Revue de presse achats - semaine du 27 janvier
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Vous n'avez pas eu le temps de "surfer" cette semaine ? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus sur le Web et qui devraient vous intéresser car relatifs aux achats ou à leur écosystème. Bonne lecture!
Airbus accepte de verser 3,6 milliards d'euros d'amende pour corruption
L'avionneur avait annoncé mardi avoir conclu des accords à l'amiable avec les autorités des trois pays pour mettre un terme aux poursuites dont il faisait l'objet. Il a précisé dans la soirée qu'il prévoyait de passer une provision de 3,6 milliards d'euros dans ses résultats 2019 pour ce dossier. Les accords conclus avec le Parquet national financier (PNF), le Serious Fraud Office britannique (SFO) et les autorités américaines devront être entérinés par la justice lors d'audiences prévues le 31 janvier dans les trois pays. L'administration américaine devra aussi valider la procédure, alors que le groupe était également soupçonné d'avoir violé les règles américaines en matière de trafic d'armes. >> Lire l'article complet sur le site de Investir
Une colère verte couve en Amazon...
L'initiative est courageuse et louable. Plus de 350 salariés d'Amazon ont publié une lettre ouverte dans laquelle ils critiquent la politique environnementale de leur employeur. Réunis au sein d'un comité baptisé "Amazon Employees for Climate Justice" (AECJ), ces collaborateurs prennent le risque d'être licenciés car leur action va à l'encontre du règlement intérieur mis en place par le leader du commerce en ligne. (...) Cette initiative tombe au plus mauvais moment pour Amazon qui livre 10 milliards de colis par an. Son fondateur, Jeff Bezos, cherche en effet à jouer au "chevalier vert" en promettant de rendre son groupe neutre en carbone en 2040 grâce notamment à l'achat de 100.000 véhicules électriques. Mais " Microsoft prévoit d'être négatif en carbone d'ici 2030 alors que nous visons 2040, critique Duncan Scott, un ingénieur informatique. Comment Amazon peut donc prétendre " voir les choses en grand ? " Certaines questions peuvent avoir l'effet d'un coup de poignard dans le coeur... >> Lire l'article complet sur le site de Influencia
Après avoir dévoré le bio, la grande distribution veut faire main basse sur la vente en vrac
Il ne représente aujourd'hui que 0,5 % du marché de l'alimentation mais le vrac ne cesse de se démocratiser. Selon une étude du cabinet Kantar publié en avril, près de la moitié des foyers français ont acheté en vrac au cours des douze derniers mois. Surtout, ce marché aurait atteint 1,2 milliard d'euros en 2019, selon Réseau Vrac. (...) Reste à la grande distribution de ne pas reproduire les erreurs qu'elle a commises sur le bio. Elle occupe désormais une place considérable dans le marché du bio mais est accusée de faire pression sur les prix et de ne pas respecter "l'esprit du bio". Or, si "esprit du vrac" il existe dans l'imaginaire des consomm'acteurs, il comprend l'origine du produit et sa qualité. >> Lire l'article complet sur le site de Novethic
Plus précieux que l'or, le palladium : les raisons d'un envol des prix
La hausse du cours du Palladium est pour essentiel due à la demande de l'industrie automobile et à l'évolution de la production des véhicules Diesel vers l'Essence sachant que les pots catalytiques des voitures essence contiennent plus de palladium. L'impact du reste de l'emploi de ce métal est marginal sur son cours. D'un autre côté, la production de palladium est répartie entre deux pays : la Russie et l'Afrique du Sud. Une mauvaise gouvernance en Afrique du Sud , du fait de son fournisseur national Eskom a entraîné une baisse de l'alimentation électrique des mines du pays. Cela a entrainé une une baisse de la production mondiale depuis 7 ans. Combiné à la hausse de la demande on arrive en ce début d'année dans une situations de pénurie. (...) Et même si on en arrivait là, je ne pense pas que les arbres poussent jusqu'au ciel: passé un certains niveau de prix il y a toujours des schémas de substitutions. On utilisera des pots avec plus de platine et moins de palladium. Et si le palladium restera relativement cher dans les mois à venir, il est possible que les prix retombent en cas de substitutions. Souvenons-nous du Rhodium en 2008 : il était monté jusqu'à 10 000 dollars. Il était retombé à 1000 en 2009 grâce a une politique de substitution industrielle. >> Lire l'article complet sur le site de Atlantico
La course au ciment bas carbone est lancée
