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Revue de presse achats (semaine du 1er au 5 octobre)

Publié par La rédaction le - mis à jour à

Vous n'avez pas eu le temps de surfer sur le Web cette semaine? Pas de panique! La rédaction vous a fait une sélection d'articles (intéressants, bien sûr!) ayant trait aux achats et à la relation fournisseurs, à la RSE, à la supply, etc. On vous souhaite bonne lecture!

Supply chain

Gartner dévoile son classement des meilleures supply chains européennes

À l'occasion de sa conférence annuelle Supply Chain Executive, le cabinet Gartner a dévoilé son classement annuel des 15 meilleures supply chain européennes. Celui-ci se base sur les ROI, les rotations d'inventaire, la croissance et les politiques RSE des entreprises. Sur le podium, on retrouve le géant agroalimentaire Unilever, le leader du retail Inditex (Zara, Pull & Bear) puis Nestlé. Unilever et Inditex conservent ainsi leurs positions de l'année précédente et arrivent également en tête du classement mondial de Gartner. Trois entreprises font leur entrée dans le classement : Novo Nordisk à la sixième place, British American Tobacco à la 14e place et Danone à la 15e place. Présent dans ce classement pour la quatrième année consécutive et gagnant deux places pour arriver cinquième, Schneider Electric s'est félicité de ces résultats. >> Lire l'article complet sur le site Voxlog

La naissance d'un référentiel RSE pour la logistique

Présenté le 28 septembre 2018 au ministère de l'Économie et des Finances, ce référentiel se veut un guide pour la mise en place d'une politique sociétale chez les acteurs du secteur de la logistique, quelle que soit leur taille. Fruit de trois ans de travail, il est déjà à l'oeuvre chez une vingtaine d'entreprises primo-utilisatrices. Il répond ainsi à deux objectifs principaux : accompagner les entreprises de la filière logistique dans une démarche de responsabilité sociétale, en particulier les TPE, PME et ETI, et faciliter les échanges entre donneurs d'ordres et prestataires de services logistiques, notamment lors des appels d'offre. Huit enjeux fondamentaux communs sont ainsi mis en avant : changement climatique, énergie et pollution de l'air dans la partie " Environnement " ; santé et sécurité au travail, développement du capital humain dans le volet " Social " ; intégration de la RSE dans la stratégie et dans la gestion des risques et des opportunités dans le champs " Gouvernance " ; liens durables avec les clients, sous-traitants et fournisseurs pour la " Loyauté des pratiques " ; et pratiques loyales en matière d'informations et de contrats en ce qui concerne le domaine " Enjeux liés aux clients/consommateurs ". Présenté davantage comme un guide de bonnes pratiques, le référentiel ne se substitue pas à un label et n'apportera pas de certification, précisent ses concepteurs. >> Lire l'article complet sur le site Voxlog

XPO Logistics annonce le déploiement de 5 000 cobots dans ses entrepôts

XPO Logistics vient d'annoncer le déploiement prochain de 5 000 cobots au sein de ses entrepôts en Amérique du Nord ainsi qu'en Europe. Conçus pour travailler directement avec des êtres humains au sein des sites logistiques, ces robots auront pour objectif de compléter les effectifs et de soutenir la croissance à venir. Un plan de déploiement qui s'inscrit dans le cadre d'un investissement de 450 millions de dollars par XPO dans les nouvelles technologies. Pour l'occasion, XPO Logistics a signé un partenariat avec le fabricant GreyOrange, faisant du logisticien le fournisseur exclusif de ces robots pour l'Amérique du Nord, le Royaume-Uni et huit pays européens. " Ajouter 5 000 cobots rendra nos opérations logistiques de préparation de commande et de tri plus sûres et plus productives. Ce sont des avantages importants pour nos clients, en particulier dans l'e-commerce et le retail omnicanal, où la rapidité et la précision des commandes sont des facteurs essentiels pour être compétitifs ", explique Bradley Jacobs, président directeur général de XPO Logistics. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog

Relations fournisseurs

Entreprises : les députés renforcent le "name and shame" pour les mauvais payeurs

