Revue de presse achats - semaine du 11 novembre
Publié par la rédaction le - mis à jour à
Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et qui devraient vous intéresser car ayant trait aux achats ou au management. Bonne lecture!
Négociations : 2 ressorts psychologiques pour convaincre
Grand psychologue social spécialiste de la persuasion, Robert Cialdini voit la réciprocité comme l'une des meilleures armes de l'influence. Selon lui, les autres sont plus ouverts à votre influence s'ils vous sont redevables de quelque chose que vous avez fait pour eux par le passé. Quoi qu'il en soit, il est important de s'assurer qu'ils ont remarqué votre bonté. "Ne dites pas "Ce n'est pas grand-chose", explique Cialdini. Marquez votre action par un : "Ce n'est pas un problème, c'est ce que font les partenaires l'un pour l'autre." C'est ce qu'il appelle "le travail préparatoire". Lorsque vous aurez besoin de soutien par la suite, la personne se souviendra de votre acte comme de celui du "partenaire" que vous recherchez maintenant. L'engagement est une autre arme importante, dissimulée sous le doux enrobage de la persuasion. Si vous arrivez à convaincre une personne d'adhérer à une idée ou à une action, elle en sera vraisemblablement honorée. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Nike arrête la vente directe de ses produits sur Amazon
La marque à la virgule a toutefois précisé qu'elle continuerait d'utiliser Amazon pour le stockage de données en ligne et divers services sur internet "afin de renforcer un ensemble de services sur Nike.com et au sein de l'écosystème des applications Nike." (...) Après des années de refus, Nike avait consenti en juin 2017 à proposer directement ses produits sur Amazon.com pour faire face à la baisse de ses ventes et à la concurrence d'Adidas et Under Armour. Le partenariat prévoyait que le géant du commerce en ligne bannisse les contrefaçons des produits Nike sur sa plateforme et n'accepte plus les ventes des articles du groupe par des intermédiaires. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges
Bio : la grande distribution se défend de gonfler ses marges
Sur la base d'une enquête menée dans plus de 1.500 magasins qui a porté sur 24 fruits et légumes pesant pour 86 % de la consommation des ménages, l'UFC-Que Choisir a calculé que les marges brutes réalisées sur ces produits frais étaient en moyenne 75 % plus élevées que pour les mêmes produits non-bio. Aussitôt, les distributeurs ont crié à la désinformation. La FCD, leur syndicat professionnel, a fustigé la confusion entre les marges brutes et les marges nettes. Les marges brutes couvrent les coûts de distribution : le loyer, le chauffage, le salaire des employés, la logistique, les pertes, etc. "Les marges de la grande distribution sont identiques en pourcentage, voire plus faibles, sur les produits bio que sur le non bio", a rappelé l'organisation qui représente les Carrefour, Casino, Auchan et autres. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
François Mery, nouveau patron des achats chez Airbus
Jusqu'à présent François Faury était directeur général d'Airbus China depuis février 2016. Il a occupé de très nombreux postes à des fonctions d'achat depuis son entrée chez Airbus en 1989 jusqu'à atteindre le poste de senior vice président Achat pour les aérostructures avant de prendre la direction d'Airbus China. >> Lire l'article complet sur le site de La Depêche
Matières premières
Menace sur le nickel calédonien, l'armada indonésienne reprend la mer
L'Indonésie a autorisé, lundi, neuf sociétés minières à reprendre leurs exportations de minerai de nickel et deux autres pourraient l'obtenir, selon l'agence Bloomberg. De son côté, Eric Onstad correspondant de l'agence Reuters a précisé : "Au moins vingt navires remplis de minerai de nickel qui étaient retenus dans les ports indonésiens en raison de l'arrêt des exportations ont repris la mer." Cette reprise des livraisons et de l'offre a eu un effet immédiat ; le cours du nickel au SHFE (Shanghai) a atteint son plus bas niveau depuis le 23 octobre. La tendance positive à long terme du nickel valorisée à 35,5 % a également chuté lundi à Londres. Elle est passée de ce sommet atteint le 5 septembre à un creux significatif (6,4%). L'optimisme a baissé brutalement. >> Lire l'article complet sur le site de FranceInfo
