Revue de presse achats - semaine du 29 avril au 3 mai
Publié par Aude Guesnon le | Mis à jour le
Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le web cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des aricles qui devraient vous intéresser car ayant trait aux achats. Relation fournisseurs, RSE, supply, commande publique, IT, fleet, mais aussi RH, tout y est. Bonne lecture!
Une petite révolution dans le commerce mondial des métaux
C'est un changement historique qui s'est produit à Londres cette semaine. Le vénérable London Metal Exchange, la plus grande Bourse de métaux du monde, va désormais s'assurer que les métaux échangés proviennent de sources responsables. Une victoire pour les ONG qui se battent pour la transparence des industries. >> Voir le reportage sur le site de RFI
Nutella accusé d'exploiter des réfugiés syriens pour récolter des noisettes
Une polémique de plus pour Nutella. Déjà pointée du doigt pour son implication dans la déforestation liée à la surconsommation d'huile de palme, la célèbre pâte à tartiner italienne (1,7 milliard d'euros de chiffre d'affaires) est aujourd'hui sur le banc des accusés après la publication d'une enquête du New York Times, qui dénonce les conditions de travail sur les exploitations de noisettes en Turquie. Le groupe Ferrero, propriétaire de Nutella et troisième producteur de chocolat au monde, achète un tiers des noisettes produites par la Turquie, premier exportateur de ce fruit à coque. Le pays concentre 70 % de la production mondiale de noisettes. Ses 600 000 exploitations bénéficient non seulement d'un climat favorable, mais également d'une règlementation plutôt laxiste : le Code du travail turc ne s'applique pas aux entreprises agricoles de moins de 50 employés, explique le quotidien américain. >> Lire l'article complet sur le Point
"Nous avons tous intérêt à disposer d'une chaîne d'approvisionnement locale"
Si rien n'oblige les donneurs d'ordre à se fournir localement, "nous avons globalement tous intérêt à disposer d'une chaîne d'approvisionnement locale pour gagner en réactivité", souligne Luc Nicaudie, le directeur des achats de Sabena Technics et président du Conseil national des achats (CNA) de Nouvelle-Aquitaine. "Nous n'avons pas d'objectifs chiffrés en matière d'approvisionnement local mais le salon permettra de mesurer là où on peut progresser, sachant que le local n'est pas un objectif en soi. Nous regardons d'abord la qualité et la compétitivité du fournisseur", précise Arnaud Cosnefroy. (...) "On recherche toujours de nouveaux prestataires et fournisseurs et on a intérêt à travailler avec des entreprises plus proches, avec lesquelles mener des codéveloppements. Mais encore faut-il les connaître", remarque Nicolas Château, responsable de la chaîne d'approvisionnement chez Sunna Design et vice-président de CNA dans la région. "Dans notre secteur lié à l'innovation, des fournisseurs locaux capables de tenir des délais très serrés peuvent être un avantage concurrentiel pour arriver sur le marché au bon moment", poursuit Nicolas Château. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Stratégies pour naviguer dans le paysage technologique des achats
Pour réussir partout dans le monde, il est impératif d'adopter une vision globale et d'adopter le bon projet. Même si les budgets actuels et l'orientation générale se concentrent sur un domaine du processus de grande source à régler, les acteurs les plus performants comprennent qu'il est souhaitable d'automatiser l'intégralité du processus. La voie la plus directe et la plus efficace vers l'excellence en matière d'approvisionnement commence par un plan qui examine le processus dans son ensemble, qui intègre les exigences de toutes les parties prenantes et leur attribue des priorités. Et après? Une fois que les responsables et les équipes responsables des achats ont clairement défini la portée du projet d'approvisionnement / de transformation numérique, ils doivent comprendre les options de déploiement, ce qui revient essentiellement à: Cloud ou sur site? >> Lire l'article complet sur le site de CPO Rising
Sécurité industrielle, comment s'approcher du risque zéro ?
