Revue de presse achats - semaine du 4 au 8 mars
Publié par la rédaction le - mis à jour à
Vous n'avez pas eu le temps de surfer cette semaine? La rédaction a sélectionné, pour vous, des articles parus cette semaine sur le Web et susceptibles de vous intéresser car ayant trait à la relation fournisseurs, à la RSE, à la commande publique, etc. Bonne lecture !
Snif ! La boîte de Nesquik va disparaître
La mythique boîte jaune est sacrifiée sur l'autel de l'écologie et du développement durable. Plus qu'une concession à l'air du temps : un assassinat ! Il faut être également écologiquement irréprochable. Et c'est justement ce qu'on reprochait à la rayonnante boîte de chocolat Nesquik. Nestlé veut que d'ici à 2025 un quart de ses emballages se composent de matières recyclées et que 100 % de ses emballages soient recyclables, révèle le site Environnement Magazine. Et, bien entendu, la célébrissime boîte jaune du Nesquik en plastique est dans l'oeil du cyclone. Elle devra céder sa place à un épigone en carton... Un traumatisme pour les quadragénaires, éternels adolescents attardés qui ont bu des milliers de bols de chocolat (chaud ou froid) grâce au packaging souriant et avenant de ce meilleur ami de nos petits-déjeuners et de nos goûters. Pis encore, le changement est imminent. Dès ce printemps, la boîte en plastique jaune sera progressivement remplacée. Calamité supplémentaire, la composition du cacao va être modifiée : sacrifiée sur l'autel du bien-manger ! >> Lire l'article complet sur le site du Point
Achats : les entreprises se détournent de la Chine
Tous secteurs confondus, 25,8 % des productions inspectées en Chine en 2018 par Qima ont été rejetées "pour des niveaux de qualité non acceptables", soit une dégradation de 16 % par rapport à l'année précédente. Mais le Cambodge (24,4 % de rejets) et la Turquie (25,5 %) ont aussi accusé de mauvais résultats, avec des taux de conformité en baisse d'environ 30 %. Les plus mauvais scores sont toutefois détenus par le Pakistan, où 33,5 % des produis ont été rejetés, et l'Inde où le taux a atteint 28,2 %. Une exception dans ce contexte difficile : le secteur textile, en net progrès, avec une baisse globale de 18,5 % du nombre de produits défaillants, tous pays confondus. Cette embellie serait à mettre en lien avec une "amélioration de l'éthique des chaînes d'approvisionnement au cours des deux dernières années", selon Qima. "Nous observons une corrélation positive entre les résultats de conformité qualité et le score éthique calculé pour chaque site. Nous remarquons que les usines qui investissent dans de meilleures conditions de travail pour leurs salariés, parfois sous la pression générale des grandes marques et des consommateurs, comme c'est le cas du textile, augmentent leur niveau de qualité !", souligne Sébastien Breteau. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Une des plus grandes mines de tungstène au monde pourrait rouvrir en France
Apollo Minerals veut surfer sur les besoins grandissants de l'industrie en tungstène. Le métal a été couché sur la liste des métaux stratégiques de l'Union européenne (UE), et la France le considère comme un matériau critique. Car, au-delà de son utilité pour fabriquer des outils de coupe, des forets de perceuses ou des filaments d'ampoule, le tungstène se retrouve dans les moteurs d'avions et de fusées, les centrales à gaz ou les missiles. Or, aujourd'hui, les secteurs aéronautique, automobile, du gaz ou de la défense utilisent un métal produit à plus de 80 % par la Chine. "Ce gisement pourrait donc permettre à la France, qui n'a pas ouvert de mine depuis plus de trente ans, et à l'Europe, de sécuriser un approvisionnement au sein de l'UE, deuxième consommateur mondial après la Chine", assure la société australienne. Selon elle, les mines en Europe (en Espagne, au Portugal et en Autriche) produisent 3,4 % du tungstène mondial, ce qui correspond à un quart des besoins européens. Lire l'article complet sur le site des Echos