La surabondance mondiale de lithium fait plonger les prix
Le premier producteur mondial du produit qu'on range aujourd'hui dans les "métaux des batteries" pour être utilisé en quantité dans les voitures électriques, a indiqué que le secteur avait deux à trois fois plus d'approvisionnement que nécessaire. Malgré son effervescence, l'industrie des véhicules électriques n'a pas besoin d'autant de lithium. Conséquence, les prix ont chuté de près d'un tiers en un an, dit Albemarle. En Asie, la baisse des prix du carbonate de lithium atteint 65 % en moins de deux ans. Ils ont touché en octobre un plus bas depuis quatre ans. >>Lire l'article complet sur le site des Echos
L'huile de palme encouragée par le gouvernement indonésien malgré les violences
L'huile de palme est un enjeu économique tel en Indonésie qu'il provoque des violations des droits de l'homme répétées dans l'archipel depuis quelques mois. De son côté, le gouvernement indonésien fait tout pour que les prix internationaux de cette huile remontent. L'Indonésie produit plus de la moitié de l'huile de palme mondiale et 70 % de son huile est exportée. Face à la désaffection en Europe - qui a décidé d'abandonner progressivement cette huile dans ses biocarburants, à partir de 2023, les autorités de Djakarta ont imposé dans l'archipel l'utilisation de 30 % d'huile de palme dans le diesel indonésien dès janvier prochain. L'entrée en vigueur imminente de cette mesure coïncide avec un mauvais démarrage de la saison dans les plantations d'Asie. Moins d'engrais à cause des prix bas prolongés, mais surtout la sécheresse due au retour du phénomène climatique El Niño, vont causer une chute de la production en Malaisie, le numéro 2. >> Lire l'article complet sur le site de RFI
RSE
Origine : Intermarché invente le Franco-Score
Après le Nutri-Score, le Franco-Score. Intermarché a annoncé ce 12 novembre lancer ce nouvel étiquetage. Il renseignera ses clients sur la teneur de ses MDD en ingrédients d'origine France. Sur les emballages, il se matérialisera par une jauge graduée et un pourcentage (avec aussi une carte de France localisant le lieu de production). D'ici le premier semestre 2020, Intermarché s'engage à étiqueter en priorité ses produits à marques propres Pâturages (produits laitiers) et Monique Ranou (charcuterie). L'initiative a du sens pour les consommateurs alors que la transparence sur l'origine des produits transformés est loin d'être généralisée. Parmi tous les produits fabriqués dans l'Hexagone, arborant souvent un petit drapeau français, nombreux sont ceux dont la matière première vient en fait d'ailleurs. La provenance est indiquée en petit dans la liste des ingrédients : viande bovine ou volaille origine UE par exemple. (...) Le distributeur appelle fabricants et enseignes concurrentes à rallier sa démarche. "Par notre initiative, nous lançons un mouvement dont nous souhaitons qu'il devienne collégial et collectif, pour généraliser ce référentiel proposé en "open source", explique Thierry Cotillard. >> Lire l'article complet sur le site Linéaires
Quand la RSE s'impose au comex
En France, 100% des groupes du CAC 40 ont déjà un pilote de la RSE. Mais la fonction - peu soutenue par la direction générale, mal comprise en interne, limitée à du reporting ou à du "greenwashing" - a longtemps peiné à trouver sa place. (...) Vu les enjeux du moment, ce manque d'ambition n'est plus tenable. De plus en plus d'acteurs l'ont compris et ont décidé "d'upgrader" la fonction. L'été dernier, le groupe L'Oréal a intégré le poste à son comité exécutif, tout comme Lafarge-Holcim, depuis le 1er octobre. Ils rejoignent ainsi BNP Paribas, Capgemini, Essilor, Kering, Michelin, Natixis, Sodexo ou Société Générale, qui ont déjà intégré la fonction à leur comité de direction. Sans compter Danone dont le p-dg, Emmanuel Faber, fait du sujet une affaire personnelle. Comme tout projet de transformation complexe, le sponsor personnel du dirigeant est indispensable, car sans lui, il ne saurait y avoir de RSE ambitieuse. Les nouveaux "sustainibility champions" doivent pouvoir engager l'entreprise toute entière sur un modèle économique plus responsable. D'abord en interne, en challengeant les directions métiers pour développer des offres commerciales 100% durables, transformer les politiques d'achats et de process industriels, intégrer des objectifs durables aux rémunérations des managers, et embarquer les salariés dans cette vision. Mais aussi en externe, en entraînant tout l'écosystème (pouvoirs publics, ONG, société civile, clients, partenaires, fonds d'impact et autres parties prenantes).>> Lire l'article complet sur le site des Echos