Dans un arrêt rendu le 24 juillet 2018, la cour administrative d'appel de Bordeaux a validé une méthode de notation du critère prix inhabituelle. Un centre hospitalier de gérontologie a lancé une procédure d'appel d'offres pour passer un marché de travaux de reconstruction, extension et relocalisation de ses locaux. Le lot n°2 " Gros oeuvre - étanchéité " était divisé en deux lots techniques : 2 A " Structures fondations béton armé et maçonnerie " et 2 B " Etanchéité ". En l'espèce, le critère prix, pondéré à 50%, a été évalué, pour chacun des lots techniques 2 A et 2 B, " en faisant application de la formule 50 x (2 - P/M) où P correspond au prix à noter et M au prix de l'offre moins disante, la note de zéro étant attribuée aux offres d'un montant supérieur à cinquante pour cent à l'offre la moins disante pour chacun des lots techniques ". La cour rappelle qu'" aucune disposition législative ou règlementaire, pas davantage que les principes de liberté d'accès à la commande publique, d'égalité de traitement des candidats et de transparence des procédures n'imposaient au pouvoir adjudicateur de porter cette méthode de notation à la connaissance des candidats, alors même qu'elle dérogerait à celle qui est communément utilisée ".>> Lire l'article complet sur le site Citia

Le GHT du Var signe une belle perf

Neuf millions d'économies. C'est le score obtenu par la direction des achats du GHT du Var grâce à une " première ". Peu d'acheteurs publics peuvent se targuer d'avoir décroché un gain à hauteur de 36%. A l'occasion du renouvellement de son parc d'imagerie, le GHT du Var y est parvenu avec un dispositif original. Il a demandé aux industriels de constituer leurs offres en regroupant de façon simultanée des équipements disponibles dans les catalogues de trois centrales. Le tout assorti de prix promotionnels. >> Lire l'article complet sur le site Achat public

Régulariser une offre papier dans le contexte de la full démat ?

En ce lundi 1er octobre 2018, tous les acheteurs ont l'obligation dorénavant de dématérialiser leurs procédures. Pour autant, est-ce la fin des offres papiers ? En dehors des cas prévus par la règlementation, il y a fort à parier que certains opérateurs continueront à envoyer leurs propositions sous cette forme. Ces plis sont-ils néanmoins régularisables ? La direction des affaires juridiques répond par l'affirmative. Cette position ne fait pas l'unanimité auprès des professionnels du droit. >> Lire l'article complet sur le site Achat public

Aides aux PME : demandez le programme !

Depuis le premier octobre, donc, la commande publique est passée officiellement à l'ère de la dématérialisation complète. Une date importante qui a été l'occasion pour le gouvernement de communiquer (beaucoup) sur la poursuite du chantier de modernisation de la commande publique. Un programme très orienté PME. En décembre 2018 devrait être publié le décret ayant pour objet de " faciliter les marchés et les adapter aux réalités économiques " notamment à travers 6 mesures. L'ensemble de ces mesures figureront dans différents textes législatifs ou réglementaires (projet de loi PACTE, projet de loi portant suppression des surtranspositions, décrets ). Le grand code de la commande publique est annoncé pour décembre 2018, alors que les dernières rumeurs (et en la matière, il y a en beaucoup !) faisaient plus état d'une publication en avril 2019... De son coté, Mounir Mahjoubi, secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé du numérique a rappelé le contenu du plan de la transformation numérique de la commande publique, adopté fin 2017 et prévu jusqu'en 2022. Ce sont désormais les questions d'interopérabilité des systèmes d'information qui focalisent l'attention. Un grand chantier sera lancé pour cartographier les données de la commande publique et pour élaborer un cadre commun d'urbanisation des systèmes d'information de la commande publique d'ici fin 2019. >> Lire l'article complet sur le site La Gazette des communes

Acheteurs publics : RGPD/open data, la révolution silencieuse

Des critères toujours plus clairs, des explications toujours plus complètes, des notifications toujours plus explicites... Les acheteurs publics ont déjà vécu une première révolution de la transparence. Avec le RGPD et l'open data, en voici une seconde, plus discrète mais toute aussi profonde. Depuis le 1er octobre 2018, les acheteurs publics doivent donner un accès libre, direct et complet aux données essentielles des marchés publics dont la valeur est égale ou supérieure à 25 000 euros HT et à celles des concessions sur leur profil d'acheteur, sous un format ouvert et librement réutilisable. Sont notamment des données essentielles : l'identification de l'acheteur ; le numéro d'identification unique du contrat ; la nature et l'objet du contrat ; la durée du contrat ; la procédure de passation utilisée ; l'identification du titulaire ; le lieu principal d'exécution du contrat ; le montant et les principales conditions financières du contrat. Les acheteurs, peuvent également publier ces données sur un autre site de leur choix comme la plateforme dédiée à l'ouverture des données de la collectivité ou celle de l'État (www.data.gouv.fr). >> Lire l'article complet sur le site Lettre du cadre


RSE

Bertrand Piccard : "Protéger l'environnement, c'est rentable !"

