Revue de presse achats - semaine du 18 au 22 mars
Publié par la rédaction le - mis à jour à
Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus cette semaine sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait à la relation fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !
L'industrie agroalimentaire fait sa révolution sur le modèle de l'automobile
13 entreprises ont créé une ligne de production du futur. Les changements de fabrication s'effectuent en quelques minutes, les données sont toutes numérisées, les opérateurs équipés de capteurs.
Les conditionnements tous identiques des produits alimentaires ont vécu. Les comportements des consommateurs évoluent. Pour mieux les fidéliser dans le contexte de baisse des ventes de la plupart des produits alimentaires, comme la viande par exemple, qui a reculé de 2,1 % l'an dernier, les distributeurs demandent aux industriels de multiplier les combinaisons de formes, couleurs, textures ou tailles. Aux fabricants de s'adapter sachant que, selon les chiffres de l'Association nationale des industries alimentaires, ils consacrent une moyenne de 1,3 % de leur chiffre d'affaires à la R&D. "Pour un même produit fini, on peut compter jusqu'à des dizaines de conditionnements différents", indique Guillaume Brient, de l'agence Bretagne Développement Innovation, initiatrice de la ligne de production du futur nommée "Agile" qui rassemble le nec plus ultra en matière de digital et de technologies innovantes de production. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
De l'industrie 4.0 à l'approvisionnement 4.0: transformer les idées innovantes en innovation
L'industrie 4.0, comme on l'appelle, constitue la prochaine phase de fabrication. De par son nom, il s'agit de la quatrième révolution industrielle représentant non seulement la numérisation et l'automatisation de la fabrication (Industrie 3.0), mais également la mise en réseau des actifs physiques avec des systèmes de suivi numériques et des systèmes d'enregistrement; et l'intégration de systèmes pour créer un "système de systèmes", tel que des réseaux de fabrication et de logistique, des "usines intelligentes" et même une "fabrication à outrance". À un niveau plus granulaire, Industry 4.0 implique l'utilisation d'une multitude de nouvelles technologies et innovations, à savoir: la fabrication additive (impression 3D), la réalité augmentée (AR), les grands livres numériques distribués de Blockchain, les infrastructures et plates-formes de Cloud computing, l'informatique cognitive ( alias intelligence augmentée ou IA), dispositifs connectés ("Internet des objets"), analyse prédictive, robotique et automatisation de processus robotiques (RPA) et assistants virtuels. >> Lire l'article complet sur CPO Rising
La maîtrise des risques liés aux contrats d'externalisation
Les projets d'externalisation présentent des aspects critiques relevant de deux problématiques. D'une part, la due diligence réglementaire, c'est-à-dire l'étude complète des dispositions réglementaires applicables au projet, au niveau des entités clientes comme au niveau de l'entité prestataire, est souvent décisive pour la détermination du cahier des charges d'un projet. En effet, une contrainte réglementaire mal identifiée peut se traduire par des coûts et des délais supplémentaires voire par l'impossibilité de mettre en oeuvre tout ou partie d'un projet, notamment en matière de droit du travail, de respect des données personnelles et du secret professionnel, de droit de l'économie numérique ou de réglementation concernant la profession du donneur d'ordre (réglementation de l'externalisation en matière bancaire, par exemple). D'autre part, l'approche en risques, c'est-à-dire la prise en compte, dans le bilan des coûts et avantages du projet, des risques - notamment opérationnels - en découlant, devra couvrir trois dimensions d'analyse. >> Lire l'article complet sur le site de VoxFi
Entreprises familiales et fournisseurs : valoriser une relation dans la durée