Le cas Lanjaron : une bouteille innovante, durable et recyclable
En 2019, Lanjaron lance une bouteille 100 % recyclée et 100 % recyclable sur le marché. Un projet pilote en Espagne. (...) La contribution technique - conforme avec la promesse - repose sur un design réalisé avec une seule encre. Seul le bleu du logo a été ajouté sur un matériau transparent. Le design est pensé comme central dans la mission de développement durable. Sa réalisation a été possible avec l'utilisation d'un maximum de ressources végétales dans le choix des matériaux et des encres. En effet, l'engagement de Lanjaron envers la nature devait se traduire par son expression. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN
Supply Chain
Robots, de l'entrepôt à la route
Avec les progrès de l'IA, les cobots évoluent régulièrement avant de devenir un jour totalement autonomes. Leur déploiement croissant s'explique par leur performance face à la pénurie de main-d'oeuvre dans la logistique et la recherche de réduction des coûts. Selon le cabinet de conseil Roland Berger, les coûts de manutention seraient diminués entre 20 et 40%, et jusqu'à 50% pour les opérations d'entreposage et de préparation de commandes grâce aux robots. Les cobots vont également alléger la charge de travail des opérateurs et devraient ainsi réduire les troubles musculo-squelettiques dont le coût moyen par salarié est évalué à 21 500 € par l'INRS. Selon GS1, il est possible d'équiper un poste de travail avec un cobot pour un investissement allant de 30 000 ?à 40 000 €, avec une rentabilité à partir de 5 000?heures d'utilisation sur une durée de vie de 35 000 heures. >> Lire l'article complet sur le site de TransportInfo
La LOM est-elle trop pudique en matière de transport logistique ?
La directrice de l'engagement sociétale du groupe La Poste, Muriel Barneoud, a interpellé l'auditoire de l'Institut Esprit Service, un Think Tank multisectoriel qui organisait, ce 14 novembre 2019, un débat sur les perspectives offertes par le texte - en lecture au Sénat - de la Loi d'orientation des mobilités (LOM) et les impacts futurs sur les villes françaises. Pour la directrice venue s'exprimer au nom du groupe La Poste, "les réflexions se portent davantage sur le transport de personnes à titre individuel que sur celui des biens". Une hérésie, selon elle, alors que la logistique des marchandises génère 20 % du trafic et un quart des émissions de CO2 dans les centres villes. "C'est le farwest, des acteurs du transport entrent et font ce qu'ils veulent de l'espace public, pointe-t-elle. La LOM est extrêmement pudique pour ne pas dire aveugle". >> Lire l'article complet sur le site du Journal Auto
Commande publique
Utilisation obligatoire des moyens de communication électronique pour les marchés publics sous les seuils européens
A partir du 1er janvier 2020, les communications et les échanges d'informations entre le pouvoir adjudicateur et les opérateurs économiques (sociétés), y compris la transmission et la réception électronique des offres doivent, à tous les stades de la procédure de passation, être réalisés par des moyens de communication électronique. Des exceptions sont néanmoins prévues à l'article 14 de la loi du 17 juin 2016 relative aux marchés publics. Une exception est notamment prévue pour les marchés publics passés par procédure négociée sans publication préalable marché public passé selon la procédure négociée sans publication ou mise en concurrence préalable dont le montant estimé est inférieur au seuil fixé pour la publicité européenne. Cette obligation généralisée s'appliquait déjà, depuis le 18 octobre 2018, pour les marchés dont la valeur estimée du marché est égale ou supérieure aux seuils pour la publicité européenne. Concernant la réception et la transmission électronique des offres, les adjudicateurs devront obligatoirement recourir à une plateforme électronique.>> Lire l'article complet sur le site de PublicTendering