Chez les cimentiers, la course au bas carbone tourne au sprint. A partir de 2021, l'Europe réduira les quotas d'émissions gratuites de CO2 et le secteur paiera cher la tonne de ciment produite s'il reste aussi carboné qu'avant... et donc la tonne de béton, qui est un mélange de sable, de gravier et de ciment. Les tests pour produire autrement se multiplient . Mi-décembre, les installations de l'expérience française à trois millions d'euros " FastCarb " ont démarré. Menée de 2017 à la fin de 2020, FastCarb teste trois manières de produire un béton bas carbone à partir de béton recyclé. Dans sa cimenterie de Val d'Azergues près de Lyon, LafargeHolcim scrute le fonctionnement d'un petit lit fluidisé pendant que Vicat teste dans sa cimenterie de Créchy (Allier) un tambour rotatif et qu'Eiffage a installé la troisième technologie dans un conteneur et utilise pour son test le béton de la déconstruction de l'Ecole Centrale à Chatenay-Malabry (Hauts-de-Seine). >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Les prix de l'arabica ont rebondi, mais devraient connaître une baisse annuelle
Les prix du café arabica augmenteront de 14% d'ici la fin de l'année, récupérant un peu de terrain après avoir fortement chuté ce mois-ci, bien qu'une hausse de la production brésilienne entraîenera une baisse des prix fin 2020, selon un sondage Reuters réalisé auprès de 11 commerçants et analystes. Les prix de l'Arabica termineront 2020 à 1,20 $ la livre, en hausse de 14% par rapport à la clôture de mardi, selon les prévisions médianes des participants à l'enquête, mais toujours en baisse de 7% par rapport à la clôture du marché fin 2019. Les prix ont chuté de 19% jusqu'à présent ce mois-ci, en partie à cause de la hausse des stocks de change ICE et de la perspective d'une récolte record au Brésil plus tard cette année. Le premier producteur brésilien entre dans une année de cycle de culture biennal en 2020/21 et les répondants s'attendent à une récolte de 66,9 millions de sacs de 60 kg, contre une estimation médiane de 59,0 millions la saison précédente. Le solde de l'offre mondiale devrait basculer dans un excédent de 2,75 millions de sacs pendant la saison 2020/21 contre un déficit de 3,0 millions la saison précédente. "Une reprise de la production mondiale, après le temps chaud de fin 2019, devrait ramener le marché du café à un excédent en 2020/21, ce qui augmentera les stocks et pèsera sur les prix", a déclaré Caroline Bain, économiste en chef chez Capital Economics. >> Lire l'article complet sur le site de Reuters
Les pièces de 1 et 2 centimes d'euro pourraient disparaître
Cette décision aurait surtout un motif économique. Car ces pièces faites de d'acier et de cuivre coûtent plus cher à produire que leur valeur faciale. En 2013, la Commission avait évalué le coût de leur frappe à 1,4 milliard d'euros depuis 2002. A la différence des billets et pièces de plus grande valeur (50 centimes, 1 et 2 euros), les pièces de 1 et 2 centimes s'accumulent souvent au fond du porte-monnaie des Européens En outre, les commerçants ne les acceptent pas toujours de bon coeur - mais n'ont pas le droit de les refuser. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
RSE
Contentieux climatique : Total assigné en justice pour manquement à son devoir de vigilance
L'action est fondée sur le non-respect de l'article L. 225-102-4 du code de commerce introduit par la loi sur le devoir de vigilance. Un fondement sur lequel Total est déjà attaqué par Les Amis de la Terre et plusieurs ONG pour ses activités en Ouganda. Ce texte contraint les grandes multinationales françaises à identifier et prévenir les risques d'atteintes graves aux droits humains et à l'environnement causés par leurs activités tant en France qu'à l'étranger. Ces mesures doivent être inscrites dans un plan de vigilance et mises en oeuvre de façon effective. À défaut d'y procéder, après une mise en demeure restée insatisfaite, toute personne justifiant d'un intérêt à agir peut demander à la justice d'enjoindre l'entreprise à respecter cette obligation. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Environnement
Distribution : Sainsbury's va investir 1 milliard de livres pour devenir neutre en carbone
Pour y parvenir, le groupe, dont l'empreinte carbone actuelle avoisine le million de tonnes, veut réduire ses déchets alimentaires et ses emballages plastiques . Mais il entend aussi mieux contrôler sa consommation d'eau et encourager les comportements de recyclage. Parmi les mesures concrètes envisagées, figurent notamment le recours systématique aux LED, bien moins gourmandes en énergie que les autres systèmes d'éclairage. D'ici à 2022, tous les magasins du groupe Sainsbury's, soit environ 1.400 points de ventes, seront éclairés de la sorte. D'ici à 2025, l'entreprise promet aussi qu'elle aura réduit de moitié ses emballages plastiques et que 20 % de sa flotte de transport roulera avec des carburants non fossiles (électricité, éthanol, biodiesel...). Pour parvenir à ces objectifs, Sainsbury's ne part pas de zéro. L'entreprise a en effet réduit ses émissions de carbone d'environ 35 % au cours des 15 dernières années. Et ce, alors même que son activité progressait de 46 %. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Ces marques françaises qui réinventent leur fabrication
1083 est une formidable marque de vêtements française, spécialisée dans le jean. Dès ses débuts, l'enseigne s'est démarquée par la qualité de sa démarche globale : matières premières biologiques, production de jeans au délavage laser sans impact sur l'environnement, énergie renouvelable fournie par Enercoop, relocalisation de la fabrique de jeans en France, création d'une école à Romans pour redévelopper le savoir-faire de la confection de jean, création d'un jean consigné, rachat de leur fournisseur historique pour ne pas perdre d'emplois, création de 150 emplois en 6 ans ! >> Lire l'article complet sur le site de Influencia
Gaspillage alimentaire. Un "pacte" sur les dates de consommation signé par 38 distributeurs
Lutter contre le gaspillage via une meilleure "gestion et compréhension des dates de consommation": c'est l'objectif d'un "pacte" signé mardi par 38 distributeurs, fédérations professionnelles, associations de consommateurs et industriels de l'agroalimentaire. Ces premiers signataires, qui espèrent être rejoints par l'ensemble des acteurs de la chaîne alimentaire, y prennent dix engagements "co-construits, concrets et mesurables", indique un communiqué de l'initiative. Ces engagements reposent sur quatre idées : "éduquer et sensibiliser l'ensemble des publics", "clarifier la différence entre DLC (date limite de consommation) et DDM (date de durabilité minimale) auprès des consommateurs", "optimiser la valorisation des produits exclus des circuits de vente" et enfin "collaborer entre acteurs du secteur pour harmoniser les bonnes pratiques et optimiser les flux de distribution". Les signataires s'engagent par exemple à tester en magasins des rayons "antigaspi ". >> Lire l'article complet sur le site de Ouest France
Supply chain
Brexit : l'étonnant casse-tête de la circulation des palettes
Ce discret accessoire du transport pourrait poser de vrais problèmes aux nombreuses entreprises qui font de l'import-export avec le Royaume-Uni. Car en l'état actuel de la réglementation, les palettes venues du continent pourront toujours entrer comme avant en Grande-Bretagne, mais pas franchir la Manche au retour ! Le calendrier de la "période de transition" de onze mois risque d'être trop serré pour résoudre cet casse-tête inattendu. Explication : afin de se prémunir des attaques d'insectes ou de champignons invasifs, ces assemblages de planches de résineux doivent, en principe, être estampillés d'une norme internationale dite NIMP15: celle-ci implique un traitement préalable dans un four autoclave, seule méthode possible en UE depuis l'interdiction de produits chimiques. Mais les Européens, pour simplifier les échanges entre eux et peu craintifs sur les contaminations pathogènes, utilisent généralement du bois non traité à l'intérieur du continent, n'appliquant les normes plus strictes qu'envers les pays tiers. Or, ce sont ces dernières règles qui devraient s'appliquer dès janvier 2021 aux palettes revenant de Grande-Bretagne, considérée de facto comme un pays tiers. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
La Blockchain à quatre voies modifie la chaîne d'approvisionnement alimentaire
Avec la blockchain, il peut y avoir beaucoup moins de perte de nourriture, surtout pour des raisons inutiles. La blockchain peut prédire la fraîcheur d'une récolte au champ pendant le traitement, afin que l'inventaire puisse aller exactement là où il doit. De plus, cette même technologie peut filtrer par offre et demande. L'aspect de suivi de la blockchain devient également utile pour réduire les déchets. Les entreprises peuvent trouver quand et où les aliments ont été initialement récoltés, et dans quelles conditions ils ont été stockés. Il y a eu des cas d'individus faisant de fausses déclarations sur la fraîcheur de leurs produits, et la blockchain cherche à mettre fin à ce problème.