Tribune de Philippe Billet, directeur général France et Europe du Sud et vice-président d'Ascom, plateforme de gestion des flux d'informations et des terminaux mobiles pour assurer la sécurité des travailleurs isolés - "Si la réactivité a toujours été un enjeu, elle est aujourd'hui aidée par des technologies de plus en plus développées, comme l'apparition des objets connectés. Les montres connectées, par exemple, n'en sont qu'à leurs débuts. Dans leur forme actuelle, elles ne pourraient pas servir dans l'industrie, car trop fragiles, et leur prix rend une mise en place à grande échelle impossible. Cette nouvelle technologie s'affinera donc d'abord pour le grand public puis se déclinera pour l'industrie. D'ici cinq ans, nous assisterons à un bond technologique pour nous approcher encore plus du "risque zéro". >> Lire l'intégralité de cette tribune sur le site de La Tribune
Le regard des acteurs de la vente sur les achats
La standardisation des achats est une réalité. Notamment dans le secteur de la construction où les acheteurs utilisent de plus en plus les plateformes numériques. Une réalité qui ne fait pas les affaires des responsables grands comptes et autres adeptes de la vente complexe. De fait, dans ce secteur en particulier, les grands projets d'infrastructure passent par les plateformes d'e-procurement. Dans l'Union Européenne, il s'agit de tous les projets d'un montant supérieur à cinq millions d'euros. "Chez EDF, 100% des achats se font par l'intermédiaire d'une plateforme commune à tout le groupe", révèle Nicolas Swetchine, responsable des comptes clés sur les projets d'infrastructure à l'international de Lafarge Holcim et chercheur au laboratoire Larpega de l'université d'Assas. Pour les acheteurs, les avantages sont réels : plus de transparence, plus de traçabilité, plus de collégialité, plus de rapidité, plus de facilité à comparer les différentes offres et plus de formalisme lors des appels d'offre, puisque toutes les entreprises doivent respecter la même nomenclature. >> Lire l'article complet sur le site de ActionCo
La fonction achat dans l'entreprise (expliquée aux PME)
Sur un plan financier, réduire la facture globale des achats contribue nécessairement à l'amélioration du résultat global de l' entreprise et donc à l'amélioration de sa marge. Mais, cet objectif n'est pas le seul : le professionnel en charge des achats, doit au-delà, du prix des biens qu'il acquiert, s'assurer de leur adéquation parfaite aux besoins de l'entreprise et de ses services internes (ses clients), de leur qualité compte tenu de l'usage qui en sera fait. La bonne gestion des stocks fait également partie de ses principales missions (approvisionnements et ruptures). L'acheteur est l'intermédiaire entre les services internes et les fournisseurs de l'entreprise. Il recherche, évalue et sélectionne les meilleurs fournisseurs: L'acheteur devra, pour ce faire, établir un cahier des charges, établissant de manière précise les attentes, besoins et exigences de l'entreprise. Les critères posés peuvent être différents en fonction de la nature de l'achat. >> Lire l'article complet sur le site de NetPME
Commande publique
La France entre dans le top 5 des pays aux plus grosses dépenses militaires
Cinquième du classement avec 63,8 milliards de dollars investis, la France pèse pour 3,5% dans les dépenses militaires mondiales. Après quatre années de hausse consécutive, les dépenses françaises ont diminué de 1,4% en 2018. L'Hexagone est tout de même passé de la sixième à la cinquième place, profitant de la chute de la Russie de la quatrième à la sixième place. Touchée par les sanctions économiques, la Russie voit en effet ses dépenses diminuer depuis 2016. "Les augmentations en 2014-2017 étaient alimentées par des coûts associés à des opérations militaires extérieures et à une vaste opération militaire domestique pour protéger des lieux publics majeurs après les attaques terroristes de Paris en 2015", explique dans son rapport le SIPRI. >> Lire l'article complet sur le site de l'Usine Nouvelle
En Suisse, la police s'équipe de Tesla Model X pour réduire les coûts