Marchés publics : le seuil de publicité relevé à 40.000 euros en 2020
La secrétaire d'État Agnès Pannier-Runacher a, en toute logique, rappelé que le Gouvernement était en passe de faire publier un décret relevant ce fameux seuil (publicité et dématérialisation des appels d'offres) à 40.000 euros, soit le niveau médian européen, pour une entrée en vigueur en 2020. "Par ailleurs, la dématérialisation découle d'une obligation européenne, et il a été montré qu'elle simplifiait la vie des administrations et des entreprises", a commenté Agnès Pannier-Runacher. Qui rappelle aussi que le coût administratif des marchés publics devrait être amputé de 5 à 20% grâce à cette évolution. "Si vous interrogez les entreprises sur le terrain, vous constaterez que les PME et les TPE se réjouissent de la dématérialisation, si toutefois elle ont accès à un bon réseau haut débit : c'est d'ailleurs là la principale difficulté", a-t-elle ajouté. >> Lire l'article complet sur le site de BatiActu
L'analyse des offres à l'épreuve du contrôle du juge administratif
Une société ne peut contester le fait qu'elle n'a pas bénéficié de la note maximale au regard du critère du prix, alors qu'une autre entreprise a présenté un prix moindre et s'est vu attribuer, à bon droit, la note maximale. En outre, sur d'autre critères, le juge relève que la présentation de son offre était insuffisamment précise. En particulier, si elle a présenté un calendrier d'exécution, celui-ci n'était pas détaillé suivant les modalités prévues par le règlement de la consultation qui prévoyait pour ce sous-critère que l'entreprise devait fournir une méthodologie de gestion du calendrier d'exécution comprenant un planning détaillé par tâches correspondant au planning avec engagement écrit de l'entreprise. >> Voir l'article sur le site de Weka
Que faire pour que la puissance publique inclue vraiment dans ses appels d'offres le développement des éco-matériaux ?
Le ministère de la Transition Ecologique et Solidaire s'est engagé depuis plusieurs années dans la promotion des matériaux de construction biosourcés. Stockant du carbone, souvent peu consommateurs d'énergie grise au stade de leur transformation, rapide à mettre en oeuvre, concourant à la création d'emplois dans des territoires ruraux, ces matériaux concourent à la transition écologique, notamment dans la lutte contre le réchauffement climatique. C'est pourquoi le Gouvernement a souhaité que les performances de ces matériaux soient reconnues successivement, dans la loi relative à la transition énergétique et à la croissance verte (2015) puis dans la loi portant évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (2018). Ces lois incitent ainsi à la prise en compte de la performance environnementale des produits, en particulier de leur caractère biosourcé, par les acheteurs publics. Elles précisent que, dans le domaine spécifique du bâtiment, cette performance environnementale prend en compte les exigences de lutte contre les émissions de gaz à effet de serre et de stockage du carbone, et veille au recours à des matériaux issus des ressources renouvelables. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des communes
Trophées de la commande publique 2019 : les six lauréats dévoilés
Catégorie achat public durable / "Fonction publique territoriale" : la région Occitanie, pour son plan de lutte contre les perturbateurs endocriniens, qui utilise fortement les leviers de la commande publique. "Fonction publique hospitalière" : le centre hospitalier universitaire de Toulouse, pour la mise en oeuvre de clauses d'insertion dans le chantier de réhabilitation du carré historique du site de La Grave. "Prix spécial du jury" : le GCS UniHA- Filière restauration, pour des marchés éco-responsables de poissons surgelés à destination d'une centaine d'hôpitaux.