L'explorateur va repartir pour un troisième tour du monde afin de présenter aux décideurs politiques mille innovations écologiques 100 % rentables que sa fondation et lui ont sélectionnées. Interview. Pourquoi les pays et les entreprises sont aussi lents à mettre en place des solutions écologiques ?" Encore faudrait-il en parler ! Le discours actuel est quasiment exclusivement axé sur les désastres écologiques plutôt que sur les solutions". Il faut quand même dénoncer les pratiques actuelles... "Je ne crois pas à la stratégie de la culpabilisation. La culpabilisation crée de la résistance. Pour mener à bien cette transition écologique, je suis convaincu qu'il faut savoir parler le même langage que son interlocuteur. Pour n'importe quelle entreprise par exemple, la première préoccupation c'est la rentabilité de l'alternative écologique qui lui est proposée." >> Lire l'interview complète sur le site Les Echos

Auchan va ouvrir des fermes !

C'est l'application d'une directive européenne adoptée en 2014. L'objectif est d'harmoniser l'étiquetage au sein de l'Union. Fini le " sans-plomb ", le " diesel " ou le " gazole ". A partir du 12 octobre prochain, la signalétique va connaître une révolution dans les stations-service européennes. Étiquette ronde pour l'essence, carrée pour le diesel. Cette nouvelle signalétique reposera sur une distinction de formes et de lettres entre les différents types de carburant. L'essence sera signalée par une étiquette ronde et la lettre E, tandis que le diesel portera la lettre B dans une étiquette carrée. La transition ne devrait toutefois pas être brutale. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Voiture électrique: les constructeurs foncent vers l'inconnu

Le Mondial de l'Auto de Paris marque cette semaine l'arrivée de nombreux nouveaux modèles électriques, suscitant l'espoir d'assister au décollage rapide d'un marché de masse. Pourtant, le doute est permis. Malgré un bond de 50 % par an dans le monde ces dernières années, les véhicules 100 % électriques représentent à peine 1 % des immatriculations. Ce marché de niche est nettement dominé par Tesla. Nissan, constructeur de la compacte Leaf, et Renault, qui a déjà développé plusieurs modèles à batteries, sont les seuls constructeurs historiques représentés dans le Top 10 mondial en termes de volumes vendus, toutes les autres places étant occupées par des constructeurs chinois inconnus du grand public hors de leurs frontières. On va passer de "motorisations très standard" essence ou diesel à une "segmentation beaucoup plus fine" selon les usages: moteurs thermiques, hybrides, hybrides rechargeables ou 100 % électriques... Il reviendra aux constructeurs de développer leur flexibilité industrielle pour gérer l'incertitude qui en découle. >> Lire l'article complet sur le site Le Point

Une Cour d'Appel annule des PV pour non désignation

Depuis le 1er janvier 2017, les personnes morales propriétaires de véhicules verbalisés par des radars automatiques doivent désigner le conducteur au moment de l'infraction sous peine de recevoir une amende. Si, dans les textes de lois, le procédé semble inattaquable puisque la Cour de Cassation a déjà confirmé plusieurs fois que cette pratique n'était pas contraire à la Constitution, c'est la méthode employée pour le faire respecter qui est remis en cause depuis plusieurs mois. Depuis plusieurs mois, de nombreux dossiers de contestation ont été transmis au tribunaux. Même si comme nous l'a appris Autoplus, tous les dossiers ne sont pas traités de la même façon lorsqu'ils arrivent au tribunal, dans la plupart des cas, les juges ce sont prononcés en faveur des entreprises en annulant les amendes pour non désignation au motif que l'amende pour non désignation de conducteur n'était pas envoyée à la bonne personne. >> Lire l'article complet sur le site Radars auto

Marché flottes : le contrecoup WLTP

Les immatriculations de véhicules en entreprises ont accusé le coup en septembre 2018 après un été record. Cette baisse, qui s'établit à 11,8 %, coïncide avec l'entrée en vigueur du cycle d'homologation WLTP au début du mois. La chute était prévisible. Après un mois d'août euphorique, le marché des flottes a dégringolé. La secousse est surtout brutale du côté des voitures particulières. Celles-ci sont directement concernées par ce changement de réglementation qui modifie les rejets de CO2 théoriques des véhicules. Les immatriculations reculent de 17,9 %, à 33 011 unités. On note toutefois de fortes disparités entre les énergies. Le diesel s'effondre de 30,8 %, à 21 194 unités. Il ne représente plus que 64,2 % du marché, contre plus de 76 % l'an dernier. >> Lire l'article complet sur le site Journalauto.com