Le responsable des relations fournisseur joue un rôle essentiel dans l'organisation de la relation entre l'entreprise familiale et les fournisseurs. Le fournisseur évalue la qualité de la relation par la coopération et la transparence plus que par les transactions. Les deux parties doivent fonder leur relation sur la confiance, un élément-clé du contrat social. Du point de vue de l'entreprise familiale, le choix du responsable des relations fournisseurs est donc un déterminant-clé. Il doit avoir des compétences organisationnelles et relationnelles lui permettant de développer sa capacité à piloter son écosystème. La relation de confiance entre l'entreprise familiale et ses fournisseurs semble également jouer un rôle dans la survie de l'entreprise en période de crise, ce qui renforce l'importance du choix stratégique dans la nomination d'un responsable achat capable de nouer des liens forts avec eux. >> Lire l'article complet sur le site de Solutions.Les Echos
Appel d'offre cuma: c'est reparti pour des achats groupés en 2019
Les AG des sections départementales de l'Union des cuma des Pays de la Loire ont donné l'occasion de faire le point sur les appels d'offre engagés dans l'Ouest en 2018. François Le Ber, directeur de l'Union, et ses élus, ont tracé un premier bilan. Pour les ensileuses automotrices, les réponses des constructeurs n'ont pas été satisfaisantes. L'articulation avec les concessionnaires semble leur poser un problème. "Mais rien n'empêche des cuma relevant d'un même concessionnaire à tenter une opération d'achat groupé auprès de lui", a souligné Stéphane Diard (Maine-et-Loire). Pour les chargeurs télescopiques, Manitou a emporté l'offre. "On sent que dans le domaine de la manutention, les constructeurs ont l'habitude de ce genre de démarche, en y intégrant leur réseau", observe François Le Ber. C'est bien dans cette direction que travaille le réseau cuma, comme l'a rappelé Yves-Mary Houdmon (Maine-et-Loire). "Notre but n'est pas de nuire aux concessionnaires, mais de ré-équilibrer les forces face à eux". >> Lire l'article complet sur Entraid
RSE
Le textile chinois entame sa lente conversion écoresponsable
"Il y a un intérêt très accru des marques chinoises pour toutes les alternatives à leur sourcing matière depuis maintenant un an", explique Mme Yolanda, directrice marketing du fabricant chinois Huafu, dont l'offre de tissus recyclés teints de manière durable se retrouve dans des produits Gap, Nike, American Eagle, Adidas, H&M, Zara ou encore Uniqlo. "La demande de produits durables était habituellement concentrée sur l'Europe, l'Amérique du Nord et le Japon. Mais le marché chinois commence à comprendre qu'il faut évoluer vers cela. Les entreprises chinoises représentent la moitié de nos clients. Mais il ne fait aucun doute pour nous que la Chine va rapidement devenir un marché majeur pour toutes les offres de textile et d'habillement écoresponsables, à mesure que vont se multiplier localement les études et les enseignements sur le sujet." >> Lire l'article complet sur le site de FashionNetWork
La Défense va se chauffer plus vert
La chaufferie de La Défense passe progressivement des énergies fossiles aux combustibles écologiques. Installée à Courbevoie, rue d'Alençon, elle produit de la chaleur et du froid pour La Défense sur Courbevoie et Puteaux, ainsi que certains quartiers de Nanterre. "Le projet de conversion de la centrale de Courbevoie est issu des propositions du schéma directeur lancé par le Sicudef, syndicat de chauffage urbain, rappelle Pierre Bourdarot, directeur des opérations d'Enertherm. "Depuis 2017, deux chaudières utilisent déjà de la biomasse liquide, issue du bois, en alternance avec le fioul lourd", explique le directeur, qui annonce la conversion de deux autres chaudières actuellement à l'arrêt. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien
Made in France : la dernière usine à ballons est dans le Puy-de-Dôme
En cours de récré, dans les salles de fitness ou encore sur un terrain de basket, les ballons sont présents à toutes les étapes de notre vie. Et Plastico Rototech est la dernière usine tricolore à les fabriquer. Cette petite entreprise fournit principalement les établissements scolaires. Toutefois, des éditions limitées sont également produites à la demande des particuliers tout comme les professionnels. >> Voir le reportage sur le site de LCI
Supply chain
Comment Casino réinvente sa logistique
Les innovations développées touchent à différents secteurs et peuvent être regroupées en quatre grandes familles : tout ce qui touche à la gestion des stocks, avec par exemple des robots chargés d'arpenter les rayons, de détecter les emplacements vides et d'alerter les équipes ; la chasse au gaspillage et aux produits jetés, en identifiant les denrées qui vont périmer et en déclenchant automatiquement des promotions pour le client averti ; la mise au point de moyens de transports moins polluants, avec une flotte naissante de camions roulant au biogaz naturel, les véhicules électriques qui se muent en hubs logistiques mobiles se rapprochant des domiciles des clients, le suivi en temps réel des camions sur la route... et enfin l'expérience client et la traçabilité. "Tout l'enjeu est de travailler sur des stocks bas avec une gamme de 80.00 produits permanents, d'augmenter la fiabilité des prévisions de commandes, d'optimiser le remplissage des camions et de tendre les flux. Il serait illusoire de croire que l'on peut faire cela tout seul, c'est pourquoi nous nous appuyons sur des startups", résume Clément Lubin, directeur de la logistique Casino France et Franprix - Leader Price. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Pour sortir de "l'enfer logistique", Tesla demande à des employés volontaires de livrer des voitures
En septembre dernier, Elon Musk concédait que Tesla était passé d'un "enfer de production" à un "enfer logistique". Quelques mois plus tard, la situation ne semble pas avoir atteint une situation confortable, à en croire les informations de Business Insider publiées le 18 mars 2019. Ainsi, nos confrères ont obtenu un mail dans lequel l'entreprise demande des volontaires pour livrer des voitures. "Nous avons besoin de votre aide pour faire des progrès, sur la base du volontariat. Il nous faut livrer 30 000 voitures ces 15 prochains jours", préciserait le document interne, signé par Sanjay Shah, le vice-président.>> Lire l'article complet sur le site de Numerama
Quand la Blockchain rencontre la supply chain
Le 25 février, Icertis, fournisseur de solutions SaaS basé à Seattle, dans l'État de Washington, a annoncé la signature d'un partenariat avec Mercedes-Benz Cars afin de mettre les exigences de conformité et les contrats fournisseurs du constructeur automobile sur le cadre Icertis Blockchain. Mercedes Benz utilisera ce cadre, y compris les contrats intelligents, pour renforcer la visibilité de ses processus d'approvisionnement et de passation de marchés, afin de s'assurer que sa base de fournisseurs respecte ses politiques en matière d'environnement, de société et de gouvernance ainsi que d'autres préoccupations éthiques et juridiques. Les contrats intelligents sont, comme les chaînes de blocs, des documents numériques distribués permanents, immuables et hautement sécurisés. Pour ces raisons, le cadre limitera l'accès des utilisateurs aux données des fournisseurs et des sous-traitants à ceux qui disposent des informations d'identification appropriées. Mercedes Benz aura également la possibilité d'utiliser les capacités d'Icertis basées sur l'intelligence artificielle pour vérifier automatiquement que ses fournisseurs et leurs sous-traitants respectent ces exigences et d'autres exigences contractuelles. >> lire l'article complet sur le site de CPO Rising
La logistique 4.0 à l'heure de la flexibilité
De nouvelles startups viennent tout chambouler. À l'instar de la française Scallog. Au lieu d'envoyer un préparateur de commandes collecter les produits dans les rayonnages de l'entrepôt (man-to-goods), ce sont les étagères de stockage qui viennent à lui (goods-to-man). Filoguidés par un simple maillage de bandes adhésives collées au sol, des robots mobiles soulèvent (jusqu'à 600 kilos) l'étagère standard (jusqu'à 2,50 mètres de hauteur) et la transportent jusqu'à la station de préparation des opérations de picking, de réapprovisionnement, de réaffectation de stocks ou d'inventaire. Précision : les robots se déplacent dans une zone fermée à la circulation humaine. "Ils vont donc très vite : jusqu'à 1,5 m/s [soit 54 km/h]", souligne Olivier Rochet, le fondateur de cette entreprise d'une trentaine de salariés, implantée à Nanterre (92), qui a aussi développé un logiciel de gestion des préparations de commandes, de gestion des flux et de synchronisation des robots. "Quant à la station, elle dispose d'un écran et d'un pointeur lumineux qui indique au préparateur la case dans laquelle il doit prélever le produit." Il en résulte une productivité de 450 à 600 prélèvements à l'heure, contre une moyenne de 150. De plus, cette solution permet d'économiser jusqu'à 30 % de la surface au sol. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Le fret avionné français a fléchi en 2018