Catégorie performance de l'achat / "Fonction publique territoriale" : la métropole de Lyon, pour la requalification de trois voiries du campus Lyon-Tech La Doua à Villeurbanne, faisant la part belle à l'innovation dans le but de réduire l'empreinte des infrastructures, et de préserver les ressources naturelles et la biodiversité. "Fonction publique d'Etat" : l'établissement public administratif CCI France, pour son marché visant à se doter d'une plateforme web permettant ensuite à chaque chambre de commerce de fabriquer des sites Internet et de disposer de prestations d'assistance, de maintenance ou encore d'hébergement. "Fonction publique hospitalière" : le CHU Amiens Picardie, pour l'acquisition d'un IRM per-opératoire à l'issue d'un dialogue compétitif.>> Lire l'article complet sur le site du Moniteur
Fleet / mobilité
L'homologation WLTP entrerait en vigueur au 1er mars 2020
D'après des sources concordantes, Matignon aurait tranché en faveur d'une entrée en vigueur de l'homologation WLTP au 1er mars prochain. L'information nous a été confirmée par le CNPA. (...) La mise en oeuvre du protocole d'homologation WLTP nécessite de pouvoir immatriculer les véhicules sur la base de leur certificat de conformité électronique (eCoC). Il donne lieu à une individualisation des rejets de CO2 par véhicule. Ce changement de pratique nécessite des modifications du système d'immatriculation des véhicules (SIV). La première année de décalage concernait la mise en place de ce nouveau logiciel, qui doit délivrer un taux de rejet de CO2 adapté à chaque véhicule en fonction des différentes options et finitions choisies par le client. >> Lire l'article complet sur le site de Auto Infos
Utilitaires légers : tout savoir sur les modèles et les tendances du moment
Selon le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA), qui s'appuie sur les données de l'organisme d'études statistiques AAA DATA, les ventes de véhicules utilitaires légers (VUL) neufs sur le marché français sont en hausse de 5,2 % par rapport à 2018, sur la période comprise entre janvier et octobre. Pour ce qui est des VUL strictement destinés aux professionnels, cela représente environ 295 000 immatriculations depuis le début 2019. Le Comité des Constructeurs Français d'Automobiles met en évidence que neuf des dix meilleures ventes de VUL en France (toutes clientèles confondues) sur cette même période sont des modèles tricolores. Si on analyse dans le détail le classement du CCFA, on observe que Renault truste les premières places, s'emparant même du podium avec dans l'ordre la Kangoo, le Master et le Trafic. Le groupe PSA talonne la firme au losange dans ce top 10, avec pas moins de cinq représentants alignés, dont le Peugeot Partner (4e), le Citroën Berlingo (6e) et le Peugeot Expert (7e). >> Lire l'article complet sur le site de Caradisiac
Environnement de travail
Équilibre vie perso/vie pro: Paris dans le top 10 d'un classement
Les villes qui se trouvent dans le haut du classement ont plusieurs points communs: les journées commencent tôt, le nombre d'heures travaillées par semaine y est parmi le plus faible, les congés maternité/paternité y sont parmi les plus longs. L'égalité entre les hommes et les femmes, le bien-être des personnes lgbt+, la bonne prise en charge de la santé mentale sont aussi des facteurs déterminants. Si Paris ne se sort pas trop mal de ce classement, en 2015, l'OCDE avait pointé du doigt que les Français avaient un bon équilibre vie professionnelle et vie personnelle. Des données confirmées par l'étude publiée par la TNS Sofres en 2014 selon laquelle 76% des salariés interrogés estiment facile de concilier leur vie professionnelle et leur vie privée. Mais dans le détail, 55% des parents français salariés estiment qu'il est difficile de s'occuper de leurs enfants comme ils le souhaiteraient et 49% ont des difficultés à passer suffisamment de temps avec leur conjoint. >> Lire l'article complet sur le site du HuffingtonPost
IT
HP lance l'impression 3D as-a-Service
HP a déclaré qu'il va lancer l'impression 3D comme un modèle de service et étendre son réseau de fabrication additive. Cette nouvelle, annoncée lors de la conférence sur la fabrication 3D Formnext, intervient après que HP ait défini des partenariats élargis avec Siemens et Volkswagen. Volkswagen a déclaré avoir terminé un cycle de production avec 10.000 pièces produites avec des imprimantes HP 3D. Le pari de HP est que les clients industriels adopteront le modèle "as a-service" pour la fabrication additive. L'entreprise a présenté un service d'abonnement (3DaaaS) qui comprend le réapprovisionnement automatique des fournitures, le suivi de la facturation et de l'utilisation et le support sur site. Le service de base pay-per-build est disponible pour les équipements d'impression HP Jet Fusion 5200, HP Jet Fusion 4200 et HP Jet Fusion 500 série 3D. >> Lire l'article complet sur le site de ZD Net
RH / Management... et autres!