L'année dernière, l'appel d'offres lancé par la police de Bâle, en Suisse, avait par exemple été remporté par la firme californienne : un an plus tard, les sept Model X 100D commandées par l'administration helvète pointent enfin le bout de leur nez. (...) Ce choix a notamment été motivé par les économies réalisées en matière de coûts d'essence et d'entretien, sur le long terme. Les commissariats de Bâle espèrent ainsi réduire drastiquement leurs dépenses au bout de plusieurs années d'utilisation, bien que l'appel d'offres a été matérialisé par un contrat de 980 000 francs suisses, soit 862 000 euros, selon Breezcar. D'ici la fin de l'année, quatre autres Model X s'inviteront à la fête. Le fait est que leur puissance (de 0 à 96 km/h en à peine cinq secondes) reste un moyen pratique pour intervenir le plus rapidement possible, et devrait largement faire l'affaire lors d'une potentielle course poursuite. >> Lire l'article complet sur le site de Clubic
RSE
Les ministères français passent à l'électricité verte
Dans le cadre d'un appel d'offres lancé par la Direction des achats de l'État, la plupart des ministères (Économie, Intérieur, Éducation nationale...) ainsi que plus de 100 établissements publics ont opté pour la fourniture d'électricité verte. Ces deux lots viennent d'être attribués à l'opérateur alternatif ekWateur: 27.000 compteurs en tout pour un contrat de quatre ans qui démarre en 2020. De quoi permettre à l'entreprise d'atteindre le cap symbolique des 100.000 compteurs. Depuis janvier, et sans ce dernier contrat, le portefeuille de clients d'ekWateur a déjà bondi de 40 %. La société intègre désormais le top 5 de l'électricité verte en France, derrière EDF, Engie, Total Direct Énergie et ENI. En marge des garanties d'origine qui certifient qu'autant d'électricité renouvelable est injectée sur le réseau que ses clients en consomment, l'entreprise propose une offre Premium qui source directement l'énergie auprès de petits producteurs de renouvelable français. >> Lire l'article complet sur le site du Figaro
Etude EcoVadis-MDE : performance RSE des entreprises françaises
Au total, 20.804 entreprises - dont 2996 françaises - ont été évaluées entre 2016 et 2018, sur l'environnement, le social et l'éthique. Le baromètre révèle notamment que les entreprises françaises progressent fortement et arrivent en 3e position pour leur niveau de management de la RSE. A noter : un coup de projecteur sur les performances des entreprises du secteur des transports et de la logistique, est également proposé. Selon l'étude, elles ont développé le niveau "adapté" aux enjeux environnementaux et sociaux mais également sur l'éthique, thème au taux de progression le plus fort entre 2016 et 2018. Les entreprises françaises présentent de bien meilleures performances que la moyenne des BRICS (37,3/100) et sont largement au-dessus de la moyenne OCDE (46,5/100). Il est à noter que les performances moyennes s'améliorent dans toutes les zones depuis la dernière édition de l'étude. La France démontre néanmoins la plus forte progression (+6% contre 4% ailleurs dans l'OCDE et 1% pour les BRICS). >> Lire l'article complet sur le site de Economie.gouv.fr
La vague écolo sème la panique chez les pros de la cosmétique
Les distributeurs ont, en effet, vite compris qu'ils devaient répondre sans attendre à cette évolution profonde de leur marché et ils ont tous commencé à référencer des marques de niche plus écolos les unes que les autres. Monoprix affirme ainsi être " constamment à l'affut des nouvelles tendances pour débusquer les labels qui correspondent aux attentes des consommateurs ". " Nous mettons beaucoup en avant le bio, le naturel et le vegan qui représentent aujourd'hui près de 20% de notre offre, confirme la filiale de Casino. Ces segments croissent de 30% à 40% par an. "Lorsque nous avons commercialisé les shampooings vegan de Maui, nous sommes tombés en rupture de stock après seulement trois semaines. Nous avons aussi introduit de nombreuses nouvelles marques, comme Boho Green, Revolution et Colorisi que nous tentons toujours de distribuer en exclusivité pour le marché français " . Les grands magasins ont suivi cette tendance. Au Bon Marché, les produits naturels représentent environ 30% de l'offre totale des soins du visage et ce chiffre croît d'année en année. Le Printemps situé sur le Boulevard Haussmann a, quant à lui, rassemblé l'ensemble de ces produits naturels dans un nouvel univers baptisé "Le Green Market". >> Lire l'article complet sur le site de Influencia
L'ObsAR sensibilise au coût de fin de vie