Interview du directeur achats Uwe-Karsten Städter au sujet de la Porsche 911 type 992
Plus de 85% des pièces de la dernière génération de la Porsche 911 sont nouvelles. Porsche a fait appel à de nouveaux fournisseurs du secteur de la production pour travailler aux côtés de ses partenaires stratégiques de confiance. Uwe-Karsten Städter, membre du directoire Porsche en charge des achats, en explique le contexte dans un entretien, interview initialement publiée en allemand par Automobil Produktion: "Une nouvelle voiture comme la 992 offre l'occasion idéale de faire appel à de nouveaux fournisseurs et de les challenger - c'est ce que nous avons fait. Bien entendu, cette nouvelle génération ne peut et ne devrait pas être équipée exclusivement par de nouveaux sous-traitants, car nos partenaires stratégiques de longue date constituent également un élément essentiel de notre plan visant à maintenir et à améliorer les normes de qualité élevées de la 911. En plus de l'héritage de la 911, nous nous appuierons sur nos nombreuses années d'expérience et tirerons le meilleur parti des innovations actuelles proposées par nos fournisseurs." >> Lire l'article complet sur le site de 4legend
Virage stratégique pour le géant des céréales Axéréal
Axéréal, qui se prévaut d'avoir réduit le ratio de sa dette sur Ebitda de 4 à 3 en un an, fait de gros efforts de réduction de coûts. La coopérative s'est dotée de la plus grande ferme solaire d'Europe avec 1,5 hectare de panneaux solaires pour réduire sa consommation d'énergie fossile. "D'ici à 2030, nous utiliserons 60 % d'énergie solaire grâce à un investissement de 6 millions d'euros largement subventionnée par l'Ademe", a ajouté Paul-Yves L'Anthoën. Le premier actionnaire de Banette produit également 370.000 tonnes de farine, l'équivalent de 1.000 baguettes minute et 570.000 tonnes d'alimentation animale. Et commercialise 110 millions d'oeufs de poules, toutes hors cage. Le malt est, avec sa division Boortmalt, un de ses bras armés, qu' il vient de renforcer considérablement en mettant la main sur les 15 malteries de l'américain Cargill . Elles s'ajoutent aux 10 sites que possédait déjà Axéréal dans ce domaine et surtout internationalisent une implantation industrielle jusque-là limitée à l'Europe. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Un guide douanier pour se préparer au Brexit
Si aucun accord n'est trouvé pour la sortie de l'Angleterre du marché unique, le 29 mars prochain à minuit heure française (23 heures GMT), la Grande-Bretagne sera à considérer comme un pays tiers. Tout échange de marchandises entre la France et le Royaume-Uni, qu'il s'agisse d'importation ou d'exportation, devra donc faire l'objet de déclarations en douane. Les douanes françaises ont édité un guide complet pour se préparer au Brexit, en explorant toutes les situations, et notamment les cas de produits soumis à accises à l'importation et/ou à l'exportation, les marchandises spécifiques comme les végétaux et les produits végétaux, les animaux vivants et produits d'origine animale, les produits chimiques, les médicaments, les déchets, les armes et matériels de guerre et explosifs. Voir l'article sur le site de Stratégies Logitsique
Innovation
Goodyear invente le pneu hélice
Le fabricant américain a présenté mardi 5 mars un nouveau prototype très futuriste baptisé sobrement "Aero" et à destination, comme son nom l'indique... des véhicules volants et autonomes. En clair, ce pneu deux-en-un permettrait de circuler sur la route, puis dans un deuxième temps, de faire décoller le véhicule qu'il supporte en se positionnant à l'horizontale. >> Lire l'article complet sur l'Usine Nouvelle
Supply chain
Livraison du dernier kilomètre : VU + vélos + piétons, la solution idéale ?
Réglementation contre la mauvaise qualité de l'air, densité du trafic, retard dans les tournées... la livraison du dernier kilomètre fait face à de nombreux défis tant pour l'environnement que le bilan économique des entreprises. Ajoutez à cela que d'ici 10 ans, la part du e-commerce devrait exploser pour doubler le nombre de colis livrés* par des véhicules utilitaires, il apparaît indispensable de trouver rapidement des solutions pérennes. C'est en ce sens que Ford Smart Mobility, filiale du constructeur éponyme, a mené une nouvelle expérimentation. Et cela ne consiste pas à augmenter le nombre de véhicules utilitaires sur les routes mais à mieux exploiter le réseau existant, en combinant plusieurs modes de transports. >> Lire l'article complet sur le site de Automobile Entreprise
20 millions d'EVP sur les mers pour CMA CGM en 2018
La compagnie maritime aux 37 000 salariés dont 2 400 au siège à Marseille, annonce un nouveau plan de réduction des coûts cette année. "En 2019, malgré les tensions géopolitiques qui persistent, les perspectives en matière d'échanges économiques sont positives. Nous poursuivrons notre développement et nous fixons comme objectifs d'améliorer notre rentabilité. Nous lançons pour cela un nouveau plan de réduction de coûts d'un montant de 1,2 M$ ( 1,06 Md€)", précise la direction de l'armement, désormais entre les mains de Rodolphe Saadé. Reste à savoir si la réorganisation des lignes n'aura pas un impact sur la qualité de service attendue par les clients chargeurs et commissionnaires de transports. Première compagnie à commander des porte-conteneurs au gaz, CMA CGM se prépare à l'échéance de Global Sulphur Cap, fixée au 1er janvier 2020, avec une incertitude sur les disponibilités des combustibles à faible teneur soufre et sur leur prix. Un premier porte-conteneur propulsé au gaz naturel liquéfié (GNL) a rejoint l'an passé Containerships, une des dernières compagnies à rejoindre le giron de CMA CGM. >> Lire l'article complet sur le site de Actu Transport Logistique
Commande publique
Les grandes étapes du processus achat : la gestion de la relation fournisseur
Par Guillaume Laffineur, chef du bureau performance, direction des achats de l'Etat - "Le travail d'acheteur ne s'arrête pas avec la notification du marché. Le suivi de la mise en oeuvre du marché et de la bonne exécution des prestations est une étape essentielle dans votre projet achat. Cette démarche vous permet de mesurer, sur les plans quantitatif et qualitatif, la réalisation des objectifs identifiés au stade de la définition du besoin et traduits dans la rédaction de votre cahier des charges." >> Lire l'article complet sur le site de La Gazette des communes
RSE
Achats : les entreprises gagnent en responsabilité
Les entreprises ont aussi progressé en termes de gouvernance et d'analyse des risques. Ainsi, 57 % d'entre elles ont mis en place une cartographie ou une analyse des risques ESG par type d'achats, 24 % par type de fournisseur et 22 % par zone géographique. Par ailleurs, un nombre croissant d'entités prend aujourd'hui en compte un "coût global des produits", intégrant, outre le prix d'achat, la logistique, les problèmes de qualité et les coûts RSE. Quelque 21 % des répondants déclarent le calculer "systématiquement" et 43 % "parfois". Mais la visibilité sur les fournisseurs demeure encore faible : seules 48 % des entreprises estiment avoir une bonne connaissance de la performance RSE de leurs sous-traitants. Un point inquiétant au regard des attentes du législateur, notamment dans le cadre de la loi Sapin II. >> Lire l'article complet sur le site des Echos