En 2017, le fret avionné traité par les aéroports européens a progressé de 8,4 % selon l'Airport Council International (ACI). Un an plus tard, l'association note une nette décélération de cette activité avec une croissance ramenée à 1,8 %. Sur la période, le transport aérien mondial de marchandises a connu une tendance similaire. Selon l'Association du transport aérien international (Iata), sa progression est passée de 9,7 % en 2017 à 3,5 % en 2018. La France n'échappe pas à ce revers de fortune, comme le montrent les chiffres de l'Union des aéroports français (UAF) présentés le 14 mars à Paris. Après une hausse de 3,5 % en 2017, le fret avionné traité par les aéroports nationaux s'est replié de 2,5 % en 2018, repassant sous la barre des 2,5 millions de tonnes, à 2.493.114 tonnes. >> Lire l'article complet sur le site de L'Antenne
Accelerate business for good : des solutions pour des navires moins polluants
L'entreprise marseillaise CMA CGM, numéro 3 mondial du transport maritime, a déjà enclenché sa mue écologique. "En améliorant l'efficience de nos bateaux, nous avons réduit de 50 % nos émissions de CO2 ent re 2005 et 2015", se félicite Julien Topenot, directeur environnement et développement durable du groupe. L'armateur français a franchi un nouveau pas en 2017 en commandant neuf navires géants propulsés au gaz naturel liquéfié. Une première mondiale ! Exploitée depuis cinquante ans par les méthaniers (transport du gaz), cette technologie n'avait en effet jamais été utilisée pour des porte-conteneurs de cette taille. Elle mobilise en effet des technologies complexes et de lourds aménagements d'infrastructure pour approvisionner les bateaux. >> Lire l'article complet sur le site du Parisien
Les 10 bonnes pratiques de la livraison à la demande (Tribune)
Olivier Leroux, Managing Director d'Easy2Go, dresse la liste des 10 commandements à respecter pour un service optimal. Parmi ceux-ci: Le climat de confiance. Il faut trouver des partenaires de confiance et travailler étroitement avec eux pour améliorer de manière continue la qualité du service effectué. Même si la livraison est réalisée par un partenaire, ils livrent au nom de l'enseigne et à ce titre influencent la satisfaction client vis à vis de son expérience d'achat globale. Ainsi, 98% des consommateurs recommandent une enseigne suite à une expérience positive. >> Lire l'article complet sur le site de LSA
L'Ademe lance la Fabrique de la Logistique
C'est pour relever les nouveaux défis de la supply chain que l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (L'Ademe) lance une plateforme d'accélération de projets innovants : la Fabrique de la Logistique. Face à la nécessité de co-construire et de collaborer sur la chaîne logistique, cette dernière se propose d'être un lieu d'échange et de partage pour tendre vers les solutions et les schémas logistiques de demain. Assurée par un comité de pilotage, la gouvernance de la Fabrique est aujourd'hui déjà constitué d'acteurs majeurs du secteur : Ademe, FM Logistic, FNTR, GS1, La Poste, Michelin, Samada (Groupe Monoprix), Nov@log, Région Ile-de-France. Son rôle est de définir la vision, orienter les actions et structurer matériellement et juridiquement la plateforme. La Fabrique de la Logistique se présente ainsi comme une communauté ouverte et structurée autour d'un écosystème d'utilisateurs unis dans la co-construction de solutions supply chain innovantes. >> Lire l'article complet sur le site de VoxLog
Commande publique
Achats : l'évaluation des fournisseurs