AXA s'associe à Navya dans les véhicules autonomes

Les assureurs commencent à monter à bord de la voiture autonome. AXA a annoncé ce mercredi matin, à l'occasion de l'ouverture du Mondial de l'Automobile Paris 2018, un partenariat stratégique avec Navya, un constructeur français de navettes autonomes . Signé pour une durée de trois ans, cet accord représente " une opportunité commerciale majeure avec l'un des acteurs les plus importants du véhicule autonome ", affirme aux " Echos ", Guillaume Borie, directeur de l'innovation d'AXA. D'autant plus qu'avec le véhicule autonome, " la chaîne de responsabilité est morcelée ", souligne Guillaume Borie. En cas d'accident, une multitude d'intervenants pourraient en effet être mis en cause , du constructeur du véhicule à son opérateur, en passant par le concepteur de l'algorithme ou encore le fournisseur de la technologie embarquée. Le partenariat avec Navya comprend aussi un volet " R & D " autour du partage des données générées par le véhicule autonome. De quoi permettre à AXA d'affiner sa connaissance de ce risque nouveau. >> Lire l'article complet sur le site Les Echo



Carrière / Management et autres...

Comment utiliser son intelligence émotionnelle en entreprise ?

En tant que Manager, il est essentiel de pouvoir accueillir et mettre en mots les émotions. Ce qui va permettre de mieux appréhender les déclencheurs responsables de telle ou telle émotion. Ainsi, il pourra évaluer les manifestations (corporelles la plupart du temps) de ces dernières. J'attire votre attention qu'exprimer ses émotions est plutôt sain, cependant veillez toujours à soigner votre langage. Partagez vos émotions avec vos équipes : "je suis heureux (se), j'ai de la colère, je suis peiné(e)... " Vos collaborateurs seront ravis de voir que vous êtes humain et que vous avez la capacité d'exprimer ce qui vous tient à coeur. La condition sine-qua-none est le respect de chacun, même dans la colère. Et surtout n'oubliez jamais, pour une émotion négative partagée, vous devez la contrebalancer par 2 voire 3 positives ! >> Lire l'article complet de Hélène SCHETTING sur le site Forbes

La réunionite bat des records : 4h hebdomadaires pour les cadres

Les cadres, surtout les hommes et surtout en région parisienne, assistent à toujours davantage de réunions, pour un total moyen qui atteint quatre heures par semaine, selon un sondage Ifop publié mardi (*). Selon cette enquête, 92% des cadres participent régulièrement à des réunions, avec une moyenne de 3,5 rendez-vous par semaine (les hommes 3,7, les femmes 3,1), contre trois en 2015. Malgré une durée moyenne qui a diminué, passant de 79 minutes en 2015 à 69 minutes, selon cette enquête réalisée pour Wisembly, site dédié aux réunions d'entreprise, les cadres passent ainsi en moyenne quatre heures chaque semaine en réunion. >> Lire l'article complet sur le site Le Figaro

Les 4 idées à retenir du..." Livre des décisions "

Tout le monde fait des erreurs. Certains en tirent une leçon, d'autres les répètent indéfiniment. Ce best-seller international - actualisé et écrit par Mikael Krogerus et Roman Tschäppeler (éditions Alisio) - répond à des questions essentielles pour prendre des décisions. Par exemple, comment m'améliorer? Grâce à la méthode Eisenhower, de l'ancien président américain qui savait quoi faire au bon moment, vous différencierez l'important de l'urgent. On peut aussi utiliser l'analyse SWOT en identifiant les forces (strengths), les faiblesses (weaknesses), les opportunités (opportunities) et les menaces (threats) d'un projet. Ou encore : Est-ce que je dispose des bonnes personnes pour ce projet ? Une bonne équipe doit pouvoir évaluer assez justement ses performances. Attention : la vraie force réside dans la différence, et non dans les points communs. L'empreinte digitale numérique fait aujourd'hui partie du quotidien. Les intelligences artificielles et les " smart assistants " révolutionnent notre comportement décisionnel. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos