmentera votre Leadership d'acheteur
Dans notre fonction, notre cerveau est conditionné pour lire le langage corporel (sujet que j'aborde dans ma thèse professionnelle). Avant de regarder les micro-expressions du visage et les gestes qui nous trahissent, nous regardons la posture globale. La posture est l'élément que nous regardons naturellement en premier. La posture générale peut en dire beaucoup sur vous : si vous êtes sportif, si vous avez confiance en vous, si vous êtes angoissé, stressé, timide et j'en passe. D'ailleurs, comment reconnait-on un manager dans une salle ? A ses vêtements ? Les juniors sont bien souvent mieux habillés. Non, on peut les reconnaitre à leur posture droite. Cette posture dégage de la confiance et du Leadership. La raison est simple, vous mettez en avant vos épaules et vos pectoraux, ce qui, dans le monde animal, est signe de force. Et dans notre intelligence collective, ce symbole est toujours présent. >> Lire l'article complet de Quentin Mirablon sur LinkedIn
Les déménagements d'entreprises, source de stress
Bien qu'il ne soit souvent que de quelques kilomètres - moins de 50 dans la majorité des cas - les déménagements d'entreprises ne sont jamais sans conséquence pour les salariés. " Environ 130 000 sociétés déménagent chaque année en France et c'est à chaque fois une source d'inquiétude ", analyse Ludovic Ponge, consultant pour le cabinet d'expertise Secafi. D'abord pour des questions de trajets évidemment : les distances entre domicile et travail sont modifiées, ce qui oblige souvent les employés à modifier leurs habitudes familiales. Pour apaiser ces craintes, la meilleure solution reste de prévenir les salariés le plus tôt possible. Les directions d'entreprises nomment souvent un chef de projet en charge d'organiser le déménagement, ainsi qu'un comité de pilotage pour le seconder. >> Lire l'article complet sur le site La Croix
Oubliez les points faibles et les points forts de vos collaborateurs, misez sur leur "point enviable"
Il est d'usage de travailler sur ses faiblesses. Or, ce sont surtout ses points forts qu'il faut développer, notamment ceux qui nous motivent le plus. Au-delà de cette dichotomie points forts/points faibles, les managers peuvent agir sur deux autres points, moins connus que les précédents, mais sources de beaucoup plus de motivation : Le point incontournable : c'est le point à développer, qui met en danger votre employabilité à moyen ou à long terme. Prenons l'exemple d'un architecte qui n'utiliserait pas les outils de visualisation en 3D, ou celui de l'assistante de direction d'un grand groupe du CAC 40 qui ne parlerait pas anglais. Le point incontournable est une compétence cruciale pour son avenir. Le point enviable : c'est le point qu'on admire chez l'autre. C'est celui qui attire positivement à l'identique d'un nudge en marketing. >> Lire l'article complet sur le site Harvard Business Review