S'il est nécessaire pour les acheteurs publics de rencontrer et connaître le marché fournisseurs avant lancement d'une procédure, il est indispensable de faire vivre la relation contractuelle, après notification, afin d'assurer une bonne exécution des prestations. En effet, une relation contractuelle n'est jamais figée, elle évolue. Les parties au contrat sont des partenaires et tout partenariat suppose communication. L'administration ainsi que les entreprises ont des contraintes. Un contact régulier et suivi, entre le représentant de l'administration et celui de l'entreprise, permet d'identifier les risques, de les anticiper afin de pouvoir les régler. La relation contractuelle permet aussi une évaluation continue des fournisseurs et des prestations réalisées. >> Lire l'article complet sur le site de la Gazette des Communes
Il faut annoncer la hiérarchisation ou la pondération des critères de choix des offres
Une procédure de passation est entachée d'irrégularité si le règlement de la consultation ne prévoyait ni hiérarchisation ni pondération des critères de choix des offres en méconnaissance des principes fondamentaux de la commande publique. Eu égard à son expérience non contestée en matière de travaux publics et à la circonstance que son offre était la moins-disante, la société requérante a perdu une chance sérieuse de remporter le marché. Il s'en suit que cette société a droit à être indemnisée de l'intégralité de son manque à gagner, constitué par la perte des bénéfices qu'elle pouvait normalement escompter de l'exécution dudit marché. >> Voir l'article sur le site de Weka
Cinq clés pour faire de l'achat public un vecteur d'innovation au service des entreprises et de la performance économique
La CCI Paris Ile-de-France a recensé cinq clés pour faire de l'achat public un vecteur d'innovation au profit de la compétitivité des entreprises : l'incitation, le sourcing, l'optimisation des processus, la performance et la responsabilité. Elles se déclinent en bonnes pratiques telles que : Promouvoir le dialogue entre acheteurs publics et entreprises, très en amont des appels d'offres ; Accepter et gérer les risques notamment grâce à des "proof of concept" réalisés par exemple via le nouveau contrat de gré à gré jusqu'à 100 000 euros ; Mobiliser les outils dédiés : cahier des charges fonctionnel, variante, analyse en coût global, critère innovant...; Suivre systématiquement l'exécution des marchés publics pour mesurer et valoriser l'apport de l'innovation ; Garantir des conditions responsables d'exécution des marchés publics et particulièrement au profit des sous-traitants... >> Lire l'article complet sur le site de la CCI Paris Ile-de-France
Candidatures : le Marché public simplifié (MPS) va jouer les prolongations
Le glas du Marché public simplifié sonnera bien, mais plus tard que prévu. Georges Bayard, chef de projet à la Dinsic, l'a annoncé, lors d'une conférence organisée par l'association Apeca, mardi 19 mars à Paris. Le MPS (si apprécié par les entreprises et les acheteurs publics par sa simplicité d'utilisation, un simple numéro Siret suffisant à candidater) va en effet s'éclipser prochainement au profit d'une version simplifiée du Document unique de marché européen (Dume). " Cette version a commencé à être implémentée sur les plateformes de dématérialisation, mais un certain nombre d'éditeurs n'ont pas encore fait ce travail de transposition. Nous nous acheminons donc progressivement vers une prolongation de la durée de vie de MPS jusqu'au 30 juin 2019 pour laisser plus de temps aux éditeurs ", a expliqué Georges Bayard. >> Lire l'article complet sur le site du Moniteur
Environnement de travail
Quelle musique écouter au bureau pour être plus productif ?
Premier enseignement : lorsqu'il y a des paroles, notre cerveau s'affole et on réussit moins à se concentrer. Les paroles sont au contraire un bon moyen de se distraire. Privilégiez donc les musiques instrumentales uniquement ! À noter que ce parasitage de voix n'est pas valable que pour la musique : plus vous entendez les gens parler, moins vous arrivez à vous concentrer... Autre enseignement : quand il s'agit de musique au bureau, chacun fait ce qu'il lui plaît ! Pas question d'imposer ses choix. "La musique peut être relaxante quand les employés choisissent d'en écouter, mais stressante quand elle est imposée", explique Anneli B. Haake. Selon elle, c'est même un enjeu de management. "Il y a de nombreux bénéfices à laisser les employés choisir la musique qu'ils aiment." Car plutôt que de créer un effet de groupe, imposer une musique dans un bureau ou un open space pourrait diviser les individus.