Rémunération variable : une clé de la performance ?
Quel le bon poids d'une part variable ? "Cela dépend des secteurs d'activité. Mais nous estimons qu'elle doit au moins représenter un mois de salaire - soit 8 % de la rémunération annuelle - pour être motivante, avec un taux maximum de 30 % à 35 %", selon Fabien Lucron, directeur du développement de Primeum. "L'erreur courante est d'empiler les indicateurs. Nous en préconisons quatre au maximum. Pourquoi ? Parce qu'un critère doit peser au moins 20 % du plan de RV pour que le collaborateur se sente concerné, et ne soit pas tenté de concentrer ses efforts sur d'autres objectifs. Le dosage le plus courant est d'avoir trois critères à 20 % et un à 40 %, car il y a toujours une priorité majeure : augmenter les ventes, les marges, conquérir de nouveaux clients, etc. Si la stratégie est simple, deux critères peuvent suffire." >> Lire l'article complet sur le site de FocusRH
S'excuser au travail : l'art et la manière
Dans la plupart des situations, le plus important est d'aller au-delà des excuses. En effet, si l'on part du principe que vous n'aviez pas de mauvaise intention, vous devez expliquer ce qui s'est passé de votre point de vue. L'objectif est de clarifier la façon dont vous avez vécu la situation et de revenir de manière transparente sur l'évènement qui a eu lieu. Catherine Bourjon est formatrice en Communication Non Violente et elle explique : "C'est indispensable de réussir à nommer ce que vous avez vécu et ce que vous avez ressenti, même si cela nécessite de se mettre un peu à nu face à l'interlocuteur. Je pense que c'est vraiment l'explication qui prime sur les excuses, qui ne sont parfois qu'une coquille vide. Miser sur l'honnêteté, la transparence sera plus profitable que d'essayer de se justifier à tout prix ou d'adopter une posture mielleuse voire hypocrite." Le mieux est encore d'être à l'origine de ce moment d'explications. N'hésitez pas à solliciter la ou les personnes que vous auriez pu blesser ou décevoir, demandez à les rencontrer et prenez le temps de mettre les choses à plat. >> Lire l'article complet sur le site de WelcomeToTheJungle
Les cadres et la charge mentale
IFOP et Mooncard dévoilent les résultats d'une étude sur les cadres et la charge mentale. Le constat : le boulot s'immisce partout dans notre vie privée. 95% des cadres pensent à leur travail le soir à la maison (60% " souvent "), 94% le week-end, 62% en faisant du sport, 20% en faisant l'amour. La cause : les cadres vivent le "syndrome du vase qui déborde". 81% des cadres affirment avoir globalement plus de choses à faire qu'avant, 74% recevoir trop de messages électroniques, 77% avoir "trop de tâches à gérer en même temps". Au hit-parade des plus pénibles : la gestion des mails et la fréquence des réunions (63%), ainsi que la gestion des notes de frais (41%). Les conséquences : cette charge mentale professionnelle est dangereuse pour la vie personnelle, familiale et conjugale (voire la santé) des cadres. Ceux qui pensent très souvent au travail en rentrant chez eux sont 75% à éprouver "souvent" des problèmes de sommeil, 57% à connaître des tensions dans leur couple du fait de leur travail tandis que 73% "souvent" des difficultés à concilier vie pro et vie perso. >> Lire l'article complet sur le site de l'Ifop