Ce que la mode va devoir accepter de changer pour aider au sauvetage de la planète
L'industrie textile est une des industries les plus polluantes du monde - "La production de vêtements est très polluante à divers égards, la partie confection a des impacts sociaux, mais c'est surtout l'utilisation des matières premières comme le coton, qui est une plante très gourmande en eau et en pesticides", explique Nayla Ajaltouni. "On utilise de plus en plus de matières plastiques qui se retrouvent lors des lavages dans les rivières et océans, même situation pour les teintures. Ces dernières sont réalisées dans des conditions déplorables au Bangladesh mais aussi en Italie, en Inde les tas de produits chimiques utilisés polluent les sols et les eaux, car il n'y a pas d'usines de traitement. Par effet ricochet, la santé des populations locales est gravement mise en danger". >> Lire l'article complet sur Atlantico
Rainett axe sa communication sur le plastique recyclé
Le fabricant de produits d'entretien s'est engagé, depuis fin 2015, à n'utiliser que du polyéthylène téréphtalate recyclé (rPET) dans tous ses emballages en PET clairs pour liquides vaisselle, gels WC et autres nettoyants ménagers. A date, il indique avoir utilisé plus de 245 millions de bouteilles recyclées. Un engagement fort, d'autant plus que le rPET est 30% plus coûteux que le PET vierge et que sa légère opacité peut constituer un handicap du point de vue du marketing. Il le fait maintenant savoir au plus grand nombre à travers une campagne de grande envergure à la télévision, à la radio, sur son site Internet et sur les réseaux sociaux. >> Lire l'article complet sur le site de Emballages
Environnement de travail
Améliorer la qualité des bureaux grâce au facility management
Les services issus du facility management ne doivent plus être laissés de côté, même s'ils ont un statut particulier du fait d'être généralement externalisés. C'est principalement le cas de l'accueil, de la sécurité, de la restauration et de l'entretien. Ces services, primordiaux pour le bon fonctionnement des immeubles de bureaux, sont donc effectués par des salariés qui ne sont pas issus de l'entreprise dans laquelle ils exercent leur métier. Nul ignore les problèmes de turnover qui se posent dans ce domaine, et tous les dysfonctionnements qu'ils entraînent. Une hôtesse d'accueil, par exemple, reste rarement sur le même poste plus de deux ans. Or, là encore, se pose la question de la proximité : employée d'un prestataire de service, cette hôtesse sera rémunérée de la même façon où qu'elle soit. Dès lors, travailler sur un site client proche de son domicile sera un critère déterminant pour sa stabilité. >> Lire l'article complet sur le site de HBR
Les salariés veulent plus de flex-office, mais pas les futurs managers
Le flex-office en France reste perçu comme une simple transformation de l'aménagement de l'espace de travail. Il faut donc faire évoluer la culture d'entreprise et les méthodes de management des équipes pour développer la souplesse et la transversalité... en commençant par les managers. Car, comment ceux-ci voient-ils leurs futurs espaces de travail? Un autre étude, réalise par l'Essec et sa toute nouvelle Chaire Workplace Management auprès des étudiants de cette grande école de management montrent qu'ils manquent singulièrement d'imagination et de... flexibilité. "Contrairement aux idées reçues, le bureau non attitré, que ce soit en flex-office ou en coworking, n'attire pas leurs faveurs, explique Ingrid Nappi-Choulet, professeur-chercheur à l'ESSEC. >> Lire l'article complet sur le site de Challenges
Champignons, algues, bactéries : le mobilier du futur sera écolo et vivant !
