Oliver Wyman crée un centre d'expertise achats
Publié par Emmanuelle Serrano le - mis à jour à
Oliver Wyman, cabinet de conseil de direction générale, annonce la création d'un centre d'expertise achats à Paris s'appuyant sur une équipe dédiée et la nomination de Christophe Fillon en qualité de directeur opérationnel.
L’optimisation des achats est indissociable aujourd’hui de la performance des entreprises, quel que soit le secteur d’activité. « Ce centre d’expertise nous permettra d’offrir à nos clients une expertise encore plus pointue sur les thèmes qui préoccupent les directeurs achats à l’heure actuelle : les achats durables, le management des ressources achats, la mesure de la performance achats et bien entendu la pleine maîtrise des grands domaines d’achats… », commente Grégory Kochersperger, senior partner, en charge de la pratique mondiale Value Sourcing, chez Oliver Wyman, dont l’effectif est supérieur à 200 consultants.
Fort d’un réseau d’experts internes et externes, le centre d’expertise achats Oliver Wyman, qui sera placé sous la houlette de Christophe Fillon, aura ainsi pour mission de délivrer un appui approfondi sur la quasi-totalité des problématiques achats clés et des catégories d’achats tant directes qu’indirectes. Il contribuera de façon significative aux efforts de marketing et aux études du cabinet à l’instar du référentiel communautaire des pratiques achats, lancé fin 2011 auprès d’une centaine d’entreprises françaises, conjointement avec l’EBG (Electronic Business Group).
La pratique Value Sourcing Oliver Wyman est particulièrement bien représentée à Paris. « En matière d’achats, notre obsession n’est pas exclusivement le gain à court terme mais l’intérêt à moyen et long terme de l’entreprise », souligne Grégory Kochersperger. « Nous visons à réconcilier les directions financières avec les directions achats en démontrant la contribution de ces dernières à la maîtrise des coûts. Au plus fort des turbulences de la crise passée, la refonte des achats a incontestablement contribué à la stabilité des entreprises, voire à leur rebond », analyse-t-il.