Les déchets peuvent parfois faire partie de la vie, mais les risques de dommages causés par les produits alimentaires devraient toujours être évitables. La blockchain réprime les fausses allégations de qualité, mais elle va également plus loin pour garantir que les aliments qui ne sont pas frais ne continuent pas d'être transformés. La Food and Drug Administration des États-Unis (FDA) a des moyens de suivre les mesures de sécurité sanitaire des aliments à travers le pays, et certains de ces enregistrements sont rendus publics. Même à la fin de la chaîne, la blockchain ne cesse de fonctionner. La FDA peut l'utiliser pour voir si les restaurants ne suivent pas les procédures de sécurité, en suivant les cas d'intoxication alimentaire d'hôpital en hôpital. Des capteurs dans les installations de stockage des aliments et au-delà, tout peut être surveillé. >> Lire l'article complet sur le site de SupplyChainBrain
Grève du port de Marseille : 156 millions d'euros de pertes !
L'activité du port enregistrée en décembre 2019 accuse un recul de -21,5% à l'importation et de -25% à l'export sur les conteneurs pleins par rapport à la même période en 2018. Avec 42 escales de navires en moins, ce sont près de 15% d'opérations qui n'ont pas pu être effectuées le mois dernier. Dans le même temps, l'impact se mesure par 36 millions d'euros de pertes pour l'économie portuaire (transitaires), 25 millions d'euros de manque à gagner de TVA pour l'Etat et 48 millions de surcoût pour les chargeurs. Ceux-ci ayant été obligé de faire partir leurs conteneurs depuis des ports étrangers. La perte globale en décembre pour tous les ports français serait comprise entre 150 et 200 millions d'euros. >> Lire l'article complet sur le site de Transport Info
Réduire les émissions de CO2 de la marine marchande coûtera au moins 1.000 milliards de dollars
Au moins 1.000 milliards de dollars (909 milliards d'euros) d'investissements entre 2030 et 2050. La facture s'annonce salée pour que la marine marchande puisse respecter ses engagements environnementaux, selon une étude britannique menée par l'University Maritime Advisory Services et par l'Energy Transitions Commission, et publiée le 20 janvier. Une addition que ne pourra pas régler seul un secteur soumis à une rude concurrence, qui a fait chuter les prix et donc les marges. "Les consommateurs vont devoir accepter de payer davantage", prévient Lise Detrimont, qui pilote l'association de préfiguration Transport maritime décarboné. Le transport maritime représente environ 3% des émissions mondiales de CO2, soit autant que le secteur aérien. En l'absence de mesures concrètes et face à la croissance anticipée du marché (de 35% à 40% au cours des trente prochaines années), le secteur pourrait représenter 17% des émissions d'ici à 2050. Sous la pression de la Commission européenne notamment, l'Organisation maritime internationale (OMI) s'est résolue à prendre des mesures en 2018, fixant un objectif de réduction d'au moins 50% des réductions de gaz à effet de serre d'ici à 2050, par rapport aux niveaux enregistrés en 2008. Et ambitionnant même à plus long terme d'éliminer "complètement" ces émissions. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
Commande publique
Les essais, comme pratique de sourcing
Tribune de Pierre-Ange Zalcberg, directeur juridique adjoint Etablissement français du sang (EFS) - Dans les secteurs d'activités où cela s'y prête, notamment en matière d'achat de fournitures médicotechniques, d'audacieux acheteurs vont, en complément des autres techniques de sourcing plus classiques, jusqu'à faire réaliser des essais in situ de fournitures (dispositifs médicaux, logiciels, etc.). Déjà largement usités avec les échantillons dans le cadre des procédures de passation (cf. CCP, art. R. 2151-15) y compris en appel d'offres (CE 6 juin 2015, Société Am'Tech Médical, req. n° 389124), les essais sont plus rarement exploités comme pratique de sourcing, hors de certains achats spécifiques. Cela, sans doute parce qu'ils sont plus complexes à mettre en oeuvre. Le principe est le suivant : hors de toute procédure de marché public, les fournisseurs sollicités par l'acheteur acceptent de mettre gratuitement à disposition leurs matériels sur une période donnée afin qu'ils soient testés dans l'environnement de la structure selon un protocole technique ou scientifique. Cette démarche permet d'éprouver les matériels dans des conditions réelles d'utilisation afin d'adapter les usages des personnels aux nouvelles techniques et à leur ergonomie. >> Lire l'intégralité de cette tribune sur le site de Achat.Public.info
Idelux: simplifier et rendre les projets smart city plus cohérents via une centrale d'achats
Un an après son lancement, l'intercommunale luxembourgeoise Idelux procédait, en début de semaine, à un petit bilan. Bilan qu'elle juge positif et encourageant pour la suite. Dix solutions figurent au catalogue de la centrale d'achats. Pour le constituer, Idelux n'a pas joué solo. Un exercice de recueil des attentes et besoins (mutualisables) des communes a été effectué en amont (dès 2017). Les 10 solutions thématiques concernent notamment l'e-guichet, l'informatisation du service Travaux de la commune, le déploiement d'une plate-forme de participation citoyenne, une appli communale mobile, les solutions de gestion de l'occupation de l'espace public, de réservation et paiement des repas et accueil extra-scolaires... >> Lire l'article complet sur le site de Regional IT
100 % des bus seront électriques à Marseille en 2035
Alors que la régie renouvelle sa flotte avec l'acquisition de 79 bus hybrides cette année pour 23 millions d'euros, elle engage également 11 millions d'euros pour 15 nouveaux bus électriques. La moitié de cette somme est prise en charge par le Département des Bouches-Du-Rhône dans le cadre de son Agenda environnemental. Car si les tramways et métros sont électriques, c'est la flotte de bus diesel qui concentre la majorité des émissions de CO2 du réseau marseillais. Sur les 600 véhicules en circulation, seuls six sont électriques, soit 1 %. La part de bus thermiques baissera donc d'un palier significatif cette année, mais principalement grâce aux bus hybrides. "Une solution intermédiaire qui permet de baisser les émissions avec de performances et de coûts intéressants", explique Cédric Saulnier, directeur du matériel roulant de la RTM. Un véhicule hybride coûte en effet 300 000 euros, à peine plus que les 280 000 euros de son homologue diesel. >> Lire l'article complet sur le site de Made in Marseille
Les acheteurs de Lille Métropole valorisent leur métier
"Nous voulions démontrer que les achats avaient changé, qu'on s'était professionnalisé, que notre direction se positionnait comme un AMO interne, avec une offre de service. Et que les directions opérationnelles avaient tout intérêt à nous associer le plus en amont possible pour que l'on puisse leur apporter un maximum de valeur ajoutée", débute Vincent Place, directeur adjoint des achats et de la logistique de la Métropole européenne de Lille, qui s'appuie sur un service achat composée d'une cheffe de service, de sept acheteurs et d'une contrôleuse de gestion achat. Communiquer sur l'intérêt de la démarche achat. Mais changer le regard de directions opérationnelles disposant en leur sein de très fortes expertises métiers n'est pas si simple. "Il fallait gagner en visibilité, être mieux connu, communiquer sur le métier d'acheteur et l'intérêt de la démarche achats", résume Vincent Place. La direction des achats se creuse les méninges : comment attirer l'attention de ses collègues en sortant de l'ordinaire ?>> Lire l'article complet sur le site de Santé.Achat.Infos
La fixation du délai de remise des offres dans le cadre d'un marché public
Un délai trop court étant susceptible d'entraîner l'annulation de la procédure (TA Toulon, 16 décembre 2019, Société Aquaclub, n°1904139), il est toujours prudent de prévoir un délai assez long et, dans le doute, de se caler sur les délais de remise applicables aux procédures formalisées. Toutefois, même les délais légaux sont des minimums et ceux-ci-doivent être allongés dans un certain nombre de cas. D'une part, l'allongement du délai est obligatoire lorsque les offres ne peuvent être déposées qu'à la suite d'une visite du site (Article R.2151-3). Concrètement, cela signifie qu'un délai de 30 jours avec une visite de site fixée 10 jours avant la date de remise sera considéré comme insuffisant. De plus, l'acheteur doit être vigilant à la période retenue : il convient notamment de faire attention aux mois d'été et plus particulièrement au mois d'août. Ainsi, un délai de remise de 20 jours pour un MAPA peu important pourra néanmoins être considéré comme insuffisant si la date de remise est fixée au 30 août. Dans cette hypothèse, la date de remise des offres pourra utilement être fixée aux alentours du 10 septembre pour éviter tout risque de remise en cause.>> Lire l'article complet sur le site Santé.achat.info