Acheter en pensant à la fin de vie du produit, c'est ce que souhaite impulser l'association ObsAR au sein des services achat des entreprises et des administrations. Pour y parvenir, un groupe de travail sur la gestion des déchets vient d'être lancé en partenariat avec le réseau Praxy. Plusieurs réunions sont prévues jusqu'à la fin de l'année pour informer sur la réglementation, le coût global du cycle de vie et les modes de valorisation existants. L'ObsAR devrait livrer un outil de méthodologie au plus tard début 2020. >> Voir l'article sur le site de L'echo circulaire
Un jean en toile 100% recyclée, créé par deux Normands et fabriqué dans l'Orne
Savez-vous combien de litres d'eau il faut pour produire un jean? 10.000 litres. La confection de ce jean 100% recyclé, créé par deux Normands, utilise seulement 22 litres. Il est en vente depuis le début du mois d'avril 2019. Deux Normands sont à l'origine de ce "jean écolo". Arthur Cochin et Olivier Lebas, tout deux originaires de Pont-Audemer (Eure). Ils ont lancé en 2015 la marque de vêtement pour hommes AVN - Atelier de la Venise Normande - en référence à leur ville d'origine. Immédiatement, ils adoptent un positionnement écologique, en privilégiant des matières et des moyens de production respectueux de l'environnement. Pour leur jean 100% recyclé, voilà la recette : 50% provient de chutes de production d'autres jeans, et 50% d'une fibre obtenue à partir d'un mélange de coton recyclé et de fibre de bois.>> Lire l'article complet sur le site de France Bleu
Développement durable : 6 marques françaises de déco qui changent la donne
Le développement durable : il y a ceux qui pensent que c'est bidon, ceux qui font du greenwashing, et ceux qui y croient à fond. Au point que certaines boîtes ont carrément bâti leur business dessus. Aux Sustainable Brands Paris, celles-ci ont pu présenter leur savoir-faire. Focus sur 6 entreprises engagées, spécialisées dans la décoration et l'ameublement: AKagreen : reconnecter la nature aux urbains - Pimp your Waste : des meubles 100% recyclés - La Collecterie : collecter, trier et transformer - La Camif : inventer la maison de demain - Emmaüs Alternatives x Les Résilientes : le redesign en série - KATABA : le premier circuit court du meuble. >> Découvrir ces entreprises sur le site de l'ADN
Supply chain
Le CNR dévoile les pratiques numériques des transporteurs
Autour de onze applications analysées, l'étude du CNR* relève une forte atomisation parmi les éditeurs et solutions choisis. Quelques noms se détachent néanmoins comme Transics pour la géolocalisation des véhicules, le suivi du kilométrage et des parcours à vide. S'ajoutent Trimble pour le suivi de la consommation des véhicules et des temps de service, Item pour le calcul des émissions de CO2 et la gestion des plannings conducteurs ou Xyric pour la traçabilité des marchandises. Pour le calcul des itinéraires, les solutions gratuites disponibles sur internet sont le plus souvent utilisées, PTV apparaissant ensuite pour les applications payantes. Quant au calcul des prix de revient, il est généralement réalisé via des logiciels bureautiques ou des développements "maison". L'éditeur Acalc s'y distingue aussi avec une part de marché de 23 %. Une autre dimension de la numérisation des transporteurs routiers étudiée par le CNR est consacrée aux échanges des données informatiques automatisés (EDI) avec leurs partenaires clients et fournisseurs. Démontrant une marge de progrès, ils sont pratiqués par 33 % des entreprises interrogées. "La taille des transporteurs discrimine clairement ces résultats puisque le taux d'EDI s'élève à 6 % chez ceux de moins de 20 salariés contre 61 % au sein des entreprises de 100 salariés et plus". >> Lire l'article complet sur le site de l'antenne
Auvergne-Rhône-Alpes : avec STEF, la logistique verte est au programme
Dès 2013, STEF a mis en circulation dans la Région un parc de porteurs cryogéniques, manière d'anticiper les restrictions urbaines à venir. Ces véhicules sont dotés d'une solution cryogénique de production de froid embarqué Air Liquide Blueeze. Ils sont "silencieux et sans émissions polluantes", et destinés aux livraisons de jour comme de nuit. La totalité de la flotte STEF (34 porteurs et semis) de livraison urbaine sur le bassin lyonnais est équipée de cette solution, selon la direction du groupe, qui rappelle qu'elle dispose également d'une flotte de 36 porteurs et semis cryogéniques à Chambéry. Au-delà des enjeux en matière d'émissions polluantes et de nuisance sonore, le groupe assure "veiller à l'intégration des camions en ville". Il a ainsi mis en circulation, depuis septembre 2018, un porteur Econic de Mercedes, véhicule lui aussi cryogénique, présenté comme "une première mondiale" dans le transport des produits alimentaires. Ce porteur est notamment équipé d'une cabine surbaissée à vision panoramique et d'une porte arrière électrique. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique
Travel
Visa et Mastercard devront réduire les coûts de paiement par carte en Europe
La Commission européenne serre la vis. Les américains Visa et Mastercard sont obligés de réduire sensiblement les coûts de paiement en Europe par carte bancaire émis en dehors de la région, aux États-Unis ou Asie par exemple, a annoncé la Commission ce lundi. Les deux sociétés, dans le collimateur de l'exécutif européen depuis plusieurs années, en ont pris l'engagement et y sont donc désormais contraintes. Ces baisses de coûts de paiement "réduiront les coûts supportés par les détaillants qui acceptent des paiements effectués au moyen de cartes émises hors de l'espace économique européen", soit l'Union européenne, l'Islande, la Norvège et le Liechtenstein, précise-t-elle dans un communiqué.>> Lire l'article complet sur le site de l'Express
Fleet / Mobilité
Automobile : la facture astronomique de la conversion électrique
Selon un scénario médian, les émissions de CO2 seront "divisées par cinq entre aujourd'hui et 2040", mais "les coûts associés à cette transition sont très élevés, de l'ordre de plusieurs centaines de milliards d'euros cumulés sur une période de vingt ans" pour les collectivités publiques et les entreprises, note ce rapport de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst). Le plus gros impact financier serait "la disparition progressive" des taxes sur les produits pétroliers, liée à l'essor des véhicules électriques ou hybrides. Sur la seule année 2019, ces taxes doivent rapporter 37,7 milliards d'euros. Ces recettes alimentent à la fois les budgets de l'État et des collectivités territoriales. Parallèlement, "les coûts liés à la mise en place de l'infrastructure nécessaire" pour la recharge des véhicules sont évalués entre 30,7 et 108 milliards d'euros, selon les scénarios étudiés par deux organismes de recherches, le CEA et l'IFP EN, sollicités par les parlementaires. L'un de ces scénarios prévoit l'émergence de voitures à hydrogène en plus des voitures électriques à batterie. >> Lire l'article complet sur le site du Point
Bornes de recharge : les constructeurs demandent à l'Europe d'accélérer le mouvement
A la lumière de cet impact du WLTP, dans les flottes, on remet à plat les choix de véhicules ainsi que les procédures d'attribution. "Des hausses d'émissions de CO2 de plusieurs dizaines de pourcents sont attendues dans les prochains mois sur les véhicules neufs mis en circulation sous le protocole WLTP", explique Ferréol Mayoly, Directeur général d'Arval France. "Les règles d'acceptation des véhicules de fonction dans la flotte d'une entreprise sont en effet liées aux niveaux d'émissions de CO2 des modèles. Sauf à revoir ces critères de sélection des voitures, le nombre de véhicules proposés va être réduit et le choix plus restreint pour les collaborateurs des entreprises. Certains de nos clients transforment cette difficulté en opportunité. Ils s'interrogent désormais sur la nécessité de détenir autant de véhicules de fonction dans leurs flottes et sur la possibilité de passer au crédit mobilité ou de recourir à l'autopartage". >> Lire l'article complet sur le site de l'Opinion
Les prix des carburants repartent à la hausse
Après avoir un peu hésité, les prix des carburants routiers vendus dans les stations-service françaises sont repartis à la hausse la semaine dernière, selon des chiffres officiels publiés ce lundi. Ainsi, le gazole, carburant le plus vendu avec près de 80 % des volumes, s'affichait à 1,4818 euro le litre. Ce qui représente une hausse de 1,47 centime, selon les données hebdomadaires publiées par le ministère de la Transition écologique et solidaire. >> Lire l'article complet sur le site de l'Express