Fleet management / Mobilité
Obligation des patrons de dénoncer : LA faille
Le jugement du 8 mars 2018 de la cour d'appel d'Angers (49) pourrait bien aider tous les chefs d'entreprises, et eux plus que tout autre, à obtenir la relaxe auprès des tribunaux grâce à une faille toute simple...La loi octroie un délai de 45 jours au représentant légal de la société pour contester l'avis de contravention de l'infraction (un excès de vitesse par exemple), à partir de la date de l'envoi de cet avis. Pas un de plus. Au-delà, le patron reçoit un avis de contravention de non-désignation (article L121-6 du code de la route). Et le problème est là. A partir de quelle date démarre ce fameux délai de 45 jours ? Telle est la question. C'est en soulevant cette faille que Me Vincent Jamoteau, avocat à Angers (49) a réussi à convaincre la Cour d'appel d'Angers de relaxer ses deux clients. La date inscrite sur l'avis de contravention de l'infraction ne peut pas être considérée comme celle de son envoi, puisque c'est celle de son émission. Elle ne permet pas ainsi de connaître la date de l'envoi dudit avis, point de départ du délai de 45 jours comme le précise l'arrêt n° 18/00987 du 12 mars 2019. >> Lire l'article complet sur AutoMoto
Travel management
Emissions de CO2 : quelles sont les compagnies aériennes qui polluent le moins ?
L'enquête repose sur les recherches de spécialistes du Grantham Research Institute qui se sont intéressés à une liste de vingt grandes compagnies aériennes. Verdict : aucune d'entre elles ne semble avoir fixé des objectifs à long terme répondant à l'Accord de Paris et à l'objectif de maintenir le réchauffement climatique sous la barre des 2°C. Néanmoins, certaines compagnies semblent être de meilleurs élèves que d'autres. Parmi les vingt, c'est la Britannique EasyJet qui décroche le titre de compagnie aérienne la moins polluante. En 2020, elle affichera une intensité d'émissions de 75 grammes de CO2 par passager au kilomètre, soit une réduction de sept grammes comparé à 2014 et le meilleur score sur la liste des vingt compagnies. Elle est suivie par l'Américaine Alaska Airlines qui affichera pour 2020 une intensité d'émissions de 87 grammes de CO2 par passager au kilomètre puis de l'Australienne Qantas avec 89 grammes de CO2 par passager au kilomètre pour l'an prochain. Du côté des mauvais élèves, le trio de tête est occupé par Japan Airlines (125 gCO2/passager km), le groupe ANA (133) et Korean Air (172). >> Lire l'article complet sur le site de Geo
Carrière / RH / Management
La liberté au travail existe-t-elle ?
Par Olivier Bachelard, professeur à l'EM Lyon Business School- Il ne s'agit pas ici de revenir sur la liberté du travail qui interdit les engagements à vie, le travail forcé, encadre les clauses de non concurrence ou garantit le droit de démissionner, mais bien de s'interroger sur la liberté au travail. Si l'on admet que le travail consiste à produire et obtenir un résultat, à accepter les contraintes et les efforts et à obtenir, en contrepartie, une reconnaissance et un respect du salarié dans sa dignité et sa santé (1), alors la question de la liberté s'exprime dans la confrontation entre les contraintes inévitables et la solidarité collective. >> Lire l'article complet sur le site de Courrier Cadres
Le management de transition, une autre façon de mener sa carrière
Les managers de transition sont de plus en plus nombreux. Traditionnellement, c'étaient ceux qui venaient s'occuper des plans sociaux. Aujourd'hui, ils accompagnent les transformations des entreprises, ils leur permettent de prendre un virage puis ils s'en vont. Pour de nombreux salariés, c'est devenu un nouveau mode de vie. Dans un quart des cas, il s'agit de gérer des situations de crise, mais de plus en plus ce pompier de service arrive pour accompagner une entreprise qui se transforme. >> Lire l'article complet sur le site de France TV Info