IT
L'Europe a infligé 114 millions d'euros d'amende aux entreprises depuis l'entrée en vigueur du RGPD
Si 160 000 notifications de violation de données ont été signalées aux différentes autorités nationales compétentes des 28 États membres depuis le 25 mai 2018, beaucoup n'ont donné lieu à aucune condamnation. C'est en tout cas la France qui arrive à la première place des pays ayant distribué les sanctions les plus lourdes avec 51,1 millions d'euros d'amendes, dont 50 millions d'euros pour une amende unique adressée à Google en janvier 2019, le géant auquel il était reproché un manque de transparence, d'information et une absence de consentement spécifique et univoque. La France devance l'Allemagne (24,6 millions d'euros), l'Autriche (18,1 millions d'euros) et l'Italie (11,5 millions d'euros), la Bulgarie se trouvant bien plus loin (3,2 millions d'euros). Nous noterons tout de même que la Grande-Bretagne ne figure pas dans le haut de ce classement, car les amendes totalisant 329 millions d'euros (plus de 200 millions uniquement pour British Airways) ne sont encore qu'à l'état d'avis, et n'ont pas été officiellement prononcées. >> Lire l'article complet sur le site de Cubic
Les enjeux de sécurité liés à l'adoption du Cloud au sein des entreprises
Il ressort de l'étude que les réglementations imposées par la CNIL et la RGPD sur l'utilisation des données reste le principal obstacle à l'utilisation du Cloud (71 % des répondants). Cela explique certainement que la dépendance de l'entreprise vis-à-vis d'un fournisseur de services soit également perçue par 67 % comme une entrave à l'adoption du Cloud. Parmi les freins, les risques liés à la sécurité des données (65 %) sont par ailleurs mentionnés par les responsables interrogés. Ce n'est donc pas une surprise si les fonctionnalités de confidentialité et d'intégrité des données (99 %), de prévention des intrusions (99 %) et de gestion des vulnérabilités (97 %) ressortent comme prioritaires.Simplifier la gestion (69 %), sous-traiter des tâches telles que la maintenance ou les mises à jour (68 %) et garantir la disponibilité des données et services (64 %) sont les trois principales raisons qui poussent les DSI à migrer vers le Cloud. La facilité d'accès aux informations et aux applications (61 %) est également plébiscitée, hormis dans le secteur de l'industrie où elle n'est citée que par 38 % des répondants. >> Voir les résultats de cette étude sur le site de Trend Micro
RH / Carrière
Management : quel impact du digital sur la gestion de projet ?
C'est grâce à leurs équipes mondiales que les multinationales exécutent aujourd'hui leur agenda stratégique. Dans ce contexte, l'aptitude à diriger des équipes diverses est obligatoire pour un chef de projet. Pour planifier leurs projets, les doter en personnel, les organiser, en suivre la progression, les contrôler et les évaluer avec fluidité, les chefs de projet doivent tenir compte des différences sociales, géopolitiques, linguistiques et culturelles. En l'absence d'une communication et d'une sensibilité culturelle d'un excellent niveau, les projets menés à l'échelle internationale peuvent déboucher sur une incompréhension importante et sur des tensions au sein des équipes. Les bons chefs de projet sont donc ceux qui ont appris quels moyens technologiques et humains utiliser pour parvenir à réduire ces différences afin que le projet suive son cours. >> Lire l'article complet sur le site de Forbes
5 techniques (non violentes) pour gérer les conflits au bureau
Lorsqu'ils ont lancé leur start-up, Hugo et Axel Manoukian ne cessaient de se bagarrer au lieu de se concentrer sur le développement de leur solution. Aidés par des coachs, ils ont intégré les codes de la communication non-violente : exposer les faits, exprimer son ressenti, formuler ses besoins et conclure en exprimant sa requête. Les frères appliquent aussi les cinq accords toltèques, ces règles de conduite élaborées par le chaman mexicain Miguel Ruiz (Les quatre accords toltèques, Jouvence, 1999, et Le cinquième accord toltèque, Guy Trédaniel, 2010). "Nous avons notamment appris à mettre notre ego de côté et à verbaliser nos sentiments pour exprimer notre colère et notre frustration." Ils démarrent dorénavant leurs échanges par du positif pour proposer ensuite des axes d'amélioration. Du coup, les remarques de chacun ne sont plus perçues comme agressives ou vexantes. >> Lire l'article complet sur le site de Capital