Présentant une centaine de projets aux matériaux évolutifs (certains sont impliqués dans "un processus de croissance ou de dégénérescence"), l'exposition du Centre Pompidou passe au crible les bio-innovations des secteurs de la mode, du design et de l'architecture. À l'instar de l'artiste Ani Liu, une ancienne du MIT dont les créations fascinantes s'amusent à développer des synergies inter-espèces, elles ont pour objectif de reconnecter nos modes de vie au vivant et à la nature. Côté design, on s'approprie les biotechnologies pour fabriquer des matériaux plus écolos. Premier créateur à maîtriser la technologie du mycélium imprimé en 3D, le designer néerlandais Eric Klarenbeek génère une alternative au plastique en fabriquant des objets " vivants ", capables de produire de l'oxygène et compostables après utilisation. Avec " The Living ", l'architecte David Benjamin créé une structure constituée de briques issues d'un alliage de mycélium de champignon en croissance et de déchets agricoles. Dès qu'elle n'est plus alimentée en eau, cette dernière stoppe sa croissance et son " auto-assemblage " et semble aussi solide qu'un mur de béton. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN
Fleet
Le marché entreprise accélère en février
Sur deux mois, et à jours ouvrés comparables (42 jours), le marché du véhicule d'entreprise s'établit en progression de +4,24 % à 134 116 unités. Par segment de marché, comme en janvier, c'est le VUL qui soutient le marché avec une progression de +9,75 % à 57 776 unités, alors que le VP affiche une petite forme (+ 0,42 % à 76 340 unités). Par type d'énergies, l'essence poursuit sa marche en avant mois après mois, avec même une tendance à l'accélération. Au total, les immatriculations de VP et de VUL essence augmentent de +53,13 % sur deux mois (26 640 unités). Sa part de marché ressort à 19,86 % (VP + VUL), mais monte à 31 % sur le seul segment des VP (soit 6 points de mieux par rapport à fin décembre 2018). L'électrique, pour sa part, enregistre une progression des immatriculations de +42,57 % (VP + VUL) à 2 696 unités, avec une part de marché de 2 %. Sur les seuls VP, la progression des immatriculations est très forte (+96,82 % à 1 608 unités). Le développement des motorisations hybrides affiche une petite forme, avec une progression de +4,1 % seulement (4 419 unités VP + VUL), pour une part de marché de 3,29 %. Si les hybrides rechargeables restent bien orientés (+ 27% à 1 278 unités), les hybrides non rechargeables sont à l'arrêt (-3,03 % à 3 141 unités). >> Lire l'article complet sur le site de l'OVE
Émissions de CO2 : le classement des marques automobiles
Dans le classement publié par Jato Dynamics, Toyota conserve la première place avec des émissions moyennes de CO2 les plus basses en 2018 parmi les 20 marques les plus vendues en Europe (99,9 g/km). La marque nippone profite d'une gamme hybride étendue. Avec Seat, Suzuki, Nissan et Volkswagen, elle fait partie des 5 marques qui ont vu leur moyenne s'améliorer sur l'année. Dans le classement suivent de loin deux Françaises : Peugeot (107,7 g/km) et Citroën (107,9 g/km). Ces dernières voient toutefois leur moyenne se dégrader respectivement de 3,2 g/km et 2,4 g/km. Renault arrive en queue de ce top 3 (109,1 g/km, +2,5). Enfin, parmi les mauvais élèves, Volvo (130 g/km), Mazda (135,2 g/km) et Mercedes-Benz (139,6 g/km) clôturent ce top 20. >> Lire l'article complet sur le site l'Automobile l'Entreprise
LeasePlan veut un parc de véhicules 100% électriques
LeasePlan veut se doter d'une flotte de véhicules 100% électriques et atteindre zéro émission nette pour l'ensemble de son parc d'ici 2030. Pour tenir cet objectif, le spécialiste de la gestion de flotte, a réalisé un emprunt obligataire vert (Green Bond Framework), d'un montant de 500 millions d'euros à taux fixe sur 5 ans. Le communiqué ajoute "Cet emprunt a attiré une demande de 3,5 milliards d'euros avec la participation de quelque 260 investisseurs. 64% des ordres ont été alloués à des investisseurs responsables.C'est une première : le produit de ces obligations vertes servira exclusivement à financer ou refinancer l'achat de véhicules électriques, dans le but d'accélérer le passage à l'électrique et de contribuer à la lutte contre le changement climatique". >> Lire l'article sur le site de Déplacements Pros
Volvo présente le premier bus long format piloté par une IA
Selon le constructeur, "l'autobus électrique entièrement autonome assure un fonctionnement silencieux sans émissions et consomme 80% d'énergie en moins par rapport à un autobus Diesel de taille équivalente". L'autobus est doté d'un logiciel de recherche autonome Volvo connecté aux commandes principales et à plusieurs capteurs. Les chercheurs de la NTU l'ont optimisé avec un système d'IA qui communique avec des capteurs, permettant une exploitation autonome de l'autobus. Cela inclut des capteurs de télédétection par laser de type lidar, des caméras à 360 degrés et un système de navigation globale par satellite perfectionné utilisant la cinématique en temps réel. Cela ressemble à n'importe quel système GPS, mais utilise plusieurs sources de données pour offrir une précision de localisation de l'ordre du centimètre. Le système est relié à une " unité de mesure inertielle " qui détermine la vitesse latérale et angulaire de l'autobus. Cela améliorera la navigation de l'autobus sur les terrains accidentés et garantira une conduite en douceur. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune
LOM : le forfait mobilités durables évolue pour devenir plus attractif
Alors que le projet de Loi d'Orientation des Mobilités (LOM) a commencé son marathon parlementaire le 6 mars, la commission de l'aménagement du territoire et du développement durable du Sénat a établi un texte rectificatif. Parmi les modifications apportées, la commission a ajusté les contours du forfait mobilités durables qui donne la possibilité aux employeurs de participer aux frais de déplacements domicile-travail de leurs collaborateurs. Le texte qui sera présenté en séance publique à compter du 19 mars voit donc le dispositif évoluer en s'ouvrant aux conducteurs qui effectuent un trajet en covoiturage. Pour le rendre encore plus attractif, la commission a également décidé d'en permettre le cumul avec le remboursement des frais de transports en commun et les indemnités kilométriques. Objectif : "favoriser l'intermodalité entre les modes de transports et encourager les salariés éloignés de leur travail à rejoindre une gare à vélo ou en covoiturage afin de continuer leur trajet en transports en commun", précise son rapporteur, Didier Mandelli. >> Lire l'article complet sur le site de l'Automobile l'Entreprise
IT
Blockchain: cette start-up rend le coton biologique traçable
L'initiative, appelée Organic Cotton Traceability Pilot, est un partenariat entre la Fondation C & A, l'accélérateur de coton biologique et Fashion For Good. Il fonctionne avec le soutien des entreprises de mode C & A, Zalando, PVH Corp et du groupe Kering. L'initiative a débuté en décembre et est actuellement utilisée pour retracer le coton biologique provenant d'exploitations agricoles jusqu'à l'usine d'égrenage où il est transformé en textile. La deuxième phase du projet pilote consistera à faire en sorte que le coton puisse être retracé de la graine au consommateur. L'initiative vise enfin à être utilisée à grande échelle pour qu'il puisse être utilisé par les producteurs de coton biologique, les producteurs de textile et les entreprises de mode. >> Lire l'article complet sur le site de Mode in Textile
Huawei joue la transparence avec son nouveau centre de cybersécurité à Bruxelles
Conçu comme un gage de bonne foi du groupe, ce bâtiment de 1 000 m2, idéalement situé en plein coeur de la capitale européenne, permettra aux opérateurs de téléphonie de tester et d'examiner sous toutes les coutures les matériels de la marque, et notamment d'accéder au code source, la recette de cuisine de Huawei, en quelque sorte, afin de vérifier qu'il ne contient aucune porte dérobée permettant au groupe d'espionner ses clients et leurs communications. >> Lire l'article complet sur le site du Monde
Carrière / RH / Management
Quelle équation entre temps de travail et temps de loisir personnel quotidien adopter pour s'assurer d'être heureux
Le temps de loisir est un temps pour soi, un temps dédié au ressourcement physique et psychique, un temps pour le développement des interactions sociales hors travail, un temps également pour décanter l'expérience du travail. Le temps de loisir est un temps propice pour la réflexion. C'est dans ces moments de disponibilité psychique que les questionnements peuvent ressurgir pour être appréhendés autrement. Par ailleurs, c'est dans ces moments où l'on a moins d'injonctions, que la créativité ose faire surface. Quand l'on s'ennuie, l'esprit cherche quelque chose de stimulant pour sortir de cet état négatif. C'est dans cette situation que de nouvelles idées émergent. Lorsque le temps de loisirs diminue drastiquement, la personne fait face comme elle le peut et prend sur ses propres ressources. Parfois, la situation est passagère, le corps peut alors revenir progressivement à son équilibre habituel. Parfois, ce manque de temps libre perdure avec le risque pour la personne de devenir plus vulnérable émotionnellement avec des répercussion sur sa santé. >> Lire l'article complet sur le site de Atlantico
Jusqu'où peut aller la liberté d'expression des salariés sur les réseaux sociaux ?
Une analyse approfondie des décisions judiciaires de 1988 à 2016 a été effectuée pour relever l'équilibre admis entre la liberté d'expression des salariés et le respect par ces derniers de la loyauté à l'égard de l'entreprise. Cet équilibre se révèle difficile au sein des réseaux sociaux numériques parce que la frontière entre vie professionnelle et vie privée est de plus en plus floue. Plus encore, la frontière entre vie publique et vie personnelle n'est pas délimitée dans le cyberespace. Dès lors, il en est ressorti une évolution remarquable : si c'est l'obligation de loyauté qui limite la liberté d'expression, cette loyauté comporte un contenu flexible selon les circonstances. Ainsi, certaines décisions ont mis en évidence que des licenciements de salariés étaient justifiés eu égard aux propos tenus par ces derniers, ces propos outrepassant le principe de loyauté. Mais, c'est la variabilité de ces décisions qui montrent que la quête de l'équilibre entre liberté d'expression et loyauté est difficile. >> Lire l'article complet sur le site de The Conversation
L'idée d'un quota de femmes dans les comex progresse
L'étude classe les sociétés entre quatre catégories. Les "Machistes" (13 sociétés, dont les banques, LVMH, Sanofi...), où le pourcentage de femmes cadres est supérieur à la moyenne, mais avec un taux de féminisation du comex inférieur à la moyenne. Les "Amazones" (15 sociétés, dont EDF, Engie, Suez, Total...), où le pourcentage de femmes au comex est supérieur à la proportion de cadres féminins. Les "Féminines" (6 sociétés, dont Danone, Kering, L'Oreal), où la féminisation élevée du comex reflète le poids des femmes dans l'encadrement et une politique affirmée de promotion professionnelle. Les "Masculines" (13 sociétés, dont Airbus, Bouygues, Eiffage), où les femmes sont peu représentées parmi les cadres et au comex. Les entreprises invoquent souvent la faiblesse de leur vivier en interne pour féminiser leurs instances dirigeantes. "Une réalité pour les entreprises Masculines, mais pas pour les Machistes, à l'instar de LVMH, avec 65% de cadres femmes et seulement une femme (10%) au comité exécutif", poursuit Michel Ferrary. A contrario, les femmes représentent la moitié des cadres de Danone, et trois (43%) siègent au comex. >> Lire l'article complet sur le site de l'Agefi
"C'est dans le pipe", "J'aime l'humain", "Ça fait sens"... Petit guide des expressions à bannir du bureau
Tout le monde a des tics de langage. En entreprise parfois plus qu'ailleurs... Certains sont tout à fait innocents, ou franchement drôles, d'autres un peu plus énervants... Prenons le "C'est dans le pipe" - Expression fortement utilisée, notamment à la rentrée. Sa visée est de prouver à quel point on va être occupé dans les prochains jours, semaines, mois, ou années... En réalité, elle permet surtout de bien botter en touche. Si "un projet est dans le pipe", c'est souvent qu'on a aucune idée du moment où il sera réalisé. >> Lire l'article complet sur le site de l'ADN